Histoires de sexe noir Premières histoires de sexe

Business Meeting – Chapitre 2




Cette première expérience sexuelle fut un vrai déclic pour moi. Comme tous les ados, je me masturbais régulièrement devant des magazines ou des vidéos. Je savais depuis longtemps où se trouvait la collection de vieux hebdomadaires pornos de mon père. Bien cachées, dans une vieille caisse, les photos jaunies m’avaient aidé à découvrir l’anatomie féminine dans tous ses détails. Les coupes de cheveux d’époque, les vêtements « vintage » des années 70, les scènes brutes, les sexes à peine rasés, tout cela m’excitait beaucoup. Tout comme les cassettes VHS que mon père (toujours lui) enregistrait en cachette le samedi soir sur une chaîne cryptée. Mais jamais je n’aurais imaginé que la réalité puisse être aussi intense, aussi chaude, aussi explosive, aussi tendre. Une seule expérience et j’étais déjà accro.

Nous sommes sortis quelques semaines ensemble, Alice et moi. Ma première vraie petite amie. Des mois durant lesquels nos séances de révisions se transformaient presque toujours en séances de (gros) câlins. Elle m’apprit beaucoup de choses : contrôler mes envies, mon corps et mon esprit, retarder le moment fatidique de la jouissance. À chercher le plaisir d’une femme aussi, et à le trouver, parfois. Nous inventions régulièrement de nouvelles positions. Nous tentions aussi de nouveaux décors à nos ébats. Nous nous testions en permanence. Malgré tout cela, elle refusait d’autres pratiques, d’autres expériences, peut-être par peur ou tout simplement par éducation. C’est elle qui a insisté pour que nous arrêtions de nous fréquenter, sentant qu’elle ne pouvait accéder à mes fantasmes, toujours plus nombreux, et prenant peur d’une frustration qui ne tarderait pas à arriver, selon elle.

Cette rupture me fit plus de mal que je ne voulus l’admettre. Mes parents étaient en pleine séparation et ma vie me donnait l’impression de ne plus ressembler à grand-chose. Mis à part suivre les cours et rentrer dans un foyer familial à l’ambiance électrique, rien ne venait égayer mes journées (ni mes soirées, d’ailleurs). C’est à ce moment-là que je rencontrai Pierre et Eric. Deux joyeux drilles, sorteurs invétérés et coureurs de jupons professionnels. Ils étaient en deuxième année et, selon leur expression, s’étaient mis en tête de "vraiment me sortir". Ils ont rapidement tenu promesse…

Chaque année, un bon mois avant Noël, l’université organisait un grand bal. Un nom pompeux et délicieusement prude pour une soirée de débauche avec sono hurlante, jeu de lumières psychédéliques et bar débordant de bière. Nous décidâmes de débuter la soirée dans le studio d’Éric ; vodka, bière, whisky, elle commençait fort. J’avais toujours le souvenir d’Alice en tête, plus encore le souvenir de son corps. J’avais l’impression que mes narines sentaient encore les effluves son parfum, que ma langue conservait le goût et la chaleur de son sexe trempé. À chaque fois, ces pensées faisaient se dresser mon membre. Mais la frustration et la tristesse éteignaient vite l’incendie.

— Tu penses à Alice, toi, me dit Pierre.

— Je ne peux rien te cacher, lui répondis-je un peu cynique.

— Ça fait des mois, t’as pas envie de passer à autre chose ? me lança Eric, un peu agacé.

— J’ai toujours envie d’elle, j’en peux rien. J’ai toujours cette boule dans le ventre quand je pense à elle. Elle me fait toujours bander, même sans être là, dis-je.

— Bon, décida Pierre d’un regard entendu avec Eric, ce soir, il faut absolument qu’on te trouve de quoi baiser.

— C’est bon, les gars, arrêtez ça, leur dis-je en reprenant une bière.

À notre arrivée sur les lieux du fameux bal, un spectacle étonnant s’offrit à nous. Des milliers d’étudiants et d’étudiantes, la plupart dans un état d’ébriété très avancé, se trémoussaient avec plus ou moins d’élégance sur de la musique électro. Tout ce que j’aime… c’est ironique. Résigné, je décidai d’offrir les premiers verres à notre groupe, qui s’était sensiblement agrandi à notre arrivée.

