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elle 20 ans, lui 70 ans… – Chapitre 18




Justine savait maintenant…

Elle navait nullement été choquée par ses révélations et encore moins jalouse. Elle était plutôt amusée et me taquina même souvent.

Son jeu favori était de me demander de décrire ma petite fille, elle ne disait pas son prénom, mais lappelait «ta petite fille » et insistait sur le fait que jétais son « grand-père » Cela était à ses yeux un jeu et non un jugement de valeur ou une manière de me donner mauvaise conscience, je dirais même que cela lexcitait. Il me fallait décrire sa poitrine, son sexe et sa manière de faire lamour. Quand je lui disais que je navais pas vu tout en détail, elle me proposait de prêter à nouveau lappartement pour que je puisse mieux voir, elle me proposait même de mettre dautres caméras.

Bien entendu je refusais… Je refusais, mais jen avais fichtrement envie.

Justine était toujours aussi amoureuse et docile avec moi, elle faisait tout ce que je lui demandais et y prenait énormément de plaisir. La révélation que je lui avais faite navait rien changé chez elle, ou plutôt, si, elle se montrait encore plus soumise ; Soumise et assoiffée de sexe.

Lautre jour, elle avait laissé tomber un verre deau sur le sol de lappartement. Pour la taquiner, je lai disputé.

— Nettoie tout cela maintenant.

Elle a voulu prendre la serpillère pour éponger leau.

— Tu nen as pas besoin, il ny en a pas tant que cela et cela te permettra de te désaltérer.

Elle me regarda un peu surprise.

— Lèche !

Sans rien dire, elle sest mise à quatre pattes et commença à boire le liquide sur le plancher.

Je métais installé dans le canapé pour la regarder faire, quand tout fut nettoyé, elle sapprocha de moi. Elle était à « quatre patte » et savançait la langue pendante et haletante comme une chienne. Elle est venue poser sa tête sur mon entrejambe comme un canidé apprivoisé laurait fait pour recevoir une caresse. Ce que dailleurs jai fait.

— Belle petite chienne !

Un petit sourire se dessina sur mes lèvres, à proximité de ma main, il y avait un paquet de biscuit, jen ai pris un et je lai tendu vers elle. Elle a approché sa bouche et en a croqué un bout puis a recommencé jusquà avoir tout mangé. Elle jouait à la perfection son rôle de petite chienne.

Je lai ensuite attirée vers moi, je lai déshabillée en lembrassant, puis, je me suis mis à mon tour nu et nous avons fait lamour. Ce fut simple, sans folie ni fioriture excessive, un simple missionnaire bien agréable. Après, alors quelle avait la tête sur mon épaule elle me demanda :

— Tu penses toujours à elle ?

— De temps en temps.

Plus souvent quil est raisonnable de le faire, avais-je envie dajouter.

— En faisant lamour avec moi ?

— Oui, cela marrive.

— Et là, tu pensais à elle ?

— Non, jétais avec toi, aussi bien physiquement quen pensée.

Cela était bien entendu la vérité. Il marrive de pensée à une autre femme que la femme avec qui je suis, mais ce nest que rarement et par bride uniquement.

— Tu aimerais lui faire lamour.

— Cest impossible.

— Oui, mais si elle nétait pas ta petite fille par exemple,

— Oui jaimerais beaucoup, mais.

— Tu as peur de la choquer en essayant ? quelle raconte tout à ta famille.

— Non ce nest pas vraiment cela, car si je le faisais, ce serait avec son consentement et je saurais progresser assez discrètement pour quelle ne saperçoive pas vraiment de mes intentions avant de ne pouvoir les refuser

— Prétentieux.

— Non, je ne pense pas être un apollon, mais je pense avoir quelques qualités qui peuvent plaire à une jeune femme, non ?

— Je ne peux pas te dire le contraire.

Sa main se posa sur mon sexe et elle remarqua que cette discussion lui avait redonné un peu dardeur. Un petit sourire se dessina sur son visage et elle glissa jusquà mon entrejambe.

— Tu voudrais que je taide ?

Dit-elle avant dengloutir mon sexe.

Je profitais de cette fellation en silence, sans répondre à sa question. En fait, je ne savais pas trop ce que je voulais, ou plutôt, si je le savais, mais cela nétait pas raisonnable.

— Moi aussi jai un truc à tavouer

Dit-elle en léchant mon gland comme sil était une glace.

— Quoi ?

— Depuis que jai eu cette relation lesbienne

Commença-t-elle et sinterrompant aussitôt pour prendre mon sexe en bouche.

— Tu naimes plus les hommes et tu préfères les femmes ?

— Non

Marmonna-t-elle la bouche pleine.

— Ce nest pas bien de parler la bouche pleine.

Plaisantais-je.

— Simplement, jaimerais revivre cela de temps en temps je veux dire avec une autre femme.

Elle reprit mon sexe, fit quelques allers-retours rapides pour libérer une nouvelle fois mon sexe et continuer sa confession.

— Et depuis que tu mas parlé de ton envie incestueuse, jai regardé ta « petite-fille » différemment et je me suis dit que jaimerais bien jouer avec elle aussi.

Elle ne me laissa pas le temps de répondre, goba mon sexe ; sa bouche et ses mains furent si efficaces quelles réussirent à me faire jouir. Sa bouche, ses mains ? Ou sa révélation ?

Je ne sais pas vraiment quelle fut lévènement déclencheur, peut-être un peu des trois, mais je métais lâché dans sa bouche sans vraiment la prévenir. Contrairement à son habitude, elle navala pas mon sperme, mais le garda dans son palais, elle se faufila contre mon corps pour arriver à hauteur de mes lèvres. Là elle membrassa à pleine bouche, mélangeant ainsi mon sperme à ma salive.

Cest la première fois que je goûtais ma semence, étrange sensation, pas réellement désagréable, simplement étrange.

— Tu aimes ?

Après avoir dégluti pour avaler ce quelle venait de moffrir, jai posé un petit baiser sur ces lèvres en lui répondant.

— Je ne sais pas vraiment je ne my attendais pas cela surprend.

— Tu aimerais que je te donne ce style de becqueté de temps en temps ?

— Pourquoi pas…

A califourchon sur moi, elle glissa ensuite jusquà venir sasseoir sur ma tête, son sexe au niveau de ma bouche. Je commençais à taquiner ses lèvres intimes avec ma langue.

— Humm trop bon

Dit-elle.

— Je nai pas envie darrêter ta fouille, mais il le faut

Ajouta-t-elle ensuite en prenant un air amusé et faussement attristé.

— Pourquoi, rien ne toblige.

— Si, jai envie de pipi

Jéclatais de rire, comprenant très bien ce quelle voulait.

— Coquine, allez, vas-y libère-toi ici.

Jouvrais ensuite ma bouche, prêt à recevoir sa miction.

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