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Dans l'abri pendant la tempête – Chapitre 3




Anne-Laure laissa dormir son amie Christina, et s’en fut rejoindre l’homme qui l’avait sauvée et avec lequel elle avait passé la nuit, et Anne-Laure profita de ce qu’il pouvait encore avoir dans les couilles pour faire passer le feu qui avait commencé à l’étreindre dans le bas ventre en écoutant tout ce que son amie lui racontait. Une religieuse, vierge à plus de trente ans qui perd ainsi son pucelage un soir de tempête, et jouit alors que les arbres tombent, et que le vent  et le tonnerre couvrent les cris qui remontent de son ventre à chaque orgasme.

Après avoir pris tout ce que cet étalon pouvait encore avoir à donner elle s’en revenait vers son bureau quand elle aperçu le véhicule de secours qui s’arrêtait de nouveau devant son cabinet. Un pompier en sortit accompagné d’un SDF, ça c’était trop. Et elle commença à protester qu’elle ne prendrait pas cet homme en charge quand elle comprit ce que le pompier racontait, ils ont trouvé cet homme dans l’abri qui jouxte la gare, frigorifié lui aussi, qui racontait des histoires à dormi debout sur le couple qui avait été amené  chez la docteure, le matin même. Il n’a rien, il suffit de lui donner une douche et un peu à manger, il y a des situations urgentes, si elle le prend en charge les pompiers pourront retourner à des cas plus pressés.

Elle conduit l’homme dans la salle de bain, lui donne une serviette, du savon : « prenez une douche, je vous fais quelque chose de chaud ».

Puis elle passe dans son bureau, prend son dictaphone, qui sait, le récit peut être intéressant. Quand l’homme sort de la douche elle le conduit dans la cuisine, lui sert un reste de confit réchauffé, des pommes de terre, un peu de vin.

    Vous avez  passé la nuit dehors ?

    Pas vraiment, dans un petit abri, mais il ne faisait pas chaud, et puis c’était solide, j’avais peur et puis il y avait un drôle de spectacle dans la gare !

    Un spectacle ?

    Vous n’avez pas vu un couple ? Un drôle de couple elle ressemblait à une bonne sur, enfin ses vêtements quand elle est arrivée, parce que pour sa conduite mais ça me regarde pas hein ! De toute façon les bonnes surs, moi ! Rien à secouer.

    Sa conduite ? Vous savez, une nuit avec un homme, seule, avec l’orage elle a eu peur et ça l’aura excitée. Et comment vous auriez vu ?

    Il y avait un trou dans le mur, un trou d’aération, qui s’était abîmé, on voyait bien quand il y avait un éclair, où après qu’il a fait du feu là du porno gratis en live ! Et du lourd ! Elle en voulait ! Et lui aussi ! Toute la nuit ! Je vous dis pas.

    Si ! Dites moi, c’est excitant j’aime bien les histoires un peu hard

    Ben fallait être dans la gare il est arrivé quand je pissais dans le fourré, derrière la gare, et lui il était à pied, avec son sac, comme un randonneur juste au moment où ça a commencé à pleuvoir après un éclair il a cassé un carreau pour entrer. Elle est arrivée plus tard en voiture, genre petite voiture hein ! Elle la laissée devant la gare, et à ce moment là il pleut mais alors on n’y voyait plus rien dehors le temps de sortir et d’entrer elle a dû être bien mouillée, ça tombait à seaux ! Il a ouvert la porte, il y a eu des éclairs, elle a fait un truc. Évidemment j’ai mal vu mais je dirais bien qu’elle est à peine entrée qu’elle a retiré sa culotte comme je vous le dit c’est pour ça, pour une religieuse après il lui a retiré sa veste, sa chemise, en rien de temps elle était poitrine nue, collé contre lui avec les éclairs à un moment j’ai vu sa poitrine ses seins bandante la none !

    Elle a dit quelque chose ?

