Véronique se baissa et mit sa tête au niveau de mon sexe trempé.
— Ici aussi tu es toute trempée. Je vais arranger ça ne t’inquiète pas ma chérie.
Elle prit le torchon et le frotte sur ma fente qui apparaissait moulée à travers le tissu bien trop fin pour masquer ses reliefs érotiques. Le frottement tombe sur mon clitoris qui ne peut qu’être excité et dressé devant un tel tableau. Je commence à haleter malgré moi.
— Non Oh Véronique. Arrêtez s’il vous plaît Je peux le Humm faire toute seule. Soupirais-je sans grande conviction.
— Non ne t’inquiète pas c’est de ma faute je répare c’est normal. Dit-elle le plus normalement du monde.
J’étais en train de me faire branler par Véronique sans qu’elle ne soit d’après moi au courant et cela me faisait un bien fou, mais il ne fallait pas que je jouisse. Je mouillais de plus belle ce qui surprit Véronique qui me signifia que le tissu dégorgeait beaucoup d’eau. Elle me dit que je ne m’étais pas ratée. J’étais toute rouge et j’avais des sueurs au front tant je me retenais d’éclater de plaisir devant la besogne de cette femme à genou devant moi.
Soudain, on entendit la porte de la salle de bain s’ouvrir et Véro s’arrêta net et se releva.
— J’ai essayé d’enlever le plus gros. Me dit-elle avec un large sourire. Tu devrais retourner dans ta chambre maintenant pour te changer ce sera le mieux. C’est beaucoup trop trempé pour que tu restes dans cet état. Tu vas attraper la mort sinon.
— Oui vous avez raison. Bredouillai-je encore un peu sur les rotules de ce qui venait de se passer. Bonne nuit à vous.
— Bonne nuit Clarisse.
Le feu aux joues, je passai devant Francis d’un pas décidé en lui souhaitant une bonne nuit sans croiser son regard. J’entendis avant de refermer la porte que Véronique expliquait la situation. Une fois dans ma chambre, je me déshabillai au niveau du bas et constatait en tirant sur mes lèvres l’étendue des dégâts. Ma chatte était brûlante et surtout dégoulinante. Je récupérai un peu de cette mouille de mon minou bien baveux avec mes doigts que je suçais. Le goût était encore plus fort que tout à lheure, mais j’y replongeai pour en reprendre.
Je repensai à la position de Véronique et à sa proximité de mon sexe. Bien évidemment, je me mis à l’imaginer me léchant à travers le jogging dans un premier temps et puis sans pour finir. Je voyais déjà sa langue sur les replis rosés tous humides et collants. Je pensais à ma main qui tiendrait sa tête pour qu’elle me pénètre encore davantage quitte à tirer légèrement sur sa chevelure très volumineuse pour son âge.
Je n’en pouvais plus, mes doigts ne me suffisaient plus. Il me fallait quelque chose dans la chatte. Je cherchai dans ma valise à la recherche d’un sexe de substitution. Une petite bouteille d’eau allait faire l’affaire. Je posai le bouchon à l’entrée de ma grotte et écartai du mieux que je pus mes lèvres pour faciliter la pénétration. Mes sécrétions abondantes auraient, en fait, suffi. Je reste à l’embouchure de mes lèvres pour éviter de me dépuceler avec cette bouteille ; ce serait dommage, mais le fait de sentir cet objet dur aux portes de ma virginité me procurait un maximum de sensations des plus agréables.
Une envie de me pénétrer davantage était présente, mais je ne voulais pas et réussis à me raisonner. Je réfléchis un petit moment en caressant mon clito tout dur et tout gonflé. La bouteille était recouverte de mes émanations coquines ce qui en faisait un très bon lubrifiant ; je décidai de poser la bouteille un peu plus bas sur l’origine de ma rosette. Je poussai légèrement ce qui me donna des frissons quasi immédiats. Le bouchon passa l’entrée de mon cul et c’était comme une sensation agréable qui s’en dégageait. Je continuai à pousser et la bouteille rentra sans difficulté dans mon cul sur cinq centimètres. Je commençai des petits allers-retours pour bien faire le chemin et pour enfoncer petit à petit plus profondément la bouteille. Je faisais de plus en plus de bruit ayant du mal à retenir mon plaisir de s’exprimer. Pour ne pas faire trop de bruit, je me mis le cul en l’air et la tête dans l’oreiller quitte à suffoquer légèrement ce qui me fit tourner la tête. La bouteille allait et venait dans mon cul avec tant de facilité que ma chatte était en feu débordante de plaisir. J’accélérai le rythme si bien que je fus prise par un orgasme. Je m’endormis comme cela avec la bouteille dans le cul qui finit par retomber dans la nuit
Je me réveillai le lendemain matin et décidai de reprendre une douche en sentant mon odeur matinale. Je repassai devant le string de Véronique, mais choisis de ne pas me laisser tenter par une respiration parfumée enivrante. Je m’habillai d’une robe légère et je fis le choix d’oublier de mettre une culotte, car cela m’excitait de me dire que Véro pouvait voir ce spectacle au détour d’un regard. J’oublie de faire pipi et me dirige directement vers la cuisine.
Véronique en peignoir me sourit.
— Bien dormi ? me demanda-t-elle.
— Oui très bien merci ! dis-je enjouée
— Assieds-toi ; je vais te servir le petit déjeuner.
— Merci beaucoup.
— Plutôt thé ou café ?
— Café pour m’exciter un peu.
— Tu as besoin de ça ?
— Euh oui tous les matins. Bredouillai-je un peu déroutée en me rendant compte du verbe choisi.
Tout est prêt et je prends une petite cuillère disposée sur la table, mais je l’échappe et elle se retrouve sur le carrelage.
— Oh ne te penche pas je vais la ramasser.
La voilà qui se retrouve devant moi et ma robe est légèrement remontée ce qui découvre ma chatte. Elle en ruisselle. Véro me tend la cuillère, mais son peignoir s’ouvre à ce moment-là laissant échapper un sein lourd et laiteux. Ah le rêve. Mon sexe s’enflamme et l’envie de pisser que j’ai oublié d’assouvir devient incontrôlable. Je sens alors couler un liquide chaud sous mes cuisses trempant ma robe et Véronique fut surprise de voir autant en couler.