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La panne des sens – Chapitre 5




Après leurs aventures inattendues avec Belinda, John et Joyce doivent bien admettre qu’ils n’ont pas avancé d’un iota dans la solution du problème. Certes, cet épisode torride chez la splendide black aura au moins servi de soupape à Joyce qui en avait bien besoin.

Après s’être déjà abandonnée aux caresses de Lola, elle s’est découverte une attirance certaine pour les femmes et a clairement été active lors de sa deuxième expérience saphique avec la kiné.

Mais, à part avoir constaté que sa femme se révélait, contre toute attente, être bi, John n’a rien retiré de cette consultation !

Ils décident donc de retourner une dernière fois chez le sexologue pour voir s’il a encore une autre solution à proposer. Mais, si ça échoue à nouveau, ils rentreront aux Etats-Unis pour consulter d’autres spécialistes.

Quelques jours plus tard, ils se retrouvent donc une fois de plus assis face au médecin. Celui-ci prend immédiatement la parole.

— Je sais déjà que votre visite chez la kiné n’a pas eu les effets espérés. Je vous avoue que ça m’ennuie car je n’ai jamais connu d’échec avec ce traitement et je ne vois pas très bien ce que je peux encore faire pour vous aider. Il y a bien un truc qu’utilisent parfois mes collègues brésiliens mais je n’y crois pas trop…

— Et de quoi s’agit-il ?

— Il y a, paraît-il, dans un village indien en forêt, un chaman qui, selon leurs dires, fait des miracles. Mais je me méfie des on-dit qui racontent n’importe quoi. Je ne crois pas vraiment dans l’efficacité de leurs incantations mystiques et de leurs filtres soi-disant magiques.

— Et c’est loin d’ici ?

— Non, je ne pense pas. Si ça vous intéresse je peux me renseigner.

— Ben … on ne risque rien à faire une dernière tentative avant de retourner au pays.

— Bon, voyons ça alors.

Il empoigne le téléphone posé sur son bureau et forme un numéro interne.

— Allo ? Joao ? Salut, c’est Frank. Comment vas-tu ?

Après cinq minutes de conversation avec son homologue, il raccroche.

— Voilà. J’ai les renseignements. En fait, ce n’est pas très loin. Il faut prendre le bateau qui remonte le fleuve et débarquer au deuxième patelin rencontré. Il s’agit d’une petite ville où vous trouverez encore les facilités de la civilisation. Là, il faut louer un véhicule tout terrain et emprunter une piste en forêt qui relie plusieurs villages indiens. Le chaman habite un peu avant l’entrée du premier village. C’est à environ une heure de piste.

— Et à quoi le reconnaît-on ?

— A rien. J’ai ses coordonnées de géo localisation et il n’y a qu’à se laisser guider par le GPS. Mais, attention, si vous y allez, prévoyez plusieurs jours car il paraît qu’il se fait parfois tirer l’oreille pour traiter un blanc ! Il risque de vous faire patienter un jour ou deux avant d’accepter, histoire de faire monter les prix !

— A ce propos, comment le paie-t-on ?

— Avec des cadeaux qu’il vous précisera lui-même. Ces gens n’utilisent pas la monnaie, tout se négocie par du troc !

— Bon, et il y a de quoi loger dans le patelin à côté ?

— Oui, bien sûr, mais ne vous attendez pas à y trouver des palaces ! Il paraît qu’il y a quelques hôtels corrects utilisés par les négociants en bois qui travaillent dans le coin.

— D’accord. Qu’en penses-tu, chérie ?

— Oh, on n’est plus à huit jours près. Tentons l’expérience. Mais es-tu sûr que ce n’est pas dangereux ?

— Non, avec mon métier, j’ai l’expérience des tournées en forêt. Comme c’est tout près des endroits civilisés, le risque est très faible, voire nul. Les indiens qui côtoient la civilisation ne sont pas agressifs.

— Bon, alors allons-y.

Le médecin leur donne tous les renseignements dont il dispose et ils prennent congé.

Au moment de partir, le sexologue leur dit avec un petit sourire en coin :

— Quand vous reviendrez, et quel que soit le résultat, venez me raconter !