— 12 bières, dis-je au serveur.

— Bonjour ! me lança une fille juste à côté de moi. Tu es Grégoire ? C’est ça ? C’est toi, l’ex d’Alice, non ?

— Euh… oui. On se connaît ? lui demandai-je, surpris.

— Oui et non, on s’est croisé quelques fois, en fait. J’habite dans le même immeuble qu’elle. Mais je pense que tu ne te souviens pas de moi.

— Ah oui… c’est vrai… désolé mais je ne me rappelais pas avoir croisé quelqu’un en allant chez elle, dis-je un peu gêné.

— T’inquiète, je suppose que tu pensais à autre chose en montant chez Alice, rit-elle. Je t’ai vu passer plusieurs fois devant la cuisine, au premier étage, mais tu ne te retournais jamais.

— Tu me rassures, parce que je suis généralement plutôt physionomiste. J’ai plus de problèmes avec les prénoms par contre. Tu t’appelles comment ?

— Gladys !

— Gladys, OK. Enchanté, lui dis-je en feignant de lui serrer la main.

Elle éclata de rire à la vue mon geste.

— Je t’offre un verre ? lui demandai-je. Vu le temps que le barman prend pour servir les verres, j’en ai commandé beaucoup trop.

— C’est clair, il ne fait pas avoir soif, me répondit-elle en roulant des yeux. Avec plaisir pour la bière.

Tout en discutant avec elle, je me rendis compte avec effroi que si elle habitait dans le même immeuble que mon ex et qu’elle m’avait vu plusieurs fois monter au dernier étage, il n’était pas impossible qu’elle ait également entendu nos ébats. D’autant que je n’étais pas spécialement du genre discret. Je me sentis tout à coup très mal à l’aise. Elle sembla le remarquer.

— Ça va ? Tu deviens tout rouge, sourit-elle.

— Non, ça va, ça va.

— Tu es en train d’espérer que je ne sache pas pourquoi tu venais la voir ou quoi ? Tu me crois vraiment aussi bête ?

Perspicace, la fille, pensai-je.

— Euh… ben… Je suppose que nous n’étions pas toujours très discrets, répondis-je, gêné.

— Pas toujours discrets… T’es sérieux ? T’as déjà entendu le boucan que vous faisiez ? me dit-elle en pouffant de rire.

— Euh… bon… ben… je ne sais pas trop bien quoi te répondre, c’est gênant, dis-je en sentant mes joues rougir davantage.

— Dis, on est plus des enfants, hein. Et puis tu sais, je ne veux pas te faire du mal mais ça continue chez elle, et parfois à bien plus qu’à deux. Et c’est le cas dans d’autres studios de l’immeuble, donc franchement… Et puis, c’est assez normal en fait, tu ne crois pas ?

Le coup de poignard ! Je savais qu’Alice voyait d’autres mecs, parfois même plusieurs. On m’avait raconté que depuis notre séparation elle acceptait visiblement beaucoup plus de choses qu’avec moi. Mais l’entendre de la bouche de sa voisine, c’était dur.

— Oups, j’ai l’impression que je n’aurais peut-être pas dû dire ça, me dit-elle en voyant ma réaction. Tu n’étais pas au courant ?

— Si, c’est juste qu’entendre la confirmation, c’est… disons… faut digérer, quoi.

— Tu n’as personne ? Alice est persuadée que tu sortais avec une autre fille.

— Non, personne, répondis-je en baissant le regard.

Le silence qui suivit fut rapidement interrompu par le serveur.

— Ah, mes bières. Enfin ! Tiens, lui dis-je en lui tendant un gobelet. Si tu veux, on est là-bas, près de l’entrée, avec des amis.

— Merci, je vais rejoindre mon groupe. On se croisera encore d’ici à la fin de la soirée, je suppose, me dit-elle avec un clin d’il.

