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L'étalon aiguille (Tome 2) – Chapitre 9




"Il me dit que je suis belle"

Sans me laisser le temps de répondre, il sauta sur le lit, saisit mon pantalon en cuir et s’en caressa le ventre. Il prenait soin de bien toucher la braguette de la main gauche.

— Tu sais ce que je vais te faire, Sam?

— Non, mais je t’en prie, quoi que tu fasses, fais-le doucement. Je suis une vraie pile électrique !

— Et bien, je vais profiter des pouvoirs de ta braguette magique pour ne pas débander avant d’avoir rempli tes trois trous avec mes trois bouchons.

— Pardon?

— Oui, je veux remplir, un, ta bouche, deux, ta chatte et trois, ton superbe petit cul avec, un, mon doigt, deux, ma langue et trois, ma bite ! Mais pour commencer, tu vas me tailler une pipe, histoire de me refaire bander vite fait, d’accord?

— Mais

— Vas-y. Comme ça, ça fera déjà "un-zéro" !

Il écarta le pantalon de son pubis et je pivotai sur moi-même pour entamer ma première fellation.

Tout en enroulant ma langue autour de son gland, ma main droite agaçait ses testicules. Quand sa verge commença à gonfler, je me mis à le pomper tout en faisant aller et venir sa queue entre mes lèvres. A ce petit jeu, il ne tarda pas à présenter une érection sans faille. J’avais l’impression qu’elle était immense, en tous cas bien trop grande pour ma petite bouche !

Lui m’encourageait de la voix tout en se cramponnant au drap et en agitant la tête sur les cotés. C’était peut-être là une réminiscence de la période où Eddy était encore Lydie

Il posa ensuite sa main sur mes cheveux et appuya sur ma tête afin que j’engloutisse entièrement son phallus. Il imprima lui-même le rythme tandis que ma main délaissa ses bourses pour se rapprocher de son anus. C’est alors qu’il me demanda de me mettre au-dessus de lui, en position de "69". Sous les caresses de sa langue, je sentis mon clitoris gonfler à nouveau. Les cris que je laissais échapper tout en continuant à le sucer semblaient l’exciter toujours plus.

Je pris brutalement conscience du fait que je mouillais quand il me souffla entre deux coups de langue "Vas-y, lâche-toi Tu y es Viens !". Je me redressai un instant et sentis une vague de chaleur monter de mon ventre. J’étais une femme, j’étais là, accroupie au-dessus d’un homme, cuisses écartées, mon vagin n’aspirait qu’à une chose, recevoir en lui le sexe raidi qui pointait à dix centimètres de mon visage

Au moment où il explosa dans ma bouche,  Eddy planta sans autre forme de procès son majeur entre mes fesses humides de désir. Je gémis en finissant d’avaler son sperme. Lui faisait bouger son doigt dans mon fondement.

— Tu es douée, Sam, très douée ! Remarque, moi, je suis pas mal non plus, j’ai même fait trois-zéro d’un seul coup, ah, ah, ah ! Alors, on continue?

— Oh oui ! Fais-moi l’amour ! Je veux sentir ta queue plantée en moi.

— Pa ni problem, ma belle, je suis déjà prêt ! Viens

Il retira doucement son doigt et laissa ses mains courir sur moi pendant que je faisais demi-tour au-dessus de lui. Je m’allongeai sur son ventre et il me serra dans ses bras. Sa bouche vint se coller à la mienne et je sentis sa langue s’insinuer entre mes dents tandis qu’il continuait à caresser tout mon corps. Tout en nous maintenant étroitement enlacés, il nous fit rouler sur le lit en me murmurant à l’oreille :

— Tu es belle, Sam très belle ! Je sais pas d’où tu tiens ce corps, mais, crois-moi, ça fait un max’ d’effet au mec que je suis devenu

— D’où veux-tu que je le tienne, sinon de Lydie?

— Tu n’es qu’une sale petite flatteuse

Déjà, je sentais le poids de son corps sur moi. Déjà, sa main s’insinuait entre mes cuisses ouvertes. Déjà, je sentais ses deux doigts écarter mes grandes lèvres. Je lui soufflai "Attends ! Pas trop vite, s’il te plaît". Il diminua la poussée de ses reins et je pus alors prendre une grande inspiration. J’étais arrivée "au bout de mes rêves", dans moins d’une minute, j’allais vivre l’amour coté femme.