Deux jours plus tard, John et Joyce embarquent sur un des bateaux qui remontent le Rio Negro. Arrivés à destination, ils se retrouvent sur un quai, dans une petite ville qu’ils ne connaissent pas et se demandent où aller.

Heureusement, un taxi en maraude s’arrête à leur hauteur.

— Vous cherchez quelque chose ?

— Oui, on cherche un hôtel convenable.

— Si vous voulez, je vous emmène au meilleur hôtel du coin. Ce n’est pas un cinq étoiles mais c’est pas mal. En plus, ce n’est pas très loin. D’ailleurs, rien n’est très loin ici. La ville n’est pas bien grande.

— D’accord, on y va.

Le chauffeur met leurs bagages dans le coffre et ils montent en voiture. Effectivement, moins de dix minutes plus tard, ils sont face au desk d’un hôtel plus que correct et demandent une chambre.

— Pour combien de nuits ?

— Euh … ma foi, je n’en sais trop rien. Disons trois. Si c’est plus, on vous avertira.

Après s’être installés, ils redescendent dans le hall et ont la bonne surprise d’y trouver un bureau de location de voiture. Comme conseillé par le médecin, ils louent un pick-up 4×4 et démarrent immédiatement à la recherche du fameux chaman.

Rapidement, le système de navigation les amène à l’entrée d’une piste qui s’enfonce dans la forêt dense de l’Amazonie. Après avoir suivi celle-ci durant une dizaine de kilomètres, ce qui leur prend quand même près d’une heure, le GPS leur annonce « Vous êtes arrivés à destination ».

Eberlués, John et Joyce scrutent tout autour d’eux et ne voient que la jungle autour d’eux. Puis John donne un coup de coude à sa femme.

— Regarde. On dirait un chemin.

Effectivement, un sentier s’insinue parmi les arbres et ils décident de le suivre à pied. Et bien leur en prend car, cent mètres plus loin, ils tombent sur une clairière où se trouvent une habitation en bois et quelques dépendances. A leur approche, un homme sort du bâtiment principal et s’adresse à eux d’un ton bourru dans un portugais hésitant.

— Qu’est-ce que vous voulez ?

— On cherche un chaman. On nous a dit qu’il habitait par ici. On voudrait le consulter.

A ces mots, l’homme se radoucit un peu.

— C’est exact, c’est moi. Quel est votre problème ? Car je ne peux pas tout guérir.

— Ben, on est envoyé par un médecin de Manaus pour un problème de … euh, comment dire, …

— … de panne d’érection ?

— Oui, c’est ça.

— Entrez deux minutes et expliquez-moi ça.

Il se retourne et les précède dans la maison. L’homme est un indien pure race, pas très grand, d’une soixantaine d’année et sec comme un bout de bois. Il est vêtu d’un simple pagne en toile grossière et chaussé d’espadrilles qui ont déjà bien vécu. Ses longs cheveux noirs sont maintenus par un bandeau rouge serré autour de son front.

L’intérieur de la bicoque est d’une simplicité spartiate : pas de meubles à part une table et des chaises en bois, quelques étagères recouvertes de pots en terre cuite, un brasero dans un coin, deux paillasses dans un autre coin et, insolite et trônant au centre de la pièce, une grande table de soins du genre de celle de Belinda mais en moins moderne !

— Asseyez-vous. Donc, Monsieur a un problème de démarrage. C’est étonnant, dit-il en jetant un regard appuyé sur Joyce, mais c’est dans mes cordes. Vous devez cependant savoir que le traitement peut être long et s’étendre sur plusieurs jours. De plus, vous devrez suivre mes instructions à la lettre et vous conformer à mes demandes.

— Bien sûr, c’est logique.

— Et, en échange, vous m’apporterez ce que je vous demanderai.

— C’est-à-dire … ?

— Je ne sais pas encore. Cela dépendra de la difficulté, de la durée des soins et des filtres nécessaires.

Et la négociation annoncée commence. Après de longues palabres, un accord semble se dessiner. Contrairement à ce que craignait le médecin, le vieux sorcier accepte finalement de les recevoir dès le lendemain. Par contre, il se montre fort gourmand car il exige en retour un fusil … et une moto !

