Après avoir sucer la grosse queue de mon partenaire, je commençais à enlever mon string. Il était toujours là, affalé sur son fauteuil, la bite à l’air. Il adorait que je me soumette à lui, et moi, ça m’excitait de jouer les soumises. Je n’en pouvais plus, j’étais à bout:
— Aller, à ton tour maintenant de me faire plaisir, encule moi!
— Ah… JE commande, tu oublies chérie? Montre moi à quel point tu as envie de recevoir ma bite dans ton petit cul.
Je m’accrocha aux barreaux de sa mezzanine, et mis mon cul en arrière…
— Tu veux que je te le prouve? Regarde à quel point mon cul désire ta queue… Je suis sûre que tu en as envie, imagine mon anus se contracter sous tes coups de bite! Allez… Viens m’enculer…
Je me touchais la chatte afin de récupérer toute la mouille pour l’appliquer sur mon anus. Mon copain se branlait doucement sous la vision de mes jolies fesses et de mes doigts qui parcouraient ma chatte puis mon cul.
— Doigte toi salope!
Telle une vraie soumise, je me mis à exécuter. Après avoir bien humidifié ma rondelle à l’aide de ma mouille, le cul bien en arrière, je commençais à me doigter le cul vivement. Un doigt, puis deux, je gémissais.
— Tu aimes ça, hein? Mais tu préfères ma bite n’est-ce pas? Ca vient, t’en fais pas. Continue à m’exciter petite soumise.
— Oui, j’adore ça… Hummm…
— Oui qui?!
— Oui maître…
— C’est bien, tu mérites que je te doigte la chatte pendant que tes petits doigts pénètrent ton cul.
C’était le pied total. Rien de plus merveilleux que d’être fourrées dans les deux trous.
— Encule moi maintenant, je t’en supplie. Mes doigts ne me procurent rien, je veux ta bite dans mon cul!
C’est avec conviction maintenant que tel un véritable homme, il se mit debout, se pencha légèrement, me pris les hanches et approcha son gland de mon anus préparé à recevoir un gros calibre. Il commença à me pénétrer le cul par à coup, doucement, puis en accélérant. La pénétration n’était pas des plus agréable, mais c’était bon.
— Oh oui vas-y maître… Encule moi bien profond… Caresse moi en même temps, fais moi jouir sous tes coups de bite!
Tandis que sa main gauche me cramponnait la hanche, sa main droite glissa au niveau de ma chatte toute dégoulinante de mouille et il commença à me titiller le clitoris puis à me doigter la chatte violemment tout en accélérant ses coups de queue au fond de mon cul.
— Attends, attends, ralentis, ralentis… Non accélère… Hummm… ENCULE-MOI!! Fais-moi jouir!
— Hummm, j’suis trop bien dans ton cul bébé, continue de jouir, vas-y… Fais toi plaisir sous mes coups de bite ma soumise! Jouis!
— Continue de m’enculer, continue, mets ta bite bien au fond de mon cul! Oui, je vais jouir!!
Tout en me pénétrant le cul, il continuait d’enfoncer non pas un, non pas deux, ni trois mais quatre doigts dans ma chatte!
— CHERI! OH OUI… Hummmm, continue de me doigter la chatte, empale moi le cul… VAS-Y JE VIENS!! Encule-moi, encule-moi! ENCULE-MOI! OUIIIIII, HUMMMM… AHHHH…
Ca y est. J’ai eu l’orgasme que j’attendais depuis quinze jours maintenant. Mais j’étais épuisée.
A ma grande surprise, mon cochon de partenaire se rassis et m’attira à lui.
— J’ai pas terminé ma salope. Et moi alors?
J’étais à présent assise sur ses genoux, sa grosse queue enflée dans le dos. Il me suréleva et commença à bourrer ma chatte avec sa bite. Prise sur le fait, je poussais un gémissement de plaisir.
— Tu ne t’y attendais pas, hein, p’tite soumise. C’est moi qui commande. Alors, j’me vide la bite dans ta chatte et j’te laisse tranquille.
Il accéléra le mouvement, en me saisissant le bassin. Il me baisait comme jamais, me donnant des abominables coups de bite qui me faisait du bien. Ma chatte était en feu suite à ses doigts qu’il avait fourrés dans ma chatte en m’empalant mais maintenant, ma mouille me rafraichissait tellement son pénis me procurait du plaisir. Je jouis une seconde fois et sentis 6 à 7 jets de sperme au fond de ma chatte…
— Hummmm bébé, ahh, ça fait du bien, j’me suis vidé dans ta chatte…
— C’était trop bon chéri. Merci.
Il était deux heures du matin, on se coucha. Je m’endormis sur son torse, la tête plein de souvenirs et la chatte encore bouillante.