Son gland était toujours positionné à l’orée de mon vagin, mais il attendit néanmoins quelques instants que ma respiration se soit apaisée. Alors, lentement, mais inexorablement, il se remit à pousser. Sa verge glissait sans efforts et je poussai un cri au moment où elle franchit la barrière de mes petites lèvres. Instinctivement, j’écartai encore un peu plus mes jambes pour qu’il parvienne au plus profond de moi.

Accroché à mes épaules, il se mit à me pistonner lentement tout en mordillant mon épaule et mon cou. Ses mouvements s’accéléraient petit à petit, ses soupirs devenaient plus rauques et tout son corps se raidissait, à l’image de son phallus planté en moi. Je sentais moi aussi le plaisir monter et j’enroulai mes jambes autour de ses hanches. Il caressait ma poitrine, faisait jouer mes tétons entre son index et son majeur et m’embrassait à pleine bouche sans pour autant cesser de faire bouger son bassin.

Parfois, il me décochait un coup de rein rageur qui me faisait pousser un cri plus sonore au moment où son pubis venait heurter ma vulve. Puis il prenait sur lui pour canaliser cette tempête qui cherchait à l’emporter.

Malgré tous ses efforts, au bout d’une dizaine de minutes, il s’arc-bouta encore un peu plus avant de se laisser retomber sur moi dans un gémissement et d’enfouir sa tête dans mon cou. Je compris qu’il venait de jouir.

Toujours accrochée à lui comme un koala à sa branche, je mordillai le lobe de son oreille et lui dis :

— Merci, ça y est Maintenant, je peux mourir !

— A ce point? Je suis à ce point formidable???

— Non, j’exagère peut-être un peu, mais sans rire, je me demande ce que je pourrais connaître maintenant comme sensation plus forte !

— C’est sûr que ce qu’on vient de vivre, c’est pas courant ! Ça t’a plu?

— Oui Beaucoup ! Et toi?

— Moi aussi. Ce qui change le plus, c’est la manière dont le plaisir monte, mais au bout du compte, l’important, ça reste de prendre son pied, non?

— Tu l’as dit Didy !

Je reposai mes jambes sur le matelas et il se retira de moi. Il roula sur le coté et je me redressai sur un coude. Ma main caressa son torse et descendit entre ses cuisses tandis que je léchais sa poitrine.

Je me couchai ensuite sur lui, en levrette. Il écarta ses jambes et je refermai les miennes autour de son sexe toujours au garde à vous. Je saisis ses mains et les plaquai sur mes seins, puis je commençais à faire doucement bouger mon bassin. Je mouillai autant que lui bandait, et son phallus glissait sans à-coups tout le long de mon intimité.

Il sentit que j’abaissais le bras en direction de mon clitoris, alors sa main gauche délaissa mon sein.

— Laisse, Sam. Je n’ai pas oublié comment on fait ça, qu’est-ce que tu crois !

Tout en creusant les reins pour donner encore plus d’amplitude au glissement de son sexe le long du mien, il affolait tous mes sens en alternant les moments où son doigt agaçait mon petit bouton d’amour et ceux où il faisait mine de me pénétrer. De mon coté, je m’évertuais à jouer avec ses nerfs en contractant plus ou moins mon entrejambe afin de pousser au paroxysme son excitation.

Puis je sentis ses deux mains enserrer fermement mes hanches et me décoller de lui. De me tenir ainsi au-dessus de lui positionnait son gland à la perpendiculaire, pile à l’entrée de mon vagin.

— Vas-y Sam, bouge tes hanches ! Moi, je te tiens comme ça. Oh oui, vas-y C’est bon. Tu la sens bien comme ça, dis, tu la sens?

Je répondis "Oui" dans un souffle et fis onduler mon bassin comme il me le demandait. Au bout de quelques minutes, il se mit à gémir et à respirer de plus en plus vite. Il s’arrêta brutalement.