    Non, je crois pas, mais avec vent et le tonnerre j’aurais rien entendu de toute façon. Après ils ont commencé à baiser, comme des fous, elle a crié je crois à un moment, il y a eu un arbre qui est tombé sur le toit, j’ai eu peur mais le béton a tenu et l’arbre est tombé de l’autre côté il a fait du feu, juste un petit feu pour la réchauffer, mais vu le feu qu’elle avait où je pense enfin je veux pas vous offenser mais quand même ils ont baisé et là je voyais un peu elle était nue, et lui aussi, il a dû la lui mettre partout elle lui a taillé une pipe, si ! Si ! une none le matin pendant qu’ils recommençaient, elle à quatre pattes, et lui qui la défonçait, fallait voir comment elle avait le cur à l’ouvrage, elle vous lançait son cul en arrière pour la prendre bien profond je bandais je me branlais elle a joui moi aussi, je me suis vidé les couilles, j’ai jamais fait jouir une meuf comme ça ! puis il y a eu un coup de vent, une arbre qui tombe, le plafond qui tombe à moitié, plus de feu je vois presque plus rien, ils se sont rhabillés, des pompiers arrivent, les trouvent, ils sortent, les pompiers pensent pas à regarder dans mon abri, et je me cache ça aurait pu les gêner, des fois qu’ils pensent que je les aurais regardés, ils se seraient sentis un peu inquiets, des fois que je raconte, vous voyez. Mais c’est pas mon genre.

    Non, je vois ça !

    Vous c’est pas pareil vous êtes un  docteur !

    Bon, vous allez dormir dans la petite chambre au sous-sol.

    Dites-moi, profitant de la petite lumière du feu, vous n’auriez pas fait quelques photos par hasard

    Ben vous alors vous voulez les voir ?

    Je crois qu’elles sont pas bonnes mais surtout je voudrais que vous les effaciez

     Hein ? Et puis quoi encore c’est vrai on voit rien, mais on peut les reconnaître, elle quand elle va pisser devant le feu cuisses ouvertes elle est jolie on voit que sa chatte a été bien labourée elle en a plein les cuisses

     Effacez-les, qu’est-ce que vous voulez en échange ?

     Devinez !!

     D’accord, montrez-moi vos photos, effacez-les et vous aurez ce que vous voulez

     Devant et derrière

     OK !

Les photos son mauvaises, mais il y en a bien une ou deux sur lesquelles Christina est reconnaissable, plutôt petite, brune, de jolis seins, bien fermes, pas très gros mais une jolie forme un peu conique, elle pisse pour son amant souriante et obscène,  cuisses largement ouvertes, la chatte à l’air, visible, aussi obscène que si elle était en train de regarder son amant d’une nuit dans les yeux, la bouche pleine de sperme, en souriant. Anne-Laure prend le téléphone du SDF, cherche toutes les photos possibles, efface celles de Christina laisse celles où l’on ne reconnaît personne, seulement des gens qui baisent

Elle enlève son jean, sa culotte

    C’est exactement ça qu’elle a fait, j’aime bien ce geste-là !  C’est comme si vous me disiez "Vas-y, baise-moi !"

    C’est exactement ce que je te dis ! "Vas-y, baise-moi ! Tu peux menculer puisque cest le marché"

Anne-Laure se tourne, s’appuie sur son bureau, écarte les cuisses il lui donne un tape sur les fesses "T’as un beau cul tu sais !" et sans cérémonie il sort sa queue et la prend, assez brutal il a une assez grosse bite elle a besoin de ça elle se demande ce que ça va donner quand il prendra son cul "Vas-y, baise-moi ! Me ménage pas, jai besoin dêtre pilonnée par une grosse queue". Il y va de bon cur puis ralentit "Si je prends pas ton cul tout de suite, j’aurai un second tour ?", elle tient plus elle veut sentir sa grosse queue cogner contre sa matrice "OUI ! Mais baise-moi  comme une brute, défonce ma chatte avec ta grosse queue..!". Ça a été vite fait, mais elle joui comme une bête, comme elle en avait besoin soulagée enfin "C’était bon, t’auras mon cul plus tard mais faudra pas me le défoncer comme ça!"

Et après avoir installé sommairement le SDF  sur un lit de secours, petit tour au cabinet de toilette pour un peu de nettoyage, et elle s’en va voir son amie, le dictaphone en marche. Christina ne dort pas, elle se repose en écoutant de la musique.

    Dis-moi ma belle,

    Oui ?

    On vient de m’amener un clochard, frigorifié. Il m’a raconté une histoire de religieuse qui arrive en trombe dans une gare et donne sa culotte à l’homme qui lui ouvre la porte aussitôt qu’arrivée poitrine à l’air en trente seconde, baisant quelques minutes après. Il a tout inventé ?

    Oh tu vas croire que je suis une vraie truie

    T’as pas le poids, mais. Qu’est-ce qui s’est passé ?

    Tu ne diras rien ?

    Non, j’aimerais savoir ce que je couvre là en vous hébergeant sans rien dire à personne.

