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Pour une Queue Montrée – Chapitre 2




     Toujours en souriant et en me regardant, ma sur brisa le silence.

Hé, Greg’.

Oui ?

Ça va sûrement te faire bizarre, mais je peux te demander un truc ?

Vas-y ?

Depuis le temps que mes copines et toi vous m’en parlez Je bah c’est con, mais

De quoi ? fis-je amusé et incompréhensif.

Bah j’ai bien envie de voir à quoi elle ressemble, ta bite.

     Ça c’est que qui s’appelle un coup de massue ! J’ai à peine eu le temps de comprendre ce que Laurianne venait de me dire que mon cur avait fait un bond désagréable et commençait à accélérer. Puis je me mis à réaliser la question ; et mon cur battit encore plus vite et encore plus fort.

     Laurianne venait de complètement casser les limites que nous nous étions imposées. Pourtant, nous avions eu chacun des occasions pour mater l’autre en secret : l’entrebâillement de la porte de la chambre ou sous la douche par exemple, mais nous avions toujours tenu à respecter cette intimité visuelle, là où parler n’était pas problématique.

     Naturellement, ma sur m’avait déjà surpris quelquefois lors d’une masturbation, et moi de même, mais c’était rapide et toujours nous repartions aussi vite que nous étions entrés sans avoir le temps de voir quoi que ce soit.

     Je bandais. L’idée de montrer ma queue C’était tentant Mais d’un autre côté, c’était Merde, c’était ma sur, quoi ! La dernière fois qu’on s’était vus nus, on était à peine en CE1 ! Forcément, depuis, mon engin a changé ! Il est gros enfin « gros », on se comprend hein il a appris à durcir ce qu’il était, en l’occurrence.

     Jusqu’à présent je n’avais eu aucun complexe à me déshabiller devant une fille à sa demande. J’étais fier de mon sexe et j’aimais qu’il soit regardé, admiré. Sauf que là, ce n’était pas une amie qui me le demandait, c’était Laurianne D’un certain côté, elle en avait vu un paquet, de bites ! Et puis c’est quoi, franchement ? De la chair pleine de sang ? Un organe naturel sous une réaction qui l’est tout autant ? Mais c’est pas pareil : t’es son frère ! Oui enfin, honnêtement, montrer à quelqu’un qui demande, ça n’a jamais tué personne C’est ma sur, c’est vrai. Mais elle allait faire quoi ? Observer ma queue quelques secondes, éventuellement mes couilles au passage, peut-être faire une remarque et ensuite on range tout ? Bon, ben alors ? Une remarque sur mes parties génitales par ma sur Chaud, quand même !

    « Bon Grégoire, réveille-toi. T’es en train de buguer complètement, là. » me dis-je. En reprenant mes esprits, je regardai sérieusement Laurianne :

Tu tu veux la voir ? Vraiment ?

Vraiment. Juste voir ! Promis, personne le saura. Si je le dis, j’arrête la baise !

     Et c’est qu’elle était sincère dans cette promesse ! Laurianne qui arrête le sexe, c’était bien une preuve qu’elle prenait ça au sérieux tellement c’était impossible. Mon engin me faisait mal, j’avais l’impression qu’une veine allait éclater à cause de l’enserrement dans mon jeans. Est-ce que Mais si jamais ? Je Oh et puis merde, hein ! Sur ou pas, tant pis ! Faut la sortir ! Et puis elle est prête à la voir.

     Les mains légèrement tremblantes malgré tout, je déboutonnai mon pantalon, descendis ma braguette, puis lentement, je le baissai en même temps que mon boxer.

     Ma verge sauta en l’air. Doucement, j’étirai mon prépuce pour dégager mon gland rouge, lisse et brillant. Quitte à jouer le jeu, autant le faire à fond.

     Malgré ma baise de tout à l’heure, j’avais une superbe érection qui me rendait intérieurement fier. Et en même temps, je ne me sentais pas en posture d’orgueil en sachant qui était en train de la reluquer.

Voilà fis-je d’une voix blanche, presque penaud.

