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Jacqueline piégée – Chapitre 1




Bien que ma belle-sur soit en instance de divorce avec mon frère aîné, nous sommes restés en très bons termes. Je lai assisté malgré les déchirures et inévitables batailles que peuvent engendrer une séparation lorsquelle se déroule de la pire façon ce qui est leur cas et suis devenue contre toute attente un peu son confident privilégié.

Pourtant, lors de notre dernière rencontre, jai cru bon de lui faire part de mon irritation et de ma désapprobation lorsquelle ma appris quelle entretenait une relation avec le père de sa belle-fille.

Elle mexpliqua que son fils aîné sétait marié il y a deux ans à une jeune tchadienne, fille de ministre, et Jacqueline sétait laissé séduire récemment par cet homme de 52 ans lors dune de ses visites au Tchad.

Je tentais de lui faire entendre combien cette situation pouvait savérer délicate sans même aborder le danger quelle faisait peser potentiellement sur la décision du divorce – mais elle sévertuait, avec force détails sur les qualités humaines de son ami, de justifier sa coupable idylle.

Il y a deux heures, elle ma téléphoné et souhaite me voir de toute urgence.

Elle arrive chez moi paniquée et mexplique que son « humaniste » se livre sur elle a un horrible chantage. Dés son arrivée au Tchad à son dernier voyage, il lui a appris quil avait filmé tous leurs ébats passés et la menacé de transmettre la vidéo à toutes les personnes « intéressées » si elle ne lui obéissait pas. Durant les trois semaines qua durés son séjour, il a continué à la filmer dans des situations toujours plus dégradantes. Comme je relativise, elle sort une vidéo de son sac quelle met à lire dans le magnétoscope en silence.

Limage apparaît. Jacqueline est debout, tête baissée, ses longs cheveux roux masquant son visage et pieds nus. Elle se tient au centre dune petite pièce bétonnée semblable à une cave ou une cellule avec un lit à barreau crasseux en arrière plan et des toilettes à la turque creusés à même le sol. Elle porte un sarouel. Une voix « off » que je suppose être celle de son « ministre » lance :

— A poil, grosse pute !

Je suis estomaqué de la voir obéir et passer le sarouel par dessus sa tête. Dessous, elle est entièrement nue. Je constate que ce sont les tenues hors de prix de ma belle-sur qui la mettait en valeur et donnait lillusion dun corps resté parfait. En fait, elle a de gros seins mous trop lourds et un petit ventre gras. Des zébrures multiples strient son ventre, ses mamelles et ses cuisses. Limage est terrible et la voir ainsi humiliée alors quelle est si hautaine de nature – jusquau mépris mamuse délicieusement.

— En position ! reprend la voix quon sent cultivée malgré les propos.

Jacqueline se tourne, dévoilant son gros derrière cruellement fouetté. Elle écarte les cuisses puis se penche en avant et se cambre en ouvrant ses fesses à deux mains, dévoilant la corolle sombre de son anus et son sexe à la caméra. A ma grande surprise, les lèvres épaisses de son vagin sont distendues à lextrême et fermées par trois grosses pinces « crocodile » en métal qui doivent lui infliger une terrible souffrance. Son trou du cul – boursouflé et comme une petite bouche foncé – a visiblement été travaillé « en profondeur ».

Un noir en sarouel, très gras et bâtis en force, passe dans le champ de la caméra. Il porte sur le visage un demi-masque qui couvre le haut de sa figure. Jacqueline pousse un petit gémissement, maintenant ses fesses ouvertes :

— Elle a envie de quoi, la française ? demande lhomme, moqueur.

— De me faire défoncer répond elle avec hésitation.

— Par quoi ? reprend lhomme.

— Par une grosse queue noire, réponds ma belle-sur dans un souffle.

— Alors demande le gentiment à mon ami, truie ! intervient la voix du Joseph le ministre hors champ.

— Jaimerai me faire défoncer par une grosse queue noire sil vous plaît, gémit Jacqueline.

