Cette histoire est une fiction inspirée de la réalité et de mon imagination féconde.
C’est ma première histoire, donc soyez gentils svp. ;-)
Les noms ont été changés.
Je m’appelle Jonathan. Durant mon enfance, j’ai toujours été relativement proche de ma sur, mais sans plus. Etant de nature assez différente l’une de l’autre, nous nous sommes éloignés durant notre adolescence. J’étais assez solitaire, et ne comptais que sur une poignée de "vrais" amis proches, alors qu’Angèle (c’est son nom du coup) collectionne les copines abonnées sur Insta/Facebook, etc. Comme jusqu’à maintenant, nous ne parlons jamais de notre vie sentimentale entre nous, donc, je n’ai pas d’informations intéressantes sur sa vie, en dehors du cadre familial.
Passons maintenant à la partie qui vous intéresse le plus, les descriptions physiques : ma sur est blonde avec des cheveux jusqu’aux épaules, un bon 1m70 et un ventre plat, et le bas du corps assez musclé (à échelle féminine, donc on n’est pas sur du rugbyman) dû à son activité sportive élevée depuis toujours. Pour faire court, elle a des bonnes boules bien rebondies et des jambes qui font plaisir. Elle a des seins de taille moyenne, un peu coniques, surmontés d’auréoles et de tétons assez ronds. Elle met sa poitrine en valeur de temps en temps avec un joli décolleté, mais sans, non plus, faire les couvertures de magazine people.
Pour ma part, je suis châtain clair, le mètre 85, et un corps sculpté par de la muscu et du footing, donc ça va, je ne me trouve pas répugnant. Ma timidité excessive étant jeune a longtemps tenu les autres filles hors de ma portée, mais cela s’est débloqué depuis que je suis sorti de la puberté. Ainsi, depuis que je suis à l’uni, je tringle plus régulièrement qu’avant.
Passons maintenant à l’histoire (spoiler : elle ne se fait pas en 2 minutes, donc si t’es impatient, t’as qu’à aller te toucher sur xvideos avec un reupload de brazzers qui dure 8 minutes et qui est coupé toutes les 30 secondes)
Je suis en train de petit-déjeuner, c’est un lendemain de boîte de nuit pour l’anniversaire d’un pote, et je devais réviser mes partiels toute la journée. Je m’étais alors chauffé toute la soirée avec une fille qui a attendu d’être devant chez elle à 3H du mat’ pour rendre tous ses repas, pris depuis une semaine, à mes pieds. Donc, autant vous dire que je suis terriblement frustré sexuellement.
Je noie donc mon seum dans des céréales avec du lait, quand ma sur fait son entrée dans la cuisine. Comme d’habitude, on se salue d’un regard, puis elle s’assoit en face de moi, le nez dans son téléphone. Son débardeur qui lui sert de pyjama est assez détendu, ce qui lui donnait un air sexy au naturel (ce que j’adore chez les femmes). J’y prête attention 5 secondes avant de me rappeler que ce nest pas très poli de regarder les gens comme ça. Puis, sans prévenir, ma sur lève les yeux, se dresse, puis se tend dans ma direction, un peu vers la droite, pour attraper le lait. Ce dernier étant loin, elle doit presque se coucher sur la table pour le saisir. Bien sûr, la gravité joue son rôle, et le débardeur laisse clairement apparaître sa jolie paire de seins sous mes yeux. Bon, jusque-là, rien d’anormal, un vêtement qui dévoile un sein, ça arrive, pas de quoi en faire tout un plat.
Mais là, où mon chibre s’est réveillé, c’est au moment quand le regard de ma sur a croisé le mien, qui était rivé sur le sujet, m’a fixé une grosse seconde puis s’est dérobé sèchement sur la (sainte) brique de lait.
