Je m’appelle Béatrice et voici quelques-unes de mes histoires de sexe qui se passent pendant ma jeunesse, il y a une trentaine d’années.
Après un diner de bienvenue dans la nouvelle boite où je travaille, nous arrivons chez Catherine et Henri qui nous invitent à prendre place dans le canapé de leur salon. L’immeuble est cossu, mais leur appartement sent le fric et le bon goût car la déco est vraiment bien pensée.
Nous nous sentions, Hélène et moi, bien. Il faut dire que nous venions de faire une bonne partie de cul dans la rueAlors tant qu’à faire, autant continuer à l’intérieur, ce sera plus confortable.
Catherine fait tomber sa jupe dès que la porte d’entrée est fermée, suivie de près par son corsage. Pas de soutien-gorge ni de petite culotte à retirer (ça ne sert à rien).
Hélène décide de faire un petit Striptease destiné plutôt à Henri qui se met de suite au garde à vous : sa queue est droite, grosse et longue, et semble bien dure. A vue d’il, je dirais 27 -28 centimètres et entre 6 et 6 et demi de circonférence. Je vois déjà les matheux en train de se dire c’est plus gros ou plus petit que la mienne ? Sachez messieurs qu’il y a de fortes chances pour que ce soit plus gros et plus long que la vôtre. Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à prendre contact avec moi car j’en ferais bien mon quatre heures
Je comprends mieux maintenant pourquoi Hélène a couiné quand Henri l’a enculé d’un coup sec !
Et cette salope d’Hélène se trémousse le cul presque en suppliant Henri du regard pour qu’il lui mettre sa bite bien au fond de sa chatte ou de son cul. Il comprend vite, l’Henri. Il se précipite derrière le cul d’Hélène et encore une fois, prend Hélène à la sauvage, à sec. Cette fois, Hélène ne se retient pas : elle crie à Henri « d’aller plus vite », de « lui défoncer le cul », de « lui éclater la rondelle », de lui « balancer tout son foutre dans le cul ». Elle aime ça, la salope. Et vas-y qu’elle accompagne bien la bite d’Henri. Elle n’en perd pas une miette. Elle pousse son cul en arrière quand Henri enfonce sa bite pour essayer qu’il la pénètre encore plus loin.
Henri ne tient plus très longtemps à ce petit jeu : il se crispe en restant bien au fond du cul d’Hélène et balance une quantité de foutre que je n’aurais jamais soupçonné être possible.
Henri commence à débander, mais le cul d’Hélène présente un trou béant. Catherine s’échappe un petit instant et revient avec un gode d’une taille encore supérieure à la bite d’Henri. Je me suis dit que jamais, ça ne rentrerait. Eh bien, c’est fou comme un cul, c’est élastique (surtout celui d’Hélène !) : bien enduit d’un produit que je suppose lubrifiant, Catherine présente le gode à l’entrée du cul d’Hélène qui ne semble pas avoir encore son compte. Elle pousse un peu et le pieu commence à rentrer. Catherine pousse encore un peu. Hélène accuse le coup : elle gémit. Ce qui incite Catherine à pousser le gode encore plus loin. Hélène doit avoir au moins 25 cms dans le fion, mais ne semble pas décidée à s’arrêter en si bon chemin. Elle pousse encore. Il y a bien 4 ou 5 cms de plus qui sont rentrés. Hélène s’écroule avec le gode dans le cul. Son corps tremble de partout : elle vient de jouir. Cela dure encore et encore. Les tremblements ne s’arrêtent pas. C’en est presque flippant. Mais Hélène se remet tout doucement.
Elle se touche le cul endolori. Après avoir retiré le gode, elle a un trou dans lequel on pourrait facilement rentrer une bonne bouteille Et pas seulement de Bordeaux, mais quasiment de Champagne, même si je n’irais pas jusqu’au Jéroboam. En tout cas, ma main devrait rentrer. Tiens, d’ailleurs, je vais essayer.
