Le lendemain, nous arrivâmes plus qu’en avance au cours, tant pressés et curieux de la suite. La salle était déjà ouverte et nous entrâmes donc. Il y avait déjà Lucie, la prof et une autre fille rousse que je ne connaissais pas. Miléna et moi nous assîmes au deuxième rang, juste derrière Lucie. Ma sur partit aux toilettes (elle fait tout le temps ça au mauvais moment).
La blondinette avait mis une petite minijupe ainsi qu’un chemisier presque transparent, à la limite de la décence. Elle était en train de pianoter sur son téléphone, penchée en avant sur sa table. Cette position ne faisait que plus ressortir son magnifique et ferme fessier divin. Une cascade de cheveux blonds le masquait à moitié, mais quelle vue sublime. Je me leva légèrement de ma chaise pour regarder l’écran de son téléphone. Elle était sur Xstory-fr.com, le célèbre site d’histoires érotiques. Je connaissais très bien ce site, le visitant régulièrement depuis plus d’un an. J’aimais bien la catégorie Inceste, comme vous vous en doutiez.
Lucie était sur une histoire qui s’intitulait « Sexâmes, l’histoire d’une légende » du magnifique et talentueux auteur Firehorse (j’ai le droit d’écrire ce que je veux, c’est mon histoire ! OK ?). J’aimais bien cet auteur et je suivais notamment sa série « Harry à l’école des Sorciers », une parodie érotique d’Harry Potter. L’histoire que lisait Lucie, je l’avais déjà lu plusieurs fois : elle narrait l’histoire de Raphaël (oh ! c’est étrange, il a le même prénom que moi) qui devait sauver le royaume de Sexome, presque exclusivement rempli de jeunes filles bandantes (toutes majeures, cela va de soi). La fille qui guidait Raphaël s’appelait Lucie, comme la lectrice que j’avais devant moi, mais était brune.
Bon.
Si vous avez compris, c’est moi Firehorse sur Xstory, et je m’inspire de la vie réelle pour écrire mes histoires. Depuis que j’avais vu Lucie aspirer tout ce sperme, je fantasmais sur elle et j’avais commencé une série (4 chapitres déjà) l’impliquant dedans. Pour savoir si elle connaissait l’identité de l’auteur, je lui tapotait l’épaule.
Elle se retournait, emmenant derrière elle sa masse incroyable (et sublime !) de cheveux blonds, et me fixait d’un regard interrogatif. J’engagea alors la conversation.
« Tu aimes bien Xstory ? » lui demandais-je.
Elle me fixa alors d’un regard encore plus ardent, et, une étincelle d’amusement apparu dans ses yeux.
« Si j’aimes ? » lança-t-elle.
J’hochais alors la tête.
« C’est à dire que je connais ce site depuis plus de deux ans, depuis ma majorité en fait. Je suis toute sorte de séries dessus. Mais, depuis une petite année, un nouvel auteur est arrivé. Il s’appelle Firehorse et fait des histoires plutôt excitantes. D’ailleurs, dans une de ses séries, il y a un personnage qui me ressemble vachement, sauf qu’elle a des cheveux bruns. Mais, elle s’appelle Lucie aussi. » répondit-elle.
Ce fut alors à mon tour de prendre un air amusé. Je décidais alors de jouer franc-jeu avec elle.
« Tu sais que je connais bien cet auteur, et je sais qu’il s’inspire de la vie réelle » je dis.
Elle ouvrit la bouche pour me questionner, mais je ne lui en laissait pas le temps en proclamant solennellement :
« Je suis Firehorse. »
Elle restait alors bouche bée devant moi pendant plusieurs secondes. Elle reprit ensuite contenance et demanda, toujours ébahie :
« Tu veux dire que la fille dans Sexome, c’est vraiment moi ?
— Oui ! ».
Je lui racontait ensuite que j’avais observé en compagnie de ma sur le cours où elle devait boire le sperme de tous les mâles de la classe en ayant pour contenant la chatte de Jennifer (sublime soit dit en passant) et que depuis ce jour, j’était sous son charme (de Lucie, pas de Jennifer. Commencez pas à vous embrouiller sinon vous allez plus rien piger de la suite). Elle sourit.
