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L'éducation d'une jeune soumise. – Chapitre 1




Préambule : Anne est née en septembre 1969 à Dunkerque. À cette époque, sa mère avait quitté son mari depuis quelques mois. À sa naissance, le père dAnne ne la reconnaît pas, contrairement à son frère ainé et à sa sur. La mère dAnne souffre de surdité plongeant ainsi la famille dans une forme de communication difficile. Au fil des années, Anne se développe. Dans la cour de lécole, Anne est une enfant timide et réservée, souvent mise à lécart par son frère et par sa sur dont le nom de famille est différent. Anne se sent différente tant par le nom, mais aussi par son physique. Elle a des attaches fines, de longs bras et de longues jambes qui mettent en valeurs les traits doux et sensuels de son visage qui possède une grande bouche délicatement ornée de lèvres finement dessinées et de grands yeux dun bleu profond. Blonde, elle attire le regard à linverse de sa sur brune et plutôt ronde.

Les difficultés de communication au sein de la famille se renforcent avec larrivée du beau père, chauffeur de camion de transports de marchandises qui parcourt principalement lEurope. À 16 ans, Anne habite une petite maison familiale de la région parisienne proche de la ville de Charenton. Elle suit des études techniques et pratique le basket-ball. Sa taille de 1,74 m et son poids léger de 50 kg, lui donne limpression dêtre toute en longueur, sauf sa poitrine, un 95 C dont les formes attirent le regard. Mais Anne garde cette discrétion, comme une fracture secrète. Si Anne est extrêmement sensuelle, elle souffre de ce manque de reconnaissance, par le nom et principalement lindifférence de son père, ou du moins du père de son frère et de sa sur. Pourtant, Anne ressent le regard des hommes sur elle, et aussi celui des femmes.

1- L’initiation – Le frère ou léveil du corps.

Thierry, le frère dAnne est son ainé de 4 années. Il habite toujours dans la maison familiale, dont la chambre est sous les combles, au-dessus des chambres de ses deux surs. Il est interdit de pénétrer dans ce lieu et ce message est dautant plus fort quil provient de la mère dAnne. Un jour où Anne est seule dans la maison, elle est attirée par lescalier qui conduit dans ce lieu interdit, la chambre de son frère Thierry. Ce frère qui ne la jamais considéré comme sa sur, mais plutôt comme une demi-sur, voire comme celle qui était la cause du divorce de ses parents. Anne est dans la chambre de Thierry, elle découvre ce lieu jusqualors interdis. Cette chambre est composée dun grand lit, dun bureau et dun placard composé de portes coulissantes fixées sur tout un pan de mur. Fébrile et curieuse, Anne visite ce lieu sans prendre conscience du temps qui passe et surtout de larrivée de Thierry dans la maison, qui se croyant seul se dirige directement vers sa chambre. Arrivé au premier étage et en prenant le chemin de lescalier qui le mène à sa chambre les premières marchent craquent dans un bruit qui sil est anodin, éveille les sens dAnne et la pétrifie sur place. Le temps de quelques marches il sera là avec elle, alors que ce lieu lui est interdit, expressément interdit par sa mère. Elle réfléchit vite une solution. Seule une fenêtre sur le toit éclaire la chambre, la fuite ne peut pas se faire par cette voie. Elle part vers le grand placard, déplace une des portes coulissantes, et se réfugie comme elle peut derrière les cintres et les vêtements suspendus. Thierry entre dans sa chambre, puis en fermant la porte, il tourne la clé afin déviter que celle-ci puisse par moment souvrir. Les maisons anciennes travaillent, et les portes, surtout sous les toits, sont soumises à des contraintes.

Anne dans le placard a très chaud, son cur bat fort. Thierry commence à se mettre à laise, puis part en direction de son placard afin daccrocher sur un porte-manteau sa veste. La porte coulissante se déplace sous laction de la main de Thierry. Anne se plaque contre le mur, son 1m74 est trop grand pour quelle puisse se fondre dans les aspérités du mur du fond du placard. Son frère la découvre ainsi, muet, statique et livide. Il perçoit ses grands yeux bleus, sa bouche entre ouverte, son chemisier blanc cassé tendu sur cette poitrine arrogante rythmée par une respiration rapide, et cette petite jupe noire tout en haut de longues jambes fines et gracieuses. Anne ne bouge pas. Thierry dun regard étonné, passe à un regard carnassier. Anne ne comprend pas. Elle attend sans oser penser quoi que ce soit. Tout en laissant la porte ouverte, Thierry recule et part sassoir sur le siège de son bureau. Il pose son regard sur son corps. Puis après un moment qui semble durer une éternité, Thierry parle. « Anne tu es dans un lieu, interdit. Notre mère ta informé des conséquences du non-respect de mon intimité. Sorte de suite de ce placard, et tu viens vers moi de suite. » Les mots sont autant de gifles qui frappent le visage dAnne. Comme un robot, elle sort du placard et se déplace vers le bureau où Thierry est assis. Arrivée à quelques pas du bureau, Anne, les mains dans le dos et le regard baissé, attend les prochains propos. Elle sait quelle ne doit pas se trouver là, et plus encore, elle ne sait pas comment expliquer au reste de la famille sa cache dans le placard. Thierry prend le temps de regarder Anne sous toutes les coutures. Il ne voit pas ladolescente, mais une femme. Il se sent fort devant elle. Pour lui, elle nest pas sa sur et elle est la cause du divorce de ses parents. Il le sait, et elle va souffrir pour tout cela.

