Tout l’été fut maussade, pluvieux, venteux, froid Mais en cette fin de septembre, le soleil refit son apparition, cela faisait plusieurs jours que celui-ci s’évertuait à réchauffer l’atmosphère de ses rayons.

Aujourd’hui Ophélie, qui profite d’un jour de repos, est bien décidée de se réchauffer elle aussi sous ce soleil, aussi depuis ce matin elle se démenait pour terminer rapidement ses tâches ménagères. Il était presque 14 h quand elle finit d’étendre sa dernière lessive dans le jardin, elle voit du coin de l’il son grand transat, qui l’attend près de la piscine. Il lui reste encore à laver les sols, mais la tentation est trop grande, son besoin de recharger ses accus à l’énergie solaire est plus forte que l’envie de finir son ménage, celui-ci, après tout, pourra être terminé plus tard.

Ophélie rentra donc dans la maison, passe dans sa chambre, elle fouille dans ses tiroirs, elle trouve enfin ce qu’elle cherche, un joli bikini turquoise sans bretelle. C’est celui que lui avait offert Agathe son amie d’enfance, juste avant de partir finir ses études au Canada, cela faisait déjà un an que sa meilleure amie était partie au Canada pour suivre un programme Erasmus, elle devait y intégrer une école a la renommée internationale, où elle devait obtenir un diplôme universitaire en commerce international.

Ophélie entrepris de se changer, elle commence par enlever son vieux tee-shirt, encore un morceau de tissus sentimental, cela fait longtemps qu’elle le traine, il n’est donc plus de première fraicheur, il y a à divers endroits quelques trous, les couleurs sont passées d’un rose bonbon à un vieux rose tout délavé, presque insipide, à plusieurs occasions sa mère lui avait proposé de le mettre au rebu. Mais pour quelle raison ne voulait-elle pas le jeter ce vieux tee-shirt, elle-même ne le sait pas, elle le trouve confortable, mais pas du tout présentable. Mais elle se sent tellement bien dedans. En se regardant dans le grand miroir de sa chambre, juste avant d’ôter ce vieux morceau de tissus, elle remarqua que sa poitrine qui est libre de tout mouvement, et plus particulièrement ses tétons, se dresse sous l’étoffe, elle s’en amuse. Était-ce le frottement du tissu ou le souvenir des jeux coquins qui lui est arrivé de pratiquer avec Agathe ?

Elle ôte son tee-shirt et se retrouve la poitrine nue, elle a pris l’habitude de faire son ménage en tenue décontractée, il y a donc sur son corps de 22 ans juste un leggin et ce vieux bout de tissus qu’elle appelle tee-shirt. Sa poitrine reprend sa position initiale lorsque ses bras retombent le long de son corps. Elle observe son reflet, elle y voit une jeune et jolie femme, pas très grande, 1,65m, sa chevelure blonde légèrement bouclée retombe sur le devant de ses épaules juste au-dessus de sa poitrine, elle trouve que cela met en valeur ses seins de taille respectable, 95 C, son regard descend sur son ventre, a la peau lisse, elle entreprend de baisser son leggin, doucement, sensuellement, elle découvre la naissance de ses fesses, puis le galbe de celles-ci, c’est ce même galbe qui fait se pencher sur elle tant de regards. En pensant à toutes ses personnes qui se tordent le cou en la croisant, elle sentit une légère chaleur dans son ventre. Elle finit de baisser son leggin en tortillant des fesses et en se penchant en avant et en gardant les jambes tendues, elle imagine tous ces regards insistants, comment réagiraient-ils en voyant ce spectacle.

Oseraient-ils s’approcher, peut-être même que certains tenteraient d’y poser leurs mains. À ces pensées elle sentit la chaleur dans son ventre augmenter légèrement. Elle se redresse, attrape son bikini, commence par le string, puis la brassière, Agathe ne s’était pas trompée en lui choisissant ce bikini, la couleur lui va bien au teint, et la coupe met bien ses formes en valeur.

Elle attrape ses lunettes de soleil, passe par la salle de bain pour prendre sa crème solaire, et entreprend de se diriger vers la piscine, en passant devant la cuisine elle se dit qu’un bon rafraichissement et quelques friandises ne seraient pas de trop pour affronter ce soleil, elle prit au passage un livre, elle est enfin prête à offrir son corps aux caresses du soleil.

