Je déambulais dans les rayons du supermarché. Je le connaissais très bien, jy avais travaillé quand jétais un peu plus jeune. Non pas que je sois aujourdhui vieux, je suis à peine un jeune adulte. Avec mon caddie rempli, je pars à la recherche de la gélatine. Impossible de la trouver, ils ont changé toute la disposition du magasin. Je mavance dans un rayon, pensant être le bon, et aperçoit au loin deux employées du magasin. Elles finissent le facing et je mapproche. Je les reconnais très bien : Sandrine et Catherine deux ancienne collègue. Dans mon souvenir, elles étaient beaucoup moins sexy quelles ne le sont aujourdhui. Et leurs formes se révèlent incroyable. Des mamelles à en faire pâlir de jalousie une vache, des hanches plus larges que nimporte quelle chaise. Alors que je mapproche delles, elles me reconnaissent et savancent vers moi avec tendresse et gaieté.
— Mais cest notre cher Cris qui vient nous passer une petite visite !
— Quil est adorable dans sa chemise de bucheron !
— Bonjour ! dis-je, le rouge aux joues. Vous avez encore la forme pour des mères qui travaillent depuis 3h du matin.
— Les jeunes sont des bons à rien, ils nous sous estiment beaucoup trop !
— Tas raison Catherine. On pourrait procréer de nouveau et mettre à bas aujourdhui même si cétait possible. On est bourré dénergie. Cest ça le divorce.
— Dites, je cherche la gélatine.
— Suis moi mon petit.
Je suis Catherine, elle me demande de mes nouvelles, et marche rapidement. Si bien que je me retrouve légèrement derrière elle, avec une vue géniale sur son cul. Et là, choc ! Comment avais-je pu manquer ça ?! Catherine se trimbale en minishort noir avec des collants bariolés, très sexy. Ses cuisses sont bandées et mise en valeur pas les hauts talons quelle porte. Elle marche tel un mannequin, et ses chaussures claquent sur le carrelage blanc sale. Quelle est belle. Beyoncé devait avoir raison quand elle chantait « Who run the world : GIRLS ! ». Cette femme, cette mère, devait diriger le monde, son monde en tout cas. On arrive à la gélatine. Elle en prend un sachet, se retourne : elle est maintenant en soutien-gorge. Il est noir, profond. Le contraste avec sa poitrine blanche, laiteuse, est immense : si bien que lon a limpression que ça déborde. Je me dis que la gélatine aiderait ces seins à être plus fermes. Je saisi la gélatine quelle me tend, sans trop comprendre ce qui se passe, et nous continuons à discuter. Alors quelle me demande comment va ma copine, je lui réponds quelle est actuellement en vacances en Irlande, chez son frère. Elle me parle de sa jeunesse, faite de peu de choses. Un homme derrière elle nous interpelle. Comme je suis collé au rayon, et très proche de Catherine et de sa poitrine écrasante et très odorante, je ne vois pas qui est cette personne. Je me décale sur la droite et trouve un serveur, gentleman, qui nous invite à venir nous asseoir. Au milieu du rayon, un mini salon est installé : deux fauteuils dune élégance rare, rouge bordeaux, côte à côté, séparé par une table sur laquelle se trouve gâteaux, cafés et lubrifiant. Décidément la situation est de plus en plus étrange. Catherine sy installe et sens son café : elle y prend beaucoup de plaisir et minvite à la rejoindre. Je massois : un nuage de confort. Je ferme les yeux. Catherine bois et se plaint de labsence de lait .Alors que jouvre les yeux, nous nous retrouvons dans son salon : lambiance est tamisée. Un fond de musique berce la salle. Beethoven ? Peu importe. Catherine tient une bouteille de lait à la main et en verse une quantité incroyable .Comment est-ce possible. Elle verse le litre dans cette si minuscule tasse et rien ne déborde ?! Je me penche pour regarder, et la tasse est vide. Cest vraiment étrange.
— Oh chéri, te voilà, dit Catherine.
