Température de lair 33 degrés. Mer calme et peu agitée. Température de leau 28 degrés.

Vent force 2.

La plus belle croupe de lhémisphère nord (MOI) faisait la planche sur la mer Egée à cent mètres du rivage, senivrant du baiser de feu de la mer salée sur son corps écorché. Quel endroit idyllique pour profiter de la baignade avec délectation et en toute innocence ! Je veux dire à labri des voyeurs.

A part un certain Dominique dont les bras jouaient au sémaphore en folie sur la plage, rien ne pouvait déranger ma tranquillité.

– Poupée ! Ca fait un quart dheure que tu fais trempette.

— Cest trop bon. Je crois que je ne sortirai pas dici avant demain

Quavait voulu me faire comprendre Pascal en me susurrant à loreille quil voulait me parler ?

Quil maimait et était fou de moi ? Si cétait ça, jétais dans de beaux draps.

– Florence ma donné un superbe bikini pour toi et même un paréo. Tu as deux minutes pour sortir de la flotte.

- ??? !!! Jarrive. tout de suite !

Je sortis de l’eau, jusqu’à la taille dabord, histoire de lui laisser le temps dadmirer mon buste fier et mes pointes dressées par leur séjour en eau froide. Grosse impression ! Il me sembla même entendre : quelle bombe ! Un bref coup dil aux alentoursPersonne ! Pas même un avion bombardier. Que le Créateur de génie qui ma si bien faite soit à jamais remercié !

– Où as-tu mis mon bikini ?

– La crème dabord !

Jai bien essayé de lui expliquer qu’il valait mieux que je m’enduise seule et que je le ferai quand ma chatte deviendrait trop chatouilleuse. Rien ny fit.

Cette crème avait toujours le même résultat ahurissant sur ma libido et un effet congestionnant spectaculaire sur mes muqueuses intimes et mon clitoris.

Une fois de plus, Pascal m’abandonnait en me laissant insupportablement frustrée, au-dessus d’un vide effrayant. Jallais finir par devenir folle si tout le monde sarrangeait pour que ma chatte reste en éveil en minterdisant de soulager mes impatiences. Pour quelle orgie se donnait-il tant de mal en voulant me conserver en permanence ouverte à toutes les envies ?

– Voilà ton bikini et le paréo assorti ! Couvre-toi!

– Mini mini, le bikini ! Il ne cache pas grand-chose.

– Ne fais pas la sale gamine ! Il te reste toujours le paréo.

Et si tu veux en avoir un de réserve pour quand celui-ci sera sale, coupe le en deux!

Tu seras encore plus mignonne.

– Le soutien-confetti, je le garde pour ce soir quand il fera plus froid. Je ne porte jamais de dessus. Cela ne me manquera pas. Par contre le paréo, je le mettrai bien à ma taille.

– Réserve-le pour ce soir quand tu iras chez Sakis ! Jy serai aussi. Viens près de moi ! C’est bien ce que je disais. Ton corps est un objet de pur ravissement.

Après mavoir éraflé le sexe sur toute sa longueur, histoire de donner un peu de consistance à mon clitoris, il me demanda de le suivre sans me faire prier. Ce que je fis, en balançant autant que faire se peut, mon fessier qui avait l’air de lui plaire au vu du nombre de claques qu’il reçut avant de franchir le portail du local ou était entreposé le matériel dinvestigation.

    *

Pascal avait visiblement gagné la confiance des sbires de Sakis.

– Je te laisse Miss Xhios. Cela me débarrassera. Dis-moi ce que je peux déjà emporter au chantier !

– Prends cette caisse sur roulette et fais gaffe ! Elle contient le groupe électrogène et tout le câblage !

Enfin seuls ! Il était plus que temps que nous ayons une conversation sérieuse pour éclairer nos comportements respectifs.

– Pascal ! Que les choses soient bien claires ! Cest pour Eric que je fais çapour moi aussicest terriblement enivrant de ne plus penser quà son corps et ses appétitsjen oublie même de boufferTu connais bien Eric, n’est ce pas ?