Nous allions continuer à parler, quand Miléna arriva, ainsi que tout le reste de la classe. Tout le monde prit place : le cours commençait.
Stéphanie dit alors :
« Il faut tout d’abord que vous sachiez que vous êtes ici pour vous préparez au concours d’entrée de la plus prestigieuse école de sexe de France. Vous suivrez simultanément dans le même établissement la vocation que vous aviez choisi auparavant. On est d’accord que tout le monde ici présent a réussi son examen d’entrée à l’école de science ? – approbation de l’ensemble de la classe – Parfait ! Alors, vous serez tous dans la section scientifique de l’école en question, enfin pour ceux qui réussiront l’examen d’entrée.
Les séances précédentes n’étaient que pur amusement (et jouissance, je vous l’accorde). Il faudra maintenant passé aux choses sérieuses. L’admission que vous avez passé hier, Raphaël et Miléna (elle se tourna vers nous), était une épreuve type, bien sûr très simplifiée, de l’examen qui vous attend.
L’examen est composé de trois épreuves :
La première est une épreuve écrite de 50 minutes sur 50 points, où vous devrez répondre à un QCM portant principalement sur le sexe, comme vous l’aurez deviné.
La seconde épreuve est une épreuve orale de 30 minutes sur 50 points. Vous aurez une problématique et disposerez de matériel ainsi que de 20 minutes pour répondre au problème. Vous aurez ensuite 10 minutes pour faire votre présentation, avec manipulations.
La troisième épreuve est la plus dure. C’est une épreuve pratique sur 100 points avec un partenaire inconnu. Vous pouvez tomber sur un individu de même sexe que vous, donc habituez vous à être bisexuels. Je dis ça surtout pour les garçons, qui trouvent normal le sexe lesbien, mais repoussant le sexe entre de hommes. Bref.
Vous serez mis en situation avec une histoire telle qu’un patient allant voir une infirmère (même si c’est rare de trouver une histoire aussi bateau). Vous aurez une suite d’instructions précises à exécuter, avec une difficulté croissante. Dans la plupart des cas, il y aura sodomie. Donc, je veux que tout le monde ici présent soit habitué à cette pratique. Et cela dans les deux sens, car il peut arriver qu’on demande à une fille de revenir un gode ceinture pour enculer sauvagement son partenaire masculin.
Voilà ! Cet examen se déroulera dans l’établissement de l’école dans un mois. Pour être admis, il faut totaliser minimum 120 points. Et, nous allons donc nous voir tous les matins pendant deux heures et demie, sauf le dimanche, pour préparer cet examen.
Y a t’il des élèves qui ne souhaitent pas passer ce concours ? Si c’est le cas, je lui demanderai de partir prestement. »
Aucune personne ne se prononça.
« Très bien ! Nous allons directement travailler la troisième épreuve car elle nécessite plus de travail que les autres. Juste, il y’a un léger problème car il y a 14 garçons et 15 filles, ce qui signifie qu’il y aura un groupe de trois. Mettez vous donc par paire ! ».
Je pris la main de Miléna qui sourit, dévoilant ses magnifiques dents blanches. En moins de trois minutes, il y eut 14 binômes. La plupart des paires étaient en fait de couples dans la vie réelle. Il y avait logiquement une fille seule : Lucie. Je vis alors une chance inespérée pour la séduire. Elle regardait autour d’elle pour trouver un partenaire mais tout le monde était pris. Alors, je lui posait doucement la main sur l’épaule et lui dit :
« Tu peux venir avec nous si tu veux ! ».