Humhm répondit ma sur dans un hochement de tête.

     Elle marqua un court silence. En la regardant, je décelai un très léger mais perceptible sourire naissant sur ses lèvres. Puis :

Je peux dire quelque chose ?

Euh oui ?

Mes copines ont raison : tu as une belle bite !

     Puis elle me regarda et ajouta avec bienveillance :

Tu es un bel homme, tu sais ? Et partout.

Euh merci

     Pas évident de cerner ce qu’elle voulait dire par-là Laurianne, à quatre pattes, se déplaça pour observer mon engin selon différents angles. C’était très étrange. Il y avait à la fois le plaisir d’être admiré, et la gêne que ce soit par un membre de ma famille. Et pourtant

     Ah ! Je devais avouer que ça devenait agréable, le temps passant. Voir l’il intéressé et attentif d’une personne en principe interdite sur ma verge érigée, c’était grisant ! Ma sur regardait ma bite

     Comme elle la fixait, je m’étais surpris à songer lui dire « Tu veux goûter ? » Non mais oh ! Ça va pas ?! Heureusement que je ne l’ai pas sorti, ça !

Je peux ?

    Laurianne m’arracha de mes pensées. Elle se tenait devant moi, la main ouverte en direction de mon sexe. Que ? Elle ? Elle voulait le toucher ??

Euh O Oui, si tu veux

     Et qu’est-ce qui me prenait, bon sang ?! J’avais aucune idée de ce qui m’avait poussé à dire ça, je ne l’avais même pas pen Oh ! Les les doigts de Laurianne s’étaient refermés. Tout autour de ma hampe. Dans cette prise, le bord de sa main touchait en même temps mes testicules.

     J’appréciais. Beaucoup. De nouveau, je m’imaginais l’inviter à me sucer.

Elle est toute chaude ! me dit-elle.

     Et très peu de temps après, ma sur commença des caresses le long de mon vit, très doucement. La gêne croissante s’accompagnait du honteux plaisir, et je ne savais plus ce qu’il y avait de mieux à dire entre « Arrête » et « Encore ».

     Je redoutais l’escalade, et en même temps je la désirais très fort. D’abord voir ma queue, puis la toucher, puis me branler Allait-elle oser me sucer ? C’était ma sur, on n’avait pas le droit de faire ça Je devais l’arrêter Mais putain, j’avais envie !

     Elle lâcha ma verge pour me malaxer les bourses. Oh, c’était grandiose Je sentais mes deux boules passer tour à tour dans sa paume, ma peau parfaitement lisse et épilée de la veille.

Elles sont belles, tes couilles, dit-elle d’une voix presque somnambule.

Merci, ma belle

     Je commençais à complètement perdre les limites de nos actions. Laurianne avait-elle préparé tout ça ? Depuis combien de temps songeait-elle à me tripoter avec mon consentement ? Ou était-ce quelque chose de complètement improvisé, peut-être « hypnotisée » par la vision de ma queue ?

     Quoi qu’il en soit, toujours sans comprendre ce qui me prenait, je m’adressai à ma sur :

Lau

Oui ?

Tu es contente, de voir ma bite ?

Oui, très contente. Tu es bien membré. Tu fais sûrement honneur aux hommes de la famille.

     Parlait-elle de nos ancêtres au fil des siècles, ou de nos contemporains ? Dans le deuxième cas, ça voulait peut-être dire qu’elle avait vu aussi Je préférais la première option, et me dire que j’étais le seul membre de sa famille dont elle a vu le membre. Que Laurianne couche avec plein de monde, aucun problème ; mais qu’elle ait été sautée par toute la famille Oh non, l’idée était horrible !

Je voulais te demander autre chose, ajoutai-je.

Oui ?

Je t’ai montré ma bite. À ton tour de me montrer ta chatte.

     Ce fut à Laurianne de me fixer un instant. Eh, à quoi elle s’attendait ? Elle avait vu ce qui me faisait homme, j’avais bien le droit de voir ce qui la faisait femme, non ? Bon, à la base je voulais lui demander ses seins, mais c’est la chatte qui est sortie de ma bouche, et ça ne me dérangeait pas vraiment : j’étais possédé par une curiosité indiscrète.