Surpris, je me retourne. Un jeune homme se tient à lentrée du salon. Une serviette jaune entoure sa taille. Il est trempé. Eau ou sueur ? il sapproche, joyeusement, et vient embrasser Catherine. Le baiser est long et devient violent, Cat lâche des soupirs puis se dégage. Des gouttelettes deau perlent sur sa poitrine. Elle ouvre la bouche, mais ne parle pas. Cest lhomme qui lâchera cette sentence :
— Bonjour, je suis Pierre, le fils de Catherine.
Il sapproche de moi, sassois à califourchon sur moi, et membrasse les deux joues. Il sent bon. Son torse est fait des deux pectoraux bombés. Je suis curieux et les touche. Il se contracte. Je lui masse la poitrine.
— Tu fais de la muscu, dis-je.
— Chaque jour. Cest ma mère qui my pousse. Mais je suis fier du résultat.
— Alors que je frôle un de ses tétons, sa serviette jaune se fend au milieu et un énorme sexe sallonge vers moi. Cette chose est énorme. Cest complètement disproportionné.
— 25 cm, mannonce-t-il.
— Je veux bien te croire, dis-je !
— Ma mère le mesure chaque jour depuis ma naissance.
Je vois Catherine se lever, elle est en peignoir. Elle sapproche et dis à son fils, lui passant la main dans les cheveux :
— Aller Pierre, maintenant il faut y aller.
Le jeune homme se lève et sa serviette tombe.
— Quel corps magnifique !
Pierre se penche sur mon entrejambe et baisse mon boxer. Il commence à se caresser la bite, puis la mienne. Puis simultanément. Catherine, derrière moi, me masse le cuir chevelu. Nos queues sont bandées et je ne comprends rien ! Pierre ne produit aucun sons, aucune expression sur son visage, mais il jouit. Dénormes amas de spermes coulent sur mon gland. Cest étrange. Je mattendais à une explosion de semence. Je mattendais à ce que la pièce devienne blanche de sperme. Mais non. Tout coule comme si on pressait un tube de dentifrice: Cest pâteux, condensé, blanc, et ça sent trèèèès fort. Pierre, me voyant approcher ma main vers mon sexe, marrête. Il se met à quatre pattes entre mes jambes, prend ma queue enfouie sous lépaisse couche de sperme chaud, et me branle. La sensation est géniale. Cest gluant et collant. Catherine sapproche, elle a les seins nus. Son fils Pierre sessuie la main sur un de ses seins. Catherine est maintenant souillée, mais à lair contente. Elle commence à masser son téton avec la crème de son fils. Pierre, quant à lui, me regarde .Il me cherche. Je le regarde alors, me souris vicieusement, et enfourne cette saucisse crémeuse dans sa bouche. Il me suce, profitant en même temps de son sperme. Mais de nouveau, rien sur son visage. Je ferme les yeux de bonheur. Tout dun coup jentends le vent. Je sens lodeur de Catherine proche de moi. Cest son souffle dans mon oreille. Pierre me suce tellement bien. Jéjacule. Mais il continu. Jéjacule de nouveau. Jéjacule sans jamais marrêter. Des vagues de spermes coulent de sa bouche, mais il continu. Il en a sur le visage, il ne peut plus respirer, ses narines sont obstruées. Bientôt je sens mon sperme me recouvrir. Cest une inondation. Jouvre les yeux et nous sommes sur la plage. Je suis allongé, ma tête repose sur les lourdes et confortable poitrine de Catherine. Pierre, plus bas, me suce toujours. Il est propre, mais une patte blanche brille à la commissure de ses lèvres. Le soleil est géant. Presque trop grand. Je plisse les yeux et essaie de la regarder. Une ombre arrive. Un tsunami ?! NON ! Cest impossible ! Il sapproche trop vite ! Et les autres qui nont pas lair de sens soucier. Je ne ressens plus rien. La vague est trop proche. Je perds le contrôle. La vague est au bord de la plage et va sabattre sur nous dans 1 ou 2 secondes. La vague est blanche. Du sperme, je pense. Je mévanouis.