— C’est pas possible, c’est trop fort comme sensation ! C’est à mon tour de devenir une pile électrique ! C’est dingue, ça fait comme si on me chatouillait le gland, mais de l’intérieur ! Ça te l’avait déjà fait à toi, je veux dire avant?

— Oui, c’est une des manifestations du plaisir chez l’homme. Moi aussi, j’ai des souvenirs !

Il me reposa sur son ventre, mais ses mains imprimèrent à mes hanches un rythme qui s’accélérait au fur et à mesure que le plaisir montait en lui.

— Continue, Sam, continue

— J’en peux plus !

Je me rendis compte alors qu’Eddy était en train de me faire vivre exactement ce que j’avais fait vivre à Céline le midi même. Cette idée me ramena au cur de mon fantasme : j’étais devenu femme, je pouvais enfin ressentir ce que j’avais fait ressentir à mes partenaires à l’époque où j’étais un mâle !

L’excitation qui m’habitait monta d’un cran supplémentaire. Bien que me sentant à bout de force, j’avais tellement envie de donner du plaisir à Eddy que je me remis à bouger sur lui. Tout son corps vibrait, comme un arc tendu à l’extrême, mais lui n’atteignait pas le point de non retour. Malgré tous mes efforts, je dus à nouveau m’arrêter, haletante.

Plantant ses coudes dans le matelas, il se remit alors à me faire bouger. Inerte, je laissais ma tête pendre vers l’arrière. Je sentais mes cheveux caresser sa poitrine. Je m’efforçais de garder les cuisses serrées l’une contre l’autre et de devenir ainsi pour quelques minutes sa poupée gonflable tandis que sa bouche laissait échapper des "Oui" de plus en plus rapprochés et sonores.

Le frottement continu de son phallus contre mon sexe faisait monter une vague de chaleur du plus profond de moi. Alors que je m’y abandonnai totalement, sa main droite délaissa ma hanche et il enfonça son doigt jusqu’à la garde dans mon vagin. Je sentis aussitôt après les jets chauds de son sperme qui s’étalaient sur mon ventre. Toujours couchée sur lui, je me tordis le cou pour l’embrasser.

Il sortit son doigt de mon sexe et l’amena entre nos deux bouches, puis il me le fit lécher en souriant. Je restai un instant immobile sur lui, puis me levai pour aller à mon tour essuyer le sperme qui commençait à couler sur moi. Appuyé sur un coude, il me regarda me diriger vers la salle de bains.

Quand j’en ressortis, il s’était relevé et me tendait les genouillères, "ses" genouillères.

— Tu l’as dit tout à l’heure, sur moi, maintenant, ça fait un peu spéc’, alors

— Non, c’est pas ce que j’ai voulu dire, c’est juste que

— Laisse, c’est pas la question de toutes façons. Je voudrais que tu les mettes, tu veux bien?

— Et comment ! J’en rêve depuis que je t’ai vu avec, enfin, je veux dire que j’ai vu Lydie et

— Oui, je sais, c’est pas mal compliqué cette situation, hein? On finit par ne plus savoir qui est qui, qui je suis, qui tu es Mais ce que je sais, c’est que j’ai envie que tu portes ces bottes pour finir ce que je t’ai promis. Tu chausses du combien?

— Du 39/40, ça dépend un peu des modèles.

— Ce devrait t’aller, c’est du 40. Alors, tu veux bien?

— Pourquoi? Ça t’exciterait, c’est ça?

Il porta la main sur son sexe toujours aussi raide et répondit "Oui" dans un souffle. Je tendis la main pour saisir les bottes, mais me ravisant soudain, je lui en rendis une.

— Attends, j’ai une idée. Je vais les mettre, pour toi, mais avant Avant, je voudrais que tu te caresses avec celle-ci, le temps que j’enfile les mi-bas

Il sembla hésiter pendant une fraction de seconde, mais obtempéra finalement. Il coinça la pointe de la botte entre ses cuisses avec la main gauche, tandis qu’il enfilait le bras droit dans la tige doublée de cuir. Puis il fit coulisser lascivement celle-ci sur sa queue. Je ne manquais pas une miette du spectacle. J’avais l’impression vraiment très étrange de me voir agir ! Il m’était assez souvent arrivé de me livrer à ce petit plaisir solitaire, la seule différence était que j’avais en général des mouvements beaucoup plus violents que lui maintenant. Je me dis à nouveau que ce devait être là un reste d’atavisme féminin.

