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Les jeunes de l'allée C – Chapitre 1




Je m’appelle Sandra, j’ai 31 ans, je suis infirmière indépendante.

Un matin, je fus appelée par une dame pour lui donner un traitement par injections (des piqûres quoi) à faire chaque jour à son domicile pendant un mois. Dès le lendemain je me rendis donc chez cette personne. Elle habitait dans un complexe de plusieurs immeubles, un peu vieillot, et surtout mal entretenu comme l’on peut en trouver en périphérie de toutes nos grandes villes. Une fois garée au milieu de dizaines de voitures sur un parking délabré où quelques carcasses en ruines ou brûlées décoraient le paysage avec une certaine harmonie, je me dirigeais vers l’allée où résidait ma patiente : la C. Sur l’escalier qu’il fallait emprunter pour accéder à l’entrée, étaient assis cinq jeunes d’une vingtaine d’années.

— ’Bonjour !’

Deux seulement me répondirent.

— ’Excusez moi c’est bien l’allée C ?’

— ’Oui m’dame vous voulez passer ?’

— ’S’il vous plait oui’

L’un d’eux se leva et je me glissa entre les autres.

— ’Merci’

— ’Mais c’est normal de laisser passer une jolie femme’

— ’Je vous remercie’

Ma mission accomplie je ressortis de l’immeuble et me retrouvai de nouveau confrontée aux même personnages.

— ’Pardon’

— ’Ah revoilà notre belle inconnue ! passez’

Le jeune homme écarta ses bras autour de moi et descendit les marches avec moi.

— ’N’ayez pas peur si vous tombez je vous rattrape !’

— ’Oh merci quelle élégance !’

— ’C’est normal vous êtes tellement jolie qu’il ne faudrait pas que vous tombiez’

Je savais bien que tout ceci n’était qu’un jeu mais cela avait au moins eu l’avantage de m’amuser.

Afin d’organiser au mieux l’ensemble de mes rendez-vous quotidiens, je planifiai mes visites chez cette dame toujours en début d’après-midi. Aussi, très vite, mes entrées et sorties de l’allée C furent remarquées et je crois même attendues, car je finis par retrouver chaque jour les cinq même jeunes, toujours sur l’escalier de l’allée C. Un jour, cela devait être le quatrième, je fis tomber involontairement mes clefs juste devant eux au bas des marches, je me penchai pour les ramasser.

— ’Oooh je voudrais bien des airbags comme ça dans ma voiture put… !’

J’avais oublié l’échancrure de mon chemisier qui leur dévoila mon soutien-gorge noir.

— C’est vrai ? Mais vous savez ceux-là ne vous protègeraient pas beaucoup’.

— ’Si parce que si je les avais dans ma voiture je ne roulerai plus je passerais mon temps à les déclencher pour les recevoir dans la figure’.

Je me mis à rire.

— ’Hé madame pourquoi vous venez ici tous les jours ?’

Je leur expliquai donc la raison de mes visites et montai justement faire mon travail.

Le lendemain, à mon arrivée, ils étaient encore là, le plus entreprenant des cinq (que j’appellerai Jean), celui avec qui je discutais toujours un peu et qui me faisait sans cesse du charme, lança devant les marches un trousseau de clefs.

— ’Ah zut mes clefs ! Excusez-moi madame vous pourriez me redonner mes clefs s’il vous plait, je me suis foulé la cheville et je peux pas bien descendre les marches ?’

Bien sûr et pourquoi pas la jambe cassée aussi pendant qu’il y était.

— ’Et vos amis ils peuvent pas descendre eux ?’

— ’Oui mais comme vous passez juste devant…’

En réalité cela m’amusa et je ramassai les clefs comme demandé. Malheureusement n’ayant pas la tenue adéquate, ils furent un peu déçus.

— ’Ah bin non on n’a rien vu !!’.

Finissant par trouver ce personnage amusant, sympathique et je dois le reconnaître plutôt mignon, je me surpris à lui répondre :

— ’Demain peut-être !’

— ’Ah oui ? hé m’dame vous allez venir encore combien de fois!!’.

Il me restait encore trois semaines de traitement mais je ne voulais pas leur dire.

