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Section TG – Chapitre 19




35-

— Tu t’es bien foutu de ma gueule toi et ta copine, dit Anton d’une voix tranquille. Tu travailles pour qui ?

Et il me jeta tous les mouchards que j’avais placés dans la pièce.

— Répond ! dit Ludmilla en m’assénant une tape derrière la tête.

— Au début j’ai pensé à un concurrent. Mais non, on a chacun notre territoire et ils savent qu’il ne faut pas me chercher. Mais toi tu ne sais pas et tu vas l’apprendre. Cela dit, ça ne va pas te servir à grand-chose.

Il éclata de rire.

— Mais bon, au moins j’ai pris du plaisir à te sauter. Lud’ fait parler cette pute et ensuite tue-là.

Ludmilla m’attrapa par les cheveux et me tira à sa suite, abandonnant mes mules dans le bureau. Elle fit un détour par sa chambre où elle prit un sac, surement des instruments de torture récupérés dans une geôle du KGB, puis elle m’amena dans son antre, la salle de sport.

Elle me jeta sur le premier banc de musculation, posa le sac à terre et fouilla à l’intérieur. Elle en ressortit un gode-ceinture monstrueux. D’où diable pouvait-elle tenir un engin pareil ? Et surtout, avec qui s’en servait-elle ? Avec Marie la cuisinière ? Même si elle avait des formes généreuses, ça restait quand même énorme.

— Tu as beau aimer te faire enculer, tu vas me supplier d’arrêter. Et tu me diras tout ce que je veux savoir.

Je ne répondis pas, essayant de lui monter que j’étais paniquée à l’idée de ce qui m’attendait. Il fallait absolument que je trouve une solution pour sortir de ce pétrin.

Ce ne fut que lorsqu’elle passa une jambe dans le harnais que je me décidai à agir. Je me levai d’un bond et lançai mon pied sur son genou. Il plia mais pas dans le sens prévu par la nature. Ludmilla tomba à terre, sans jambe formant un angle bizarre qui me donna un haut le cur. Elle me regarda, surprise. Visiblement, elle ne s’attendait pas à une riposte de ma part. Mais la guerrière repris le dessus sur la femme. La haine et la colère remplacèrent la surprise sur son visage. Elle se releva sur sa jambe valide et saisit un haltère qu’elle comptait ranger entre mes deux oreilles, marmonnant un truc en russe. Surement quelque chose du genre, « je vais te crever salope ».

Mon poing heurta son menton à pleine vitesse et sa tête bascula en arrière. Les vertèbres émirent un craquement sinistre. Ludmilla s’écroula. Définitivement.

Je quittai la salle de sport en courant pour arrêter Anton avant qu’ils ne mettent les voiles. Je croisai Marie dans le couloir.

— Qu’est-ce qui se passe ? demanda-t-elle.

Mais je ne répondis pas, continuant ma course dans les escaliers que je montai trois par trois. Un cri déchirant monta du sous-sol.

J’arrivai dans le bureau où Anton s’évertuait de réduire en confetti des documents compromettants

— Alors Lud’, elle a parlé ? demanda-t-il sans se retourner

— Un truc en russe, dis-je en répétant phonétiquement les dernières paroles de l’ex membre des forces spéciales.

Anton se retourna.

— Comment tu as pu …

— Ne jamais se fier aux apparences, jamais, dis-je.

— Je note la leçon pour la prochaine fois

— Il n’y aura pas de prochaine fois. Tu es fini Anton.

Il éclata de rire.

— Tu as pu avoir Lud’ par surprise. Mais pas moi.

Des bruits de pas dans le couloir. Marie déboula dans la pièce brandissant un long couteau de cuisine au-dessus de sa tête.

— Je vais te crever salope ! hurla-t-elle en se ruant sur moi

Décidément, elles étaient vraiment faites pour s’entendre. Je m’écartai et jetai mon pied sur son plexus. A son tour, Marie s’écroula au sol, mais seulement KO.

