Lorsque je rentre chez moi, je prends une douche, mange un bout et je rejoins Prissou et Thibault deux étages plus haut. Lorsque j’arrive, je vois Prissou aux fourneaux tandis que Thibault et Kamel jouent à la console de l’autre côté de l’appart. Je me précipite vers ma meilleure amie pour lui raconter ce dont il m’est arrivé dans les moindres détails, mais celle-ci me fait la gueule. Elle s’est inquiétée, a eu peur pour moi et moi, j’arrive les étoiles dans les yeux et la chatte satisfaite prête à lui raconter ma vie. Je la comprends, mais cela me frustre, j’ai beau m’excuser, je vois qu’elle n’est pas prête à m’écouter. Je vais rejoindre les deux garçons sur le canapé. Thibault m’interpelle.
— Alors t’es passée où toi ? On s’inquiétait à mort !
— Désolée, mais je n’ai pas vu le temps passé, j’étais avec un mec et ….
Kamel m’interrompt.
— Et quoi ? Et tu es allée avec lui, il t’a baisée sans relâche pendant deux jours, il est parti, t’as laissée seule et là, tu te sens conne parce que tu ne le retrouveras sans doute jamais ? Eh bien, moi aussi, je me suis senti con, quand ce mec est venu t’aborder, tu m’as laissé tomber alors que j’avais voulu passer la soirée avec toi. Mais tu t’en fous de moi, toi, tu ne penses qu’à toi parce que tu sais que quoi qu’il arrive, je serais toujours là pour toi. Je ne sais pas encore combien de temps, je vais endurer ton petit jeu avec moi.
— Quel petit jeu ? Demandais-je
— Rien, de toute façon cela ne sert à rien. Tu sais que je t’aime, je n’arrive pas à savoir si c’est seulement amical ou amoureux, mais en tout cas, c’est passionnel. Je ne peux pas me passer de toi, et toi ça, tu le sais, mais tu préfères continuer à m’utiliser, à m’appeler quand tu as une peine de cur, à te plaindre que tu ne trouveras jamais, "un gars comme moi’’….
Il continue encore quelques minutes à déballer son sac, je n’arrivais plus à l’écouter. L’ambiance s’était refroidie ici, Priss et Thibault étaient mal à l’aise, moi encore plus. Il avait raison, je l’aimais beaucoup, mais je ne peux pas m’imaginer sortir avec lui, pourtant, il est typiquement le genre de mec que j’aime physiquement parlant, mais je ne sais pas, c’est comme s’il n’avait pas de bite. Il a toujours était là pour moi, dans toutes mes histoires amoureuses depuis le collège, il a été celui qui m’a remonté le moral, qui s’est battu pour moi. Cela fait maintenant six ans que l’on partage tout, nous nous sommes connues bien avant que Priss que les deux autres ne rejoignent le groupe, bien avant qu’ils soient en couple. Mais une question me passe par la tête, justement, c’est mon ami et je l’aime plus que n’importe quel homme sur cette terre, je sais très bien que je ne tomberais pas amoureuse de lui. Alors qu’il n’a toujours pas fini sa tirade, je le coupe :
— Vient, on va parler dans mon appart ce sera toujours mieux que devant nos amis qui n’ont pas envie d’assister à ça.
— Très bien ! répond-il sur un ton plus qu’énervé.
Il m’ouvre la porte et je passe devant pour descendre les escaliers. Je sais ce que je vais faire, mais je ne sais pas comment il va le prendre, je roule des fesses au maximum pour attirer son regard sur mon cul. C’est mon atout principal, bien gros, rebondit et rond, un vrai cul d’Algérienne quoi. Je sais très bien qu’il m’a maté, je n’en ai pas la preuve, mais j’en suis sûr. J’ouvre la porte de chez moi et nous rentrons. Je lui dis de s’asseoir pendant que je prends quelque chose à boire dans la cuisine. Alors qu’il reprend là où il en était, je me déshabille tranquillement, il ne me voit pas. Il fait froid chez moi, alors que j’enlève mon pantalon et mon pull, je commence à avoir la chair de poule. Je vais m’offrir à lui, pour savoir. Cela va le calmer, cela va m’excuser de l’avoir lâché et je vais peut-être savoir s’il est l’homme que je recherche. Mes sous-vêtements ne sont pas assortis, ma coquetterie m’empêche de me montrer comme cela, j’enlève tout. Mes tétons pointent et mes lèvres intimes se raffermissent. Il n’a pas intérêt à me repousser, pour attirer son attention, je lui demande :
— Tu veux que je te serve dans quel mug ?
— Je m’en fous celui que tu veux ce n’est pas impor….
Il se retourne et me voit, là, toute nue, le regardant droit dans les yeux avec un petit sourire provocateur. Le temps s’est, semble-t-il, arrêté, il me reluque de haut en bas, je me rapproche petit à petit sans le lâcher du regard, il ne fait rien et se plonge dans mes yeux, je ne vois pas s’il est d’accord ou pas, mais en tout cas, il ne fait rien pour me repousser. Je me sens salope sur le coup, je me jette sur lui et l’embrasse, je colle mes seins sur son torse et essaie de le plaquer en arrière pour me mettre sur lui, il ne se débat pas, comme d’habitude, je fais ce que je veux de lui. Mais là, il n’est pas question de domination.
Je m’allonge sur lui et je continue de l’embrasser, il embrasse très très bien, je prends du plaisir, je lui mordille un peu la lèvre, et je me colle complètement contre mon meilleur ami. Je sens qu’il bande très très fort, sa bite est à l’étroit dans son jean, il pose ses mains sur ma taille et me caresse tendrement. Je n’ai jamais senti autant d’affections chez un mec. Kamel m’aime et je le sens. Je lâche ses lèvres et je me dirige vers son gourdin. Là, je ne veux pas croiser son regard, de peur d’avoir honte et de prendre conscience de ce que je suis en train de faire. Je libère sa verge de son pantalon et c’est à mon tour de bugger. Il a une bite IN-CRO-YA-BLE ! Elle est longue, épaisse, circoncise, un gland bien rose bien gonflé sans doute par l’excitation, j’oublie à qui elle appartient, je rentre dans un état second et je lui bouffe littéralement le vier.
Alors que je lui enlevais le pantalon, il a tenté un signe de réfraction, mais au moment où sa bite est rentrée dans ma bouche, il s’est complètement relâché. Visiblement, je lui ai fait beaucoup d’effet puisqu’il lâcha tout en moins de vingt secondes de fellation. Je l’avais en bouche et j’avalai tout, involontairement, les jets étaient si puissants qu’ils allaient directement au fond de mon organisme. Je pensais avoir les bonnes choses mais visiblement, il n’en avait pas fini avec moi.
À suivre…
1 Commentaire
Bien aimé cependant ca manque de mots cru