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Changements professionnels – Chapitre 2




Valérie et moi restâmes figées par le passage éclair de Georges, nous demandant que faire.

— Oh mon dieu ! Quallons-nous faire ? soupira Valérie dun air contrarié.

Je retrouvai mes esprits :

— Ne tinquiète pas Val. Je vais aller le voir et lui expliquer que cest moi qui tai provoquée répondis-je calmement.

— Cela ne changera rien à ce quil va penser. Je ne veux pas quil pense que je suis lesbienne ! lâcha-t-elle inquiète.

— Penses-tu que je le sois ? Je suis simplement bisexuelle. Jai une large préférence pour les hommes, mais avec une belle femme comme toi, je ne résiste pas. Et je ne pense pas quil sera choqué de mon attitude. Pour toi, je lui expliquerai.

— Mais que vas-tu lui dire ? répondit-elle toujours inquiète.

— Ça cest mon secret Val. Limportant est quil te trouve toujours aussi désirable non ?

— Heu je ne sais plus quoi penser. Javoue être un peu perdue par tout ceci. Jai eu un moment dégarement.

— Nous sommes des adultes Val. Nous avons tous des envies refoulées et je pense que tu as besoin de les exprimer. En tout cas, sache que moi, je suis partante. A toi de voir mais jai très envie de toi. Et si tu es attirée par Georges, il te faudra simplement accepter sa nature.

— Que veux-tu dire ? souffla-t-elle.

— Rien car je ne pense pas que ce soit un problème pour toi puisque tu nes pas jalouse de moi. Georges envie beaucoup Arthur car il souhaiterait avoir une compagne qui laime et qui comme moi, aime aussi se donner à dautres pour son plaisir à lui. Tu comprends ?

— Oui, javais compris Laeti. Tout cela est tellement nouveau pour moi ! reprit-elle, retrouvant un peu de vivacité dans la voix.

— Bon, allez ! Je vais lui apporter le dossier Laplace. Va te rafraîchir un peu avant de reprendre ton poste.

Japportai à Georges le dossier quil avait demandé à Valérie. Je lui expliquai lenchainement de circonstances qui avaient abouti au spectacle auquel il avait assisté quelques minutes plus tôt. Georges mécoutait avec attention, avec une lueur dans le regard que je connaissais bien.

— Et bien ma Laeti ! Je ne sais pas trop quoi penser de Valérie. Je crois quil ne faut rien changer à nos habitudes entre elle et moi.

— Oui mais Georges, avoue que tu la trouves très attirante quand même, non ? répondis-je.

— Oui cest vrai. Je te lai dit comme ça, parce quon parlait delle.

— Je me souviens très bien ce que tu as dit : je la décoincerais bien ! Ce sont tes mots ! Je pense que loccasion est belle. Si tu veux, je te la prépare ! dis-je en souriant.

— Mmm je pense quelle est trop coincée fit-il.

— Moi je pense au contraire quelle peut être une bonne compagne et une très belle salope. Peut-être pas aussi bonne salope que moi, mais je pense quavec de la pratique, nous pourrions en faire une salope accomplie et pourquoi pas, ta soumise. Cest un de tes grands fantasmes non ? Au moins peut-être quavec elle tu pourrais avoir ce que je te refuse.

— Tu penses quelle a des envies de soumission ? me dit-il étonné.

— Je suis une femme mon Georges. Et qui mieux quune femme coquine comme moi pour deviner les désirs refoulés dune autre femme ? Alors ? Tu veux que ta salope tamène une salope soumise ?

— Bon OK. Je te laisse faire. Mais dis-lui simplement que je la trouve très attirante mais que tu nes pas certaine que je franchirais le pas avec elle. Tu me diras quand tu la sentiras prête dit-il posément.

— Tu verras que ça viendra plus vite que tu ne le crois, lançai-je en me levant.

— En tout cas, vous mavez filé une de ces triques toutes les deux ! Là je nai pas le temps, mais tu passeras me voir avant de partir ce soir ?

En guise de réponse, je lui fis un clin dil en refermant la porte. En passant devant Valérie, je lui proposai que nous déjeunions ensemble le midi. Elle accepta ma proposition, visiblement impatiente de savoir ce quil sétait dit entre Georges et moi.

Javais réservé une table dans une brasserie du centre-ville où nous avions nos habitudes.

— Alors ma Laeti comment cela sest-il passé avec Georges ? Je ne lai pas revu de la matinée et javoue que ça ma bien arrangé ! commença Valérie.