    Je l’ai rencontré il y a quelque mois en aidant les habitants de *** après la crue qui a tout dévasté. Il était parmi eux, et il aidait ses voisins comme il pouvait. On s’est plu, sans qu’il se passe rien il m’a seulement donné son numéro de téléphone mais je n’avais pas de téléphone, il m’en a acheté un qu’il m’a laissé sur un banc dans une église. Et je l’ai appelé, et ça a commencé comme ça on se parlait de ce que l’on faisait dans la journée. Et petit à petit je lui ai demandé s’il avait une amie, s’il en avait eu beaucoup et il répondait il en a plusieurs quand il les voyait. Et il me répondait, jai vu Agnès, jai vu Jeanne, et sa voix, forcément il pensait un peu à ce qu’il avait fait avec elles, et ça se sentait,  à chaque fois ça me rendait toute émue. Je lui ai demandé ce qu’il faisait avec elles. Quand j’ai posé cette question j’ai ouvert la porte à plein de choses qui sont arrivées. Il ne voulait pas me répondre, trop intime, alors j’ai continué de lui demander je me suis sentie très émue, mouillée et je me caressais après j’ai commencé à me donner du plaisir souvent seule et j’ai continué à l’interroger un jour une nuit plutôt, c’était toujours la nuit je me suis mise à me caresser en l’interrogeant, légèrement d’abord pour qu’il n’en sache rien Puis je le lui ai dit je ne cachais rien de mes réactions Un jour je lui ai dit de m’écouter jusqu’au bout et j’ai joui il m’écoutait il restait silencieux je lui ai demandé : "Vous m’avez entendue ? Je voulais que vous me considériez comme une femme, pas comme une nonne desséchée" il était assez ému aussi "Je pensais à vous, à vos doigts, j’imaginais qu’ils me caressaient. Voulez-vous faire la même chose pour moi ?". Il n’a pas voulu, il n’a pas rappelé pendant un temps, mais c’était surtout moi qui rappelais et il ne répondait plus. J’étais triste et déçue et en manque Quand un jour enfin il a répondu et j’ai recommencé, il ma écoutée, je lui ai décrit  ce que je faisais mes doigts, où ils étaient, sur mon clitoris, sur mes seins, je lui disais quand je me pinçais les tétons, ou parfois même mon clitoris, un jour je l’ai pincé très fort, au point de crier je voulais l’exciter mais il écoutait sans rien faire. Et puis je lui ai demandé : "Est-ce-ce que ça vous fait quelque chose ? Il m’a répondu "Oui, ça me fait bander" et j’ai continué à lui parler de ça, de mes caresses, de son érection, je lui ai demandé de me décrire ce quil voyait, ressentait j’étais folle excitée. Et il m’a dit, son membre qui gonfle, devient raide, dur, dressé, je lui ai demandé s’il restait comme ça en attendant que ça disparaisse, il m’a répondu que à la fin de notre conversation, quand j’aurais éteint mon téléphone il allait faire le nécessaire. Je l’ai traité d’hypocrite. Je voulais qu’il m’en parle avec plein de détail, je n’en avais jamais vu et j’ai continué à me caresser, me faire jouir et un jour il l’a fait, après moi comme j’allais éteindre le téléphone il m’a tutoyée : "Attends, je vais me branler quand tu auras éteint, alors si tu veux, je vais le faire maintenant Je retire mon caleçon, je suis nu je bande tu m’as excité comme un étalon j’en ai mal aux couilles je prends ma queue dans la main droite et je fais un va et vient avec ma main je serre, je presse ma queue" et j’écoutais, le cur battant, il parlait et quand il ne disais rien je l’entendais respirer et je lui disais "Je vous entends, j’aime votre respiration, j’aime entendre vos mots" et ça a continué, il s’animait de plus en plus, j’entendais des mouvements saccadés dans son lit, les draps contre lesquels sa mains glissait, le sommier qui faisait du bruit quand il bougeait parfois "J’aime votre respiration j’aime le bruit que vous faites je me caresse de nouveau, mes doigts sont dans ma fente je les ai mouillé dans ma bouche, je les suce, écoutez" et je l’ai entendu gémir enfin, des bruits rauques de sa gorge, il a eu du plaisir, j’ai continué pour qu’il m’entende de nouveau. Je lui ai demandé ce qui se passait quand il avait joui il m’a décrit son plaisir et les jets blancs qui sortaient de sa queue, c’est la première fois qu’il a dit ce mot là, et tombaient sur son ventre, et il s’est essuyé. Je lui demandais aussi parfois de me dire les mots qu’ils avaient employés, lui et ses maîtresses quand il en avait rencontré une, quand ils baisaient, et il me disait peu à peu maintenant il me décrivait ce qu’il leur avait fait, quand il me disait leurs mots, ses mots, ça m’excitait et ça me mettait en chaleur comme une chatte sa queue, sa bite, leur con, leur chatte, leur fente, leur cul il y avait des mots une de ses maîtresses aimait ce que j’ai refusé, elle lui disait : "Encule-moi, mets là moi dans le cul, défonce-moi le cul, elle aime qu’il la traite de salope". Il me disait les positions, la façon dont Agnès croisait ses jambes derrière ses reins, une autre qui aimait qu’il la prenne à quatre pattes. Et qui disait qu’elle était une chienne. tout ce qui était par derrière me rendait folle.

