Enfin les vacances, le soleil et le farniente. Je suis sur un transat au bord de la piscine de lhôtel tout en matant les gens. Dailleurs il y a un petit mec, noiraud et bien foutu qui se bronze à quelques chaises de moi. Il est étendu sur le dos en feuilletant une revue. Je le dévore des yeux, il doit avoir dans les 25 ans, imberbe et bronzé par le soleil canarien. Des abdos bien dessinés et des pectoraux gonflés à bloc. Un joli visage aux traits fins encadré par des cheveux noirs. Mon regard se promène le long de son corps et sarrête au niveau de son maillot de bain. Cest prometteur, la bosse qui se dessine sous le tissu de son slip ne cache rien de la forme et du format de son sexe. Je me demande même si il nest pas légère érection car son volume est conséquent. Il continue de lire et ne remarque rien de qui se passe autour de lui.
Je continue à la détailler librement, mais à force dadmirer ce corps bronzé et huilé mes sens commencent à séchauffer. Je sens une chaleur envahir mon bas-ventre, tandis que mon sexe se réveille quelque peu. Je me tourne aussitôt sur le ventre, pour ne pas laisser voir mon érection. À plat ventre je peux le regarder plus librement, légèrement cachés par mes bras, mes yeux sont scotchés sur cette magnifique bosse. Ma queue se tend de plus en plus sous mon speedo et le contact avec le transat en devient presque douloureux.
Je ferme les yeux en imaginant mes mains glisser le long de la surface de ses pectoraux en descendant explorer le dessin de ses abdominaux. Elles sécartent légèrement pour masser ses flancs et continuent leur chemin jusquau bas de ses cuisses. Doucement je remonte lentement mes mains le long des ses quadriceps jusquà ce quenfin je puisse effleurer son maillot et poser la paume de ma main sur ce paquet qui occupe tout mon esprit depuis de longues minutes. Le résultat ne se laisse pas attendre, je sens sous mes doigts ce sexe qui vibre en se tendant sous létoffe.
Je glisse ma main à lintérieur de son slip pour en mesurer les dimensions. Elle est énorme. Je sens une veine pulser le long de sa hampe tandis que mon autre main vient soupeser ses couilles bien rondes et fermes. Je ne peux mempêcher de commencer à le masturber. Mes gestes sont lents et doux, un léger gémissement parvient à mes oreilles, jaccélère la cadence, son sexe coulisse le long de ma paume et à chaque passage mon pouce masse son gland qui shumidifie de plus en plus. Sa queue sagite de plus en plus frénétiquement à lintérieur de ma main. De la paume, je sens la douceur et la chaleur de son membre de plus en plus dur. Ses gémissements deviennent sauvages et dans un grand cri je sens le flot de son sperme inonder mes doigts.
Mes yeux souvrent dun coup. Il fait presque nuit et je me retrouve seul au bord de la piscine. Je sens une certaine humidité sous mon slip de bain. Je me relève pour regarder les dégâts. Il est complètement maculé de sperme. Jai éjaculé en fantasmant sur ce mec, heureusement que la piscine est déserte. Je mentoure de mon linge et rejoins ma chambre afin de prendre une douche. Jenfile un débardeur et un short et je sors afin de manger quelque chose.
Après avoir dégusté des langoustes grillées accompagnées dun bon rosé espagnol, je rentre à lhôtel. Il est 22h30 et il fait toujours aussi chaud. Je nai pas sommeil. Lhôtel est idéalement situé au bord des dunes de Maspalomas derrière lesquelles sétend la mer. Je décide daller les voir de plus près. La lune est haute et éclaire ces montagnes de sables. Je gravis une dune, mes pieds senfoncent dans le sable encore tiède, en arrivant en haut je découvre que je ne suis pas seul. Un mec est assis au sommet et regarde la mer. Le mec de la piscine, jen crois pas mes yeux. En mentendant arriver il se retourne et me regarde.
Salut, tu viens admirer la mer ?
Euhhh oui, javais envie de marcher un peu.
Je tai vu cet après-midi, tu étais au bord de la piscine.
Oui, apparemment on est au même hôtel.
Tu es arrivé aujourdhui ?
Oui, je reste 1 semaine et après retour en Suisse et toi ?