En retournant avec ma précieuse cargaison de houblon auprès de mes amis, je me pris à me dire qu’elle n’était pas si mal du tout, cette Gladys. Petite, certes, un peu ronde, certes, mais harmonieuse. Ses cheveux blond platine étaient si lisses et si fins. Et j’aimais le dessin de sa bouche, ses lèvres gonflées sans être provocantes, pulpeuses, légèrement entrouvertes, laissant apparaître quelques millimètres de ses dents brillantes. Son visage était doux et ses yeux bleus me donnaient presque envie de me mettre à la plongée. Arrivé près de mes amis, je n’arrivais plus à ôter son éclat de rire de ma mémoire, son cou qui s’allongeant et son visage qui s’illuminant.

La soirée avançant et la bière coulant à flots, je me mis, ô chose exceptionnelle, à danser sur la piste.

— Ah, tu t’es enfin décidé à venir danser ! entendis-je dans mon dos.

— Hey, Gladys ! dis-je avec un sourire trop grand à mon goût. Alors, un bon conseil, continuai-je en hurlant dans son oreille pour couvrir le volume de la sono, garde bien en mémoire cet instant parce que tu ne me verras pas danser souvent.

— C’est dommage, tu ne te débrouilles pas si mal que ça, je trouve.

— Oui… bien sûr… mes 15 ans de danse classique payent enfin, lui répondis-je sur un ton faussement cynique.

Elle éclata de rire.

— Je t’imagine difficilement en collant, dit-elle en continuant à rire aux éclats.

— Tu préférerais en tutu ? lui répondis-je en riant avec elle.

Son visage s’illuminait quand elle riait.

Le crétin de DJ choisit ce moment très précis pour balancer "Hotel California" des Eagles. Oh non, pitié, pas maintenant, pensai-je. Les corps se calmèrent subitement tout autour de moi. Les couples se formèrent naturellement, se prenant dans les bras tout en se synchronisant au rythme du slow.

Bordel ! C’est la chanson la plus longue du monde, l’intro la plus longue du monde, le solo guitare le plus chiant du monde et ce con me balance cette chanson-là exactement au moment où je suis en train de draguer une fille.

— Bon, ben, t’as pas le choix je pense, me dit-elle soudainement plus sérieuse.

— Euh… on a toujours le choix, lui dis-je d’un air sérieux.

— Tu ris là ? me répondit-elle, cinglante.

— Mais oui, évidemment que je te fais marcher, lui dis-je en ouvrant mes bras pour l’accueillir tandis qu’elle nouait ses mains dans mon dos.

— Dis, mais c’est que tu es plutôt bon, en plus, me dit-elle en relevant la tête vers moi.

— Merci, dis-je en tournant la tête pour ne pas lui envoyer mon haleine de bière dans les narines.

Elle resserra ses mains autour de ma taille pour se coller à moi. Je sentis ses seins que je devinais énormes sous son chemisier et son ventre frotta de plus en plus fort contre mon jean pendant qu’elle dansait. La réaction de mon corps ne se fit pas attendre. J’essayai de m’écarter un peu d’elle, histoire qu’elle ne sente pas mon érection monter.

— Ah… j’aime bien cette sensation contre mon ventre, murmure-t-elle soudain dans mon oreille.

Et merde ! C’était loupé question discrétion !

— J’aime bien danser avec toi, continua-t-elle.

— Moi aussi, lui dis-je en lui souriant.

— Viens, me dit-elle tout à coup en se détachant de moi et en m’emmenant de force hors de la foule, des couples enlacés et de la piste.

Je ne dis rien. Je me laissai conduire par Gladys qui me guida vers les toilettes dames de la salle. Il y avait du monde. Des filles, forcément, mais pas uniquement. Personne ne fit réellement attention à nous.

Nous rentrâmes dans la dernière cabine libre de la rangée. Gladys baissa le battant des WC et se retourna sur moi, ses mains sur ma ceinture. Rapidement et avec des gestes sûrs, elle fit glisser mon jean et mon caleçon sur mes chevilles.

— Assieds-toi, me dit-elle. J’ai envie de te sucer.