John, qui a mené la négociation, est assez surpris par cette demande puis, se remémorant la piste qu’ils ont parcourue, il doit admettre qu’une moto est sans doute bien plus pratique pour circuler qu’une voiture, fut-elle un 4×4. Et, comme il gagne largement sa vie, ce prix est tout à fait dans ses moyens au regard de la profondeur du mal qui le ronge.

— D’accord. On vous amène le fusil demain mais vous aurez la moto seulement quand le résultat sera acquis.

— OK. Ça me va. Venez vers quinze heures et habillez-vous légèrement car il fait très chaud en pleine après-midi !

Alors qu’ils se lèvent pour prendre congé, un bruit de moteur assez proche retentit.

— Il y a une autre piste par ici ?

— Non, pas du tout. Mais il y a une rivière affluente du Rio Negro qui passe derrière ma maison. Et le bruit que vous avez entendu, c’est une pirogue à moteur qui dépose vers dix huit heures tous les jeunes des villages qui rentrent de l’école en ville. D’ailleurs voici ma fille.

La porte s’ouvre sur une très jolie jeune indienne simplement vêtue d’une tunique écrue serrée à la taille par un cordon. Elle est chaussée de sandales plates et n’a aucun maquillage. Sur son dos, elle porte un gros sac moderne qui contraste avec la rusticité de sa tenue. Sans doute son matériel scolaire.

— Je vous présente ma fille Amalia. Elle fréquente l’école de la ville pour sa dernière année. Après ça, elle est promise à un grand destin dans un avenir prochain.

Sans dire un mot, Amalia retire son sac et le dépose sur la table. Puis, elle va s’asseoir par terre dans un coin de la maison et leur tourne manifestement le dos.

— Ne faites pas attention à elle, elle est très sauvage depuis la mort de sa mère il y a six ans. D’ailleurs, depuis ce moment, elle est devenue muette. Elle ne parle pas mais comprend tout ce que vous dites. Donc, si vous avez besoin de quelque chose, vous pouvez le lui demander.

Là-dessus, ils quittent le chaman et sa fille, reprennent la voiture et rentrent à l’hôtel.

………………..

Le lendemain, après une grasse matinée bienvenue et un bon brunch, ils se mettent en route vers quatorze heures. Lorsqu’ils arrivent à destination, le chaman les accueille et les introduit dans la maison. Le brasero aperçu la veille est posé à côté de la table de soins et un mélange d’herbes et de feuilles sèches s’y consume doucement, répandant une odeur douceâtre. Le chaman désigne la table à John et lui dit :

— Déshabillez-vous et couchez-vous sur la table.

John s’exécute et attend la suite.

— Vous, Madame, mettez-vous en face de moi.

Joyce se met donc de l’autre côté de la table. Pour suivre le conseil donné la veille, elle s’est habillée légèrement et ne porte qu’un short, un débardeur et des sandales.

Le chaman commence alors son « traitement ». Il verse une huile transparente sur tout le corps de John en murmurant des incantations et le masse longuement. Puis, il se met à tourner autour de la table en continuant ses prières et s’empare d’un rameau de buisson qu’il trempe dans un bassin contenant un liquide où macèrent différentes plantes mélangées. Il flagelle légèrement tout le corps de John avec ce fouet, insistant particulièrement sur ses organes sexuels.

Toutes ces simagrées, et bien d’autres, durent environ une heure sans le moindre effet sur John, si ce n’est un sentiment de bien être et un abandon total de soi. Quant à Joyce, elle ressent les mêmes sensations.

C’est alors que le chaman s’interrompt.

— Votre homme est habité par des esprits maléfiques qui s’opposent à mes efforts. Il faut m’aider à les combattre.

— Et que dois-je faire pour ça ?

— Il faut mettre votre mari dans de bonnes conditions pour recevoir les bons esprits de la forêt. Il a besoin d’images érotiques pour le stimuler. Enlevez votre haut.

Et Joyce, sans se poser de question tellement elle souhaite la réussite du traitement, retire son débardeur sous lequel elle porte le soutien push-up acheté chez Lola.

Le chaman esquisse un petit sourire et reprend son manège. Et au bout de quelques minutes supplémentaires, il s’arrête à nouveau.