Moi, je pars demain matin pour la France, cest mon dernier soir. Au fait je mappelle Nicolas.
Super, moi cest Fabien.
Viens je vais te montrer quelque chose.
Nicolas se lève, enlève son t-shirt et se couche en haut de la dune. Dune poussée du bassin il se met à rouler le long de la dune pour sarrêter une dizaine de mètres plus bas.
Fais comme moi, tu verras cest génial
Sans hésiter une seconde jenlève mon débardeur, et comme lui je dévale la pente en roulant sur le sable. La sensation est grisante Arrivé en bas jéclate de rire, je suis heureux.
Alors tu as aimé ?
Oui cest génial.
Alors on y retourne.
On gravit la pente en courant, arrivé en haut, le souffle court il me dit :
Cette fois on enlève le bas et on roule tout nu.
Tes sûr ? Et si on nous voit.
Tinquiète il ny a personne de ce côté-là.
OK, je te suis.
Nicolas fait glisser son short le long de ses jambes, il ne porte pas de slip. Il me fait face, son sexe est comme je me limaginais sur mon transat. Une longue queue pas trop épaisse se terminant par un joli gland tout bronzé (il doit faire de lintégral) repose sur ses deux boules bien rondes.
Allez Fabien, à ton tour
En quelques secondes je me retrouve nu en face de lui. Je remarque que son sexe commence à avoir quelques signes dexcitation.
Au fait, tu me matais pas un peu au bord de la piscine ?
Euhhh, tu mas vu ? jai cru que tu lisais.
Bien évidemment que je tai vu, tu es canon et en plus tu nétais pas très discret. Et à un moment tu tes couché sur le ventre, je sais bien pourquoi. Dailleurs regarde-toi, me dit-il en pointant son doigt vers mon sexe.
Le temps que je regarde ma queue, Nicolas me pousse en arrière. Je tombe sur le dos, il sélance sur moi, le poids de son corps me plaque au sol. Je sens ses muscles se tendre contre les miens.
Au fait, jadore la lutte au sol, me dit-il.
Ça tombe bien, moi aussi.
Le combat sengage, mes bras senroulent autour de son corps pour le serrer contre moi. Il résiste en prenant appui sur ses mains, mais le sable séchappe sous ses doigts. Je sens son bassin sécraser contre le mien pour essayer de mimmobiliser. Son sexe se raidit complètement au contact de ma queue durcie. La sensation est géniale. Jécarte les jambes afin que mes cuisses puissent senrouler autour de son bassin. De son côté il continue à pousser son bassin contre le mien, je serre mes cuisses un peu plus fort en essayant de le faire basculer sur le côté. Il réagit en posant ses deux mains sur mes épaules pour essayer de les plaquer au sol. Je sens les grains de sable sincruster dans mon dos et sous mes fesses. Je dénoue mes jambes et pose mes pieds sur le sable. Je pousse mon bassin vers le haut, comme si je voulais faire le pont. Mes fesses se décollent du sol. Doucement le bas de son corps se trouve porté par le mien, il pousse son bassin contre le mien encore plus fort pour ne pas se retrouver déséquilibré. Nos deux sexes gorgés de sang et pulsant lun contre lautre se livrent un joyeux combat. Le sable aidant je sens nos corps en équilibre instable. Son regard rivé au mien, son sourire conquérant dil y a quelques secondes se crispe. En poussant encore plus fort avec un de mes pieds, léquilibre se rompt. Nous nous mettons à rouler lun sur lautre, bras et jambes liées. Nos deux corps ruisselant de sueur collés lun à lautre. Prenant de la vitesse, agrippés lun à lautre, nous essayons tant bien que mal à garder le contrôle. Arrivés en bas de la dune, nous restons collés lun à lautre en reprenant notre souffle, je sens les battements de son cur contre ma poitrine. Nous nous relevons et nous nous défions du regard. La tête me tourne un peu, Nicolas sapproche de moi en vacillant sur ses jambes comme un boxeur un peu sonné. Jen profite pour me ruer sur lui, mon corps se heurte au sien. Je le ceinture aussitôt à la taille en le pressant contre moi et dun coup de bassin je nous fais basculer sur le sol. Mon corps sécrase sur le sien tandis que ses poumons se vident dun coup. Très vite, je me hisse sur lui en masseyant sur le haut de ses pectoraux. Mes