Nous avions fini de goûter depuis un bon moment,maman était monté se changer pour une tenue plus décontractée,Virginie avait rangé les tasses dans le lave vaiselle et moi je m’amusais avec Carole,son jeu préféré était ’le menteur’,elle posait des questions et selon la réponse c’était une bise sur la joue pour une bonne réponse ou une tape sur les mains pour avoir dit un mensonge.Maman nous rejoignis et participa elle aussi au jeu,quand Carole me posa une question embarrassante.f

—’Je t’ai vu tout nu dans la chambre de mammie,vrai ou faux?’.

—’Faux’.Et elle me gratifia d’une tape sur la main en disant.—’Menteur’,et mamanprit le relais en disant.

—’Oui elle a raison c’est l’autre jour lorsque tu es venue me demander de te passer de la pommade car tu avais mal au dos et que je t’ai demandé de baisser ton caleçon pour pouvoir étaler le gel correctement’.

—’Et pour cela il fallait ètre tout nu’

—’Oui ma chérie ntonton avait très mal et il fallait que je passe la pommade très bas sur ses fesses’.

—’Bon d’accord,je ne joue plus’.Virgine me fit un clin d’oeil qui me rappela ce qu’elle m’avait dit avant le déjeuner.

—’Bien je crois que je vais aller au village faire deux ou trois courses avant que ne ferment les boutiques,qui vient avec moi?’

—’Moi si tu veux bien’ me dit Virginie.Quand maman nous interpella.

—Vous avez entendu ce que Carole vient de vous dire alors faites attention et je pense qu’elle a dut en voir un peu plus’.Et sur ce nous voilà sur la route du village.

—’Tu sais Jérome je crois que maman à raison,nous devrons ètre prudent à l’avenir car je ne t’ai pas tout dit lorsque je t’ai racaonté qu’elle posait des questions,elle m’a aussi demandé pourquoi tu n’avais pas de minou comme elle mais un gros tuyau à la place donc elle a dut te surprendre nu’.

—’Bon parlons d’autre chose car cela ne fait qu’envenimer les choses plutôt que les apaiser,et en ce moment c’est l’enfer dans mon caleçon’.

—’Où dois-tu aller pour tes courses,moi je dois passer chez la coiffeuse prendre rendez-vous pour mardi et ensuite je suis libre’.

—’Je passe chez Colette récupérer mes affaires et nous rentrons’.

—’Tu y vas seul ou je viens avec toi?’

—’’Je préfère y aller seul,ce sera mieux pour elle et pour moi’.Après avoir garé la voiture sur la place du village que je traversais vitesse grand V pour gagner l’hotel en espèrant ne pas y rencontrer Colette peine perdue elle tenait la réception.

—’Oh Jérôme je ne m’attendais pas à te revoir aujourd’hui,qu’as-tu décidé?’

—’Je pense que pour l’instant je vais encore demeuré auprès de ma mère qui est souffrante et ensuite lorsque tout sera bien je prendrai la décision de vivre autrement,je vais donc reprendre mes affaires si tu me le permets’.

—’Bien entendu elles sont chez moi,je t’accompagne’.

—’Ne te dérange pas dis moi seulement où tu les a rangées’.

—’A cette heure il n’y a personne ne t’inquiète pas et de toute façon il y a une sonnette sur le comptoir allez vient’.Dans l’ascenseur elle se colla à moi et me roulla une pelle qui me fis l’effet d’une véritable éruption dans mon slip,je me mis à bander comme un taureau?arricé à l’étage nous nous séparames et je lui dis. —’Va chercher mon sac je t’attends’.

—’Pourquoi ne viens tu pas avec moi?’

—’Je ne suis pas seul Virginie m’attends à la voiture et si j’entre chez toi je sais ce qui se passera et je ne veux pas la faire attendre’.

—’Bien tu as raison c’est mieux comme cela’.Et elle alla chercher mon sac ?Lorsqu’elle fut de retour elle me tendit le sac en disant.

—’Ne vous arrettez pas en cours de route’.Elle me tourna le dos et regagna son logement.De retour à la voiture Virginie m’attendait assise sur l’aile.

—’Nous rentrons ou nous allons boire un verre il est encore un peu tôt?’

—’Comme tu veux’Nous nous installâmes à une table de la terrasse du bar de la marine et nous nous fimes servir deux martini gin.

—’Tu n’as pas l’air dans ton assiette frérot que sait-il passé chez Colette ?’

—’Rien de bien méchant elle aurait voulu que je reste avec elle et j’ai refusé voilà tout’.Les martini but et l’adition réglée nous retournâmes à la voiture et nous primes le chemin du retour.Nous étions presque arrivés quand Virginie me demanda de monter jusqu’au Belvédère car il y avait bien longtemps qu’elle n’y était plus allé.Arrivés tout la haut le paysage y était toujours aussi magnifique et de plus le coucher de soleil nous rappella nos jeunes années.