Dans ma tête, ça fusait : a-t-elle fait exprès ? Joue-t-elle avec moi ? Enfin, elle aurait pu me demander de lui passer tout simplement. Une partie de mon cerveau (qui se situe quelque part dans mon gland) prend le contrôle de la situation. J’attends quelques minutes, puis je me lève, passant ma bite, moulée dans mon bas de pyjama en grosse demi-molle, au-dessus de la table, la posant limite dessus, pour attraper le lait alors du côté d’Angèle. Maîtrisant la situation alors qu’à moitié, je ne lâche pas du regard cette pauvre brique de lait, mais j’ose espérer que ma sur remarque mon paquet, alors, bien gonflé. Je me rassieds en constatant que ma sur regardait dans ma direction, mais aucun moyen d’être sûr qu’elle avait maté. Dix minutes plus tard, le temps presse ; il faut que j’aille me préparer à bosser. Je me lève, toujours en demi-molle proéminente, et vois que ma sur, un très léger sourire au coin, n’en ’a pas perdu une miette.
Je file sous la douche avec une idée bien simple en tête : expulser cet excès d’excitation, en me repassant chaque instant de ce qu’il vient de se passer. En me masturbant, mon regard se pose sur la fenêtre qui sépare la salle de bain à une chambre de rangement (construite après la maison ce qui explique cela). Un plan machiavélique venait de se créer dans ma tête. Ma douche finie, je m’approche de cette fenêtre, posée à hauteur d’épaule, et m’aperçois qu’entre le bord et le film brouillant posé dessus, il y a un centimètre, de quoi filmer au téléphone.
Mon cur commence à battre d’excitation, tant je suis en train de violer la morale. Je m’habille en vitesse et m’enferme dans ma chambre. Je commence donc à guetter les moindres mouvements dans la maison. Mes parents étant en train de dormir, je ne peux pas me tromper concernant les bruits de pas. J’entends d’abord ma sur remonter dans sa chambre, puis un moment après, fermer le verrou de la salle de bain. Coup d’adrénaline dans tout mon corps, je monte en tremblant comme un malade vers la chambre de rangement. Comme cette dernière n’a pas de fenêtre vers l’extérieur, elle est tout le temps plongée dans l’obscurité, ce qui fait que l’on est indétectable depuis la salle de bains (c’est flippant, je sais, mais bon, on sy habitue). Je me glisse dedans et commence à filmer avec mon téléphone par le petit centimètre de fenêtre claire. Comme je suis en flippe de me faire cramer, je suis ultra-prudent et n’ose pas trop plaquer mon portable sur la vitre, donc je ne vois rien de net.
Je me reprends un peu et arrive du bout des doigts à effectuer la mise au point sur mon smartphone. D’un coup, l’image devient nette et j’aperçois ma sur en soutien-gorge-culotte en train de se traiter le visage. Jusque-là, rien de bien fou. Soudain, ma sur retire son soutif, puis me dévoile sa belle poitrine toute blanche. Je peine à me rendre compte que je regarde la chose la plus défendue d’accès à mes yeux : ma sur à moitié nue. Je suis pris de frisson d’excitation, tellement l’interdit est franchi. Ma sur retire sa culotte puis se retourne vers moi. Etant d’un point de vue assez haut, je ne vois pas sa chatte, mais devine un pubis rasé. Première découverte : ma sur se rase, ce qui m’excite de plus belle. Elle se regarde alors dans la glace, tourne sur elle-même, m’offrant indirectement un spectacle très érotique. Puis, elle rentre dans la douche, ce qui fait que je ne la vois plus à cause du rideau. J’en profite donc pour me retirer pour aller débriefer dans ma chambre.
Je commence par prendre plusieurs screenshots de la longue vidéo, avant de stocker les photos dans une appli coffre-fort. Bien entendu, je compte bien garder tout ça pour moi et mon cerveau malsain. Je regarde les photos une par une et commence par me caresser la bite doucement, en réalisant petit à petit l’énormité du scandale qui pourrait éclater, si le monde découvrait ce que contenait ce portable. J’éjacule à gros jets, puis, une fois bien rassasié, je me mis à bosser sérieusement.
Les jours qui suivent sont plutôt banals, mais la scène du petit-déjeuner ne se reproduit pas. De temps en temps, j’attends qu’Angèle aille se doucher pour aller agrandir ma collection de ses clichés les plus craquants. Je commence vraiment à prendre de l’assurance dans ce domaine, et j’appréhende le moment où j’en voudrais trop ce qui peut me faire griller malencontreusement. Mais pour le moment, j’arrive à prendre mes précautions et personne n’y voit que du feu.