    Personne n’a jamais rien soupçonné ?

    Non, jamais, et plus le temps passait plus j’en voulais on se caressait ensemble, puis il m’a dit ce qu’il fallait que je fasse j’ai aimé ça "Mets un doigt, mets deux, doigts, trois doigts mets un doigt dans ton cul pince le téton droit je poussais des cris étouffés sous mes draps et parfois c’était moi qui lui disais de commencer à se caresser là je le tutoyais : "Vas-y, branle-toi" vite ou lentement, parfois j’avais envie qu’il jouisse vite, je lui ai demandé de lécher ses doigts il me faisait bien sucer les miens et puis je .

    Tu ?

    J’ai téléchargé une application qui détruit les photos en quelques secondes et j’ai commencé à lui envoyer des photos : de mes seins un téton en gros plan, mon nombril il ne répondait pas non plus des poils de mon ventre, le haut de ma fente et mon sexe, sage, grosses lèvres bien en place comme ça, un jour où je venais de terminer ma toilette. Et le soir, après notre conversation bien excitée, après m’être fait jouir plusieurs fois, je lui ai envoyé ma vulve, bien ouverte, vue par en dessous "C’est moi, je suis comme ça, mais vous savez comment une femme est faite je ne sais pas comment vous êtes quand vous bandez en m’écoutant jouir pour vous". Et il est entré dans le jeu le lendemain j’ai reçu une photo de son membre "Je t’envoie ma queue, je pense à toi, j’ai commencé à me branler pour qu’elle soit bien raide".

    Et l’escalade a continué ?

    Oui, il m’a montré son sexe débandé, le sperme sur son ventre  je lui ai montré mes doigts en action, lui sa main sur sa queue, moi léchant mes doigts mon doigt dans mon cul il me disais des mots: "tu as un joli con, une jolie chatte", et je me suis mis à lui envoyer des bouts de vidéos, de mes doigts, de moi les cuisses ouvertes, les doigts en train de me masturber, en train de jouir et lui a fait la même chose et j’ai commencé à parler de le rencontrer je voulais lui donner ma culotte je l’ai laissée pour lui dans un sac sur un banc après l’avoir aperçu je lui ai dit que je voulais le voir et pas seulement le voir et parler : "Je veux qu’on se rencontre pour baiser, comme avec vos maitresses ! ", j’étais décidée à donner tout ce qu’il voudrait on a eu une idée, il a fait demander une aide pour une personne malade, une de ses maitresses, je devais le retrouver et il y a eu des orages je remercie le ciel pour ces orages.

    Tu exagères peut-être.

    C’est vrai quand je suis arrivée j’ai retiré ma culotte dès la porte passée, je lui avais dit que je ferai ça ! En forme de provocation et pour lui dire "Je suis à vous" et je la lui ai donnée je ne voulais pas qu’il baise une nonne, j’ai retiré ma veste, ma chemise et mon soutien gorge il m’a embrassée, caressé les seins un peu virilement et il m’a allongée sur des banquettes qu’il avait préparées il a relevé ma jupe, j’ai écarté les jambes et m’a prise aussitôt Sentir son membre, sa queue me transpercer j’avais tellement attendu ça! J’ai crié de douleur et de joie, ENFIN ! Et j’étais comme libérée. C’est vrai on a baisé toute la nuit J’ai fait connaissance avec un corps d’homme, que j’ai caressé, branlé, sucé, j’ai bu son sperme, je l’ai même chevauché un moment mais j’ai eu peur quand il a voulu mon cul. Je regrette là maintenant j’en ai envie.  De t’avoir raconté tout ça je suis trempée, excitée et j’aimerais qu’il m’encule

    Attends je vais voir où en est ton étalon mais si vous baisez, je regarde

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