Comme tu veux, dit doucement ma sur en hochant lentement la tête.

     Elle s’allongea à côté de moi, prenant son temps, et enleva les boutons de son jean. Contrairement à moi, elle le retira complètement, le jetant par terre. Elle mena ensuite ses mains à ses hanches pour faire glisser le long de ses cuisses et de ses mollets le tissu de sa culotte. Tout comme moi, ma sur avait l’épilation intégrale des organes génitaux. Je le savais, maintenant j’en avais la confirmation ; et elle aussi semblait s’être épilée récemment.

     Laurianne écarta les jambes. Je pouvais voir un bout de son clitoris de là où j’étais, mais il me fallait bouger.

     Cependant je n’y allai pas tout de suite : ça m’intimidait. Pourtant on le sait maintenant, j’ai vu un bon nombre de chattes. Elles ne me faisaient pas peur. Mais mon trouble reprenait de la force et me faisait douter : je n’avais pas le droit, allais-je oser ?

     C’est l’esprit confus que je passai une main de l’autre côté de la jambe de ma sur, pour me mouvoir lentement dans ce V. Nous ne nous quittions pas des yeux, à vrai dire. Notre insouciance de toute à l’heure, à parler de choses cochonnes, s’était métamorphosée en sérieux de faire des choses cochonnes. Car regarder, c’était faire. Laurianne m’avait touché le sexe, et autant elle que moi savions que j’allais faire de même avec le sien.

     Mon corps était entre les jambes de Laurianne, mais nous nous regardions toujours. Je la remarquai déglutir et inspirer par saccades. J’avais le visage face à son sexe, à quelques centimètres ; je pouvais sentir faiblement ses humeurs vaginales. Enfin, prenant mon courage à deux yeux

     Ma sur avait une belle vulve. Sans nul doute l’une des plus belles que j’ai eues à voir de ma vie, en vrai ou sur Internet. Et je n’affirmais pas ça parce qu’elle était interdite, pas du tout. Aucun reste de poil, pas la moindre trace. Je restai ainsi à l’observer, seulement des yeux, sans y toucher. Sincère, je complimentai Laurianne sur son corps et la qualité de son entretien.

     Puis après le lui avoir demandé, j’effleurai du bout des doigts ses grandes lèvres, largement au début, puis me resserrant de plus en plus au centre sous les quelques couinements de ma partenaire, qui était peut-être plus émue par ce que nous faisions ensemble que par véritable plaisir.

     Telle une fleur au soleil, la chatte s’ouvrait doucement en réponse à mes caresses. Je n’avais même pas tenté d’entrer un peu dans la fente, c’étaient les petites lèvres qui commençaient à sortir toutes seules. Là, mes doigts s’attaquèrent toujours avec tendresse à ces charmants petits bouts de chair sensibles ; et cette fois, les soupirs de Laurianne étaient plus dus au plaisir qu’à la crainte du péché. Comment le sais-je ? Ils étaient identiques à ceux que j’avais déjà entendus avec d’autres filles.

     Plus il se découvrait, plus je trouvais ce sexe magnifique. Je n’osais pas la doigter. En revanche, ma bouche me faisait dorénavant comprendre qu’elle aimerait beaucoup se joindre à la fête, et aider cette vulve à s’humidifier davantage, elle qui avait déjà commencé à être moite.

     Tout à l’heure je redoutais l’escalade, mais maintenant c’était moi qui m’y engageais en m’apprêtant au sexe oral. Mes mains passèrent sur les cuisses et ma tête avança timidement. J’étais obnubilé par cette chair, où allions-nous nous arrêter ? Et mon érection, frottée contre le matelas Est-ce que ce petit plaisir ne me faisait pas penser avec ma queue plutôt qu’avec ma tête, en cet instant si acrobatique moralement et sensuellement ? Savions-nous réellement ce que nous faisions ?

Grégoire

     Je levai les yeux. Laurianne était anxieuse, et je la comprenais. C’était pareil pour moi.