— Je lui ai expliqué que cest moi qui avais pris linitiative avec toi et ça ne la guère surpris ! dis-je amusée. Il ma avoué quaprès la suprise de nous voir avoir vu toutes deux ainsi, il était très excité. Il ma confirmé quil te trouvait très désirable mais il a quelques réserves.

— Des réserves ? Tu veux dire par rapport à notre relation professionnelle ? sinquiéta Valérie.

— Non, très peu sur le plan professionnel car Georges sait faire la part des choses et il est convaincu que toi aussi. Non, en fait ses réserves se portent je crois davantage par rapport à ses attentes et ta capacité ou plutôt ta volonté à y répondre.

— Tu sais bien que je ladmire et que jai des sentiments envers lui. Maintenant que je sais quil est en train de divorcer, javoue que jaimerais vraiment le conquérir répondit Valérie.

— Il est flatté par ton intérêt pour lui, vraiment Val. Et ce sont ses propres mots. En fait, Georges recherche une femme qui soit tout pour lui : une amie, une confidente, une complice, une maîtresse et plus encore.

— Je pense être à même dêtre avec lui toutes ces femmes à la fois. Jen meure denvie ! dit-elle enthousiaste.

— Je nen doute pas Val. Mais il recherche plus que cela chez une femme

Je minterrompus volontairement attendant quelle emprunte le chemin vers lequel je voulais la mener.

— Ma Laeti, je ne comprends pas ce que tu veux dire ! Je suis adulte et tu sais que tu peux me dire les choses clairement dit-elle dun ton faussement fâché.

— Oui mais cest assez délicat. Je ne sais pas si je peux dire ce genre de chose répondis-je, prenant un air faussement hésitant.

— Après ce quil sest passé ce matin dans ton bureau, nous nallons pas faire de manière entre nous tout de même ma Laeti !

— Tu as raison. Mais tu ne mas pas dit ce que tu aas éprouvé. Ça ta plu ? lançai-je.

— Tu nas pas senti à quel point cela ma plu ? Même si je ne suis pas lesbienne je sais apprécier les plaisirs avec une femme aussi sexy que toi murmura Valérie, comme si elle craignait dêtre entendue. Alors que puis-je faire de plus pour plaire à Georges ?

— Ecoute Val. Es-tu daccord que lharmonie sexuelle entre deux êtres est primordiale sils veulent que leur relation dure ? demandai-je.

— Oh que oui sempressa de répondre Valérie. Et jen sais quelque chose, crois-moi ! Cest pour cela que mon ex et moi avons divorcé. Avec lui, jétais insatisfaite. Jai rarement pris du plaisir. Il me sollicitait dailleurs très peu. Et pour ce qui est de parler de nos fantasmes, ce genre de conversation était totalement tabou avec lui.

— Ah bon ! fis-je étonnée. Excuse-moi de te dire cela, mais jaurais plutôt pensé que cétait toi la plus coincée dans ton couple.

— Oh Laeti. Tu nes pourtant pas du genre à te fier aux apparences. Même si jai un stylr un peu BCBG, je le sais, je nen reste pas moins une femme, qui plus est, insatisfaite.

— Oui tu as raison Val. A moi, tu sais tu peux me parler de tes fantasmes ! Je dois tavouer que jadore parler de sexe.

— Rohhh ! Que tu es cochonne ! Ce nest pas possible. Si javais su à quel point tu étais cochonne ! me lança-t-elle en fronçant des sourcils.

— Si tu avais su tu aurais fait quoi ?

— Et bien je me serai certainement plus confiée à toi, comme je le fais en ce moment, petite curieuse.

— Alors, ne tarrête pas en si bon chemin Val. Dis-moi tout la suppliai-je.

— Non cest toi qui devais me dire ce que Georges attendait plus encore dune femme.

— Je te propose un petit jeu de vérité Val : tu me parles de tes désirs intimes et de tes fantasmes préférés, et je te dis si Georges apprécie beaucoup, assez, peu ou pas du tout. Tu es daccord ?

— Hummm De toute façon je nai guère le choix puisquautrement tu ne me diras rien nest-ce pas ? rétorqua Valérie.

— Oui tu as tout compris ! dis-je en lui faisant un large sourire. Alors je técoute Val.

— Bon je me lance alors Ce que jaime cest un homme dun bon niveau, assez viril et autoritaire. Je veux dire quil sait ce quil veut et lobtient par son autorité naturelle plus que par sa patience.