Hum, ça rentre sans aucun problème. Je décide de limer le cul d’Hélène avec mon avant-bras : ma main est complètement rentrée dans son cul et Hélène a l’air d’apprécier cette caresse.
Henri est H.S. il est sur un fauteuil et admire les femmes entre elles en train de se faire du bien. Lui en tout cas, ne pourra plus faire grand-chose pour ce soir. Alors, tant qu’à faire autant se délecter de ce spectacle ravissant
Catherine en revanche, semble bien chaude. Elle se titille le petit bouton et cela ne semble pas lui suffire. Alors elle se met deux, puis trois et bientôt quatre doigts dans le minou. Elle va d’avant en arrière et vu ce qu’elle coule, elle doit vraiment apprécier le fait de se faire du bien.
Mais cela ne lui suffit toujours pas. Elle voudrait bien une bonne bite pour remplacer ses doigts, mais il ne reste plus que des femmes en forme, le seul mec étant hors service.
Soudain, Catherine sort les doigts de sa chatte et se dirige dans le salon de la maison. Nous l’entendons parler à quelqu’un, lui dit « à tout de suite » puis semble raccrocher un téléphone.
Elle revient vers nous et nous dit qu’elle vient de contacter une de ses connaissances qu’elle va nous présenter. Elle nous dit « qu’on ne le regrettera pas ».
Après avoir patienté un petit quart d’heure pendant lequel nous avons repris un peu de force, ne sachant pas ce qui nous attendait vraiment, on sonne à la porte. Catherine, toujours à poil, va ouvrir.
« Entre, Charles ! Nous avons une surprise pour toi. Ou plutôt deux surprises ». Il entre, en roulant une pelle à Catherine et en lui collant une main sur le cul (tout en laissant déraper un doigt dans le sillon), serre la main d’Henri en lui disant : « mon pauvre Henri. Elles t’ont mis sur les rotules ? ».
Henri lui répond : « ces trois salopes m’ont pompé tout mon jus et je n’ai plus rien dans les couilles. Tu vas voir, ce sont de sacrées salopes ».
« OK. On va vérifier ça de suite ». Charles commence à se déshabiller. Il est très classe, mais sous son costard, pas de slip. Accès direct à sa queue. Hélène et moi, nous nous approchons et commençons à sucer Charles avec nos deux bouches. Je ne suis pas sûr qu’il s’attendait à cela car 5 giclés de sperme viennent s’écraser dans nos cheveux presqu’instantanément. Il jouissait en criant : « Ha, les salopes ! Quelles salopes ! »
Catherine lui dit : « Hé bien mon petit Charles. On a une baisse de forme ? ». Il rassure tout le monde en disant : « Ne vous inquiétez pas. J’ai des réserves mais je ne pensais pas que ces deux salopes allaient me sucer en même temps. Ça m’a fait beaucoup d’effet comme vous avez pu le constater, mais attendez la suite ».
En effet, sa queue n’a pas débandée un seul instant : elle est toujours assez longue, moins qu’Henri, mais tout de même de bonnes dimensions. Rien à voir avec le gode de Catherine ! Plus petit tout de même.
Il s’allonge par terre, sur le dos, la bite bien droite, en l’air prête à défoncer une chatte. Je me suis installée à califourchon, ma chatte à la hauteur de sa bite. Et j’ai commencé à aller et venir sur sa tige. Il semblait apprécier mais cela n’avait pas l’air d’aller assez vite à son gout. Il s’est mis à bouger son bassin pour me pilonner la chatte.
Je dois dire que sa bite me faisait de l’effet mais cela n’avait pas l’air de le satisfaire complètement. Il s’est arrêté et il a positionné sa bite à l’entrée de mon petit trou. Mon cul n’attendait que cela. Il a poussé un grand coup, sans aucune délicatesse (mais nous ne sommes pas là pour cela) et me pilonne maintenant le cul.
Pendant ce temps, Catherine, toujours en manque s’est assise sur la bouche de Charles et se fait brouter le minou et le cul par Charles.