J’obéis, je m’assis, ce langage cru dénotait tellement avec la douceur qui émanait d’elle. Elle attrapa mon sexe dur et le mit directement dans sa bouche. Ses lèvres pulpeuses étaient douces et agréables, comme des petits coussins. Sa bouche descendit très bas, ma verge glissa sur sa langue. Puis elle remonta lentement et la sortit en me souriant… avant d’y repartir de plus belle. Mon membre était luisant de sa salive. Son regard m’excitait, posé sur moi, droit dans les yeux. J’avais l’impression d’être son repas. Et elle n’avait visiblement pas mangé depuis longtemps.

— Laisse-moi te caresser, lui dis-je doucement.

— Non, me répondit-elle, je te veux dans ma bouche. Ta queue est toute douce à sucer. J’aime son goût.

Elle commença à aspirer mon sexe de plus en plus fort. Je ressentis une légère douleur sur mon gland, associée au plaisir qui montait rapidement dans mon bas-ventre.

C’était intense.

Elle déboutonna son chemisier, puis son soutien-gorge, et laissa apparaître une poitrine opulente. Je me penchai pour caresser ses seins, elle se cambra pour me faciliter la tâche. Ils étaient lourds, doux et très confortables, à l’image de sa bouche. Tout en elle invite à la gourmandise.

Elle se redressa et guida mon pénis vers ses seins. Elle caressa ses tétons avec mon gland, laissant un peu de sa propre salive sur sa peau. D’un mouvement, mon sexe se retrouva plongé dans sa poitrine. Elle saisit ses deux seins pour emprisonner mon membre. Puis elle commença à me masser doucement. J’avais l’impression que ma verge ne m’appartenait plus, qu’elle était entre deux coussins doux qui la massaient et la serraient. Elle pencha la tête vers le bout de mon gland et tira la langue pour le toucher, alors qu’elle me massait de plus en plus vite et fort, dans un semblant de va-et-vient.

— Mmmh, dis-je dans un soupir tout en plaquant mes mains sur les parois de la cabine.

— Tu aimes mes seins ?

— Oui, beaucoup. J’ai envie de toi, Gladys.

— Pas maintenant, me dit-elle. Pas ici. Mais moi j’ai envie de voir ta queue cracher pour moi.

Encore ces expressions si dures qui sortaient de ce corps si doux. Elle profita de ce moment pour reprendre mon sexe dans sa bouche. Cette fois, le rythme était nettement plus rapide, je pénétrai sa gorge encore plus profondément. Sa salive coulait le long de mes testicules, puis entre mes fesses. J’étais littéralement trempé de sa bave. J’étais proche de la rupture, je n’arrivais pas à maîtriser les sensations, entre le fond chaud de sa gorge et l’aspiration puissante de sa bouche.

— Va doucement, je vais jouir, lui dis-je dans un gémissement.

Elle enfonça ma verge encore plus loin. Je voyais mon sexe tout entier rentrer et disparaître en elle. Je n’en pouvais plus, elle allait me faire exploser.

Elle le sentit et me retira de sa bouche juste avant le moment fatidique.

— Sur moi, me dit-elle simplement.

Reprenant en main mon membre sur le point d’exploser, elle le dirigea vers son visage, bouche grande ouverte. Il ne fallut que quelques secondes avant que les jets chauds de mon sperme ne viennent s’écraser sur son front, son nez et finalement dans sa bouche. Pas repue, elle me reprit dans sa bouche, comme pour ne rien perdre. Je la regardai lécher les gouttes de liquide blanc sur mon gland, sucer ce qu’il reste puis l’avaler goulûment avec un grand sourire.

— Mmmh, très agréable me dit-elle. Je ne te dis pas dans quel état tu m’as mise.

— Mais alors, pourquoi tu n’as pas accepté que…

— Pas ici, pas maintenant, me dit-elle en me coupant. Désolée de t’avoir provoqué mais en sentant que tu étais dur contre moi tout à l’heure, j’ai juste eu envie de ça. Très fort envie.

— Et c’était très fort, d’ailleurs, lui répondis-je le souffle encore court.

— Tant mieux si tu as aimé. Je vais rejoindre mes amis. Mais tu pourrais peut-être passer à la bibliothèque demain après-midi ? J’y bosse comme étudiante.

— C’est une invitation ? lui demandai-je sur un ton faussement naïf.

— A ton avis ? me dit-elle avec une moue.

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