— Pas mal, commenta Anton. Apparemment, tu sais te servir d’autre chose que de ton cul.

— Je te l’ai dit, ne pas se fier aux apparences, répliquai-je en ramassant le couteau.

Il ouvrit un tiroir et brandit un révolver.

— Et tu sais aussi arrêter les balles ? Ça m’ennuierai de te tuer. J’ai passé de bons moments avec toi. Mais si tu bouges, je n’hésiterai pas.

Encore du bruit dans la maison. Cette fois, c’était Vanessa, essoufflée, ses escarpins à la main.

— Tiens donc, dit Anton. Qu’as-tu fais de Sergeï ? Il est mort ?

— Il est attaché. Mais pas mort. Enfin à condition qu’il ne bouge pas trop.

Anton était derrière son bureau, moi et Vanessa de chaque côté de la pièce.

— Tu ne pourras pas nous avoir toutes les deux à la fois dis-je en positionnant mon couteau pour le lancer.

— C’est vrai. Mais je peux tenter ma chance, répondit Anton en me mettant en joue.

Vanessa profita de l’attention qu’Anton me portait pour sauter au-dessus du bureau. Elle planta le talon de son escarpin dans la jugulaire du mafieux. Une détonation claqua.

Vanessa roula sur l’épais tapis. Anton arracha la chaussure de son cou. Une giclée de sang barra le bureau tandis qu’il s’effondrait à son tour.

Je me précipitai. Vanessa était allongée. Une tache rouge s’étalait sur son chemisier au niveau de son ventre.

— Non, Vanessa, non ! crié-je. Ne me laisse pas, tiens bon. S’il te plait.

Je me mis à pleurer, tout en faisant un point de compression au niveau de la blessure. Vanessa avait pris la balle qui m’était destinée. Elle m’avait sauvé la vie.

J’attrapai le téléphone et composai le quinze. Puis j’appelai Sophie Garan

— T’inquiète, murmura Vanessa. Je ne suis pas morte. Pas encore.

— Oui, eh bien, t’as pas intérêt. Sinon c’est moi qui te tue.

C’était con comme réplique. Mais c’est tout ce que j’avais trouvé pour dédramatiser la situation.

— Tu peux récupérer mes chaussures ?

— On s’en fout de tes pompes Van’. Reste en vie plutôt.

— Des Louboutins à sept cent euros, ça me ferait bien chier de les perdre.

Je la regardai, sidérée partant de matérialisme alors qu’elle se vidait de son sang.

— Ok, ok, je récupérerai tes Louboutins, dis-je sur un ton railleur.

Le Samu arriva très vite et emmena Vanessa à l’hôpital Foch de Suresnes. Sophie Garan arriva peu de temps après avec toute la cavalerie.

— Putain, c’est quoi ce merdier ? demanda-t-elle, peu amène.

— Notre couverture est tombée et on a dû improviser.

— Et vous étiez obligées de tuer tout ce monde ?

— Tu aurais préféré que ce soit nous par terre ? Finie la section TG. Hop, dossier classé.

— Non, non, ce n’est pas ce que je voulais dire. Et qui va nettoyer tout ça maintenant ?

— Ben toi ! Moi, j’ai assez fait de ménage pour aujourd’hui.

36-

18 août 2017

Il était à peine huit heures du matin mais il faisait déjà très chaud.

Je revenais de mon footing, profitant des sentiers encore déserts avant l’arrivée des touristes que déversaient les bateaux de liaison avec le continent.

J’avais toujours entendu parler de Porquerolles mais de là à y passer plus d’un mois de congés…

Vanessa reprenait du poil de la bête après avoir pris une balle à ma place. Ella avait eu de la chance car quelques centimètres, elle finissait sa vie dans un fauteuil roulant. La seule perte à déplorer était son rein.