Entre temps, j’avais chaussé la botte droite. Il me tendit la gauche et me regarda la passer.

— Sam? Tu veux bien marcher un peu?

— Pour aller où?

— Nulle part, juste marcher là, devant moi.

— OK !

Pendant que je faisais ce qu’il m’avait demandé, il me fixait avec un regard éperdu.

— Oh putain, ce cul ! Sam, je te jure, tu es vraiment un canon !

— C’est gentil, merci.

— Viens, je le veux, ce cul. Oh oui, je vais te prendre par là, comme je t’ai dit ! Tu veux bien te tourner et te mettre là? Comme ça

Il vint vers moi et me fit poser les mains sur le rebord du petit bureau qui meublait la pièce. Puis il alla chercher la robe de cuir et me la tendit.

— Et ça, tu veux bien aussi?

— Si tu veux. J’aime te voir excité comme ça ! C’est assez flatteur pour moi.

Je m’efforçais de rendre cet habillage le plus érotique possible et me caressai la poitrine et le ventre en l’enfilant. Puis je pris en main les deux fines lanières de cuir destinées à accrocher la robe à mon cou et me tournai vers lui.

— Tu veux bien m’aider?

— Avec grand plaisir

Il se mit dans mon dos et colla sa verge droite comme un "I" contre mon bassin pour clipser l’attache. Puis ses mains descendirent sur mes seins qu’il caressa à travers la peausserie. J’avais, là encore, tellement fantasmé sur le fait de vivre une telle caresse que je ne tardai pas geindre de plaisir. Satisfait de l’effet produit, il fit glisser de haut en bas son phallus contre le cuir le long de ma raie fessière. Sa main gauche délaissa mon sein et vint se poser sur mon pubis. Il me prodiguait des caresses tellement amples et appuyées que cela retroussait par instant ma robe jusqu’à mon nombril.

Il ralentit progressivement les mouvements de son bassin et ceux de sa main gauche, avant de rester un instant complètement immobile collé dans mon dos en m’embrassant dans le cou. Puis il se remit à bouger, mais latéralement cette fois, comme pour danser sur une musique inaudible.

— Tu sais quoi, Sam? Et bien, je vais te dire, je ne regrette pas, mais alors pas du tout, que tu m’aies un peu forcé la main pour atterrir ici

— Moi non plus ! Je suis bien, tu sais

— Tant mieux. Pourvu que ça dure

— Qu’est-ce que tu veux dire?

— Rien Juste que je souhaite que ça te plaise encore longtemps.

Sur cette phrase un peu énigmatique, il s’accroupit dans mon dos. Il embrassa mes bottes en même temps qu’il les caressait, faisant glisser sa bouche sur toute la hauteur de la tige. Il remonta ainsi petit à petit, s’attarda un instant sur la peau de mes cuisses comprise entre le haut de la genouillère et le bas de ma robe, puis il retroussa celle-ci avec son front et l’arête de son nez pour continuer à rapprocher sa bouche du but qu’il s’était fixé. Il écarta les lobes de mes fesses et massa d’abord mon anus avec son majeur, puis avec sa langue. Son doigt remplaça à nouveau sa bouche, mais cette fois-ci, il ne tarda pas à me pénétrer. C’est ainsi qu’il me fit jouir une nouvelle fois.

Satisfait de lui, il se redressa et écarta dans un premier temps mes cuisses, puis à nouveau mes fesses avant de poser ses mains sur mes hanches. Je sentis son gland à l’orée de mon anus. J’étais partagée entre l’envie de le sentir s’enfoncer en moi et la crainte "que ça ne rentre pas". Instinctivement, je me penchai un peu plus en avant pour dilater mes sphincters.

Mais quand il commença à me sodomiser, la peur l’emporta !

— Eddy Non, c’est pas possible, ça ne rentre pas !

— Relax, Sam ! Ça va rentrer

Sans se soucier de mes plaintes et de mes cris, il cherchait, millimètre par millimètre, à forcer mon intimité.

