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Caroline et la famille – Chapitre 9




CHAPITRE 9 : LES FESSEES.

J’étais debout devant mon père qui était assis au bord de mon lit à moins d’un mètre de moi et j’attendis ses directives. Bien que je savais qu’il comptait se servir de sa ceinture, je ne savais pas comment il comptait me donner ses fessées. S’il voulait me les donner allongé sur le lit ou appuyé sur ses genoux. Vu qu’il était hors de question que je mette à quatre pattes sur ses genoux sans qu’il ne m’en donne l’ordre, je lui ai donc fait signe de la tête pour lui demander ce que je devais faire. Il me dit en tapotant ses genoux :

Viens t’asseoir sur les genoux de ton papa ! en prenant sa voix de gamin.

Ne voulant lui montrer aucun signe de faiblesse, je m’exécutai rapidement, et je m’allongeai sur lui en posant l’ensemble de mon ventre sur ces genoux et cuisses, laissant ma poitrine dans le vide. Au moins, dans cette position vexante, il ne pouvait avoir le plaisir de voir mon inconfort grâce à mes longs cheveux cachant mon visage. Sans compter que je portais juste un petit débardeur rose m’arrivant à peine au nombril, laissant mes épaules nues avec un soutif à dentelles de couleur blanche. Pour le bas, je portais un jeans bleu ciel délavé très moulant, sans ceinture, avec une culotte tanga en dessous et des chaussures roses à talons hauts. Cette position rendit mon dos presque entièrement nu, laissant apparaître les lanières de mon soutien-gorge. Ce qui me gênait le plus, c’était quand m’habillant rapidement, je n’avais pas eu le temps de bien enfiler ma culotte tanga et du coup, elle était très visible sous mon jeans.

Mon père prit sa ceinture de la main droite et me dit :

Avance un peu, Caroline ! Ce n’est pas ton dos que je compte fouetter.

Je m’en doutais que la manière dont je m’étais installée sur lui n’allait pas lui plaire et que j’allais devoir mieux me mettre. Mais ne voulant toujours pas lui montrer que j’étais une faiblarde, j’avais attendu une autre de ses directives. J’avançai un peu plus en mettant mes mains sur le sol et je me mis presque sur la pointe des pieds pour pouvoir poser le haut de mes cuisses sur les siennes, laissant cette fois-ci mon ventre dans le vide.

De sa main gauche, il enveloppa mes hanches pour me maintenir et de sa main droite, il me mit un premier coup de ceinture très léger sur mes fesses pour voir ma réaction. Ne voyant aucune réaction de ma part, il me mit deux coups de ceinture successivement, toujours sans appuyer ses coups. Je restai totalement indifférente aux coups de ceinture qu’il me donna, faisant plus de bruits qu’autre chose.

Soudainement, je vis sur le sol, l’ombre que son bras projetait. Il était en train d’armer son bras bien haut comme pour m’en mettre une très forte.

AIILLLLLEEEEE ! criais-je de douleur d’une voix continue après avoir reçu le coup.

Je venais de saisir quand criant ainsi, il venait de trouver la manière de m’atteindre physiquement. L’ombre de son bras grandit à nouveau et il me frappa à deux reprises encore avec la même intensité.

AILLLLLLEEEE ! AILLLLLEEEEEEEE ! criais-je à chacun de ses coups de ceintures sur mes fesses.

Mes cris de douleurs ne semblaient pas l’affecter. Le sixième coup de ceinture que je recevais et avec la douleur qui s’additionna me fit instinctivement mettre ma main sur mes fesses en guise de protection.

Tu rigoles là, Caroline ?! Je t’en ai mis que 6 je crois, me dit-il.

Etant toujours obstinée à lui montrer que j’étais une personne forte, je serrai mon débardeur avec mes dents et retira doucement ma main de mes fesses. Je le vis lever le bras tout aussi haut qu’auparavant, et il enchaîna plusieurs coups de ceintures en y mettant toutes ses forces. J’avais râlé fortement à chacun de ses coups en marmonnant dans ma bouche, mais j’avais réussi à ne pas crier ce coup-ci. Mes cheveux dissimulaient les gouttes de larmes qui coulèrent le long de mon visage. Même si je faisais forte tête, je savais que je ne te tiendrais pas quelques coups supplémentaires. Je lâchai le débardeur d’entre mes dents et lui dit :

C’est bon maintenant, Papa ! Tu m’en as mis 10.