Je sortis de la douche, nouai un paréo au-dessus de ma poitrine et je la retrouvai sur la terrasse, une tasse de thé à la main.

— Bien couru ? demanda Vanessa.

— Oui, pas trop mal compte tenu de la chaleur. J’ai mis un peu plus d’une heure et demie pour faire le tour.

— Toujours quinze kilomètres ?

— Oui. Et le sentier qui remonte de la plage est toujours aussi raide.

— J’en ai marre de rester là à attendre. Surtout que je n’ai plus mal nulle part.

— Je te comprends. Mais il vaut mieux attendre un peu et être sure que tout est bien cicatrisé, plutôt que de tout péter.

— Tu as raison, je sais. Mais n’empêche…

— On ira à la plage tout à l’heure, avant qu’il n’y ait trop de monde.

Je débarrassai la table et attrapai mon magazine de mots fléchés.

— Il y a un truc auquel je pense de plus en plus, dit Vanessa, brisant le silence.

— Ah bon. Et à quoi tu penses ?

— Tu te rappelles quand on est arrivée le premier soir chez Anton ?

— Euh, oui vaguement. La partouze ?

— C’est ça. Et tu te rappelles qu’on a fait l’amour Toutes les deux ?

— Oui, je m’en rappelle, dis-je avec d’étranges picotements au niveau du ventre.

— Tu te rappelles que c’est toi qui étais derrière moi ?

— Oui aussi. Mais ça s’est trouvé comme ça. Pourquoi tu me dis tout ça ?

— Parce que tu m’as sodomisée et pas moi. On n’est pas quitte. Et qu’on avait dit qu’il ne se passerait rien entre nous.

— Et tu voudrais rétablir cet équilibre.

— Oui dit Vanessa, doucement, après un court silence. Enfin, si tu veux.

Je regardai mon amie. Est-ce que je le voulais ? La raison disait non mais mon corps en mourrait d’envie. Quand j’avais embrassé Vanessa ce soir-là, ça m’avait fait tout drôle, tout comme serrer ses hanches dans mes mains.

— J’ai peur que ça ne soit pas une bonne idée, dis-je

— Bah, qu’est-ce qu’on risque ?

— D’y prendre goût ? répondis-je

— Si ce n’est que ça, c’est pas un risque bien grave, dit Vanessa. Et puis on est de grandes filles maintenant. On saura se contrôler.

Elle peut-être. Mais moi ?

Toujours est-il qu’elle n’attendit pas de réponse de ma part. Elle se pencha et m’embrassa. Encore cette étrange sensation au contact de ses lèvres.

Elle se releva et dénoua son paréo. Elle était nue, son sexe pendant sur ses cuisses bronzées.

Je m’avançai et le pris entre mes lèvres. Vanessa soupira. Très vite, son sexe prit de l’ampleur jusqu’à devenir très dur.

— Viens, dit-elle, on va dans ma chambre.

Je me relevai et lui volai un baiser avant de la suivre. Son cul ondulait devant moi, démarche encore plus chaloupée car perchées sur ses Louboutins qui avaient occis Anton. Les « killing shoes » comme elle les appelait.

Sans qu’elle ne me demande quoi que ce soit, je me mis à quatre pattes sur son lit.

Elle caressa mon petit trou avant de finir de le dérider avec sa langue. Elle me saisit part les hanches et me pénétra doucement. Je laissai échapper un gémissement de plaisir.

Elle me fit l’amour un long moment, prenant son temps. Je ne savais pas si c’est parce que ce serait l’unique fois, ou si elle y prenait un réel plaisir.

Elle se retira. Je faillis crier « oh non, continue ». Mais c’était elle qui menait la danse et dirait quand c’était fini.

Elle me fit allonger sur le dos et revint en moi.

— J’ai veux te voir jouir, dit-elle

Elle s’activa. De plus en plus vite. Je saisis mon sexe pour le masturber mais elle m’arrêta.