– Je le connais trop bien. S’il a décidé de partager ses émotions esthétiques avec ses amis je n’ai plus qu’à m’y plier et toi à peaufiner tes exercices érotiques. Mais ce nest pour ça que tu dois te croire obligée de te comporter comme une trainée !

– Tu me fais une crise de jalousie, là ou quoi ? Ecoute bien ce que jai à te dire ! Le regard amoureux dun homme autre que le mien est un élément dérangeant mais lenvie animale dabuser de mon corps que je lis dans les yeux dun homme est un puissant facteur déveil de mes pulsions masochistes. Et arrête de regarder mes seins !

– Cest étrange, tes aréoles et tes tétons sont curieusement en érection. Tu es tout simplement belle à croquer dans ce mini bikini.

– Pascal ! Je regrette d’avoir embarqué Eric dans cette histoire. Je n’ai jamais pensé pas que je deviendrai si vite l’ "esclave à plein temps" de ce satyre. Je ne me croyais pas capable non plus d’y prendre autant de plaisir.

– Que cherches-tu à me dire?

– Pour être tout à fait claire, je préfère que tu me battes plutôt que de membrasser.

– Ecoute-moi bien, Shana ! Je tiens absolument à ce que nous terminions tous deux les fouilles. Le gars qui nous observe discrètement là-bas sappelle Dominique et il est canadien. Il fera un compte-rendu détaillé à son patron de cette journée cruciale pour nous deux.

Si je ne marche pas avec eux, je serai écarté et tu te retrouveras seule sans aucun espoir de finir le travail. Et j’élude les risques que cela comporterait pour ta vie. Tu dois me faire confiance même si je me comporte comme le pire tyran avec toi. Jai la certitude quil ne faudra pas te pousser beaucoup pour faire la salope.

– Je ferai la salope si je veuxQuest-ce que tu fais ???

Pascal me caressa les seins à travers la mince étoffe puis m’en débarrassa pour me mettre torse nu.

– Tu te laisses faire trop docilement pour ne pas avoir envie. Tes pointes te trahissent. Masturbe-toi jusquà ce que ton slip soit trempé ! Tu en crèves denvie.

– Non! Ils veulent que jen ai toujours envie. Ce n’est pas pareil. Ils se sont amusés avec moi pendant plus de deux heures, en minterrompant sans cesse en pleine montée de jouissance. Je ne sais plus compter le nombre de fois où jai failli tomber. Tu veux que je donne l’image d’une femme provocante. Cest pour cela que tu mas enlevé le dessus ? Pour quils soient persuadés que je suis de nouveau en chasse…

– Et ils n’auront pas tout à fait tort. Masturbe-toi mieux que ça ! Je veux te voir, ils veulent te voir grelotter.

– Jai honte de te lavouer, Pascal mais cela m’excite follement de me sentir totalement à ta merci. Tu mas possédée tout à lheurequand tu as déchargé ton teaser sur mon clitorisPascaallll ! Je vais jouiiiirrr !

– Ne comptes plus sur moi pour te refroidir ! Tu es assez grande pour te retenir.

– Tu m’épuises, tu me tues et pourtant les horreurs que tu m’imposes me manquent déjà une heure plus tard. J’ai une grosse faille, n’est ce pas?

– Comme toutes les personnes attachantes. Je vais tattacher pour mieux me servir de ton corps. Donne-moi tes chevilles ! Je sens que cela va texciter.

– Tu ne comprends pas ou tu ne veux pas comprendre. Cest mal de mexciter. Je suis si exaltée que je prête à accepter nimporte quoi. Ma libido ne me laisse plus en paix. C’est une sensation complètement déstructurante qui me fait monter toujours plus haut vers l’orgasme en m’empêchant d’y parvenir. C’est cette frustration puissance mille qui me fait supplier qu’on me fasse de plus en plus mal.

Mais ça pèse une tonne. Jai limpression davoir un boulet à chaque pied

– Non huit kilos ! Ce sont des colliers de serrage déchafaudage. Donne-moi tes poignets !