— ’Ha encore quelques fois…’.

Chose promise chose due, le lendemain matin, sortant de ma douche, je décidais de lui faire une surprise en laissant mes seins libres sous une chemise très large et optai pour une jupe mi-longue fendue généreusement sur le devant. Arrivée sur le parking je fis sauter le second bouton de ma chemise en ouvrant un peu plus le col. Devant l’allée C mes petits amis étaient au rendez-vous, je marchai jusqu’à l’escalier et là je fis tomber (mais cette fois volontairement), un mon sac que j’avais pris soin de laisser ouvert. Mon petit bazar personnel s’en échappa et se répandit par terre.

— ’Ah zut qu’est-ce que je suis maladroite alors !’

Une fois accroupie au-dessus de mes affaires, je me pencha en avant pour les ramasser. J’eus le droit à quelques compliments allant même jusqu’à de l’aide.

— ’Attendez je vais vous aider !’.

Mon charmant Don-Juan se précipita devant moi pour m’aider.

— C’est gentil d’avoir pensé à moi’

En le regardant je constatai que son regard était plongé dans ma chemise. Je décidais de l’allumer.

— ’Non c’est normal t’es si charmant avec moi’

A ces mots j’écartai légèrement les jambes, cela ouvrit la fente de ma jupe qui lui offrit ainsi une vue imprenable sur mon entrejambe.

— ’Oh pas mal, mais je suis pas très dessous, je préfère la liberté, comme eux là’.

Il fit un petit geste de la tête pour désigner ma poitrine.

— ’A bon ! moi qui pensais te faire plaisir’

— ’A ouais ! C’est sympa merci, mais je suis un peu déçu parce que j’ai toujours entendu dire que les infirmières étaient nues sous leurs blouses ?’.

— ’Je sais mais ce n’est qu’une légende à mon avis et en plus cela ne concerne que les infirmières qui travaillent dans les hôpitaux’

— ’C’est c… parce avec une jupe comme ça ce serait plutôt cool. Et ça vous arrive jamais de vous habiller sans rien dessous ?’

Cela m’arrivait en effet mais je ne voulais pas le lui avouer de façon trop directe.

— ’Peut-être’

— ’Ah ça ça me ferait plaisir !’

Toutes mes affaires étaient retournées dans mon sac à l’exception d’un stylo. Je tendis la main vers lui pour qu’il me le rende mais il se releva et se recula.

— ’Vous viendrez comme ça demain ?’

— ’Je sais pas’

Je me relevai et voulus lui prendre le stylo des mains mais il le retint.

— ’Alors ?’

— ’On verra, s’il fait beau, et si j’ai envie, enfin je vais y réfléchir allez lâche mon stylo ma patiente doit m’attendre !’.

Il lâcha prise et me laissa passer.

Lorsque je redescendis, ils étaient tous assis sur les marches ne laissant pas de place pour descendre.

— ’Excusez-moi vous pourriez vous écarter un peu ?’

Jean s’allongea sur les marches et me lança.

— ’Si vous voulez descendre il faudra me passer sur le corps !’

Il prononça cette phrase d’un ton très théâtral et je pensais qu’il plaisantait, mais ce n’était pas le cas.

— ’Ah bon, et je te marche dessus ?’.

Il poussa alors les cuisses de son voisin qui ne bougea que de dix centimètres environ.

— ’Voilà de la place pour tes pieds !’.

Comme je n’étais pas particulièrement en avance, et je n’avais pas le temps de m’amuser ou de discuter alors je m’avançai et descendis les marches en lui passant au-dessus. Ma jupe étant fendue, il put tout à loisir profiter de l’ouverture généreuse qu’elle lui offrait pour se rincer l’?il.

— ’Alors satisfait ?’

— ’Mais non je t’ai dit que je n’aimais pas les dessous ! je pensais que tu avais compris et que tu aurais fait ce qu’il fallait’

— ’Chez ma cliente !? C’était difficile ! Bon allez je suis en retard’.