Elle se retourna et me sourit. Je sus dès lors que je lui plaisait. Elle déplaça sa table à côté de la notre et la prof reprit :
« Très bien ! Nous allons pouvoir commencer. Mesdames, sortez et échauffez rapidement le sexe de votre partenaire. »
Je baissait mon pantalon ainsi que mon boxer et ma bite sortit à l’air libre. L’organe était déjà tout gonflé de sang et de son orgueil gigantesque (vous remarquerez que dans toutes les histoires d’inceste, le frère a toujours une ENORME bite, qu’il a caché à sa famille depuis tant d’années). Elle mesurait 19 cm de long pour 4,5 cm de large en érection, et 10 cm de long pour 3 cm au repos.
Ma sur commençait une petite branlette innocente tandis que Lucie regardait, ne sachant que faire.
« Si tu n’as envie de me faire une fellation, je ne te forcerais pas. Tu es libre de tes choix ! » lui dis-je.
Elle sourit une nouvelle fois.
« Ce n’est pas que je n’ai pas envie, car tu me donnes faim ! Mais, je me demande juste comment je vais faire pour avaler un tel monstre de chair » répondit-elle d’un air coquin.
Miléna lui donna alors la réponse en n’enfournant en gorge profonde ma bite presque jusqu’à la garde. J’allais lui demander commet elle faisait pour ne pas vomir, car mon pénis devait forcer la glotte. Ce qui m’impressionna le plus, ce fut que je voyais un renflement dans son cou, signe de la présence de mon organe. Elle se retira et je lui demandais sa technique.
« Je prend des cachets anti-vomitifs juste avant, discrets.» me répondit-elle malicieusement.
Super astucieux ! Lucie lui en demandait un et l’avala. Elle put ensuite sucer ma bite aisément et sans gène. Sa bouche était plus chaude que celle de Miléna, provoquant une soudaine montée d’hormones dans ma tête. Je venais d’avoir une sorte de semi-jouissance, sans éjaculation et sans moment de rémission hyper long par la suite. Cela ne m’étais jamais arrivé avant. J’en fis par à Lucie qui me regarda tendrement.
« Et comment je me nourris moi ? J’ai besoin de sperme ! » lançait-elle.
J’allais lui répondre quand Stéphanie donna le déroulement de la suite du cours.
« Alors, messieurs, je vais vous demander de lubrifier l’anus de votre partenaire avec le liquide situé sous votre bureau. Sinon, je pense que l’ensemble de la classe se fait des lavements banals comme indiqué dans la fiche d’inscription ?».
Comme une seule personne, la classe hocha la tête. Puis, chacun se penchait sous sa table. Personnellement, je vis un flacon de liquide transparent, légèrement semblable à du sperme. J’ouvris la bouteille et en fis couler sur mes doigts que je portais ensuite à mon nez. Une légère odeur de fraise des bois m’envahit les narines. Je regardais l’étiquette de la bouteille : « Lubrifiant à la fraise, comestible ». Comestible ? Intéressant !
Je tendis la bouteille à Miléna qui s’occupa du fessier de Lucie tandis que je lui enduisait avec méthode son trou anal. Au bout de quelques minutes, toute la classe eut fini.
« Maintenant, je vais demander à tous les hommes de venir prendre une pilule de stérilisation temporaire, qui empêchera la propagation de MST (je sais ! Là, j’invente. Mais bon, on est pas auteur pour rien). » ordonna Stéphanie impérieusement.
Une fois que ce fut fait, elle demandait à tous les garçons (tous majeurs, comme tous les personnages de cette histoire, il est important de le rappeler) de s’allonger sur le dos (le sol était chauffé). Il ne restait donc plus que les filles debout.
« Mesdames ! Vous allez vous asseoir sur le pénis de votre partenaire à votre rythme, en mode anal. » dit la prof.
Miléna commençait. Elle s’agenouillait, nue, l’orifice anal au-dessus de mon organe sexuel, bandé comme jamais. Elle se fit pénétrer sans cérémonie car on avait déjà tenté l’expérience la veille. Miléna ne put s’empêcher de pousser des petits cris de jouissance, mais elle se retenait de peur de prévenir toute l’école de sa baise.
Stéphanie s’en rendit compte et vint nous voir.
« Vous savez, la pièce est extrêmement bien insonorisée. Donc, lâchez vous, ça ne gênera personne et ça stimulera les autres élèves. » dit-elle.