Elle s’installe confortablement sur son transat, et commence à étaler de la crème solaire sur son ventre, ses cuisses, ses mollets, pour remonter vers sa poitrine, sa peau était encore assez claire, il faut dire qu’avec le mauvais temps de cet été Ophélie n’avait pas bronzé, en regardant sa poitrine elle ne remarque aucune trace de bronzage, la chaleur dans son ventre était toujours présente, peut-être que c’est cette chaleur qui lui donna l’envie de se mettre topless pour cette séance de bronzage. Elle observe autour d’elle, elle ne voit personne, pas un bruit dans les propriétés voisines, certainement que tout le monde est au travail, la haie qui entoure le jardin lui procure assez t’intimité, pour qu’elle ose retirer sa brassière. Elle finit de passé la crème sur son corps, en insistant sur sa poitrine, celle-ci le mérite elle n’a pas l’habitude de rencontrer les rayons du soleil, c’est même la première fois qu’elle ose se mettre dans cette tenue en extérieur. Il reste quelques heures de soleil et elle compte bien en profiter un maximum.

Cela faisait maintenant 1h30 qu’elle se laisse caresser par le soleil et une légère brise, celle-ci lui procure régulièrement quelques frissons, qui n’ont rien de désagréable.

Paul son jeune voisin, qui n’a pas cours cette après-midi, c’est lui aussi installé sur un transat dans son jardin, il se lève avec l’intention de prendre un rafraichissement à la cuisine. En longeant la haie mitoyenne quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il aperçut, par un espace clairsemé dans la haie, Ophélie. Il connait bien Ophélie pour avoir joué ensemble lorsqu’ils étaient enfants, à l’époque leur différence d’âge ne leur posait aucun problème, puis en grandissant ils se sont éloignés. Paul a déjà remarqué qu’Ophélie était devenue une très jolie femme, aux formes qui ne laissent pas les hommes indifférents. Mais la dernière fois qu’il l’avait vu en maillot de bain elle devait avoir 10 ans, même si son souvenir était encore net dans son esprit, aujourd’hui c’est une tout autre chose, il ne résiste pas et l’envie d’observer ce corps, il écarte un plus les branches de la haie, il admire le corps d’Ophélie, lorsque son regard arrive sur sa poitrine il fut surpris de voir ses seins nus, Paul tout juste 18 ans, et les seules poitrines qu’il avait pu voir se limitait aux sites pornographiques, bien sûr il avait déjà eu quelques petites amies, mais il avait tout juste pu effleurer à travers leurs vêtements ces jeunes poitrines qui étaient bien plus menues.

La poitrine d’Ophélie n’avait rien à voir avec celle de ces petites amies. Toujours est-il que s’il a déjà pu en effleurer, il n’a jamais eu la possibilité de les voir. Il regarde avec attention, pris le temps de détailler la moindre parcelle de peau d’Ophélie qui n’était qu’à quelques mètres de lui, il aurait presque pu les toucher. Quelle torture, pour ce jeune homme encore pubère, comment résister à un tel spectacle, bien sûr avec la vue de ce corps il ne fallut pas longtemps pour qu’une réaction ce fasse sentir dans son short. Paul se sachant seul chez lui, et à l’abri du regard d’Ophélie qui semblait s’être endormie, sort son sexe et commence à le caresser doucement. Cela dura plusieurs minutes, soudain un sentiment de culpabilité traversa son esprit, comment pouvait-il espionner ainsi sa voisine, c’était immoral, il se rappela son intention première, il s’était levé pour s’hydrater, il se résolu de rejoindre la cuisine, peut-être qu’un peu de fraicheur lui remettrait les idées en place, il ouvrit le frigo et prit un soda bien frais, il alluma sa console, et commença une partie afin de lui faire oublier ces images.

Cela faisait 20 minutes qu’il s’acharnait sur ce jeu et pas moyen d’avancer, il n’arrive pas à se concentrer.

Régulièrement, le sublime corps d’Ophélie lui apparait comme une vision, il a comme la sensation que l’air autour de lui devient irrespirable. Plus le temps passe et moins il n’arrive à ce concentrer, les visions d’Ophélie se font de plus en plus présente, il craque, il n’en peut plus, il éteint cette console qui ne veut pas coopérer avec lui. Se lève et comme un robot se dirige vers le jardin, il longe la haie à pas de loup. Il retrouve vite l’espace clairsemé dans la haie, il écarte de nouveau les branches avec une grande discrétion, soudain son cur faillit s’arrêter.

