Mon métier est un des plus beau du monde : je lai choisi. Débusquer la moindre poussière sur un meuble, changer lampoule défaillante, voilà de quoi soccuper. Employée comme gouvernante dans une maison dite bourgeoise, le travail ne manque pas. Les autres domestiques mobéissent au doigt et à lil. Par contre le fils des patrons est du genre collant. Il voudrait que je me donne à lui.
Mes habitudes font que jai un amant en dehors. Mon Jacques est beau, bien fait, très posé. Je vais chez lui dès que je peux. Ses façons de maimer sont douces, très profondes, presque trop des fois. Jaime quand il me caresse, quil passe sa main entre les jambes. Sa douceur fait que je me donne volontiers. Lautre nuit, après un rapide baiser, je lui ai passé la main sur son pantalon. Jétais fière de le faire arquer. Avant quil ai eu le temps de me toucher javais sorti sa belle queue. Je commençais à le branler lentement, comme il aime. Son gland violacé me plaît beaucoup. Son méat attire ma langue pour goûter la petite goutte de pré-sperme. Cette fois il na pas eu le temps de se mettre nu. Jétais sur lui, ma chatte sur sa bouche. Sa langue est venue dévorer le gazon.
Javais en tête lavance faite par le fils : il me prenait par la taille pour mattirer à lui qui bandait. Je nai fait que le frôler. Jaurais pu le masturber : je men suis bien gardée par crainte de me faire remarquer par la mère de famille, à cheval sur les principes.
Maintenant dans les bras de mon Jacques je ne crains rien sinon quun orgasme. Ce nest plus sa langue cest son pénis qui entre dans le con. Il pourrait me le mettre au cul, jen serais satisfaite. Je suis mouillée aujourdhui. Il coulisse en moi facilement trop presque. Mes mouvements vers lui sont accentués par le désir.
Jacques décide de me mettre sur lui. Je suis bien obligée de remuer mon ventre. Je sens ses mains caresser les fesses puis glisser dans la raie. Enfin, pour la première fois il me met un doigt dans le cul. Je ne me retiens plus de plaisir, je jouis longuement. Sa queue a une série de spasmes quand il éjacule. Je suis trempée de sperme. Je reste sur lui, en épandant ma cyprine.
Ce Jacques vient dans ma chambre. Cest lui qui le veut. Ce quil veut est sacré pour moi.
Je suis nue, à lattendre, en me touchant un peu pour être toujours mouillée. Dès quil bande, ainsi il peut me baiser. Il ouvre la porte, me voit. Jacques a envie de moi, il bande déjà. Sa bite est vite sortie, je la lui prends un instant dans la bouche. Ma main droite tient le manche. En le suçant, je le masturbe encore. Lui se laisse faire facilement : jy mets tout mon cur. Jarrive à le faire coucher. Je vais sur lui jouvre les jambes pour mencastrer sur la bite. Elle est dure, très dure. Je la prends par plaisir dans la main.
Je guide cette belle bite dans le con. Il glisse dans le ventre comme je veux. Ses couilles battent un peu contre moi. Jen veux encore, je le crie. Cest moi qui baise, cest bon, je vais jouir avant lui.
Surprise quand je sens une autre queue sur mes fesses. Pas possible, le fils est là, il me veut également. Sa pine entre dans la raie. Il cherche une improbable entrée. Même si je ne veux pas, il trouve mon petit trou. Jai mal un instant, le temps pour lui dentrer complètement. Ses couilles battent mes fesses.
Malgré moi je prends les mains de mon Jacques, je les tirent vers le haut. Tendue vers lavant je noffre aucune résistance à celui qui mencule, au contraire. Ce voyou ne me force pas un instant. Il me la mise.
Soumise, fragile, pleine de désir, lenculade me plaît. La queue devant aussi. Mon bassin oscille davant en arrière. Un me plante, lautre me quitte à peine. Mon Dieu quils narrêtent pas.
Brusquement je suis en jouissance sans arrêt. Si je ne jouis pas de devant je jouis par le cul ou linverse. Je voudrais une autre queue pour la sucer. Tant que jy suis pourquoi pas deux autres, une dans chaque main. Que jaimerais me faire prendre par plusieurs à la fois.
Je ne suis plus une gouvernante, je devient un pute.
J’entraine mon Jacques là où il ne faudrait pas : un club libertin, par curiosité. Un grand nombre de personnes, dont des femmes comme moi. Si Jacques le veut, il pourrait baiser une ou deux filles devant moi pour que je me branle. Lui nest pas daccord. Il veux que je me donne à une fille, lui donnant son cul à un autre mec.
Je ne connaissais pas ce goût dautre pine dans son cul. Il soffre ainsi à un gars que je me paierais bien. Il est accompagné dune fille splendidement sexy. Elle est tenue par la taille pendant quelle membrasse vite fait sur les joues. Son type la pousse vers moi. Je me laisse faire après un baiser extrêmement profond. Sa langue fouillait toute ma bouche. La mienne rendait le baiser. Elle a eu vite fait de se pencher, de passer rapidement sa main sur la chatte, me faire mouiller, me sucer. Ha! Sa langue, un fabuleux plaisir. Je tenais sa tête pour la guider à peine. Je crois que jai jouis en lui donnant de mon jus dans la bouche.
A coté de moi Jacques, mon Jacques était en levrette, une bite dans les fesses. Il bandait comme un âne, la main de lautre autour de la queue à la place de la mienne. Jacques faisait comme moi quand il me baise. Lamant la lâché pour venir lui prendre la pine dans la bouche. Il lui a donné le sperme que normalement je bois.
Le lendemain tout était oublié. Il me baisait à nouveau, jusquau moment ou le fils ma encore enculé. Cest notre nouvelle façon de baiser à trois. Jaime;