Je me mis à courir…

Le soir même la dame de l’allée C m’appela pour annuler la visite du lendemain car elle devait s’absenter. Bizarrement, pensant à ce jeune homme qui prenait de plus en plus de liberté en vers moi, je ressentis comme un léger regret. Aussi deux jours plus tard, et dans la perspective de ma nouvelle rencontre avec la bande de copain du C, je m’habillai de nouveau en jupe, mais si je laissai de nouveau mes seins en liberté, j’enfilai tout de même après avoir hésité un string. Cette décision me fit remplacer la jupe que je portais par une autre beaucoup plus courte, fendue à l’arrière pensant compenser ainsi la déception que j’allais sans doute donner à Jean.

Arrivée devant l’allée C, mes acolytes étaient là.

— ’Alors je t’ai attendu hier tu as eu peur ?’

— ’Non ma visite a été annulée !’

— ’Bon tu veux passer je suppose ?’

— ’Evidemment !’

Il se coucha de nouveau sur les marches.

— ’Cette fois j’espère que tu as pensé à ce que je t’ai dit !’

Le jeu m’amusait et puis j’avais bien prévu ce petit exercice en m’habillant ce matin, alors je m’avançai et commençai mon ascension. Deux d’entre eux se levèrent et se placèrent juste après la tête de Jean, et me barrèrent le chemin. Je fus donc obligée de m’arrêter juste au-dessus du visage de Jean.

— ’Alors elle en a ou pas ?’

— ’Oui mais pas pour longtemps !’

Les deux mecs m’attrapèrent par les bras, les deux autres de chaque côté de Jean me prirent les pieds, et Jean glissa ses mains sous ma jupe.

— ’Hé qu’est-ce que vous faites !!?’

Jean se saisit de mon string et le fit glisser jusqu’à mes chevilles, là ses deux voisins me soulevèrent les pieds l’un après l’autre afin que Jean puisse dégager entièrement ma culotte. Cela s’est passé si vite que je n’ai même pas eu le temps de ma débattre.

— ’Voilà maintenant t’es une vraie infirmière’

Jean profita de la vue quelques secondes avant que ses amis ne me lâchent. Je me précipitai alors jusqu’à la porte de l’allée.

— ’Put… t’es c… non !? Allez rends-moi ça !’

— ’Va travailler d’abord je te la rendrais quand tu redescendras’

— ’Ca va pas non je ne vais aller chez ma patiente comme ça ! Avec la jupe que j’ai !?’

— ’T’auras qu’à rester debout ! Allez on t’attend !!’

Voyant qu’il ne changerait pas d’avis je me résignai et entrai dans l’allée.

Vingt minutes plus tard je ressortis de chez ma cliente et attendis devant l’ascenseur que ce dernier se libère. Soudain je le vis arriver, je me reculai pour laisser sortir les personnes qui l’occupaient mais je fus alors surprise car il s’agissait de Jean et de l’un de ses copains (que je nommerai Georges).

— ’L’ascenseur de madame l’infirmière est arrivé, quel étage ?’

Je trouvai cela un peu bizarre mais entrai tout de même avec eux.

— ’C’est gentil de venir me chercher vous aviez peur que je me perde ?’

— ’Oui on sait jamais’

Jean appuya sur le bouton du rez-de-chaussée, puis, après deux étages enfonça le bouton d’arrêt.

— ’Tu veux récupérer ton string ?’

— ’Hé qu’est ce que tu fais ?’

— ’Tu veux le récupérer ou pas ?’

— ’Oui bien sûr’

— ’Alors montre-nous tes seins’

— ’Non mais ça va pas non, et puis tu les as déjà vus !’

— ’Aperçu seulement, alors je voudrais les voir complètement maintenant, tu vas pas me dire que ça te gène quand même ,’

— ’Mais si ! J’ai pas l’habitude de m’exhiber sur demande !’

— ’Bon allez on va pas rester là cent dix ans !’

Georges me prit par la taille.

— ’Allez ouvre ta chemise ou c’est Jean qui te l’arrache, après tu ne pourras plus la fermer et pour tes autres visites tu seras bien emmer…’

Le ton était monté d’un cran et je les sentis soudain un peu agités. Curieusement cette situation me plaisait et je finis par céder.

— ’Ok ok !!’

Je fis sauter les deux boutons du haut de mon chemisier et en écartai les pans afin de dévoiler ma poitrine.