— Où ? demande la voix.

— Par derrière

— Je ne comprends pas.

— Dans les fesses Sil vous plaît.

— Et pourquoi pas dans la chatte, truie ?

— Parce que devant ce sont les honnêtes femmes. Celles qui sont respectables.

— Et dans le cul ?

— Les prostituées. Et les salopes

— Et tu es une prostituée ?

— Non je je suis une salope

— Moi je dis que tu es pire que ça : tu es une salope qui aimerait être prostituée. Ca fait de toi une pute.

— Oui

— Alors dis le.

— Je suis une pute.

— Bien, grosse truie. Je vois que la correction dhier a été payante ! Tu vas faire quoi à mon ami ?

— Tout ce quil veut.

— Pourquoi ?

— Parce que je suis une pute de française et que je suis honorée dêtre un vide-couilles pour les Tchadiens qui sont mes Maîtres.

Lhomme masqué est devant Jacqueline maintenant. Elle sagenouille docilement et commence à relever son sarouel jusquà découvrir une verge monstrueuse qui pendouille mollement comme un énorme serpent débène. Elle se met à pleurer et murmure en pleurant, pitoyable :

— Oh mon Dieu non

Limage se coupe car Jacqueline vient dappuyer sur la télécommande. Elle ruisselle dune sueur grasse et dit, dune voix enrouée :

— Voilà tu imagines la suite.

Effectivement, jimagine ! Je nai jamais vu un sexe aussi démentiel en fait !

Une pulsion malsaine que je connais bien me pousserait bien à voir la suite et à me branler tellement je bande. La pauvre na pas la moindre idée de ce quelle est en train de faire… La voir réduite à cet état de larve rend ma queue presque douloureuse.

— Tu es avocat Que me conseilles-tu de faire ?

Je lui adresse mon plus beau sourire de faux-cul. En fait, jai toujours eu envie de me taper ma belle-sur et de me venger de ce milieu bourgeois dont elle est si fière et dont je serai toujours exclu comme elle me la toujours si bien fait sentir malgré ma réussite sociale.

— Y a-t-il dautres cassettes à ta connaissance ?

— Oui Et jen ai fait des copies. Mais Joseph conserve précieusement les originaux.

— Tu pourrais me procurer ces copies ?

Elle hésite.

— De toutes les vidéos ?

— Oui. Si je dois monter un dossier de défense, il faut que je sois certain de pouvoir contrer lintégralité des exactions quil a commises pour exercer son chantage ignoble sur toi.

— Mais le contenu est immonde

— Oh tu sais moi, je suis un professionnel : jamais je ne me permettrai de juger ! dis-je dun ton neutre et calme.

Ça la rassure.

Jacqueline a toujours pensé que jétais probablement gay du fait que je ne me sois jamais marié ni ostensiblement affiché avec des femmes. En fait je suis fondamentalement pervers et obsédé du cul. Jaime les rapports très violents sans distinction de sexe. Curieusement, je prends un réel plaisir à torturer les femmes et à lêtre par les hommes Compte tenu de la façade de respectabilité que jaffiche, il métait simplement impossible de parader avec mes partenaires en public.

— Pour commencer, tu vas me laisser cette première vidéo. Ça me permettra de commencer à bâtir ma stratégie.

— Je ne sais pas ce quils me font faire est tellement

— Justement ! Je suis conscient de lhorreur quil te fait subir mais jai besoin déléments factuels pour te défendre. Et tu me connais assez pour savoir que je ne suis pas le genre à te juger ni à être assez malsain pour apprécier ce genre de spectacle insupportable pas plaisir.

Elle menlace et se met à pleurer sur mon épaule.

— Si tu savais combien je regrette de ne pas tavoir écouté !!!

