Hélène, jeune gendarmette de vingt cinq ans est mutée à la caserne de St Martin.
C’est une très belle femme, pacsée depuis quatre ans.
Ce jour là, elle porte une convocation à Stéphanie, pour outrage à agent. Elle est accompagnée de Jean, son coéquipier. Elle est vêtue d’une jupe bleue marine, et d’une chemise bleu ciel.
Stéphanie est une Roumaine de trente cinq ans, lutteuse bien connue chez les amateurs.
-Est-ce que je peux voir Stéphanie, demande Hélène à l’entrée.
-Elle est à la salle de massage, reprend la femme.
Hélène pousse la porte, Jean reste devant, se contentant de surveiller par le hublot.
Apparemment, le ton monte. Les deux femmes sont séparées par la table de massage.
-C’est parce quon est des étrangers, que vous vous en prenez à nous? demande Stéphanie en colère.
-Oh, oh, ne le prenez pas sur ce ton, répond Hélène, on est pas à la caserne ici. On est entre quatre yeux, ok?
-Et alors, çà veux dire quoi? Demande Stéphanie.
-Cà veux dire que si tu ne baisses pas d’un ton, je vais te voler dans les plumes.
-J’aimerais bien voir çà, sourit Stéphanie.
Hélène se jette par dessus la table, et essaie d’attraper Stéphanie. Dans un réflexe, Stéphanie saisit les poignets de Hélène, et roule sous la table en la tirant avec elle.
Hélène s’est piégée toute seule. Ses jambes d’un côté de la table, son ventre et ses seins sur la table, ses mains et sa tête de l’autre côté en partie sous la table. Très mauvaise posture.
Stéphanie, placée sous la table, a la situation en main. Un sourire éclaire son visage.
"Et si je me tapais ma première gendarmette, se dit-elle"
-Lâche moi, ordonne Hélène. Tu vas voir la rouste que je vais te mettre.
Imperturbable, Stéphanie passe une main entre les cuisses de Hélène, écarte le string, et lui caresse la chatte.
Hélène fait des écarts de côté pour échapper à l’assaut. Hélas, les doigts sont maintenant encrés dans le vagin.
-Petite conne, s’énerve Hélène, je vais te tuer.
Stéphanie retire ses mains, et les montes sur les hanches de Hélène. Elle fait glisser la fermeture éclair de la jupe, et progressivement, la tire vers le sol. Le string suit le même chemin.
Hélène a maintenant ses fesses et sa chatte à l’air. Stéphanie reprend possession des parties intimes de Hélène.
Mais à force de caresses, les lèvres de Hélène deviennent de plus en plus humides.
Le clitoris, décalotté par les doigts de Stéphanie, est de plus en plus dur. On entend même des gémissements de la part de Hélène. Stéphanie a tout compris.
-Alors, cette convocation, demande-t-elle.
-Tais toi, râle Hélène, doigte moi, il n’y a plus de convocation.
La chatte de Hélène est toute mouillée. Stéphanie en profite pour lui humidifier son petit trou.
-Oh putain, gémit Hélène, tu me cailles là. Tu me fais jouir, vas-y, branle. ha..ha..hou ouiii.
Jean entend du bruit. Il regarde par le hublot.
Hélène a mis un genou sur la table de massage, pour mieux s’écarter, et s’offrir aux caresses d’Stéphanie.
Jean veut aider Hélène, mais le spectacle est trop beau. La chef qui se fait dompter
Il sent même sa queue qui se raidit.
Stéphanie l’a aperçu. Elle lui fait signe de rentrer.
Jean, en ébullition, ne se fait pas prier. Il pousse la porte.
Hélène ne se rend compte de rien, partie dans son délire.
Jean baisse son pantalon. Sa queue est happée par la main d’Stéphanie qui la guide vers la rosette de Hélène. D’un coup de rein, Jean la pénètre.
Hélène reçoit l’offrande dans un cri de plaisir.
-Ah salaud, gémit Hélène, toi tu m’encules, et elle, elle me chatte. Putain que c’est bon.
-Ben dit donc, ironise Stéphanie, la fliquette a l’air d’aimer çà Hein? Tu as senti comme j’ai fais couler ta chatte, petite pute. Et ton copain, il va se vider les couilles dans ton cul, salope.
-Connasse, hurle Jean, je crache, et dans mon supérieur encore.
-Je m’en fou, répond Hélène, baisez moi encore, s’il vous plaît.
-Moi, il faut que j’y aille, dit Stéphanie. Mais tu peux tailler une pipe à ton copain.
-Mais bien sur, répond Hélène. Je vais tout avaler mon chéri.
Stéphanie lâche les poignets de Hélène, un demi tour, et elle saisit les lèvres de Jean pour l’embrasser.
-Toi, Stéphanie, poursuit Hélène, embrasse moi toi aussi. Comme tu m’as doigté mon dieu, je noublierai jamais.
Stéphanie quitte la salle. Elle jette un coup d’oeil par le hublot, et attend.
Hélène ôte son chemisier et son soutien gorge.
Elle s’allonge sur la table de massage, toute nue, jambes écartées, seins dressés, offerte.
Jean baisse entièrement son pantalon.
-Allez chef, une petite pipe, dit-il.
Hélène saisit la queue de Jean et la prend à pleine bouche. De l’autre main, elle lui caresse les couilles.
Jean, lui, caresse les seins de Hélène, et la doigte, grattant son bouton au passage.
-Si mon mec me voyait comme je fais la pute, dit-elle. Tant pis, c’est tellement bon