— Non, je te jure, tu me fais mal ! Ça ne glisse pas assez!

— Alors attends, tu vas voir ! Je vais remédier à ça

Sa main délaissa ma hanche tandis qu’il se retirait, mais mon répit fut de courte durée. Du bout des doigts, il écarta mes lèvres et me prit en levrette sans autre forme de procès ! J’avais l’impression que son phallus me remplissait complètement, et je n’arrêtais pas de penser "Cette fois, ça y est, je suis une femme, et ce n’est plus un fantasme". En plus du plaisir que me prodiguait l’intromission elle-même, cette idée contribuait à me faire mouiller abondamment.

C’était d’ailleurs bien là ce qu’il escomptait : il sortit bientôt de mon vagin son membre luisant de cyprine pour le repositionner entre mes fesses avant de l’enfoncer brutalement. Dans un premier temps, je ressentis beaucoup plus la douleur que le plaisir, j’avais l’impression que mon rectum était beaucoup trop petit. Et puis, petit à petit, la détente aidant, je supportai de plus en plus facilement ses mouvements de reins. Ses mains se faisaient de plus en plus légères sur mes hanches, elles ne me donnaient plus cette impression de chercher à me retenir prisonnière, elles descendaient maintenant parfois sur mes cuisses pour me caresser.

De temps en temps, il décollait son pubis de mes fesses pour regarder son sexe s’enfoncer dans mes entrailles. Au bout de cinq minutes, je suffoquais à moitié, mais en partie seulement du fait de ce pieu de chair qui semblait empêcher l’air d’arriver jusqu’à mon ventre : sentir son souffle chaud sur ma nuque contribuait à me maintenir excitée.

Lorsqu’il jouit dans un gémissement rauque, j’avais le souffle coupé, mais la douleur était devenue plaisir.

Je poussai un nouveau cri lorsqu’il libéra mon anus de son emprise. Il resta un moment silencieux, caressant ma poitrine tout en restant collé contre moi. Puis il m’embrassa longuement dans le cou et chuchota "Merci" à mon oreille avant de retourner s’allonger sur le lit.

— Viens là, Sam Viens. Alors, ça t’a plu?

— Tu m’as fait mal, Eddy. Surtout au début

— Excuse-moi Mais j’avais tellement envie ! J’étais sûr que ça pouvait rentrer, et

— Et quoi?

— A la fin, ça t’a quand même donné du plaisir, non?

— C’est vrai que ça allait mieux qu’au début, mais quand même !

— Alors, tu regrettes?

Sans me laisser le temps de répondre, il colla sa bouche contre la mienne et m’embrassa longuement. Il me caressait avec beaucoup de tendresse, comme pour se faire pardonner, ou bien peut-être pour me laisser sur une bonne impression.

— Tu sais quoi? Ça a beau être complètement dingue, ton histoire de "braguette magique", je finis presque par y croire ! Cette histoire de remplir tour à tour tes trois trous, par exemple, quand je l’ai dit, j’y croyais à peine, mais j’ai fait comme tu avais dit, j’y ai pensé en touchant la braguette, et voilà le résultat !

— A ce propos, tu ne crois pas qu’il faudrait régler un petit détail?

— Un détail? Lequel?

— Ben, on pourrait appeler ça "le retour à l’état initial", tu vois ce que je veux dire?

— Ah ! Oui, je vois. Ecoute, en tous cas, tout ça, ça m’a vidé. On dort un peu et on voit ton "détail" au réveil, d’accord?

— Je préférerais qu’on en parle maintenant Ma vie à moi, c’est la vie d’un mec, avec un état-civil de mec, un job où je suis un mec et toi, de ton coté

— Sam, je suis crevé, il faut que je dorme. On verra ça tout à l’heure, au réveil ! Si ça se trouve, ça sera même plus nécessaire, alors ! Allez, dors bien !

Sur ces mots, il se glissa sous les draps, se retourna et s’endormit en deux minutes.

Je commençais moi aussi à ressentir une très forte envie de fermer les yeux et de me laisser aller. Je me levai pour ôter ma robe et mes genouillères et me couchai à ses cotés. J’éteignis la lumière et plongeai à mon tour dans ce sommeil qu’on dit réparateur.

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