Je mappelle Charles et elle se prénomme Louise.

Ce qui suit a débuté il y a longtemps, dans les années 85/90.

Quel cul !!!

Cest la première expression qui me soit venue lorsque je lai vue pour la première fois !

Je faisais mes courses dans une grande surface chaque semaine, le soir après le boulot. Et, pratiquement à chaque fois, je la voyais. Parfois je la suivais dans les rayons. Jattendais quelle avance pour mieux la regarder.

Brune, bien faite, toujours un pantalon moulant qui faisait ressortir des fesses à première vue bien fermes. Une poitrine haute perchée : elle faisait se retourner pratiquement tous les gars quelle rencontrait.

Et ainsi pendant plusieurs semaines je lapercevais, sans jamais lui parler. Nos regards se croisaient parfois mais sans plus, sauf ce soir là.

Elle était à la caisse près de la mienne, elle me tournait le dos et chaque fois quelle se baissait pour prendre un article dans son caddy, je voyais ses fesses rebondies. Vit-elle mon regard ? Le devina telle ?

Je ne sais pas. Je rejoignais ma voiture, mis mes courses dans le coffre et démarrait pour regagner mon domicile ou mattendait femme et enfants.

Jétais presque arrivé lorsque je remarquai quune voiture me suivait depuis le supermarché. Je ny avais pas prêté plus dattention que cela jusquau moment où, avant de tourner dans ma rue, je jetais un coup dil dans le rétroviseur et je la vis. Cétait elle ! Elle me suivait !!

Je ne voulais pas marrêter près de chez moi où quelquun aurait pu mapercevoir. Je refis un tour du pâté de maisons et reparti vers le centre ville pour trouver un endroit plus discret. Je me garais dans une petite rue déserte et elle sarrêta derrière. Je ne bougeais pas, elle non plus. Je descendis de ma voiture et je me dirigeais vers la portière de droite de son véhicule quelle déverrouilla.

A peine assis dans sa voiture, je lui demandais la raison pour laquelle elle me suivait. Elle me dit quelle mavait remarqué dans la grande surface depuis plusieurs semaines, quelle avait vu combien je la regardais. Elle voulait savoir où je résidais, qui jétais. Nous parlâmes de choses et dautres, ce que nous faisions dans la vie, de nos conjoints. Elle mavoua dès cet instant quelle ne trouvait pas chez elle la satisfaction quelle attendait dun homme et quelle avait pris un amant, amant avec qui elle venait de rompre quelques jours auparavant parce que trop souvent absent, toujours pressé et quil ne passait pas assez de temps avec elle !

Elle me dit quelle voulait me revoir. Jhésitais. Je la devinai, au regard de ses propos, possessive. Depuis quelques temps à la maison notre couple battait de laile. Je lui ai dit pourquoi pas !

Rendez-vous fut pris. Je devais la rejoindre à un endroit quelle mindiqua.

Ce jour là, tout fébrile je rejoignais le lieu de notre rendez-vous. Je pensais que cétait chez elle, et je fus surpris lorsquelle me demanda de la suivre en voiture, ce que je fis.

Nous gagnâmes un chemin de terre dans un petit village des alentours.

Je la rejoignais dans sa voiture, plus spacieuse que la mienne. Dès que je fus assis, je tentais de lembrasser et de la caresser. Elle me repoussa. Elle voulait dabord savoir où cela allait nous mener. Nous discutâmes un peu et je finis par pouvoir lembrasser et lui caresser les seins à travers son chemisier. Rien de plus. Nous nous séparâmes une heure plus tard en nous donnant un nouveau rendez-vous.

Après plusieurs rencontres en voiture dans les chemins environnant, je finis par pouvoir la caresser entièrement. Elle avait un corps magnifique que ses trois maternités navaient pas altéré, des seins très fermes et sa chatte non rasée, chose très courante à cette époque, était douce sous mes doigts et humide à souhait. Elle se contentait de me masturber.

Un jour elle décida que je pouvais la prendre. Notre relation avait vraiment démarré.

Je suis pour les longs préliminaires, les jeux de main, de langue, mais elle, elle préférait que je la pénètre très vite.

Elle était plutôt docile et jouissait rapidement. Ensuite je la caressait, la pénétrait avec mes doigts et ainsi décuplait le plaisir quelle prenait.

Elle mavoua que son mari et son ex-amant se contentait de la prendre sans grande imagination, son ex-amant la baisant 2 à 3 fois de suite en éjaculant rapidement, mais il avait la faculté de rebander tout aussi rapidement.

Un jour je lui demandais de me sucer. Elle fut surprise de ma demande, nayant jamais fait cela, ni avec son mari, ni avec son ex. Elle refusa tout dabord : cela ne se faisait pas entre gens normaux, quil ny avait que les prostitués pour le faire etc

Il me fallut discuter longtemps pour lui faire admettre que cela se faisait depuis lantiquité et pour la convaincre, je lui apportai, lors dune de nos rencontres, un livre érotique du divin marquis, avec gravure et texte à lappui.

Petit à petit elle céda. Elle commença par embrasser mon sexe raidit et ne fit que cela pendant plusieurs rendez-vous. Ensuite elle prit le gland en bouche, sans bouger. Enfin un jour elle prit ma bite entièrement en bouche, faisant des va-et-vient, caressant le gland de sa langue. Mais pas question de jouir dans sa bouche.

Notre relation commençait à durer. Nous baisions en voiture dans différents endroits discrets, parfois nous nous payons une chambre dhôtel. Cétait le paradis. Je pouvais la voir entièrement nue, nous pouvions nous sucer mutuellement, essayer des positions que nous ne pouvions faire en voiture. Le pied !

Un soir, à lautomne, alors que nous étions en train de nous peloter sur les sièges avant, « nichons, chatte et queue à lair », nous fûmes surpris dapercevoir un visage près de la vitre. Un voyeur !! Il fila aussitôt quil se rendit compte que nous lavions aperçu. Depuis quand était-il là ? Qua-t-il vu ?

Cela coupa nos moyens. Nous nous rhabillâmes précipitamment et quittons aussitôt ce chemin.

Nous avons évité cet endroit pendant plusieurs semaines, et un jour nous décidâmes dy retourner, pensant que le voyeur, ne nous y voyant plus, aurait changé dendroit.

A suivre

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