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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine – Chapitre 15




Chapitre 15 : Une longue nuit (suite)

Morgane se réveilla avec une très agréable sensation. Elle était dans son lit, il faisait encore noir et elle sentit qu’elle était toujours en érection. Elle gémit et souleva la couverture pour essayer de comprendre d’où venait ce titillement. Elle ne fut même pas surprise d’apercevoir Simon, coincé entre ses jambes, en train de pourlécher son abricot encore tout luisant de cyprine.

Il faisait de grands coups de langues qui partaient de sa rosette et finissaient sur son délicat bouton d’amour. C’était délicieux.

-Mmmh Bouffe-moi, mon Simon ! Chuchota-t-elle pour ne pas troubler sa concentration. Abreuve-toi de mon jus.

Elle remit délicatement la couverture sur elle et glissa ses mains dans les cheveux du jeune homme. Ainsi, elle lui faisait comprendre à quel point elle savourait ses merveilleuses caresses linguales.

Le chercheur poursuivait son cunnilingus avec assiduité et gourmandise. Sa langue se faufilait partout : d’abord autour de l’anus, tout de suite après elle plongeait entre les lèvres vaginales pour recueillir un filet de cyprine, puis retournait agacer les parois anales pour ensuite mordiller le bouton rose et gonflé qui surplombait la vulve de Morgane. Cette dernière était aux anges.

Elle saisit sa queue d’une main et se masturba doucement, au rythme des caresses du jeune homme. Elle ne pouvait s’empêcher de pousser de langoureux geignements qui ne laissait pas Simon insensible. Il glissa deux doigts dans la rosette de la jeune femme et fit de lents vas-et-viens qui eurent tôt fait de conduire Morgane aux portes de la jouissance.

Simon retira ses doigts et tourna Morgane sur le côté. Cette dernière se laissa faire, le cerveau trop engourdi par le plaisir qu’avait fait naître l’incursion anale en elle. Le jeune homme vint disposer son sexe à l’entrée de la vulve de Morgane. La queue fut rapidement lubrifiée et Simon n’eut aucun mal à pénétrer la jeune femme. Cette dernière gémit lorsqu’elle sentit la bite écarter ses lèvres vaginales et s’enfoncer en elle.

Simon et Morgane était en petite cuillère. La jeune femme branlait son sexe tandis que son vagin se faisait doucement limer. À chaque poussée, elle ne pouvait s’empêcher de couiner de plaisir. Simon s’empara d’un sein de la jeune femme et le malaxa tendrement.

-Simon, bourrine-moi, je t’en prie. Ce rythme est insoutenable. C’est trop bon, mais je veux plus !

-Dans ce cas, met-toi à genoux

Elle s’exécuta immédiatement, impatiente que le jeune homme la prenne sauvagement. Simon fut surpris de la promptitude de la jeune femme mais compris après qu’elle ne souhaitait que se faire niquer dans les règles de l’art. Il se positionna derrière elle et l’enfila profondément et en force. Le coup fut si fort que Morgane dut s’appuyer contre le mur pour éviter d’être écraser contre celui-ci.

-Mmmh ! Oui ! Comme ça !

Simon n’attendit pas qu’elle se soit remise. Il la perfora à nouveau. La jeune femme cria de plaisir et chaque pénétration qui suivit la propulsait plus en avant. Ça faisait si longtemps que sa chatte n’avait plus accueilli de queue en elle.

-Oh putain, Oui ! Mmmh Que ça m’avait manqué Mmmh d’avoir une bite Mmmh à cette endroit-là ! Vas-y Mmmh mon Simon ! Baise-moi !

Le jeune chercheur accéléra le rythme et les claquements de son bassin sur les merveilleuses fesses de la jeune femme résonnèrent dans la chambre. Il mettait toute sa force dans chaque coup de boutoir et regardait avec satisfaction Morgane se faire écraser contre le mur en gémissant de bonheur.

-Ooh ouiii ! Plus vite, mon Simon ! Mmmh Plus vite !

