Une nuit, des cambrioleurs se sont introduits chez nous.
J’ai entendu du bruit dans le salon et je suis descendu. J’ai trouvé ma mère attachée, couchée là sur le tapis, baillonnée.
Sa chemise de nuit était remontée, elle était à poil…
Deux gars se tenaient debout près d’elle.
Un des deux avait un flingue. Il l’a pointé vers moi.
"hé bien alors, qui voilà ? voilà le fi-fils à sa maman!!
Il s’est avancé vers moi et m’a poussé à terre. Je restais là paralysé… Je regardais ma mère, qui elle n’osait pas me regarder…
Un des deux gangster, le plus gros des deux, un porc à tête ronde me lança :
"hé ! qu’est ce que tu regardes? Hé, Jo tu crois qu’il aurait envie de la baiser, sa petite maman?
— ha ha ha ! Je sais pas, y’a qu’à lui demander ! Hé alors petit , tu veux en profiter? vas y, tu peux la baiser là !!! "
J’étais vert de peur. Je suis juste arrivé à dire :
— mais… c’est ma mère!! "
Ils s’en foutaient, visiblement …
Celui avec le flingue, qui visiblement s’appelait Jo me cria dessus :
— Allez ! vas y ! baise là !!!"
— Je gémissais : "…. non, je vous en prie!! "
— Ta gueule !!! baisse ton froc!!! Tu veux qu’on s’occupe d’elle nous même ???
— non non, c’est bon… arrêtez !!"
Je n’avais pas le choix… Ils avaient l’air capables de n’importe quoi.
J’ai baissé mon pantalon et je suis passé derrière ma mère.
Heureusement je n’arrivais pas à bander. Je regardais ses fesses, sa grosse chatte poilue, mais ma bite restait molle.
Ma mère s’étouffait avec son bâillon. J’avais peur de la voir s’évanouir…
J’implorais les malfrats : "ma mère… elle arrive pas à respirer !…"
Le plus gros s’énerva
"et alors ? on s’en moque!! baise la et après on verra"
Mais l’autre se mit à rire … "… hum hum… ça me donne une idée, on va lui enlever son bâillon à ta petite pute de maman"
Il se baissa, lui enleva le tissu qui l’empêchait de respirer et lui enleva la corde qui lui bloquait les mains.
Il lui demanda "Ca va mieux, mamie ?"
Ma mère toussa, reprenant sa respiration, tremblante de peur
Le malfrat lui envoya alors un coup de pied dans les fesses, qui la projeta sur moi
"bon !! allez ! suce le !"
Ma mère faillit s’étrangler
"vous… vous ne pouvez pas…"
elle avait à peine fini sa phrase qu’elle se prit une immense baffe
"hein??? tu rigoles espèce de conne ??? qui est ce qui commande ici ??? Tu vas le sucer ou alors on t’explose !!!!!"
Le gros poussa sa tête vers moi. transi de peur, ma mère dut s’exécuter. Elle prit ma bite dans sa bouche et commença à me sucer.
Au début, je ne bandais pas, bien sûr. j’avais envie de tout sauf de çà. Mais au bout de quelques minutes, je réalisais affolé que finalement ma mère le faisait sacrément bien.
Je ne savais plus où j’étais, c’était terrible : je me forçais à penser à autre chose, mais c’était plus fort que moi : maintenant je bandais bel et bien…
Le petit au flingue rigola
"ha-ha ! hé bien, tu vois quand tu veux !!"
Il envoya un nouveau coup de pied à ma mère
"allez tourne toi, le petit il faut qu’il apprenne un peu la vie… Allez toi, le mioche, baise là ! "
Ma mère était par terre… Je n’osais pas bouger une oreille. Mais comme j’étais tout contre elle, elle me chuchota :
"Ils… ils vont nous tuer, il faut faire ce qu’ils veulent… après ils s’en iront peut être"
Elle me regardait à moitié suppliante. Elle avait raison, je le savais. Elle écarta ses cuisses. Et j’ai enfoncé ma bite…
Au début, c’était assez serré, mais rapidement elle s’est élargie. C’est devenu carrément bon. Je me mis à la tringler de plus en plus vite, laissant ma bite aller et venir tout au fond.
J’ai eu la surprise de jouir assez rapidement. C’était super fort, une éjaculation comme rarement j’en avais eu…
J’avais l’impression de cracher des litres de sperme à l’intérieur de ma mère.
Les deux malfrats étaient en joie
"hé bien ! tu vois, petit salop ! tu vois que c’est bon!!! tu as aimé ça hein ???… bon , à nous un peu ! ta salope de mère nous a bien excités, nous aussi !!"
Ils enlevèrent leurs pantalons, puis chacun à leur tour vinrent derrière ma mère, glisser leur bite et la tringler comme il faut…
Puis ils s’en allèrent.
On est restés là, immobiles avec ma mère pendant un long moment.
Après, nous sommes allés à la police, bien sûr. Mais jamais nous n’avons parlé de ce qui s’était passé entre nous.
Même entre nous, c’est resté assez tabou. On en a pas beaucoup parlé.
Mais je sais que moi, j’ai pris du plaisir, c’est une certitude.
La vision de sa chatte ouverte et moi en train d’aller et venir à l’intérieur est une image que j’ai gardée en tête, ainsi que ma fantastique éjaculation…
Ma mère le sait, je lui ai dis, mais elle n’a jamais vraiment voulu me laisser recommencer
"il faut oublier tout ça ! " m’a t-elle dit
Mais comment oublier ?
