Avant d’appeler ma collaboratrice qui me semble un peu coincée je demande à Huguette, ma femme si elle désire baiser avec elle. Ses yeux brille de désir, elle connaît ma clerc. Bien sur qu’un après midi en compagnie de cette fille lui plaît, à une seule condition que je reste avec elle pour moi aussi baiser. La veille nous avons passé un bon moment avec son amante, amie de toujours Gille.
Moi je ne sais comment attirer ma collaboratrice. On peut être notaire sans trop se connaître en femmes. C’est Huguette qui se charge de la suite.
Je suis un peu surpris le lendemain après midi quand ma collaboratrice principale est absente. Comme souvent Huguette me demande de venir dans la chambre. Elle doit se branler et ma présence est nécessaire pour qu’elle jouisse selon ses goûts.
C’est bien pour ce que je pense. Sauf que je ne sais comment elle a fait pour conquérir Laure. Elles sont enlacées sur le lit. Je ne pensais pas que Laure soit si bien faite. En attendant c’est ma femme qui profite d’elle. Elles ne sont pas couchées, seulement assises au bord du lit, la jambe droite de ma femme sur celles de Laure. Je ne vois que le sexe de ma femme, toujours aussi excitante ainsi offerte. Elle me fait l’effet immédiat en me faisant bander. Je suis vite nu, comme elles, je m’approche pour les regarder de plus près. C’est la main gauche de Laure qui vient sur le con Huguette comme si, elles avaient fait ça toute leur vie. Pour ma femme c’est normal, elle aime les filles, pour Laure, je ne savais pas ce qu’elle aimait. Si elle aime exclusivement les autres filles, j’en suis réduit à me branler.
Ma venue près du couple n’entraîne qu’un seule chose. C’est Laure qui tend sa main vers ma queue. Je la lui donne volontiers sous le regard de ma femme. Je sens mes bijoux de famille remonter vers la pine. Elle me découvre lentement le gland. Regarde ma grosseur avant de poser juste le bout de ses lèvres sur la haut de ma bite. Je me tends vers elle qui comprend mon besoin. Elle lèche à peine le gland avant de l’engloutir profondément.
Ainsi elle branle ma femme et me suce à la fois. On fait pire en sexualité ! Mais prise dans le même délire ma femme sans qu’on le lui demande pose sa main entre les cuisse de mon employée. Je ne peux voir exactement ce qu’elle fait, sauf les mouvement de son bras. Les yeux de Laure qui me fixaient changent de caractère en, regardant la main qui lui fait du bien visiblement. Si je pouvais je caresserais les seins de Laure qui pointent. Arrive ce qui traîne depuis le début : je jouis. Mon sperme part dans la bouche qui le garde en réserve. Laure m’abandonne pour se tourner vers la bouche de ma femme. Elles s’embrasent pour échanger mon jus.
Leur relation change profondément : les bouches ne se quittent plus. Par contre le mains suivent les courbes du corps de l’autre. Lentement les explorations se changent en caresses. Les mains sont partout à la fois, sur les seins, sur les hanches, sur les fesses. Elles me font encore bander quand Laure se met à passer dans le raie du cul. Huguette se laisse faire tranquillement, comme si j’étais absent. Je sais qu’elle aime ce genre de choses. Elle ouvre son cul facilement, comme quand c’est moi qui le lui fait, sauf qu’elle n’aura pas de queue avec une autre fille. Dans l’immédiat, elle s’en passe quand les doigts de Laure viennent dans son ventre. Ainsi elle se fait enculer par une autre. Ses fesses s’ouvrent et se ferment selon les désir de l’autre. Rompue par le plaisir qui arrive, Huguette se laisse aller sur le lit. Elle se laisse sodomiser sur le dos. Normalement quand je l’encule ainsi, elle se branle toujours. Là, ça ne manque pas, son plaisir n’est complet que quand elle a et le cul et le clitoris occupé. Laure la regarde faire sans intervenir.
Je suis toujours la queue raide, je voudrais moi aussi participer, enculer ma femme ou Laure. Ma femme justement joui en criant un peu. Laure se penche sur elle, l’embrasse sur la bouche. Je vois sa langue dans la bouche de ma femme. Elles ne s’occupent pas de moi. Laure se penche sur le sexe Huguette, la lèche lentement. Sa réaction est simple, elle se donne en entier.
Je passe ma main sur le dos de Laure : elle me laisse faire en faisant ressortir ses épaules. Je les caressent avant d’aller sur les pointes de seins durcis par le désir. En me penchant à peine, ma queue est sur ses fesses. Je ne vais pas l’enculer directement quand même. Non, elle s’arrange pour me donner sa moule mouillée.
J’entre très lentement dans son ventre. Je laisse du temps à nos plaisir de venir ensemble. Je suis tendu pour ne pas jouir vite. Elle arrive à me faire jouir en même temps qu’elle, en même temps que ma femme. Extraordinaire de jouir à trois ainsi.
J’ai à peine fini de donner mon sperme que ma femme me veut dans la bouche pour lécher le reste ma semence et la cyprine de mon amante du moment. Je me mets à cheval sur sa poitrine, ma queue sur sa bouche ouverte. Elle se penche un peu pour me prendre. Seule une main pour me tenir et je suis dans la bouche ouverte. Sa langue fait son office en léchant sans cesse, au point de me faire encore bander. Et je bande plus fort qu’avant. C’est Huguette qui me demande de la baiser.
Il y a longtemps qu’elle ne m’a pas demandé cette chose quand nous sommes en trio. Laure abandonne le cul qu’elle branlait, je vais sur ma femme qui monte ses cuisses pour m’emprisonner. Ainsi ouverte j’entre plus que facilement. Je glisse dans son corps, je coulisse dans son tube. C’est bon je vais jouir, nous jouissons ensemble dans un baiser profond. Laure nous abandonne. Je suis encore dans le con de ma femme quand nous sommes seuls enfin pour ne baiser qu’entre nous deux.
Quand je redescends à l’étude, Laure me fait un sourire entendu. Je sais que nous allons baiser en trio souvent, c’est pourquoi en passant je lui donne une légère caresse sur un sein.