J’avais à faire un reportage et quelques photos pour un journal. Quelque chose qui je le pensais ne devrait pas durer plus d’une heure. L’interview d’une artiste locale rock. Mélanie C. De grand yeux bleus, de long cheveux bouclés noir, une superbe poitrine et des lèvres mis en valeur par du rouge. Elle portait pour la photo sa tenue de scène en cuir noir et des mules qui laissaient apparaître ses ravissants doigts de pieds dont les ongles étaient vermillons. Elle me reçoit dans une espèce de loge, pleine de costumes, d’accessoires, avec un grand miroir ceint d’ampoules, un vanity case avec son nécessaire à maquillage, dont une grosse houppette en cygne. Il régnait dans la pièce une étrange odeur, excitante comme celle du Popers. "Appelez-moi Mel" dit la chanteuse en plongeant son ragard dans le mien. "On est pas obligé de commencer tout de suite, j’aime interroger le journaliste avant l’interview pour voir à qui j’ai à faire ça ne vous dérange pas j’espère. Je fis un non de la tête. J’ai une amie qui vous connait. Elle m’a parlé de vous. "ha bon" fis-je intrigué. "Il parait que vous êtes adepte de certaines pratiques, et que pour peu que l’on joue le jeu, votre article est beaucoup plus percutant!" "Je et bien c’est à dire" bredouillais-je "Oui ou non" fit-elle d’un ton impérieux "oui" avouais-je. "Bon, c’est bien. Alors comme ça tu aimes être dominé par une femme! être sa chose. ça t’excite d’exécuter les caprices d’une maitresse femme et même d’être humilié! Mon ami m’a dit que la dernière fois elle avait bien jouée et joui de toi dans sa boutique. Elle avait fait de toi sa petite pute…" Je ne parlais pas, je me contentais d’écouter cette femme qui me rappelait la dernière humiliation que m’avait fait subir "son amie". "Moi aussi j’aime humilier un homme, en faire une chose rampante, ma petit poupée avec laquelle je joue. Tu voudrait que je joue avec toi. Que je te dresse pour mon plaisir. Tu sera mon giton, ma p’tite pouffe vulgaire à moi. Je te maquillerai, tu porteras mes dessous, je te passerai des huiles essentielles pour que tu sois toute douce et parfumée. Je te raserai. je te palperai les fesses. y ferai parcourir m’a langue jusqu’à ton petit troufignon. J’enfoncerai un doigt, puis deux, puis trois pour t’élargir. ça te plairait?" "oui,madame" "c’est bien. Et je te prendrai au gode-ceinture, lentement en te prenant les couilles. Et puis je te bourrerai,en le laissant pantelante sur le sol. Je me demande si je ne te partagerais pas avec mon doberman. Tu aimerais""oui" "lors commences-donc par me lécher le talon. Si tu le fais bien peut être j’ai bien dit peut-être, tu auras droit à la suite du programme!"
Agenouillé face à elle j’entreprenais de lui lécher le talon de sa chaussure. Elle me regardait d’un air d’une lionne qui couve sa proie…