Je Si tu m’embrasses on on va jusqu’au bout.

     Il y eut un silence où nous nous fixâmes. Alors voilà Nous ne nous arrêterions pas, justement, si j’escaladais. Mon cur battait encore plus fort, je stressais toujours plus. Puis elle reprit :

Je Je veux bien. Mais on a déjà fait beaucoup On peut faire demi-tour et oublier ce qui s’est passé.

     Ah oui, mais comment oublier ?! Quoi qu’il arrive, cette journée allait rester gravée dans notre mémoire. Qu’on le veuille ou non.

Grégoire C’est toi. Quoi que tu fasses

     Puis Laurianne prit une grande inspiration, trouvant sans doute le courage de terminer sa phrase :

je ne t’en voudrai pas.

     Quelle terrible situation que de se retrouver seul décisionnaire face à un tel dilemme ! Tout en continuant à caresser machinalement la chatte du bout des doigts, je ne savais pas quoi faire. Ma tête avançait, puis reculait.

     Certains auraient dit « foutu pour foutu » et seraient montés à l’assaut. Je n’étais pas affamé : j’ai eu ma dose de sexe peu de temps avant, et je ne fantasmais plus sur ma sur. Notre parenté aussi me retenait : l’interdit, que diraient nos parents si

     Il fallait limiter la casse ; les petits enfants jouaient à touche-pipi, les grands enfants avaient passé l’âge de ce genre de bêtises entre eux. Laurianne avait raison : nous en avions déjà fait beaucoup et je n’aurais jamais pensé même dans mes rêves les plus fous avoir un jour le droit de regarder son sexe en face et de le toucher, par-dessus le marché.

     Mais bon sang, qu’elle était belle femme ! Je venais seulement de le remarquer complètement. Que sa vulve était belle Et si elle trouvait ma queue jolie aussi, alors les unir

     Non, Greg, pense aux conséquences ! Fais pas le con. Tu ne peux pas dire que Laurianne et toi ne vous verrez plus pareils si vous faites l’amour ; rien que par ce que vous avez fait tous les deux, votre relation va être différente de toute façon.

     Mais rrrhâââh ! Plus que seulement bander, j’avais envie de faire l’amour avec cette fille qui pour notre malheur était ma sur ! J’avais envie de la pénétrer, mais aussi de l’étreindre, d’être contre elle, toute nue, contre son sein, ses seins !

     Mes idées étaient tellement embrouillées que je n’arrivais plus à penser à quoi que ce soit. Pourtant, ma tête continuait de bouger : un peu en avant, un peu en arrière.

     J’étais assez conscient pour me rendre compte que, contrairement à tout à l’heure, j’avançais plus que je ne reculais. Malgré ma volonté, je ne parvenais pas à briser mes barrières morales ? Bref, à casser cette résistance pour me jeter sur le corps brûlant de cette jeune femme. En temps normal, ma queue aurait déjà été dedans depuis dix minutes.

     « C’est ma sur. C’est ma sur. C’est ma sur. » Mais même me répéter cette évidence commençait à peiner à me garder de l’acte, car elle se transformait en : « C’est ma sur. Et alors ? » Pire, des pensées que je n’aurais jamais imaginées naquirent dans mon esprit : « Justement, c’est ta sur ! » L’argument de l’inceste n’était plus pour me retenir, au contraire : il commençait à me pousser vers la faute ! C’était de la folie !

     Je fixais la vulve, toujours. Quelques vapeurs s’en échappant atteignaient mes narines ; le doux parfum naturel du désir féminin qui travaillait le plus souvent les instincts des mâles. Je devenais nerveux d’excitation à chaque fois, et cela me faisait m’approcher presque malgré moi pour mieux sentir encore.

     De par ces senteurs, j’écoutais de plus en plus mon corps et mon désir. Mon odorat se satisfaisait alors que je me trouvais très près de Laurianne. Mon esprit luttait fort pour me maintenir hors de portée de ce sexe.

     Finalement je posai mes lèvres en plein milieu de la vulve.

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