— Tu veux dire un dominateur ?

— Oui cest cela. Je veux un mâle dominant !

— Un mâle dominant qui soumettrait sa chienne à tous ses fantasmes ? Cest cela ?

— Oui murmura Valérie. Que vas-tu penser de moi ?

— Je ne te juge pas. Je peux juste te dire que Georges adorerait cela !

— Ah bon ? Tu en es sûre Laeti ?

— Oh que oui ! Je peux te dire que cest son plus grand désir. Là tu marques un point énorme Val !

— Oh ! Jaimerai tellement être la soumise de cet homme que jadmire tant ! soupira Valérie.

— Et quoi dautre Val ?

— Jaimerai faire lamour avec plusieurs hommes dont lui bien sûr !

— Là tu marques encore un point ! souris-je.

— En fait jaimerai tout ce quil me demanderait de faire ! Je ne peux pas mieux dire Laeti !

— Et bien ma chère Val ! Je crois que vous êtes vraiment faits pour vous entendre !

Lheure tournait. Nous nous hâtâmes de terminer le déjeuner. Je promis à Valérie de tout faire auprès de Georges afin que ce soit lui qui prenne linitiative car elle ne sen sentait pas capable.

Dans laprès-midi, Georges passa à mon bureau. Il referma la porte et sassit face à moi.

— Jai vu que tu étais partie déjeuner avec Valérie. Ça cest bien passé ?

— Oui on a très bien déjeuné. La salade composée que jai commandée était délicieuse. Ils avaient mis dans la sauce une espèce dépices

— Arrête Laeti ! Ne me fais pas languir petite garce ! Tu lui as parlé de moi ?

— Oui un peu ! On a surtout parlé delle Georges !

— Bon et alors ?

— Et alors quoi Georges ?

— Mais bon sang ! Tu arrêtes de faire la garce ! Allez, dis-moi !

— Je te propose mieux mon Georges ! Vers 17h45 je passerai te voir. Débrouille-toi pour être seul. Une bonne démonstration vaut mieux quun long discours ! En attendant tu mexcuseras, mais jai un patron qui me donne trop de travail ! Je suis débordée !

Georges ne dit rien, se leva et quitta mon bureau. Avant de refermer la porte, il me lança :

— Tu ne perds rien pour attendre petite garce !

— Toi non plus ! dis-je en souriant.

Jétais assez fière de mon effet. Javais du travail par-dessus la tête mais javais lesprit trop occupé pour arriver à faire quoi que ce soit defficace. A 17h40, je quittai mon bureau pour rejoindre Georges et en passant devant le bureau de Valérie, je lui fis un clin dil en lui soufflant :

— Tiens-toi prête !

Elle neut pas le temps de répondre que jétais déjà dans le bureau de Georges.

— Alors cher patron, ça va ?

— Oui. Bon alors, tu voulais me montrer quoi ?

— Appelle Valérie, quelle nous rejoigne ici.

— Pourquoi ? tu ne veux pas mexpliquer avant ?

— Bon Georges, je tai dit une démonstration, pas un discours ! Alors tu lappelles oui ou non ?

— Hummm OK

Il prit son téléphone :

— Oui monsieur ?

— Oui, Valérie, vous pouvez venir sil vous plaît ?

— Jarrive monsieur.

Georges me fixait dun air interrogateur. Je soutins son regard comme par défi et histoire aussi de lui montrer que cétait bien moi qui prenait les choses en main.

— Oui monsieur ? Que puis-je pour vous ?

— Euh

Jinterrompis Georges qui semblait un peu déboussolé.

— Ma chère Val, voici la chance de ta vie. Et cest pareil pour toi Georges. Valérie, enlève ton tailleur et ton chemisier.

— P Pardon ? Tu pourrais mexpliquer ce

— Déshabille-toi Val. Georges meurt denvie de te voir en sous-vêtements ! dis-je dun ton autoritaire qui ne voulait pas laisser de possibilité à une quelconque hésitation.

Georges ne disait rien, soufflé par mon aplomb.

— Allez Val, enlève ton chemisier et ta jupe !

Et joignant le geste à la parole, je mapprochai de Valérie et commençait à déboutonner son chemisier. Valérie restait figée sans dire mot. Je défis la fermeture éclair de sa jupe. Georges faisait de gros yeux. Il est vrai que Valérie avait la beauté dune femme de 43 ans. Elle avait des seins sublimes, un 85 ou 90D daprès moi. De gros seins bien mis en valeur par un soutien-gorge à balconnet en dentelle noire, assorti dune paire de bas noire.