— Si tu dois jouir, ce sera sans tes mains, ordonna Vanessa.

Je ne lui connaissais pas ce côté dominateur. Mais j’aimais bien.

Elle ralentit le mouvement, se contentant de grands coups de reins qui enfonça sa queue profondément entre les miens. Elle me regardait avec défi, ses yeux semblant dire « tu vas jouir ou pas ? ».

Un maquillage léger réduit à un trait d’eyeliner et du mascara qui mettaient en valeurs ses yeux bleus, ses jolis seins bien ronds, je trouvai Vanessa extrêmement belle.

— Embrasse-moi, demandé-je.

Elle se pencha et me donna ses lèvres. Je passai mes bras autour de son cou pour garder sa bouche contre la mienne. Elle continua de s’activer en moi. Soudain je sentis sa semence chaude m’inonder. Et à mon tour, j’éjaculai entre nos deux ventres.

On resta ainsi, un moment, échangeant des baisers sans fin. Son sexe perdit de sa vigueur. Elle s’allongea à côté de moi, regardant le plafond en silence.

— Tu sais pourquoi j’ai voulu faire instit’, demanda-t-elle au bout d’un moment.

— Juillet et août ?

— Pff, t’es conne !

— Les petits enfants alors ?

— Mais arrête ! Tu es immonde ! Il ne faut pas plaisanter avec ça ! Jamais !

— Ok, ok, je retire ce que j’ai dit.

— Ce n’est pas les gamins qui m’intéressaient, mais plutôt leur mère. A la rentrée, on demande tout un tas de renseignements, notamment qui a le droit de venir les chercher. Et on repère très vite les mères célibataires.

— Et ça a marché ? demandé-je, étonnée de cette méthode de drague.

— Deux fois. Ma dernière liaison a duré deux mois. On a rompu juste avant Noël. Un mois plus tard, on était réuni pour ce projet de fous.

— Pourquoi tu me racontes tout ça ?

— Pourquoi ? Parce qu’avec le recul, je crois que j’aime bien ma nouvelle vie. Si un jour on m’avait dit que je serai une espionne, j’aurai bien ri. Mais le fait est qu’on est bien des espionnes. Des James Bond en jupons. Des chevaliers d’eon modernes. J’ai vécu des aventures peu ordinaires, rencontré des gens pas toujours recommandables. Et d’autres que je ne voudrais pas quitter pour rien au monde.

Elle prononça ces derniers mots en plantant son regard dans le mien.

Encore une fois, je ressentis cette étrange sensation dans ma tête, dans mon ventre. Je commençai à comprendre où elle voulait en venir. Et dans un sens je crois que je n’attendais que ça.

Je roulai sur elle et l’embrassai fougueusement.

— Moi aussi, je t’aime Van’.

Elle me serra dans ses bras, m’embrassant passionnément cette fois.

On refit l’amour.

La semaine se passa doucement. Désormais on couchait ensemble. J’étais son petit chat ou son chaton, elle était ma puce, ma chérie, mon amour.

On se baladait bras dessus, bras dessous. On ne manquait pas une occasion de nous embrasser, même si on était en public. Les gens nous regardaient avec un sourire au coin des lèvres, parfois méchamment, nous vouant surement à toutes les flammes de l’enfer.

Sophie Garan arriva en fin de semaine.

— Bonjour les filles. Les vacances sont terminées. Vos valises sont prêtes ?

— Oui tout est prêt, dis-je.

— Euh, j’ai loupé un épisode ? demanda Sophie en nous voyant un geste tendre entre nous.

— Disons que les événements nous ont rapprochées.

— Et rapprochées jusqu’où ? continua Sophie inquiète.

— Jusqu’à avoir un vrai appartement rien qu’à nous.

— Ben voyons ! Et puis quoi encore ?