Elle se mit à se branler sauvagement. La queue de Simon entrait avec vigueur en elle lui procurant de délicieuses sensations. Finalement, Simon la poussait tellement fort qu’elle se retrouva à genoux, écrasée contre le mur. Son énorme verge était dressée le long de son ventre, contre le mur. Elle ne parvenait plus à se masturber mais prenait un incroyable plaisir à se faire prendre par le chercheur.

-Vas-y Mmh Mon Mmh Simon ! Mmh !

Elle ne parvenait presque plus à parler tant le sexe du jeune homme la perforait violemment. Le plaisir montait en flèche en elle mais elle tentait de résister le plus possible afin de profiter au mieux de cette sauvage pénétration.

-Oui ! Mmh Je Mmh Je vais Mmh Simon, je Mmh Je jouiiiiiiis ! S’exclama-t-elle.

Une grosse quantité de cyprine s’échappa de son vagin. Le liquide coula en cascade le long de ses jambes et vint imbiber son oreiller. Sa queue éjacula de longs traits de semence qui vinrent arroser le mur et tout son corps. Elle hurla de plaisir durant tout l’orgasme tandis que Simon continuait de la baiser avec rudesse.

Finalement, ce dernier sortit sa verge du vagin de la jeune femme qui était toujours en pleine jouissance et se positionna devant l’anneau anale de Morgane.

Celle-ci crut mourir lorsqu’elle sentit la queue de Simon plonger dans ses entrailles. Le jeune homme se mit à pilonner son superbe cul en soufflant comme un taureau.

-Mmmh putain ! Simon, Mmh qu’est-ce que Mmh tu me mets !

Le jeune homme fut pris de frénésie quand il sentit sa propre sève monter. Il encula Morgane à un rythme effréné. La jeune femme se remit à crier de plaisir et Simon éjacula dans son cul. Morgane eut un nouvel orgasme. Son anus se contracta autour du sexe du jeune homme et déversa un peu de liquide sur le bassin de ce dernier. La queue de Morgane éjacula une nouvelle fois et son vagin se liquéfia davantage.

Les deux amants exténués se recouchèrent dans le lit. Les coussins étaient imbibés de sueur, de mouille et de sperme mais le jeune couple s’en foutait littéralement.

Simon et Morgane s’enlacèrent. La jeune femme avait beau être couverte de semence, Simon la serra fort contre lui. Il y avait quelque chose de nouveaux entre eux. Un lien, peut-être Aucun mot ne pouvait décrire ce qu’ils ressentaient.

Tous deux souriaient aux anges, heureux comme rarement ils l’avaient été durant toute leur existence

Le soleil se levait.

La nuit fut longue …

******

Vers midi, Morgane ne tenait plus sur sa chaise. Juliette, la jeune fille avec à qui elle avait « expliqué » les subtilités de la langue française la veille lui lançait des regards lubriques et très équivoque qui ne laissait aucun doute sur ses pensées. Morgane, depuis la nuit torride qu’elle venait de passer, avait beaucoup plus de mal à résister à ses pulsions. Elle ignorait pourquoi mais les coups d’il de la jeune fille ne la laissaient pas indifférente.

Au souvenir de sa nuit passée avec Simon, des vagues de désirs déferlèrent sur son bassin. Elle sentit le sang afflué et sa queue lentement se dresser. Toute paniqué, elle chercha un moyen de se calmer. Son regard tomba sur Juliette, dans le fond de la classe, qui déboutonnait son chemisier laissant apercevoir la naissance de ses magnifiques seins. Tout en faisant cela, elle se mordait la lèvre inférieure de manière extrêmement érotique.

Morgane se força à détourner ses yeux, mais déjà son sexe grossissait dans son pantalon. Elle croisa les jambes puis les décroisa : la position n’était pas agréable

Elle avait deux heures avec cette classe ensuite ce serait la pause de midi et elle pourrait aller se soulager si elle tenait jusque-là Doucement, elle sentit ses tétons lentement s’ériger et sa vulve se liquéfier.

Oh non ! Gémit-elle intérieurement. Pas maintenant

Soudain, la sonnerie retentit.

-Très bien, nous allons faire une petite pause, s’empressa-t-elle de dire.