– Avoue que je texcite aussi ! Mes jambes te rendent fou furieux. Tu veux vraiment que je fasse le petit chaperon rouge se précipitant dans la gueule du loup. Ils risquent d’avoir des vilaines idées si je descends enchaînée même si mes frasques m’ont fait perdre de mon attirance.

– Tu ne manques pas dattraits. Ce n’est pas ça le problème. Des hommes qui tattendent, tu ne dois plus craindre grand-chose. Un homme soulagé fera toujours preuve de moins dagressivité. Moi, cest autre chose.

– Tu veux dire que je pourrai être en danger. Jai une lettre à écrire et jai peur de ne pas être lucide aveuglée par mes besoins. Il ny a quà toi que je puisse demander cela.

– Du danger pour toi ? Peut être mais pas sûr. Difficile de le préciser davantage. Néanmoins, j’ai des doutes. Il s’agira d’être prudent. Je ne sais pas vraiment de quoi ils sont capables.

– De toute façon, je men voudrais toute ma vie de renoncer à de nouvelles découvertes même si cela présente un risque. Sakis ne va pas pousser le vice jusquà me tuer quand même.

– Tu ne te rends pas compte à quel point tu es ravissante. C’est un homme particulièrement au fait de ses plaisirs intimes mais probablement pas un sadique pouvant aller jusqu’au meurtre. Dailleurs, jamais un homme digne de ce nom ne supporterait qu’on abîme définitivement la beauté d’une femme.

– Tu me rassures ! Cet homme me fascine et il me demande tellement. J’ai faim des souffrances quil mimpose. Jai soif de cette amertume pour magnifier mon plaisir même si je me dégoûte ensuite de m’être laissée salir.

– Et comme je te connais, l’irrépressible angoisse que procurent les excès à venir agira sur tes sens comme un puissant stimulant. Maintenant, tout dépend de toi. On va jusqu’au bout du jeu ou on stoppe tout immédiatement. Je te laisse le choix.

– Tu lis dans mon âme comme dans un livre ouvert. Tu as gagné. Emmène-moi dans le voyage au bout de mes sens. Promets seulement de ne pas me laisser seule quand ils me tortureront !

– Jai oublié. Tu peux arrêter de te masturber. Tu es à point. Heureux de constater que nous sommes donc sur la même longueur d’onde.

Sans prévenir, la cravache claqua par deux fois sur les pointes raidies de mes seins.

Si tu veux mettre tes poignets dans le dos, je vais les attacher.

– On ne peut pas refuser une invitation si cordiale même si cette nouvelle vexation ne facilitera pas l’assise de mon autorité sur mon équipe.

– Jespère que tu as conscience de jouer une partie très serrée.

– Cest serré depuis que jai débarqué ici. Vu le contexte, il est quasiment exclus de diffuser un jour les résultats de mes fouilles. Nous travaillerons dans la plus parfaite illégalité. Le service des antiquités grecques n’est même pas prévenu et n’aurait jamais accepté qu’une débutante non encadrée dirige des fouilles d’une telle importance. A la limite, j’aurais pu être engagée pour tamiser de la poussière pendant un an. Ce nest pas comme ça que nous allons décrypter l’histoire de ce morceau de terre.

– Nous navons plus le choix. Je vais taider du mieux que je peux. Jessayerai de faire des heures supplémentaires pour étudier de plus près les sites les plus intéressants à labri des regards indiscrets. Tant quils soccuperont de toi, jaurais la paix .Cest la principale raison qui me pousse à les stimuler pour quils te te

– Tourmentent !!!!

– Non ! Ce nest pas exactement ça.

– TorturentCest ça ? Cest ce que jinspire toujours aux hommes. Je ne ten veux pas. Cest beaucoup de ma faute aussi si je me suis presque totalement fondue dans mon rôle de martyre. Ce que je vis est vraiment abominable par moment mais tellement délicieux la plupart du temps. Il est trop tard. Il faut aller jusquau bout maintenant.

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