genoux bloquent ses épaules au sol, mon sexe toujours aussi gorgé de sang pointe son gland humide en lair. Je glisse une main sous sa tête et de lautre attrape ma queue que je dirige vers sa bouche. Il ne se laisse pas faire, je le sens se cabrer sous moi, ses lèvres refusant de sécarter. Soudain sa bouche sentrouvre pour laisser passer sa langue qui commence à sactiver sur mon prépuce pour en dégager entière mon gland, après avoir tourné longuement autour, elle descend le long de ma hampe et la lèche sur toute la longueur. Ses lèvres sécartent encore un peu et, doucement mon sexe pénètre sa bouche. Nos yeux ne se lâchent plus. Ma queue sagite frénétiquement dans cette bouche chaude et soyeuse. Mon corps se tend en arrière tout en poussant mon bassin en avant, Nicolas avale ma queue jusquà ce quelle touche le fond de sa gorge. Je commence doucement à gémir pendant quil me dévore avec passion, je sens que je suis pas loin de lexplosion, pendant que ses lèvres coulissent sur mon membre. Jécarte mes genoux et me redresse légèrement afin quil puisse mengloutir encore mieux. Je suis très proche de la jouissance. Cest tellement bon que jen ferme les yeux.
Libéré de mes genoux qui limmobilisaient au sol, Nicolas relâche mon sexe et se redresse dun coup en sappuyant sur ses coudes, sa tête sappuye fortement contre mon ventre tout en me poussant en arrière. Ne my attendant pas, je suis déséquilibré et mon corps bascule. Je me retrouve allongé sur le dos, entre ses cuisses écartées, que je sens aussitôt senrouler autour de moi. Ma queue toujours raide pointe vers le ciel et je sens dans le bas de mon dos son sexe aussi dur que le mien. Nicolas se dégage encore un peu et se retrouve assis entre mes cuisses, les miennes allongées de chaque de sa taille. Sa main se rue sur mon membre et il commence à me masturber frénétiquement.
Le premier qui jute à gagné le combat, me dit-il.
Pas question, ty arriveras pas…
De mon côté jessaie, malgré ma position inconfortable, de frotter le bas de mon dos contre son sexe, mais sa main est beaucoup plus adroite et je sens mon ventre frémir en sentant ses doigts coulisser le long de mon bite en feu. Pour mettre fin à ce supplice qui menace de me faire exploser à tout moment, je serre autour sa taille que je commence à faire basculer de gauche à droite. Je glisse mes bras entre ses cuisses et parviens à me libérer. Nous roulons sur le côté. Je me mets à genoux pour me relever, mais plus rapide que moi, je sens son corps me percuter de tout son poids. Le souffle coupé, je me retrouve à plat ventre, il tombe sur moi et se retrouve couché sur mon dos. Ses cuisses sécartent pour enserrer mes jambes et ses mains se plaquent contre mes épaules pour me plaquer au sol. Je suis vraiment dans une mauvaise posture, dautant plus que son sexe dur se colle à mes fesses. Une de ses mains se retire de mon épaule, lautre se place entre mes omoplates, je lentends cracher dans sa paume. Il remue un peu et le contact entre sa queue sécarte de mes fesses. Il est en train de lubrifier son sexe ! Il le place entre mes deux globes et commence à pousser. Je serre de toutes mes force, je ne veux pas me laisser faire, mais sa tige est si dure et mon excitation si grande, que je sens mon anus se dilater sous la puissance de sa poussée. Je résiste mais centimètre par centimètre, son gland senfonce en moi. Malgré le combat, Il le fait tout en douceur, avec tendresse, sa chaleur menvahit. Sa seconde main quitte mon dos pour se glisser sou mon corps, je soulève mon bassin pour lui faire de la place et ses doigts senroulent autour de mon sexe gonflé à bloc. Sa queue grossit encore en moi et senfonce jusquà ce que je sente ses couilles rondes venir se cogner contre mes fesses. Il commence son va-et-vient délicieux, le massage de son sexe coulissant à lintérieur de mes entrailles me fait gémir de plaisir. Jondule du bassin pour accompagner son mouvement qui devient de plus en plus raide, pendant que sa main sactive frénétiquement sur mon sexe en folie.