C’est à moi de décider quand ta correction sera finie, Caroline ! me dit-il en armant encore son bras bien haut.

J’ai vu qu’il s’empressa de me mettre un coup de ceinture avant que je ne puisse remettre mon débardeur dans ma bouche et je me mis à hurler immédiatement après avoir reçu le choc :

AIIIIIIIIEEEEEEE ! … ARRETE CA, PAPA ! CA FAIT TROP MAL LA CEINTURE !

Mon père enleva son bras qui enveloppait mes hanches et posa sa main sur mon dos.

OK. Tu préfères que je te donne de vraies fessées alors ? Uniquement avec ma main ? me demanda-t-il.

Oui, lui dis-je d’une voix fébrile.

Je sentais mes fesses brûler et que celles-ci devaient être fort rouges sous mon jeans vu la douleur insoutenable que je ressentais. Mon père me mit une petite fessée sans me faire mal pour attirer mon attention et il arma à nouveau le bras bien haut. Il me mit une grosse fessée sur la fesse gauche, puis une autre sur la fesse droite me faisant serrer les fesses chacune à leur tour. Avec les deux fessées qu’il venait de me mettre, j’avais l’impression qu’il voulait juger ma résistance. Il marqua un petit temps de pause pour reprendre son souffle, ce qui s’annonça mauvais pour moi, et il m’infligea une trentaine de fessées à une vitesse fulgurante qui me fit pousser un cri aigu et continu :

HHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA…

Le timbre de ma voix oscillait en montante et en descendante à chacune des fessées que je recevais. Mes jambes s’étaient levées durant la succession de fessées qu’il me donna, et aussitôt retombaient quand il arrêta.

Je l’entendis reprendre son souffle comme s’il préparait un second acte. Ne pouvant pas supporter une deuxième valse de ce genre, je me mis à lui supplier en pleurant :

Arrête, Papa !… J’ai compris la leçon… Je ne veux plus de fessées… Je t’en prie… » sanglotant à la fin de chaque phrase.

Je venais de craquer. Je pleurais ouvertement devant mon père et bien que je pris cela comme une défaite, le bien fou que me procuraient mes pleurs me fit oublier la douleur et me soulagea un instant.

Un instant qui ne dura pas quand je sentis une fessée très écrasante, mais non douloureuse et qui me fit onduler ma fesse gauche. Je reçus peu de temps après la même fessée, mais sur la fesse de droite. Puis, je reçus plusieurs fessées à faible allure et de manière constante, me faisant onduler chacune de mes fesses comme des vagues. Je ne recevais plus aucune douleur de ces fessées interminables que mon père me prescrivait et j’avais pour impression d’en recevoir un massage.

Ça te plaît ce genre de fessées là, Caroline, me demanda mon père.

Oui… lui répondis-je timidement.

Mon père finit par cesser de me mettre des fessées et écarta un peu ses cuisses pour pouvoir glisser une main sous mes hanches et atteindre le bouton de pression de la fermeture de mon jeans.

Mais qu’est-ce que tu fais, Papa ? en sachant très bien qu’il tentait de retirer mon jeans.

Ne t’inquiète pas… Je vais te laisser ta culotte. Comme ça, je verrais mieux où je tape. Tu es d’accord ? me répondit-il.

Non… Je ne sais pas… Je ne sais pas, lui répondis-je anxieusement.

Je ne voulais pas me retrouver en petite culotte devant mon père et encore moins avec une culotte tanga ne couvrant pas la totalité de mes fesses.

Avant même que je ne lui donne mes raisons, mon père m’infligea une fessée puissante et extrêmement forte sur le haut de mes fesses, touchant un peu mon dos. Je me mis à hurler de douleur et une fois que j’eus finisse de crier, mon père me dit en rigolant :

Tu vois bien qu’avec ton pantalon, je ne vois pas toujours où je tape… Tu ne veux vraiment pas que je te l’enlève ?

Je savais que mon père me prenait pour une conne, mais je ne comprenais pas pourquoi il tenait tant à ce que je retire mon jeans. Lui, qui m’infligeait cette correction parce que j’avais tenu des propos et fait des actes malsains, était en train de demander à sa fille de se retrouver en petite culotte devant lui.

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