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Ma féminisation progressive – Chapitre 1




Voilà, je me présente, je m’appelle Cédric, je suis d’un naturel timide et introvertis.

Je mesure 1m75 pour 65 kg de type européen avec les cheveux brun court et les yeux vert.

Je ne suis pas un canon mais je ne suis pas moche non plus.

J’étais célibataire avant de rencontrer celle qui est devenu ma maitresse.

Mais commençons par le début…

A l’époque j’étais célibataire, je quittais mes copines les unes après les autres car je trouvais qu’elle n’avaient pas assez de caractère.

J’en cherchais une qui prendrait les décisions, qui serait plus autoritaire que moi, en un mot qui me dominerais.

Depuis toujours, j’ai été attiré par les pratiques S.M et notamment le bondage et la soumission.

Tout petit, je m’amusais a emprunter les sous vêtements de ma sur pour me travestir, mais je ne l’ai jamais dit a personne, et n’ai jamais parler de ses pratiques à mes ex.

Un soir, alors que je revenais du travail, je croisais sur la route une jeune femme qui semblait être en panne sur le bord de la route.

Je décidais de m’arrêter même si je dois avouer que je ne suis pas un professionnel de la mécanique.

Heureusement pour moi, après un rapide coup dil, je constatais qu’il ne s’agissait que d’une roue qui était à plat.

Concernant la jeune femme qui conduisait ce véhicule, elle était plutôt jolie, elle mesurait dans les 1m80 et était assez fine.

Au premier abord j’aurais pu croire qu’elle étais mannequin.

Elle portait des escarpins noirs avec de jolies bas puis une jupe droite de couleur beige clair et un chemisier blanc.

Malheureusement pour moi ce dernier n’était pas transparent.

Je me stationna donc juste après sa voiture, sur le bord de la route et descendis de mon véhicule.

La conductrice attendait toujours, assise contre le capot de son véhicule et ne jeta même pas un regard vers moi alors que j’arrivais à sa hauteur.

Je décida de prendre les devant et m’annonça à elle:

-"Bonjour, euh… vous avez un problème avec votre véhicule?" dis je bêtement.

Elle me regarda, sourit, puis me répondit :

-"Oui en effet, ma roue est crever, ça m’arrangerait si tu pouvais la changer."

Son tutoiement me déstabilisa.

-"Euh… oui… je vais voir ce que je peux faire."

Je magenouillais alors au pied de son véhicule et me lançais a l’assaut de sa roue.

Pendant que je lui changeait sa roue, j’essayais de lui faire la conversation.

Elle venait d’être mutée en région parisienne et travaillait dans un journal régional d’après ce que je compris.

Elle me dit qu’elle ne connaissait pas grand monde encore dans la région et qu’elle ne connaissait pas non plus les coins sympathique à visiter.

De temps en temps, elle me donnait des conseils sur comment réparer sa roue.

-" Fais comme ça plutôt" ou "C est mieux comme cela".

Je m’efforçais de faire au mieux pour la satisfaire dans l’espoir d’avoir peut être son numéro de téléphone.

Pendant ce temps, elle tournait et virait autour de moi, je la sentais derrière moi en train de me regarder même si moi, je ne pouvais la voir.

Lorsque j’eus terminer de lui remonter sa roue, je lui proposa de la suivre sur quelques kilomètres pour voir si rien ne clochait.

Elle accepta et me demanda, de suite, mon numéro de téléphone au cas ou nous nous perdions sur la route et qu’il lui arriverait malheur.

Je lui donna mon numéro et lui demanda le sien en échange.

Elle me répondit d’un seul ton.

-"Tu n’en as pas besoin, toi".

Je mentendis lui bafouiller une réponse dans le genre "euh oui désolé" et m’efforçais de sourire.

Nous reprîmes la route, moi derrière elle et au bout de quelques minutes je reçu un texto, c’était elle.

-"Arrête de me suivre comme un petit toutou, tu as bien réparé ma roue, je te contacterais plus tard pour te permettre d’être remercier."

Le temps de lire le texto, elle avait accélérer et je l’avais perdu de vue.

Je lu et relu et le texto plusieurs fois.

Au départ, énerver de m’être fait traiter de chien par une femme que je connaissais à peine, je commençais a me demander de quelle façon elle pouvait bien me remercier puisqu’il ne ’s’agissait vraisemblablement pas d’un merci écrit par texto.

Je rentra chez moi avec l’idée que je pourrais peut être profiter de cette jolie femme un soir prochain.

Le sur-lendemain je reçu un texto de sa pars.

Elle voulait en savoir plus sur moi en me prétextant que la façon de me tenir avec elle avait éveiller sa curiosité.

Elle me demanda ce que je faisais dans la vie, si je vivais seul et où.

Depuis combien de temps j’étais célibataire et pourquoi.

Je lui expliquais que je cherchais une femme avec beaucoup de caractère sans pour autant lui dire que mon rêve serait d’être dominer.

Elle me parla très peu d’elle si ce n’est pour me dire qu’elle, en revanche avait beaucoup de caractère.

Je lui répondit qu’à son tour, elle éveillait ma curiosité.

Rapidement elle dévia sur ma vie sexuelle, elle me demanda depuis combien de temps je n’avais plus fait l’amour.

Elle ne se cacha pas lorsque je lui demandais de me répondre à son tour.

Comme je m’y attendais, elle me fit comprendre qu’elle avait pas besoin de chercher longtemps pour trouver quelqu’un à mettre dans son lit.

Mais elle me précisa que ce n’était pas forcément ce qu’elle cherchait.

Lorsque je lui demanda de me préciser ce qu’elle recherchait, elle me répondit juste par un: "tu verras plus tard".

Je fus content de sa réponse car cela sous-entendait que je marquais des points et qu’on était voué a se revoir.

Elle me demanda ensuite si j’aimais faire des jeux au lit de quelques sorte que ce soit.

Mais n’ayant pas vraiment d’expérience, je me creusa la tête pour ne pas paraitre stupide.

Je lui sortis des banalité du genre que j’avais déjà fait l’amour a une femme avec des menottes ou les yeux bandés.

Elle me répondit si j’avais déjà essayé l’inverse c’est à dire moi menotté.

Évidemment je lui cachais bien mes masturbations fréquentes ou je m’attachais tout seul dans ma chambre quant j’étais plus jeune.

Alors, elle me répondit que je devrais essayé, que cela était excitant.

Elle me racont

Nous continuâmes de parler de sexe et d’autres banalités puis elle me demanda si ça mintéressais d’aller boire un verre avec elle prochainement.

Je sentis enfin l’heure ou je pourrais me taper ce petit canon, arriver à grands pas, mais je ne voulais pas qu’elle croit que je n’attendais que ça, alors je lui répondit que je n’était pas tout le temps libre et que cela dépendait de la date.

Elle me proposa le lundi qui suivi mais je lui dis que je n’étais pas disponible.

Alors elle me proposa le Mardi, et ne voulant pas trop en faire, jacceptai bien évidement l’invitation.

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