— ’Ouvre le complètement !’

— ’Mais vous les voyez suffisamment comme ça non !’

— ’Justement non allez ouvre !’

Je tirais alors dessus afin de le faire sortir de ma jupe et le déboutonnai entièrement. Georges l’attrapa par le col et le fit descendre jusqu’à mes coudes. Jean s’approcha et commença à me peloter, Georges remonta ses mains jusqu’à mes seins et les caressa également. Satisfaite de ces actions et désireuse d’en finir, je les laissa faire. Mais petit à petit je me fis prendre au jeu et commençai à aimer ça, Georges s’était serré contre moi et me pencha ma tête en arrière contre son épaule, il en profita pour m’embrasser dans le cou, je fermai les yeux et laissai faire. Jean avait échangé ses mains contre sa bouche et plus particulièrement sa langue qui me massait les tétons. Ses mains quant à elles s’étaient posées sur le haut de mes cuisses et remontèrent jusqu’à mon sexe en relevant ma jupe. Ses doigts entreprirent immédiatement de me pénétrer. Ce contact très intime aurait du me faire tout arrêter, mais j’étais déjà envahie par un doux sentiment de plaisir alors… au contraire je cambrai les reins. Georges que j’avais sentis remuer derrière moi se colla contre mes fesses, je sentis son sexe se caler dans ma raie car il était gonflé et très dur. J’eus alors un doute car je le sentais vraiment très bien et je me demandai s’il ne l’avait pas sortie de son pantalon, je voulus me retourner pour vérifier mais Jean me retint et m’enfonça davantage ses doigts dans mon ventre, cela fit son effet et je renonçai. D’autant plus que ma question eut rapidement une réponse. Georges releva l’arrière ma jupe et une fois mes fesses entièrement dénudées, je sentis cette fois sans aucun doute que son sexe était bel et bien à l’air. Il le frotta contre mon cul puis le glissa entre mes cuisses, et commença de petits va et viens. Jean se baissa devant moi et sa langue qui avait déjà remplacé une fois ses mains, prit de nouveau leur place et commença à le lécher. Très vite elle s’introduisit entre mes lèvres. Un tel traitement m’avait amenée à mouiller et je sentais et le sexe de Georges glissait sans aucune difficulté. Ayant libéré ses mains, Jean m’attrapa les chevilles et exerça une telle pression que je ne pus l’empêcher de les écarter. Aussitôt Georges présenta son membre contre mon sexe et le poussa à l’intérieur.

— ’Où tu vas c’est ma place ?’

— ’Eh bin alors viens !’

Georges se retira et plaça son sexe contre mon anus.

— ’Non pas là, chacun votre tour si vous voulez mais pas en même temps !’

— ’On va se gêner !’

Jean se releva, j’aperçus furtivement son sexe qu’il avait lui aussi sorti, il se plaqua contre mon ventre me le glissa entre les jambes. Georges appuya de plus en plus contre mon cul et finit par s’y enfoncer, et Jean me pénétra de toute sa longueur.

— ’Ah non put… vous me faites mal !!’

— ’Laisse toi faire et ça va passer’

— ’Non Georges attend ton tour !!’

— ’Trop tard !’

— ’Ouais laisse toi aller tu va voir tu va prendre ton pied après’

Je savais qu’il avait raison mais en attendant j’avais l’impression que l’on me déchirait l’anus. Petit à petit, ayant tous les deux commencé leurs va et viens, ma douleur s’estompa et disparue rapidement pour ne laisser que du plaisir. Rapidement en effet, sentant ces deux membres sortir et entrer en moi, j’arriva au plaisir suprême de la jouissance. Georges soudain me donna de grands coups de reins entre les fesses et je sentis une ondée de chaleur pénétrer mon cul.

— ’Put.. ça y est j’lui fait son compte…’

— ’Moi aussi je viens je viens oui…’

Jean éjacula sans arrêter ses coups de boutoir, aussi je sentis son breuvage couler sur mes cuisses, il continua pourtant encore et encore jusqu’à que son sexe soit presque totalement débandé. Georges se retira doucement, cette sensation me donna un dernier frisson de plaisir, son sperme dégoulina également entre mes fesses et le long de mes jambes.