Il est endurant, ce Charles ! En plus, je sens un doigt qui me titille le clito pendant qu’il m’encule. Je me lâche dans un râle, tout en lâchant ma cyprine qui dégouline le long de la queue de Charles qui ne semble pas s’en plaindre.
Je laisse ma place à Hélène qui se fait prendre par tous les trous. Charles l’a prend, le baise, la retourne, l’encule ! Bref, tous ses trous y passent car il ne manque pas de lui présenter sa queue à sucer. Hélène ne refuse pas. « Ça ne se fait pas quand on est invitée » me dira-t-elle plus tard !
Charles n’avait toujours pas déchargé. Il passe à Catherine qui semblait bien le connaitre. Elle se fait maintenant fourrer le minou, prendre par le cul, puis taille une bonne pipe à Charles, mais rien n’y fait. Charles est toujours d’attaque et ne semble pas décidé à décharger.
Je repasse à l’attaque : par devant, par derrière, nouvelle pipe Je passe la main (si je puis dire) à ma collègue Hélène. Elle le suce, le branle énergiquement, se prend sa bite dans la chatte, puis dans le cul et jette l’éponge, n’en pouvant plus.
Revint le tour de Catherine. Même punition : devant, derrière. Elle le suce, le branle. Rien n’y fait. Charles a toujours une trique d’enfer.
Catherine se tourne vers Henri qui matait comme un voyeur et qui se paluchait allègrement. Sa bite avait repris de la vigueur et était de nouveau au garde à vous. Nous, les filles, on avait eu notre compte.
Catherine s’adresse à Charles et lui dit : « Il n’y a plus qu’Henri qui puisse faire quelque chose pour toi». Je regarde Hélène qui me regarde, puis se tourne vers Catherine en l’interrogeant du regard.
Catherine nous dit à ce moment-là qu’Henri se laisse parfois enculer comme une chienne. Et effectivement, Charles se dirige vers Henri qui se met à quatre pattes et présente son cul à Charles. Charles a toujours le gourdin bien dur. Il commence par masser un peu la rondelle d’Henri qui semble prêt à se faire mettre. Charles positionne sa queue juste devant la rondelle d’Henri qui bouge son cul d’impatience. Il a vraiment très envie de se faire mettre !
Charles pousse un grand coup et sa bite s’engouffre dans le cul d’Henri sans trop de problème. Henri a quand même le souffle coupé pendant quelques instants avant de se mettre à faire aller et venir son cul à la rencontre de la bite de Charles pour aller le plus profond possible.
Henri dit à Charles : « Vas-y ! Encule-moi bien à fond. Je veux sentir ta queue bien au fond de mon cul. Défonce-moi ma petite rondelle. Vas-y franchement ! »
Cette fois, Charles ne tient pas longtemps. Il commence par décharger deux jets dans le cul d’Henri, sort sa bite et continue à décharger trois bonnes rasades de jute sur le dos d’Henri. Henri est tellement content, qu’il se précipite sur la bite de Charles pour le finir avec la bouche.
Pendant ce temps, nous les filles, nous les regardions en train de s’enfiler en nous asticotant le clito.
Bouh ! Quelle soirée. J’ai la chatte et le cul qui dégouline. D’un côté la cyprine, de l’autre, le sperme.
Nous demandons à prendre une douche, mais Charles nous dit que « plein de foutre comme nous sommes, nous allons bien rencontrer quelqu’un qui sera intéressé pour nous bourrer le fion à nouveau. »
Nous repartons tel que. Effectivement, pleines de foutre jusque dans les cheveux pour ma part.
Il commençait à se faire tard et même si nous étions en été, nous n’étions pas spécialement rassurées pour rentrer en transport.
Nous avons donc appelé un taxi car la boite prenait en charge notre soirée, alors tant qu’à faire, ne nous en privons pas.
Dix minutes plus tard, le taxi était là. Quand le chauffeur nous a vues, il nous a souri et nous a demandé si la nuit s’était bien passée. J’ai eu un sentiment étrange, comme s’il allait se passer quelque chose. La nuit n’était pas finie.