Au fond de moi, une petite étincelle jaillit, je ne veux pas perdre de cette manière. Je veux le baiser et surtout gagner ce combat. Mon anus se resserre dun coup, son sexe se retrouve bloqué par mon muscle anal. Surpris je lentends gémir, Je ressens une légère douleur lorsquil tire plus fort pour libérer sa queue. Mon muscle se relâche dun coup et son membre quitte aussitôt mes entrailles et sa main mon sexe. Je réagis immédiatement, je me retourne sur le dos, me colle à lui lenserrant de mes bras et de mes cuisses, nous roulons sur le sable jusquà la dune contre laquelle nous nous arrêtons. Par chance je suis au-dessus de lui où il se retrouve bloqué entre mes bras et mes cuisses. Son regard plonge dans le mien, nous restons haletants lun contre lautre, nos deux sexes tendus à lextrême pressés lun contre lautre. Mon visage sapproche du sien, et tout doucement mes lèvres se posent sur les siennes. Tellement soudés lun à lautre, nous ne faisons plus quun. Il écarte ses lèvres et nos langues se rencontre enfin. Doucement je goûte sa bouche, sa salive, pendant quun long frisson de plaisir parcourt tout mon corps. Fiévreusement mes mains parcourent son corps pendant que je dévore littéralement sa langue. Mes cuisses se desserrent pour laisser les siennes sécarter, mes doigts sapprochent de ses fesses, les caressent et un de mes doigts se pose sur son anus. Je tourne autour de sa rosace en appuyant légèrement, ses parois sécartent et mon doigt senfonce dans sa moiteur. Nos bouches toujours collées, nos langues se livrant un duel sans merci, jentends un léger gémissement remonter de sa gorge. Mon doigt continue à le ramoner de plus en plus profondément, mon second doigt se joint au premier et je sens son anus sassouplir encore davantage. Je retire mes doigts de ses entrailles et de lautre main jaccumule un peu de sable pour que son bassin se surélève un peu. Je magenouille devant lui pendant quil écarte les cuisses et pose ses mollets sur mes épaules. Je prends mon sexe gorgé de sang et le frotte le long de sa raie, mon gland humide glisse sur son anus et le lubrifie en même temps. Ny tenant plus, je positionne ma queue contre sa rosace et dun grand mouvement de bassin je menfonce violemment en lui. Il hurle de plaisir pendant quun long cri rauque sort de ma bouche. Je reste là, sans bouger, pour quil shabitue à la dureté et à la chaleur de mon organe. Je lembrasse fougueusement pendant que nos langues se frottent divinement lune à lautre. Je me retire de lui avec lenteur, afin quil sente toute la longueur de ma hampe glisser le long de ses muqueuses, jusquà ce que mon gland sorte entièrement. Juste avant que son anus ne se referme, ma queue repart à lassaut de son trou vorace. Ses mains se posent sur mes fesses et mattire brutalement contre lui pour que mon sexe senfonce encore davantage et que mes couilles se cognent contre ses fesses. La sensation est divine, je sens la succion de son anus maspirer dans sa moiteur. Nos deux corps soudés ondulent lun contre lautre dans un va-et vient de plus rapide. Je sens sa cavité se resserrer un peu plus et ce contact étroit marrache un gémissement de plaisir. Mes mouvements se font de plus en plus frénétiques et violents pendant que ses mains se cramponnent à mes fesses. Mon sexe brûlant est à la limite de lexplosion, le sien tendu à lextrême tressaute à chacun de mes coups de boutoir. Dans un long gémissement son visage se crispe, ses abdos se contractent et de longs jets de sperme giclent par saccades de son gland. Ma queue ressent sa jouissance par la pression exercée par son anus, mon souffle saccélère et en menfonçant une dernière fois, je me répands longuement en lui. Ses cuisses glissent le long de mes flancs, épuisé je maffale contre son corps dans un grand soupir de satisfaction, mon sexe toujours enfoncé en lui. Ce moment est divin je sens son cur battre contre ma poitrine et son sexe humide poisser nos deux ventres. Doucement ma queue débande, glisse hors de son anus et laisse couler les dernières gouttes de mon sperme sur le sable fin.