— Allons Sophie. Je suis sure que tu peux faire ça. Ensuite on fera tout ce que tu voudras. Même si on le fait déjà.

On s’était approché d’elle et on commençait à jouer avec le col de sa robe. Une robe blanche légère à travers de laquelle on pouvait deviner des sous-vêtements blancs.

— Eh, ça va pas non ? Qu’est-ce que vous faites ?

— Chuuuut ! Tu sais que tu es très excitante dans ta petite robe blanche.

— Non, on n’a pas le temps. Il faut qu’on prenne le bateau. Il y a un avion qui attend.

— Il attendra. C’est grâce à toi qu’on s’est rencontré. Il faut qu’on te remercie comme il se doit.

— Bon, ben, voilà, c’est fait, dit Sophie.

Mais je sentais que son ton devenait moins ferme.

Je glissai ma main sous la robe, montai le long de sa cuisse à la peau douce, passai mes doigts que le string étrangement humide.

Elle réprima un soupir d’aise.

On l’entraina dans la chambre la plus proche et on la coucha sur le lit.

Je remontai sa robe et léchai son sexe par-dessus le lycra. Vanessa s’occupait de ses seins.

Je la pénétrai en premier pendant qu’elle suçait Vanessa. Puis on échangea nos place avant de la prendre toutes les deux ensemble.

On voulut remettre ça après avoir repris notre souffle mais Sophie se montra intransigeante et nous quittâmes Porquerolles.

Le lendemain, nous étions toutes en tenue de cérémonie dans le salon du ministère de l’Intérieur. Le locataire des lieux, accompagné du Premier Ministre et du Ministre de la Défense, nous fit Chevalier de la Légion d’Honneur. Tout comme Fabien et Claudia.

Nous fîmes aussi la connaissance du Général Garan, mari de Sophie et détaché auprès du Président de la République. Il nous expliqua un peu son rôle et on comprit qu’il était souvent en déplacement. Je fis un clin d’il complice à Sophie qui baissa la tête pour cacher ses joues rouges.

Epilogue

— Tu es sure de ne pas vouloir garder la maison ?

— Non, non. Au contraire. Cette maison, c’était celle de François, celle de sa réussite. Réussite, mon cul ! Regarde où ça l’a mené : au cimetière via la case prison. Tout ça pourquoi ?

Nathalie l’avait amère. Même si elle avait divorcée, le meurtre de son mari en prison avait fait les choux gras de la presse locale et n’avait pas été sans répercussion sur sa vie privée et professionnelle.

D’un commun accord avec Isabelle, elles avaient décidé de quitter Strasbourg et de s’installer à l’autre bout de la France.

Nathalie vidait donc la maison qu’elle avait partagée avec son feu-ex-mari. Elle se rappela les soirées aux invités de marques, les réceptions, les parties fines. Elle triait ce qui restait de son dressing et qu’elle n’avait pas pu amener dans le petit appartement d’Isabelle. Tout le reste serait soit vendu aux enchères, soit donné à des uvres de bienfaisance.

— Tu as même un manteau de fourrure ? s’étonna Isabelle en décrochant une lourde housse.

— Oui, un cadeau de François, pour fêter sa première élection. Aujourd’hui, la fourrure n’est plus vraiment appréciée.

— Je peux l’essayer ?

— Vas-y, fais-toi plaisir.

Isabelle défit le zip et un objet tomba par terre.

— Tu caches des dossiers dans tes manteaux ?

— Non, pourquoi ?

— Tiens, regardes !

Nathalie ouvrit la chemise.

— Putain, j’y crois pas !

— Qu’est-ce que c’est ?

— Dis-moi, tu es déjà allé en Suisse ?

— Non, jamais.

— Moi, si. Plusieurs fois. Mais je n’ai jamais visité de banque. Et tout d’un coup, j’ai très envie de voir si les salles des coffres sont aussi sures qu’on le dit. Il parait qu’on y trouve des trésors.

Fin

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