Ophélie est toujours sur son transat, mais manifestement elle ne dort plus, elle s’étale de la crème sur le corps, ses mains glissent sur son ventre, tournent autour de son nombril, descendent à la lisière de son string, remontent sur son ventre et progressent vers sa poitrine, passent entre ses seins, glissent au niveau de son cou, rejoignent ses épaules, redescendent le long de ses bras puis remontent vers sa poitrine qu’elle masse, avec tendresse, elle se caresse les seins, tourne autour de ses tétons qui durcissent instantanément. Paul est comme fou, des picotements se font sentir dans son short, une bosse sest clairement formée dedans, il reste là les yeux écarquillés, la bouche ouverte, il voit maintenant une main d’Ophélie redescendre sur son ventre.

La main droite d’Ophélie caresse son ventre du bout des doigts, tandis que l’autre main continue de caresser son sein gauche, sa main droite continue son chemin et caresse son mont de vénus au travers du string, ses doigts touchent le haut de ses lèvres intimes, commencent à appuyer légèrement au niveau de son bouton.

Paul ne peut le voir, mais une petite tache humide commence à apparaitre sur le triangle de tissu turquoise. Ophélie a maintenant posé sa main sur son sexe, elle le masse tendrement et en même temps elle se pince un téton. Son bassin commence à onduler au rythme des vagues de plaisir. Sa main passe sous le tissu du string et ses doigts commencent à glisser entre ses lèvres humides, elle frôle son clito, continue de descendre entre ses lèvres, du bout des doigts elle sent la fournaise qui envahi son intimité.

Paul est subjugué par le spectacle, il en tremble, des gouttes de sueur commencent à couler sur ses tempes et son front. Comme un automate ses mains ont descendu son short et son caleçon, une de ses mains caresse son sexe qui est déjà dur.

Sous ses yeux, sa voisine s’abandonne complètement à son plaisir, ses doigts vont et viennent dans sa chatte, son corps ondule de plus en plus, ses tétons sont malmenés, elle les fait rouler entre ses doigts, sa langue tourne autour de ses lèvres, sa bouche reste entrouverte.

Paul quant à lui se branle maintenant avec fougue, le spectacle qu’Ophélie lui offre est tellement érotique. Il sent sa verge se durcir davantage, il ressent les prémices de la jouissance. Soudain il entend Ophélie pousser un cri de jouissance, il voit le corps de la belle tendu au maximum, la voir et l’entendre déclenche son propre orgasme, il envoie plusieurs jets de sa semence dans la haie, son orgasme est tellement puissant qu’il a du mal à se tenir debout. Il continue à regarder Ophélie qui commençait seulement à reprendre son souffle, elle était lascive, une main sur un sein, l’autre sur son ventre, les jambes encore écartées.

Après avoir repris son souffle, Paul se baissa pour remonter ses vêtements, mais il fut déséquilibré, et s’étala de tout son long en lâchant un « meeerrrdddeee !!! », qu’Ophélie ne put ne pas entendre. Il s’empressa tant bien que mal de se rajuster, il osa timidement regarder au travers de la haie, mais sur le transat Ophélie avait disparu, l’angoisse le prit, « mais où est-elle? », il tourna la tête et aperçue la silhouette féminine rentrer dans la maison à toute allure. Ouf, elle ne l’avait sûrement pas vu, en tout cas il l’espérait. Son regard se tourna en direction du transat, tout était là, il ne manquait qu’Ophélie, elle avait tout abandonné, même sa brassière, tellement la frayeur d’être surprise fut grande. Paul, qui manifestement n’a pas été pris sur le fait, se rassura, il rentra dans la maison avec la ferme intention de se changer les idées en allant prendre une bonne douche.

Ophélie quant à elle encore toute tremblante, s’est aussi réfugiée dans la maison, elle est essoufflée, son cur battant très fort, elle ose regarder au travers du rideau, juste pour voir qui est cette personne derrière la haie, serait-ce Michel, le papa de Paul, ce ne pouvait pas être Françoise la maman, car cette voie était trop masculine cela ne faisait aucun doute, mais si c’était Paul ? Comment en être sur ?

Elle se rend dans sa chambre, enfile son vieux tee-shirt et son leggin, puis instinctivement elle regarde dans la rue à travers la fenêtre de sa chambre, d’ici elle a une vue sur tout son jardin et un peu de celui de ses voisins, mais elle ne voit personne, en sortant de sa chambre, elle se dirige vers la chambre de ses parents qui elle donne sur la rue. Par la fenêtre elle regarde dans la rue, aucune voiture devant chez voisins, c’est donc que Michel et Françoise sont au travail comme elle le pensait. Elle n’a plus aucun doute, celui qui a fait ce vacarme derrière la haie ne peut être que Paul, mais a-t-il vu quelque chose ????

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