Afin de reprendre mes esprits, je m’appuya contre la paroi de l’ascenseur que Jean débloqua une fois rhabillé. Une fois en bas, je réalisai que moi je n’avais pas pris le temps de mettre de l’ordre dans ma tenue. Jean ouvrit la porte.

— ’Attends !!!’

Mais là quelle surprise, nous n’étions pas au rez-de-chaussée mais au sous-sol. Georges remonta mon chemisier sur mes épaules et me poussa à l’extérieur.

— ’Put… vous en avez mis du temps !!’

Les trois autres amis de Jean étaient là à nous attendre.

— ’Ouais mais on vous l’a préparée elle est bien chaude maintenant’

— ’Hé non ça va pas vous tous là, j’ai eu mon compte pour les autres ce sera une autre fois !!!’

— ’Hé ça va pas l’infirmière !? tu crois qu’on a attendu si longtemps pour pas nous amuser nous aussi ?’

Georges me poussa en avant et Jean s’approcha de moi.

— ’Vous allez voir les seins qu’elle a’

— ’Non laisse elle va nous les montrer elle-même !! N’est ce pas l’infirmière ?’

— ’Ah non ça va recommencer !? Ecoutez si vous voulez on remet ça demain avec vous mais pas maintenant !’

— ’Pourquoi puisque t’es chaude ?’

— ’Ouais bin justement j’ai eu ma dose de chauffage’

— ’Montre nous tes nichons on verra après !’

— ’Ok mais vous me laisser partir après ok ?’

— ’Vas-y montre !!’

J’ouvris alors mon chemisier en grand.

— ’Ouais pas mal put… c’est vrai qui sont beaux !’

— ’Et sa chatte comme elle bonne !’

— ’Ah ouais, et bien on va goûter !’

— ’Non allez soyez sympa je me suis laissée faire par eux je me laisserais faire par vous mais demain allez…’

— ’Bon ok mais moi je veux d’abord goutter ta chatte et on te laisse partir’

Jean me prit par le bras et me tira en avant. Je me suis retrouvée dans un grand local plein de vélos de scooters et autres pièces mécaniques. Contre un mur se trouvait une banquette arrière de voiture où Jean m’assis. Paul, je vais l’appeler ainsi, s’avança et se mis à genoux devant moi et m’écarta les jambes entre lesquelles il glissa sa tête. Au premier contact avec sa bouche je sursautai, sa langue me lécha tout d’abord les lèvres, puis s’enfonça légèrement afin de jouer un peu avec mon clito. La délicatesse et la douceur avec laquelle il le léchait me surprit, et mon appréhension disparut rapidement.

— ’Alors Paul c’est bon ?’

— ’Attend faut qu’elle mouille un peu, que je goûte son jus’

Cette réponse me fit comprendre que cela allez durer plus longtemps que ce que je pensais, mais il s’y prenait tellement bien que je me laissais aller.

— ’Ca y est elle me coule dessus ! humm elle est bonne put…’

Quelques minutes plus tard en effet je retrouvai un certain plaisir que je laissai échapper entre mes cuisses.

— ’Laisse-moi y goutter aussi Paul !!’

Un autre se plaça à côté de moi et continua l’action de paul. Sa langue le lécha rapidement les poils avant de s’enfoncer en moi mais plus profondément que ne l’avais fait paul. Le cinquième de la bande ne voulu être en reste et se mit de l’autre côté pour me sucer les seins. Aussi, sous l’action de tout ce petit monde, le plaisir m’envahit de nouveau, je pris la tête de Paul et l’appuya contre mon sexe. Tout en ayant sa langue dans ma chatte, je sentis que des doigts l’accompagnaient. Ces derniers s’enfoncèrent loin en moi et commencèrent leur manège dans un rythme assez soutenu.