Elle lança un coup d’il à Juliette puis s’enfuit de la classe. Le couloir était désert car tout le monde avait actuellement deux heures d’affilées. De plus, les élèves n’étaient pas autorisés à déambuler sans autorisation dans les couloirs. Morgane courait presque tant elle avait besoin de se soulager. Elle atteignit les toilettes et entra dans la première cabine. Elle fourra immédiatement sa main entre ses jambes et gémit lorsque ses doigts pénétrèrent son vagin détrempé. Elle se doigta rapidement en essayant de gémir le moins possible.

-Vous voulez un coup de main, madame ?

Morgane sursauta et retira prestement sa main. C’était Juliette.

-Oh Juliette ! Tu m’as fait peur !

-Si vous ne vouliez pas être surprise, il fallait fermer la porte, dit la jeune fille en verrouillant la cabine derrière elle.

Elle termina de déboutonner son chemisier, le retira et baissa son pantalon. Lorsque Morgane la vit en soutien-gorge et en string, elle ne résista pas bien longtemps. Elle tomba à genoux, abaissa le bout de tissus rose qui couvrait l’objet de ses désirs et embrassa goulûment la chatte de la jeune fille.

L’érection de Morgane fut quasi instantanée. Pour éviter que son élève ne la voie, Morgane passa derrière elle et continua à lécher son abricot. Sa langue glissa ensuite sur toute la longueur de la raie du cul de Juliette et s’arrêta sur la petite rosette. Elle y fourra sa langue avec malice. Juliette geignit et mordit son poing tant c’était bon.

Morgane se releva. Les gémissements de la jeune fille l’avait mis hors d’elle. Elle sortit sa verge en érection et luisante de sécrétion et la posa sur le dos cambré de Juliette. Cette dernière se retourna. Ses yeux s’agrandirent de stupeur.

-Qu’est-ce que  ?

Morgane ne lui laissa pas le temps de finir sa question. Elle déplaça son sexe jusqu’à l’entrée de l’anus de la jeune élève et entra doucement en elle. Juliette s’accrocha à la cuvette de WC et mordit son bras pour faire le moins de bruit possible. Le sexe de la prof progressait en elle avec un incroyable délice.

-Oh putain ! Que c’est bon !

Juliette n’avait pu retenir son exclamation. Elle sentait son cul écartelé comme jamais. La bite glissait avec une étonnante facilité dans son anus encore vierge vingt secondes plus tôt. Finalement elle sentit l’énorme gland buter tout au fond d’elle. Jamais elle n’aurait cru ressentir pareille sensation. C’était tout bonnement incroyable.

Morgane s’allongea sur son dos en l’enlaçant et fit de légers mouvements de bassin qui mirent Juliette dans tous ses états. La jeune fille n’avait qu’une envie : exprimer son plaisir en gémissant tout son soûl.

-Juliette ?

Morgane et la jeune fille cessèrent de respirer lorsqu’elles entendirent l’appel. C’était une élève qui avait vu Juliette partir de la classe et qui l’avait suivi. Juliette n’avait aucune envie de se faire voir par une amie alors qu’elle était en train de se faire proprement enculer par sa prof qui de plus était une femme ! La jeune fille retint sa respiration et pria pour que la fille s’en aille. Mais c’était sans compter Morgane qui était d’humeur plutôt joueuse ce matin

-Tu es là ?

La prof reprit ses mouvements de vas-et-viens et glissa une main jusqu’à la vulve de son élève. Cette dernière referma immédiatement ses jambes.

-Écarte les cuisses, sinon Susurra avec jubilation Morgane à l’oreille de son élève.

Voyant que Juliette ne bougeait toujours pas, la prof s’enfonça davantage dans son cul et continua même quand elle sentit son gland toucher le fond. Elle poussa, poussa Jusqu’à ce que Juliette cède sous cette infâme mais délicieuse torture et écarte les jambes. La main de Morgane se rua sur la vulve de la jeune fille. Cette dernière laissa échapper un léger gémissement qui fut malheureusement perçut par son amie.

-Ah, je t’ai entendu, s’exclama-t-elle. Mais qu’est-ce que tu fabrique ?

Elle se mit à escalader la porte des toilettes

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