Je la réconforte hypocritement en pensant que je suis bien content que ça ne soit pas le cas. Je la raccompagne à la porte en lassurant de mon soutien inconditionnel et elle membrasse une dernière fois, secouée par les sanglots. La voir en pleurs mexcite tellement que je suis tenté de la gifler et de la violer maintenant à même le sol. Mais il est encore un peu tôt pour ça En séloignant, elle se retourne une dernière fois avec son air de chien battu si bandant et me lance un « Ne me juge pas sil te plaît ! » qui se veut déchirant mais qui fait encore plus durcir ma queue. La juger ? Aucun risque ! Je veux simplement dresser cette sale bourgeoise et faire delle la pire des chiennes !

Impatient, je retourne dans le salon et me met à laise dans le canapé, ma bite gluante dexcitation sortie et relance la vidéo.

Jacqueline apparaît à nouveau, agenouillée devant limpossible membre. Le noir lui envoie une gifle sans prévenir, avivant ses pleurs.

— Sur le lit ! Tu vas me sucer, putain blanche.

Il part sallonger confortablement. Elle le suit à quatre pattes et sinstalle entre ses cuisses, amenant sa bouche sur la queue. Elle se met à branler la grosse verge molle et suce le gland hypertrophié. Elle suffoque en tentant demboucher le maximum du pieu mais des haut-lecur la secouent. Le noir la croche brutalement par les cheveux, lui relève la tête et la gifle à nouveau.

— Avale ma bite je te dis, sale putain !

Elle tente encore davaler la gigantesque verge qui sest durci. Le noir bloque sa nuque par surprise et senfonce de force dans sa gorge en riant. Jacqueline étouffe et tente de se débattre mais son tortionnaire ne relâche pas sa prise. Les haut-le-cur la secoue hystériquement et elle se débat hystériquement, asphyxiée. Le noir la libère juste à temps pour quelle se mette à vomir à coté du lit sans pouvoir sarrêter, secouée de spasmes de douleur.

— Elle est immonde ! raille le noir.

— Je te lai dit, répond Joseph hors champ. La crasse et la saleté lexcitent.

— Il faut lui inculquer la propreté

— Elle va lécher ses vomissures pendant que tu prépares ses fesses, ça lui apprendra à se comporter proprement.

— Excellente idée ! Tu as entendu, truie ?

— Oui tout ce que vous voudrez supplie la rousse, encore sous le coup de son asphyxie.

Pas encore totalement remise, elle met ses mains dans les souillures et lèche frénétiquement le sol. Le noir sort du champ de la caméra et revient avec un large tube de lubrifiant. Il écarte les grosses fesses offertes dune main et plante sans prévenir un tiers du tube brutalement dans le rectum de Jacqueline. Elle pousse un cri de douleur mais se replonge dans le vomi en pleurant. Le noir appuie généreusement sur tube et le lubrifiant senfonce dans les entrailles de la suppliciée avec un bruit écurant. Lorsque le trop plein commence à ressortir, il retire le tube et le jette puis sallonge à nouveau confortablement sur le lit et dit :

— Encule-toi maintenant !

Comme une droguée, la rousse se précipite, le visage et les seins encore souillés de sa propre gerbe. Elle enjambe lhomme, prend la bite énorme dune main et la pointe entre ses fesses. Elle descend sur ses jambes, le gland de la taille dune orange forçant ses sphincters. Des larmes de douleur ruissellent sur son visage tordu de souffrance mais lanus ne cède pas.

— Je vais laider un peu, raille le noir.

Il attrape à pleine main lun des gros seins pendouillant de Jacqueline et le tire de toute ses forces vers le bas tout en écrasant de lautre main la vulve déjà martyrisée par les pinces dentelées. Elle pousse un cri bestial de souffrance ultime lorsque la verge rompt lobstacle et senfonce dun coup dans son cul, dilatant ses muscles anaux à la limite de la déchirure.

— Pitiégémit elle. Jai trop mal

Le noir relâche sa prise sur le sein distendu et sur la chatte torturée. Un mince filet de sang perle sous la morsure accentuée des pinces. Jacqueline reste immobile, bouche ouverte, cherchant lair.