— Ça ne suffit pas. Otez votre short.

Une fois de plus, elle s’exécute sans hésitation et exhibe le string assorti au soutif.

A ce petit jeu, il ne faut pas longtemps pour qu’elle se retrouve entièrement nue devant le chaman dont les yeux brillent d’excitation.

Et c’est à ce moment que retentit le bruit du moteur de la pirogue qui ramène Amalia de l’école.

— Rhabillez-vous. La séance est finie pour aujourd’hui.

Joyce remet ses vêtements et elle est occupée à rattacher sa dernière sandale lorsque la jeune fille pousse la porte. Celle-ci embrasse la scène d’un coup d’il et adresse un regard noir à son père puis va s’asseoir sans un mot dans son coin.

John se rhabille et le couple prend congé.

………………..

Le lendemain, même topo, sauf que le chaman arrive beaucoup plus rapidement au moment où Joyce se retrouve nue devant lui.

Il s’approche d’elle et pose ses mains sur les épaules de la jeune femme qui accepte le contact. Il enchaîne alors en descendant ses mains sur le magnifique corps livré à ses caprices. Comme elle se laisse faire sans protester, il pousse son avantage et s’empare de ses seins qu’il palpe doucement.

— Couches-toi à côté de ton mari.

Joyce, complètement désinhibée par l’ambiance ésotérique, s’étend sur la table comme il le lui a demandé. Le chaman ôte alors son pagne. Il apparaît entièrement nu et exhibe une érection énorme, totalement inattendue chez un homme de son âge.

Il empoigne les chevilles de Joyce et lui écarte les jambes. Puis ses mains remontent le long des jambes de la jolie chinoise et terminent sur son sexe qu’il se met à caresser. Il titille le clitoris et joue avec les petites lèvres qu’il entrouvre petit à petit. Glissant un doigt à l’entrée du vagin, il constate qu’elle mouille déjà abondamment.

Ne pouvant résister plus longtemps, il fourre sa tête entre ses cuisses et gobe son petit bourgeon tout gonflé de désir qu’il se met à sucer avidement. Joyce commence à gémir de plaisir ce qui augmente encore l’excitation de l’indien.

Il empoigne son propre sexe et, pendant qu’il se délecte du goût de la cyprine abondante de Joyce, il se masturbe à grands coups de poignet. De son autre main, il pénètre le vagin de la jeune femme et la branle vigoureusement par des mouvements aller et retour de ses doigts, de plus en plus rapides et profonds. Non seulement Joyce accepte cette pénétration manuelle mais tout son corps, frustré de sexe mâle depuis des mois, hurle son désir de se faire prendre par le dard turgescent de l’indien.

John, impassible, observe la situation. La seule question qu’il se pose c’est de savoir qui, du chaman ou de sa femme, va jouir le premier.

Et c’est Joyce qui explose la première dans un grand cri de plaisir qui se perd dans la nature environnante. Le chaman l’attire alors hors de la table et la pousse à se mettre à genoux devant lui.

— Suces-moi !

Sans hésiter, Joyce engouffre avidement le membre de l’homme jusqu’au fond de sa gorge et commence à le pomper comme si son salut en dépendait ! Elle lui écrase les couilles, lui secoue la tige, lui suce le gland jusqu’à ce qu’il ne puisse plus résister. Il se vide alors à grands jets de foutre qui inondent le visage et les seins de Joyce. Elle l’agite jusqu’à ce que la dernière goutte soit sortie puis le lâche et se redresse.

Pendant qu’elle se nettoie, l’indien attrape un flacon sur une étagère et boit à grandes gorgées un vin de palme qu’il récolte dans la forêt et qui, après fermentation spontanée, produit une boisson hautement alcoolisée.

— Demain, amenez la moto car on va terminer le traitement et John va bander comme un taureau !

Puis il s’écroule et cuve son vin et son plaisir.

John et Joyce sont à peine rhabillés qu’ils entendent le teuf-teuf de la pirogue.

Deux minutes plus tard, Amalia entre dans la maison et, à la vue de son père, nu et ivre mort, lui jette un regard encore plus noir que la veille et se réfugie dans son coin, à l’opposé de l’endroit où gît son géniteur.

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