Je me réveille dans une sorte de salon. Catherine est là, elle est devant lévier. Habillée dans sa tenue commerciale, elle sapproche de moi et me pose un gant deau fraîche sur la tête :
— Tu as fait un mauvais rêve. Tu tes endormi. Le café te fait un drôle deffet.
— Je ne me rappelle de rien. Quest-ce que je fais ici ? Où sommes-nous ?
— Tu es au magasin, en pause. Il est midi 28.
— Mais Quel jour on est ?
— On est le 2 décembre.
— De quelle année ?…
— Oula, je ferais bien de tapporter du sucre à toi. 2009 voyons ! Je reviens, bouge pas.
Mince alors. Jaurais rêvé ma vie pendant 5 années ?! Comment est-ce possible ?! 5 années à rêver. Cest invraisemblable. Toutes ces choses accomplies, ces voyages, ces filles, ces amies Rien, ça ne serait que du vent ?
Catherine est de retour, une bouteille de cola à la main.
— Tiens, ça va te remettre sur pied.
Je tire sur le bouchon et bois le contenu de la bouteille. Je me sens mieux, mais mon esprit est perdu.
— Quand tu te sentiras mieux, viens dans mon bureau, on déjeunera.
— Jarrive, je dis.
Nous mangeons et Catherine me parle de sa famille. Son mari infidèle quelle ne supporte plus. Son fils qui va entrer au collège. Je mange sans appétit et lécoute dune oreille distraite. Elle se lève, passe derrière moi et jette le contenu de son assiette. Je lentends ouvrir le frigo, jai la tête dans les chaussettes et regarde mes spaghettis comme si cétaient des vers de terre. Elle ferme le frigo et revient, sarrête à mon niveau et me dit :
— Tiens, mange donc ça, et je te donne ton après-midi, tu en a besoin.
Je tourne ma tête vers elle, à droite, et ma joue tape sur son doigt. Quelle blague puérile Mais ?! Ce nest pas un doigt. Je lève la tête vers Catherine, et découvre quelle a un énorme pénis qui lui pend entre les jambes. Elle me regarde avec insistance, lair de dire « Si tu veux ton aprèm, fais plaisir à tata ! »
Je suis bluffé. Un tel pénis Chez une femme ?! Mais il est tellement beau, quel sexe. Courbé vers le haut, long, musclé, dur, veineux Le gland est violacé, nattend que de se faire embrasser. Des pois rasé court, noir, dégagent une odeur excitante. Des couilles contenues dans une peau peu élastique. Cette queue est en face de mon nez, immobile. Lexcitation monte en moi. Je pense Est-ce normal que jai envie de sucer cette queue plus que tout au monde. Jai envie de la sentir sur ma langue, lécraser de son poids. Jai envie de lécher cette bite. Je veux la sentir enfoncer ma gorge. Je veux baver dessus, la rendre brillante, humide, glissante. Je veux refermer ma bouche sur elle, aspirer son gland Faire du bruit en la suçant. Je veux quelle jouisse sur ma langue, sur mes lèvres. Sentir cette crème délicieuse, en avoir à la limite des narines, sur les plais, puis lavaler. Je me lance ! Je veux ce pieux, ouvre la bouche et saute dessus !
Il fait légèrement jour. Le réveil indique 6h34. Je me réveille dans mon lit. Cest ma chambre, je la reconnais. La chambre de mon studio. Le gars dans la radio commence son journal. Nous sommes à la veille de Noël. Noël 2015. Je suis assommé. Je métire. Jai mal. Des poils sur mes jambes sarrachent. Je lève la couette. Mon boxer est taché de sperme. Du sperme sec
Je me lève, me fais un loooong café noir. Je prends mon téléphone, il est maintenant 8h. Je cherche dans mon répertoire. C.
— Allo ?
— Catherine ?
— Qui est à lappareil.
— Cest moi, Cris.
Routine habituelle de retrouvailles.
— Dis-moi Cat, je peux venir bosser au magasin de nouveau, jai besoin de tunes !
— Passe dans laprès-midi quon en discute.