Histoires de sexe arabes Histoires de tromper

La fille puis la mère – Chapitre 2




Me voila dans de beaux draps : la mère dans mon lit, la fille qui exige pratiquement que sa mère la baise. Je n’en suis pas mécontent, la perspective de voir deux nanas se faire l’amour m’est déjà agréable. Si, en plus, ce sont mère et fille, c’est encore plus excitant. Je me relève, la fille en profite pour se mettre nue devant sa mère et pour l’embrasser sur la bouche. Qu’ont ces deux femmes à vouloir baiser ensemble ? La fille demande à sa mère de la branler comme elle aime. Cette rousse a décidément de curieuses façons de faire. Le plus fort pour moi, c’est de voir la mère et la fille s’embrasser sur la bouche et enfin de voir la main maternelle glisser sur le sexe de sa fille et la branler bien mieux que je n’aurais pu le faire. Pendant cette masturbation la fille se laisse aller complètement sur l’épaule de sa mère et elle lui donne de petits baisers dans le cou.

Je me demande ce qu’il me reste : en baiser une, mais laquelle ? Elles sont aussi agréables à niquer. En sucer une des deux ? Alors, la mère, puisque son con est encore libre. Pourquoi pas ? Elle a bien aimé mon cunnilingus tout à l’heure. Avant que je ne me décide, les voilà en 69 : la mère et la filles se sucent en même temps. Je ne sais que faire de ma bite. Je ne peux que me branler en regardant ce spectacle bandant. Elles se retrouvent l’une sur le dos, avec la langue maternelle sur le clitoris et lautre sur le ventre suçant le con de sa fille. Je n’ai plus que peu de mouvements à faire. Je pose ma pine sur le cul le plus proche. Je crache dessus et j’y rentre. La rousse pousse un léger soupir et elle accepte ma bite, d’autant plus que sa mère me guide sur le cul de sa fille. Je pousse juste un peu pour me retrouver en entier dans ce cul. La mère continue de sucer, elle me caresses les couilles en même temps : un vrai délice rare !

Je les veux toutes les deux à la fois et je le leur dis. Qu’à cela ne tienne, je suis couché sur le dos, ma queue au garde à vous, je ne sais qui viendra se l’enfiler mais, au fond, je m’en fous.

C’est la mère qui vient se poser seule sur ma queue, qu’elle se met non pas au con, mais au cul. Sa fille pose son sexe sur ma bouche. Je n’ai que l’embarras du choix. Je commence comme la première fois que je l’ai sucée : je lui mets ma langue dans le cul pour ensuite lui sucer son long clitoris. Elles s’arrangent entre elles pour s’embrasser encore sur la bouche et la fille branle sa mère avec beaucoup de délicatesse. Elles jouissent plusieurs fois, en tout cas bien avant moi. Je me lève pour les regarder s’aimer encore. Elles cessent enfin. Je peux leur poser la question qui me turlupine : comment en êtes-vous venues à vous faire amour ? La première fois la fille avait à peine treize ans quand sa mère la voyait se branler. Elle en était très excitée et elle venait remplacer la main de sa fille par la sienne. La suite se devinait : elles continuaient toujours leur jeux amoureux avec bonheur, surtout depuis la mort du mari. Aujourd’hui, c’était différent : elles avaient envie d’une bite bien vivante pour se la farcir. La ruse marchait puisqu’elles m’avaient eu comme commun amant : j’étais le premier. Si j’étais d’accord, je deviendrais leur amant officiel. Pour fêter ça, toutes les deux venaient encore me faire bander : chacune me voulait dans le con, l’une après l’autre pour que je les fasse bien jouir. Le plus fort, c’est que j’y arrivais.

Related posts

salope de mére – Chapitre 2

historiesexe

Une cousine délicieusement soumise – Chapitre 4

historiesexe

Mes premiers congés payés – Chapitre 36

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .