Je me souviendrais longtemps de ma visite médicale obligatoire en plus.

Donc je suis en fin daprès midi la dernière à passer. Il me tarde de finir avec ses simagrées pour aller faire deux ou trois courses. Une secrétaire hors d’âge me fait entrer. Un simple bureau et une table dexamen sont les seuls meubles. Ils sont deux médecins, un assez jeune, l’autre dans les quarante ans. Aussi sympa qu’une porte de prison lun et l’autre. L’ordre claque : mettez vous nue.Ma foi jobéis gentiment. Ils me font coucher sur la table. Commence une longue série de prise de tension, aux bras, au jambes. Un stéthoscope parcourt ma poitrine. Il me semple sattarder plus que de raison entre mes seins. Une main commence une palpation : c’est agréable : je sens mes pointes sortir.

Une autre main passe doucement entre mes jambes. Au point où j’en suis je me laisse faire. Et puis, si on insiste je me prête au jeu plus complètement. Tant pis pour mes courses. Ils me font tourner sur le ventre. Mon dos a droit à leur attention. Mon dos et les fesses. Une main passe lentement sur mes globes, j’écarte à peine ma raie. J’ai du faire une invite : un doigt cherche dans la raie. Je prie le dieu Éros pour qu’il aille jusqu’au bout que je sois caressée à cet endroit inhabituel. Je suis en train d’être excitée comme rarement. C’est la première fois que deux médecins intéressent de près à mon corps.

Ils doivent le sentir. Je les veux à ma dévotion, à se qu’ils se consacrent dans l’immédiat à mon plaisir naissant.

Ce doigt arrête trop vite, il abandonne ma raie. J’aimerais sentir une bite contre moi. Ils m’entourent. Sans un mot, il me pétrissent lentement. Je sens des mains habiles sur moi. Ils me font écarter les cuisses. Je suis humide là où un des deux me fouille. J’ai envie qu’ils me caressent longuement, qu’ils me fassent jouir. Un doigt seul écarte ma vulve. Il se pose sur le bouton : je gémis. Je cherche avec mes mains autour de moi un sexe que je puisse serrer. Je ne sens rien.

J’arrive à me remettre sur le dos : je regarde les deux hommes : ils bandent pourtant : je vois bien la tension dans les pantalons. J’ai un besoin immédiat de leurs sexes. Qu’ils me baissent à deux, un en moi,l’autre dans ma bouche, par exemple.

Enfin le plus âgé commence à faire tomber son slip. Il a une queue toute droite pleine de veines apparentes. Je distingue son gland violet. L’autre médecin en fait autant. Enfin deux queues pour moi, pour mon corps énervé. Chacun a une main sur moi, un me caresse l’abricot, l’autre masse le cul. Mon bas ventre va-et-vient. Je me laisse aller à l’orgasme : c’est bien le but, non. Jarrive à saisir les deux bites. Je le branle doucement : je ne voudrais pas quelles éclatent hors de moi.

En me soulevant un peu j’arrive à prendre la pine du plus âgés dans la bouche. Un goût de mâle superbe. Il y a longtemps que je n’ai eu dans la bouche une telle bite. Je sens les détails du gland, surtout le méat où j’aime passer du temps. Je pense toujours que si celle que je lèche se lâche je vais tout prendre dans la gueule.

Je me retrouve assise au bord de la table, les jambes involontairement ouverte. Celui de derrière me caresse les seins. C’est bon, c’est bien fait, mieux que bien fait. Ils me font mettre debout : je reste un instant idiote. Cette fois je sens contre mon ventre et mes reins les deux bites. Elles sont dures. Je pense que si elles étaient ensemble en moi, j’aurai peut être mal. Pourtant j’en ai envie. Se serait la première fois que j’aurais deux hommes rien que pour moi.

J’arrive à prendre dans ma main droite la queue devant moi. Elle est dure, épaisse, comme une branche d’arbre. Je remonte le prépuce descendu malgré lui. Il me semble que le gland sera plus à l’abri ainsi.

J’ai quelques difficulté à prendre l’autre bite. Elle est aussi charnue que l’autre. S’il me prennent ensemble je vais voir passer les étoiles. Et puis, tant pis, j’étrennerais une double formule, il parait que c’est agréable d’en avoir deux à la fois.

Le plus grand pose ses fesses contre la table d’examen. Il m’attire vers lui. J’écarte les jambes pour lui faire de la place. Sa queue commence à fouiller ma raie. Je la sens tâter, fouiller, chercher mes reins. J’ouvre le cul en espérant qu’il me fasse comme le dernier qui m’a sodomisée : il m’a fait royalement jouir.

La bite entre doucement. J’ai à peine mal. Il me la met en entier, je sens même les poils et ses couilles. Mes fesses sont tendues vers son ventre. J’allais oublier l’autre bite. A son tour elle entre de l’autre coté. Elle écarte mes lèvres, pénètre doucement, trop doucement. Je pousse sans me séparer de celle qui est dans mes intestins.

Les deux ensemble vont à un même rythme. C’est dégoûtant, bon, dégueulasse de se faire prendre ainsi par deux hommes puissants. Je sers uniquement de poupée gonflable. Enfin je jouis comme une damnée. Je prend dans mon corps toute les semences du monde. C’est bon, mieux que bon, délicieux.

Ce soir je ne me caressais certainement pas.

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