Soudain mes deux voisins se relevèrent, m’attrapèrent pour me relever, Paul se coucha sur la banquette et l’on me mit au-dessus lui. Paul se déboutonna et baissa son pantalon, son sexe était dressé comme un menhir et l’on m’appuya sur les épaules afin que je m’accroupisse. Je n’avais pas bien le choix et finalement j’en avais envie. Je m’empalai donc doucement sur cette colonne de chair jusqu’à m’asseoir complètement. Paul me prit par les épaules et me coucha sur lui, l’un de mes voisins de tout à l’heure se mit à genoux au-dessus de mes seins et me présenta son sexe, lui aussi en grande forme. Jean et Georges se placèrent derrière moi pour me tenir la tête et les épaules légèrement soulevés afin que je puisse plus facilement prendre en bouche leur compagnon, et c’est ce que je fis. Les va et viens de Paul commencèrent à m’exciter de plus en plus fortement, cela motiva mon action sur la queue que je suçais. Soudain, je sentis le cinquième de la bande se placer entre mes jambes, je m’attendais donc à ce que Paul se retire pour laisser la place à son pot, mais pas du tout, ce nouvel arrivant présenta son sexe contre le mien et celui de Paul, et doucement appuyer contre mes lèvres, petit à petit ces dernières s’écartèrent un peu plus et lorsque Paul ressortit son membre jusqu’au gland, celui de son ami pénétra finalement à l’intérieur. Je n’y croyais pas, ils voulaient me prendre ensemble.

— ’Non attendez pas en même temps non vous allez me déchirer la chatte !!!’

Jean me prit la tête et me força à reprendre en bouche la queue que je venais d’abandonner.

— ’Suce et t’occupe pas du reste !’

Paul et son ami s’enfoncèrent en moi en même temps et jusqu’au bourses, curieusement je n’eus pas mal, au contraire, je pris un réel plaisir à sentir ces deux sexes en moi. De plus en plus vite ils entraient et sortaient de mon intimité, je me sentais fondre de jus tellement je prenais du plaisir, à chaque fois qu’ils me pénétraient ils allaient tout au fond de ma grotte à jouir, et du coup je suçais de plus en plus fortement le sexe de mon cavalier.

— ’Ah put… je vais jouir’

— ’Moi aussi viens viens on va lui en mettre plein la bouche à cette cochonne !!’

L’ami de Paul se retira et se plaça juste au-dessus de ma bouche que j’ouvris grand en laissant quelques instants le sexe qui l’occupait. De longues giclées de foutre m’arriva tout d’abord sur le visage, je m’avançai, ainsi les autres se déposèrent directement sur ma langue, je voulus le prendre en bouche mais son copain me tourna la tête afin de présenter ma bouche en face de sa queue qui m’envoya sa semence. Lui avait carrément posé son sexe sur ma langue et déchargea la totalité de son sperme dans ma bouche.

— ’Allez bois tout salope !!’

Je refermai mes lèvres sur son sexe et avalai son jus entièrement, puis je me remis à le sucer quelques secondes.

— ’Viens faire le ménage aussi ici’

Je laissai la queue du premier pour avaler celle du second et lui lécher jusqu’à qu’il n’y est plus aucune trace de sperme. Paul éjacula presque en même temps et son foutre était si chaud que l’intérieur de mon sexe était en feu, heureusement il se retira rapidement.

— ’Hé moi aussi je veux qu’elle me nettoie amenez la moi ici !’

Jean et Georges me leva et me coucha sur les jambes de Paul, je pris son sexe en bouche et le suça généreusement. Une fois tout le monde nettoyé, Jean me releva et me présenta mon string.

— ’Tiens tu l’as vraiment mérité, mais la prochaine fois ne met rien sous ta jupe si non on recommence’.

Nous nous sommes tous rhabillés et je suis rentrée chez moi directement pour prendre une bonne douche et téléphoner à mes patients pour m’excuser de mon absence.

Mes visites chez ma patiente de l’allée C se sont naturellement poursuivies jusqu’à la dernière, et à chaque fois, il fallait que je montre à Jean, suivant sa demande, soit mes seins, soit ma chatte, soit les deux, et j’ai été prise encore deux autres fois par Jean, et une fois par Georges et Paul en même temps. Cette expérience m’a tellement donné du plaisir que je n’exclus pas retourner les voir un jour.

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1 Commentaire

le pépé 2022-08-19 at 16h29

ou la ptite cochonne! Elle aime bien les moulouds, c’est vrai qu’eux c’est des vrais hommes

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