Mais au bout d’un moment, comme avec toutes les expériences de la vie, l’adrénaline baisse à force de répéter la même chose. Je mets alors à chercher de nouvelles idées pour refaire germer ce sentiment d’impunité et d’adrénaline avec ma sur, sans éveiller quoi que ce soit.
Un matin de juillet, j’ai alors l’idée de m’exhiber indirectement devant ma sur. C’est-à-dire que l’objectif est qu’elle me voit, en pensant que je ne suis pas au courant qu’elle me voie.
Ce samedi-là, les astres sont bien alignés et j’ai élaboré tout un plan. Il faut savoir que la porte de ma chambre se situe sur le trajet de ma sur pour se rendre à la cuisine depuis sa chambre. Donc l’objectif est que, en allant prendre son petit-déjeuner, ma sur me voit en train de me branler par la porte laissée volontairement ouverte. Premier problème, éviter à tout prix que ce soit mon père ou ma mère qui découvre mon stratagème. Normalement, ils font la grasse mat’ car ils rentrent de soirée, donc bon timing. Je cache donc ma gopro dans le couloir pour guetter l’arrivée de ma sur (ou pas). Cette caméra est reliée en Bluetooth à mon téléphone et me donne une vue de profil par rapport à l’entrée de ma chambre. Donc d’un point de vue extérieur, je me tripote sur une photo de couloir, mais ça me laisse le temps de me cacher sous ma couette si ce n’était pas Angèle qui arriverait.
Mais pour éviter qu’Angèle passe devant ma chambre sans tourner la tête, il faut lui donner une raison toute simple d’attirer son attention vers ma chambre. Faire des bruits d’ours ? Non, c’est trop cramé. Autant aller au simple et anodin : laisser du linge sale en bordel devant ma chambre, donc sur le chemin. Ma sur étant une grande maniaque, c’est évident qu’elle le remarquerait. Dernier détail, il faut laisser penser que je n’entends pas sa venue. Donc, je place mon casque auditif sur ma tête et le tour est joué. Maintenant, il ne reste plus qu’à attendre la venue de cette jeune nymphe. Au bout d’une demi-heure, j’entends la porte de la chambre de ma sur s’ouvrir. Je l’entends aller aux toilettes. Ça me laisse le temps de tout préparer. Je l’entends marcher, puis elle apparaît (de dos) sur mon téléphone en live. Tout ce que j’ai à faire c’est de fixer mon écran, comme si je matais un porno, en me masturbant. Puis, elle se dirige vers le tas d’habits et le dégage du pied dans ma chambre.
J’entends sa vraie voix en vrai :
"Putain, Jon, tu abu…
Elle s’interrompt et se cache derrière le mur en me regardant discrètement. Pour résumer, elle croit m’espionner sans que je sache, alors que derrière elle, une caméra me donne l’image d’elle en live: Plan réussi, maintenant, tout ce qui se passe n’est plus prévu. Je bouillonne d’excitation et, pour cause, ma bite est plus tendue que jamais. Angèle me regarde, puis à mon immense surprise, sort son téléphone, commence à me prendre en photo. Cela la met totalement dans une position de voyeur, et moi dans une position de piégé, qui m’excite au plus haut point. Au bout d’une minute, je tente de rester naturel et fais un léger mouvement, ce qui l’effraie, et met fin à cette exhibition. Quand je sens qu’elle est rentrée dans sa piaule, je reprends mon souffle et tente de réaliser. Ma sur, sur qui je fantasmais depuis des mois, vient de me prendre en photo ou vidéo nu en train de me masturber. Allez savoir ce qu’elle comptait faire de ces images.
Pendant un court instant, je me demandais si ce n’était pas pour faire tourner à ses potes, mais bon, c’est elle la perverse dans l’histoire…
La suite très prochainement…
J’attends des feed-back, car j’adorerais écrire d’autres récits, j’ai plein d’idées en tête.