—’Tu te souviens lorsque nous venions avec grand mère et Colette et la fois où nous avions faillis vous surprendre’.

—’Oui je me souviens’.Virginie était devant moi je la pris par la taille et me collais à son dos,elle sentit ma bite en érection contre ses fesses et me dit.

—’OH OH attention il pourrait survenir quelqu’un et ici tout le monde nous connait’et elle essaya de se dégager mais je la maintenais prisonière de mes bras.

—’Allons dans la cabanne du vieux berger elle est d’ailleurs ouverte et plus personne ne montera à cette heure’.Arrivés à la cabanne nous y entrames,elle était toujours en attente de quelques éventuels locataires,le petit mobilier de fortune était aussi présent un lit de fer,une table et deux chaises de bois,le petit poële également.

—’Je crois que nous devrions fermer la porte Jérôme’.

—’Ce n’est pas une bonne idée cette porte semble ètre toujours ouverte et il vaut mieux qu’elle le reste comme cela nous entendrons si quelqu’un arrive.’Je repris Virginie dans mes bras et me mis à la peloter,mais elle refusa de retirer son tee-shirt elle avait peur d’ètre surprise,mais elle retira elle mème son sting qu’elle mis dans une de mes poches,mes mains partirent sous sa courte jupe et mes doigts à l’assaut de sa chatte qui stupeur avait été rasée plus aucun poils,un sexe imberbe mais trempe de mouille.

—’Pourquoi avoir rasé ton minou ?lui demandais-je tout en lui carressant le clito gonflé d’exitation.

—’Jai voulu voir l’effet que cela te ferais tu aimes n’est-ce pas’.

—’Oui j’aime et pour te le prouver je vais te montrerla preuve’Je baissai mon short et ma tige fièrement dressée lui apparut,aussitôt elle s’en empara et me pompa de telle façon que je ne pouvais que bander encore plus,ne pouvant plus tenir ce rytme je l’allongeais sur la table et lui écartant les cuisses et les lèvres de sa grotte je guidais mon membre dans le vestibule de sa grotte et me mis à la besogner vigoureusement,j’allais et venait comme un dément dans sa fente butant au fond contre sa matrice et lui arrachant des petits cris de douleur,mes couilles me faisaient mal tellement elles étaient pleines,après une dizaine d’allers retours dans caverne je ne pus me retenir davantage et je lui balançais tout le foutre emprissonné dans mes bourses.Une fois nos esprits retrouvés nous rajustâmes nos tenues et regagnames la voiture.A peine assis et le moteur en route q’une voiture vint se garer près de nous.

—’Ouf nous l’avons échapper de justesse’

—’Ne dis pas de sottises nous les aurions entendus arrivés et le temps qu’ila arrivent à la cabanne nous en serions sortis et mème qu’ils n’auraient pas eu l’idée d’y aller’.Nous démarames et nous primes le chemin inverse,quand dans le rétro je vis les occupants de la voiture se dirigeaient vers la cabanne.

—’Oui tu avais raison ils sont là eux aussi pour satisfaire leurs envies’.De retour à la maison Carole nous accueillit en nous disant.

—’Vous avez été un peu long où étiez vous?’

—’Nous avons fait les courses et but un verre au café de la marine cela te convient petite chipie?’.

—’Moi oui mais grand mère pas trop elle n’a pas arretté de ronchonner’.

—’Petite menteuse,tu interprètes à ta façon si tu continues tu auras la fessée’.

—’Bon tu ne vas pas faire un drame pour cela maman lui dit Virginie,elle n’est qu’une gosse.

—’Toi maintenant que tu as eu ton content,tu prends tout à la légère’.

—’Pourquoi dis tu cela,nous avons été au village faire des courses et nous voila’.Elle nous planta là et s’en fut dans sa chambre.

—’Je crois que tu devrais aller la voir Virginie,je vais m’occuper de Carole’.Virginie de rendit dans la chambre de maman et moi je me mis à jouer au menteur avec ma petite nièce.

—’Pouquoi grand mère est elle en colère? me demanda t elle’.

—’Aucune idée ma chérie elle est peut fatiguée?’.Une vingtaine de minutes plus tard Virginie fit son apparition et vint s’asseoir à mes côtés

—’Alors lui demandais-je?’

—’Tout va bien,nous allons préparer le souper Carole va te laver les mains’.Carole partie,Virginie me montra son string qui dépassait à moitié de la poche de mon short en disant.

—’Voilà la raison elle a bien vu que nous étions ailleurs,je pense aussi qu’elle pique une crise de jalousie,je crois que tu devrais lui rendre visite cette nuit’.

—’Virginie fait moi plaisir laisse les repousser’.

—’Pourquoi?’

—’Je te préfère avec’.

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