— Vas-y, grosse pute ! grince le noir. Descends maintenant. Je veux sentir ton gros cul flasque sur mes couilles !

Elle entame la terrible descente en poussant une longue plainte retenue. Le noir pousse son bassin vers le haut sadiquement, empêchant tout contrôle, multipliant la douleur. Contre toute attente, la bite entre enfin entièrement dans lanus distendu. Jacqueline sarrête, les fesses à priori tellement en feu quelle semble évanouie. La voix du noir la sort de sa torpeur :

— Décule maintenant ! En entier !

En poussant un long râle déchirant, elle se relève lentement et limmense queue glisse avec des sons de succion hors de son cul. Lanus défoncé est légèrement retourné et le bourrelet gras enserre le mandrin. Elle a les yeux révulsés lorsque le gland sextirpe de ses entrailles et elle est agitée de tremblement de souffrance.

— Écarte bien et montre létat de ton cul de blanche après sa rencontre avec une bonne bite de Black, putain.

Docilement, elle sexécute : ses sphincters restent entièrement ouverts, rougis davoir été ainsi torturés.

— Dans une semaine, je la fisterai jusquau coude ! annonce Joseph le caméraman. Et dans deux, je la ferai saillir par des ânes et des poneys !

— Je vais la finir en attendant, ricane létalon du moment. A plat ventre et écarte bien, truie de Française ! Je vais tellement te défoncer maintenant que la merde va te sortir par la bouche !

Jacqueline se met à plat ventre en reniflant, le derrière levé et se cambre, anéantie. Une fois de plus, elle ouvre ses fesses à deux mains en pleurant. Le noir prend sa bite fermement et pousse, sourd aux cris de sa victime, jusquà lavoir à nouveau empalée entièrement. Puis il se met à la limer à grands coups de reins profonds, faisant coulisser entièrement le membre dans le trou, ressortant parfois pour mieux replonger. Il la bourre ainsi longuement, sinterrompant deux fois pour verser à nouveau du lubrifiant directement dans le trou qui ne se referme même plus. Contre toute attente, elle commence à gémir différemment et à tendre les fesses.

— Tu aimes ça, hein, en fait quon te défonce, pouffiasse !

— Ouiii, souffle la rousse.

— Ça te fait jouir la grosse viande noire dans ton trou du cul !

— Ouiiiiiiiii

Et il redouble de violence, piochant lanus de coups déments. A force, les muqueuses distendues se sont transformées en une rondelle de chair grasse épaisse qui senfonce puis se déplie sur lénorme queue au grès de la défonce. Le noir sempare des seins pendouillant et les tord cruellement. Jacqueline hurle de souffrance mais la douleur ne surpasse plus les ondes de jouissance qui monte de son orifice pilonné. Et elle jouit. En pleurant et en suppliant pendant que le noir sacharne sur ses mamelles de toutes ses forces.

— Ahhhhh Mon Dieu

— Crie, putain ! Crie ton plaisir de te faire défoncer à mort !!!

Et il se vide à son tour longuement dans le rectum de Jacqueline en grognant, saffalant de tout son poids sur elle. Lorsquil extirpe la pine de cheval redevenue molle, elle reste affalée, le cul toujours béant et souillé de déjections, de sperme et de sang mêlés. Elle est vidée.

— Alors ? demande Joseph à son ami qui remet son sarouel.

— Tu navais pas menti. Elle est pire que la pire des putains et elle est faite pour être enculée. Je taiderai pour la dilater jusquà la limite.

— Pas de limites ! Même si elle doit finir déchirée et porter des couches ensuite quand son trou ne se refermera plus, je veux voir jusquoù on peut aller ! Histoire de ne pas être distrait du focus anal, je pense même à lui faire coudre la chatte définitivement.

— Ce serait une erreur, mon ami ! Travaillons plutôt ses deux trous de la même façon !

La vidéo sarrête sur ce dialogue incroyable.

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