— Tu es vraiment sublime ma Val dis-je en approchant mes lèvres des siennes.

Je goûtai de nouveau ses lèvres pulpeuses et douces. Elle répondit à mon baiser. Jétais excitée. Cette femme mexcitait !

— Ce matin tu me cherchais nest-ce pas ? demandai-je à Valérie.

Puis sans attendre sa réponse, je poursuivis :

— Tu savais où jétais nest-ce pas ? Alors tu vas prendre ma place maintenant.

Je la pris par la main et lamenait aux pieds de Georges.

— Montre à ton patron comme tu le désires. Montre lui que tu es digne de lui.

Sans dire mot, Valérie sagenouilla devant le fauteuil de Georges. Georges lui releva le menton de son index avec un sourire satisfait. Elle nosa le regarder dans les yeux.

— Regarde-moi souffla-t-il.

Elle défit la braguette de son pantalon en soutenant le regard de son patron et commença à caresser lobjet de ses désirs. Puis elle approcha ses lèvres et marqua un temps darrêt, surprise par labsence de poil en cet endroit. Elle releva la tête et murmura :

— Oh jadore le sexe dhomme totalement épilé.

Elle engloutit tant bien que mal le sexe déjà bien dressé. Elle parvenait avec peine à lemboucher quà moitié mais elle semblait pleine de volonté et lenfonçait de plus en plus profondément. Georges commençait à soupirer de plus en plus fort.

— Oh Val ! Si tu savais combien de fois jai rêvé dêtre dans ta bouche !

— Oh si monsieur savait combien de fois je me suis caressée en rêvant de son sexe !

— Ta bouche est tellement douce. Ouiiiii continues comme ça Je vais te faire honneur

Je nen pouvais plus de les voir ainsi tous deux. Je mapprochai deux et tendis son iphone à Georges. Il comprit de suite ce que jattendais de lui. Je magenouillai à mon tour. Valérie fut surprise lorsque je me mis à laper la queue de Georges pendant quelle le suçait maintenant à un rythme plus soutenu. Je lencourageai :

— Oh ! tu manques un peu de pratique mais tu compenses largement par ta bonne volonté petite salope !

— Mmmmmouiiiii ! je suis une chalope ! Che veux être votre chalope monchieur

— Oh ! Tu vas être une bonne salope ma Val ! dis-je.

Javais attrapé sa chevelure brune et imprimait le rythme en appuyant de plus en plus fort. Elle se débattit mais Georges lui maintenait fermement ses bras croisés dans son dos. Elle semblait étouffer. Je relevai sa tête pour la laisser reprendre son souffle. Elle bavait comme une chienne, les yeux remplis de larme.

— Tu vas faire jouir Georges jusquau bout petite salope dis-je en la forçant de nouveau à emboucher lénorme engin de Georges.

Jétais presque violente avec Valérie, lui tirant sur ses cheveux et lui appuyant sur la tête de plus en plus vite et de plus en plus fort.

— Putain je vais jouir mes salopes ! Arrrrghhhhh ! Arrrrrghhhhh ! Arrrrrghhhhh !

Valérie tentait de se retirer mais je lui maintenais la tête de mes deux mains. Pour ne pas suffoquer, elle navait dautre choix que davaler la semence de Georges. Du sperme coulait par la commissure de ses lèvres et par ses narines. Ses yeux étaient révulsés. Je relâchai la pression mais maintenait son visage à bonne distance de la queue de Georges. Jattrapai sa queue et la masturbait.

— Rrrrrohhhhh saloooooopeeeeee ! cria Georges en éjaculant encore sur le visage de Valérie. Il lui balança 6 ou 7 jets épais qui vinrent sécraser dans la chevelure brune de Valérie, sur son front, sa joue et sur ses yeux.

Jadmirai son uvre : le visage habituellement plutôt sévère de Valérie laissait place désormais à un beau visage de femme lubrique, totalement méconnaissable tant il était balafré de toutes parts de traces blanchâtres.

— Oh que tu es belle ma Val ! dis-je admirative. Je tenvie Georges ne ma jamais honorée de la sorte ! Ne bouge pas, je vais te nettoyer.

Et je me mis à lui lécher le visage tout en aspirant le sperme de Georges qui continuait de filmer.

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