Miléna s’en donna alors à cur joie (vous remarquerez qu’il n y a que les filles qu’on entend crier dans les récits pornos. Étrange et peu réaliste !). Elle poussa pendant tout l’acte des grands cris, qui m’excitait beaucoup, je dois l’avouer. De plus, le contact de ce corps chaud autour de ma bite me fit une nouvelle fois une montée d’hormones. Je jouis sans sperme et sans période de rémission (deux fois ? me diriez-vous. Incroyable mais vrai, du moins dans ce récit inventé de toutes pièces). Miléna jouit elle aussi puis se laissait tomber à côté de moi sur le sol. Tandis que Lucie s’approchait elle aussi de mon mât, ma chère sur m’embrassait à pleine bouche. Pas un vulgaire bisou de maternelle. Non ! un baiser plein de passion (et de salive aussi d’ailleurs). Lucie se laissait ensuite tomber (littéralement) sur ma bite et commençait une sorte de va-et-vient hyper pro, ondulant le corps d’une manière incroyable pour nous stimuler tous deux un maximum.
Cette fois, je sentis la vraie jouissance arriver. Je me retins d’éjaculer avant que Lucie est elle aussi eut un orgasme (si, si ! c’est possible). Celui-ci ne tarda pas et Lucie poussa un râle tandis que je lâchais ma semence dans son anus. Miléna se précipitait alors sous Lucie pour se gaver de ce liquide.
Il faut savoir que le sperme :
1 – Est un antidépresseur, car il est riche en substances antidépressives comme la mélatonine, la prolactine et la sérotonine, est bon pour le moral des femmes, et favoriserait le bien-être mental et le sentiment d’affection une fois dans leur sang.
2 – Ne fait pas grossir mais maigrir. Il est riche en protéines (une dose à peu près équivalente à celle contenue dans l’albumine d’un uf), en sodium, en potassium, en magnésium, en sélénium et en vitamines C et B12. La valeur calorique d’une éjaculation moyenne (4 à 6 millilitres de sperme) varie entre 15-30 calories. La sinophage (acte d’avaler du sperme) ne fait donc pas grossir. Et, d’après le professeur Ingrid Fleischer de luniversité dHambourg en Allemagne « les femmes pratiquant la fellation et qui avalent le sperme de leurs compagnons réussissent à maigrir jusqu’à deux fois plus vite que les autres. Ces vertus amincissantes du sperme sont dues à la présence d’une substance, l’alcaline, qui ne fonctionne comme brûle-graisse qu’en présence des autres composantes du sperme. » La séminophagie aurait donc vraiment des intérêts !
3 – Se cuisine !!! Un infirmier de San Francisco, Paul Photenhauer est devenu le premier chef spécialisé dans les recettes au sperme. Créateur et testeur de recettes, ce nouveau chef explique à Rue 89 « J’ai testé pas mal de trucs et je trouve que le sperme se marie mal avec le sucré froid car il est lui-même chaud et d’un goût épicé. Dans les plats type quiche, gratin ou pizza, c’est un ingrédient qui passe assez inaperçu. Le mieux, c’est le thé et les alcools où son goût relève la boisson. »
Bref, bref ! Miléna but mon sperme. Je vis que nous étions les derniers à encore travailler et tout le monde nous regardait. La professeure vit qu’on avait finit et reprit la parole :
« Parfait ! Je vois que vous avez tous terminés la première phase. La deuxième phase est toujours plus délicate »
Elle ponctua son suspens d’un sourire coquin.
« Mesdames, allez chercher les godes-ceintures ! On va apprendre à ces mâles qui domine ici ! ».
Voilà, voilà ! J’écris le plus vite possible le prochain chapitre. Dites-moi en commentaire si vous aimez les touches scientifiques dans mon récit ou s’il vaut mieux que je les retirent. Un petit J’aime serait bien sûr encourageant (je vois toujours des nombres astronomiques de vues sur la plupart des histoires, mais peu de lecteurs ne pensent à nous encourager de la sorte ^^).