« Quas-tu à me dire qui expliquerait ta présence ici ? » Anne ne peut rien dire pour se défendre, car tout en elle sait quelle ne devait pas se rendre ici. « Je vais informer notre mère de la situation et tu sais quelle est laction». Anne ne dit rien, mais son corps parle pour elle. Le léger duvet blond de ses avant-bras se redresse, elle frissonne. Ses yeux se remplissent de larmes qui viennent rouler sur ses joues. « Je vais te punir, si tu acceptes sans jamais topposer à mes ordres, je ne dirais rien à notre mère. Acceptes-tu dobéir ? »

Anne réfléchit et elle sait que cest la seule solution. À ce moment, naïvement, elle nimagine pas lensemble des conséquences. Elle espère encore une voie de sortie. « Oui, jobéirai ». « Pour te punir, je vais te donner une fessée. Enlève de suite ta jupe ». Anne ne comprend pas les mots. Punir, fesser, enlever la jupe. « Je ne vais pas le répéter. Soit tu le fais de suite, soit tu pars et je préviens notre mère ». Anne laisse tomber sa jupe. Thierry suit la chute de la jupe pour remonter le long de ces jambes et sarrêter sur la culotte blanche en coton. Anne regarde le plancher et attend la suite des événements. « Viens vers moi ». Elle se déplace lentement puis la main de Thierry attrape son bras et le tire pour quelle puisse se pencher. « Allonge-toi sur mes cuisses les bras dun côté et les jambes de lautre ». Ainsi positionnée, Anne attend. Thierry pose son bras droit sur le dos dAnne, et de son autre main descend la culotte en coton sur les cuisses. Anne essaye de réagir. « Ne bouge pas. Tu mobéis. Tu vas recevoir une fessée. À chaque frappe, tu dois compter sans jamais essayer de te soustraire ». La main tombe une première fois et le bruit retentit dans la chambre. « Un », « deux », « trois », « quatre, aie ». À la dixième Anne pleure, à la vingtième, elle crie et se débat. La trentième, elle ne pleure plus, ni ne crie. Ses fesses sont rouges et chaudes. Thierry arrête, sa main le fait aussi souffrir tant les dernières frappes furent fortes pour couvrir les cris et les pleures dAnne. Elle est encore sur ces cuisses, elle ne bouge plus. Thierry bande très fort. Le corps en abandon dAnne éveille des sentiments nouveaux. Sa main vient reprendre possession des fesses chaudes. Ses doigts glissent entre les cuisses et viennent se poser sur le sexe dAnne. Il est humide, chaud et doux. Anne sent les doigts de Thierry se poser sur son intimité. Elle veut réagir, elle ne veut pas de cette caresse. Sur son dos, le bras appuie plus fort comme pour lui dire de ne pas bouger, car cest lui qui commande. « Ne bouge pas. Tu es à moi et à mes ordres. Je fais ce que je veux de toi ». Les mots sont durs, et Anne les reçoit difficilement. Pourtant elle est vaincue. Les doigts écartent les grandes lèvres et viennent chercher son clitoris. Il le caresse, le tire et le pince. Anne sent une autre chaleur lenvahir. Elle sent une onde partir du fond de son ventre. Elle monte et gronde dans tout son être. Sa respiration est plus rapide et des gémissements sortent de sa bouche. Anne jouit de tout son être. Thierry arrête de la caresser. Il sent ses doigts. Il aime cette odeur, il goute maintenant et se régale de ce nectar. Anne est toujours sur ces cuisses, elle est inerte. Il la pousse et elle tombe à ses pieds.

Il se lève. Du bout de ses pieds, il la pousse. « Lève-toi, chienne ! » Les mots sont durs. Anne inerte sur le plancher entend et ne comprend plus. Thierry défait la ceinture en cuir de son jean, et lutilise pour frapper les fesses dAnne. Le premier coup génère une telle douleur quAnne crie et se relève en même temps. Elle se frotte les fesses qui la brulent encore plus. « À poil, je te veux nue ». Sans réfléchir, elle se met nue pour la première fois devant un homme. Il la regarde et lui caresse les seins. Puis en prenant chaque téton, il les tire vers le bas pour la forcer à la mettre à genoux. Il défait son jean et descend son caleçon. Il bande très dur. « Ouvre la bouche, et laisse tes mains dans ton dos ». Son sexe vient prendre possession de la bouche dAnne. Ses mains en appui sur la tête impriment le mouvement de la bouche qui glisse sur toute la longueur de son sexe. Un moment, il sent les dents dAnne, sur la tendre peau de son gland. Il sort sa queue. Une gifle vient laisser la marque de ses doigts sur la joue dAnne. « Tu dois faire attention avec tes dents, ouvres ta bouche ! » Il reprend possession de sa bouche et vient pénétrer sa gorge. Son sexe grossit et il jouit profondément dans sa gorge. Il maintient sa tête le temps quelle avale tout. Puis, il lui demande de nettoyer son sexe avec sa bouche et sa langue. Anne épuisée sécroule. Thierry repart sassoir à son bureau comme si rien ne sétait passé. Quelques minutes après, Anne refait surface. « Rhabille-toi. À partir daujourdhui et sans contre ordre de ma part, toutes les fins daprès midi, lorsque nous serons seuls dans la maison, tu viendras dans ma chambre, chienne ! Je vais faire ton éducation de chienne soumise. As-tu compris ? » Anne écoute, entend et comprend. Elle comprend que cela ne fait que commencer. Comment le dire et à qui ? Sa mère sourde et qui lui a interdit dêtre ici. À sa sur qui est jalouse delle. À son beau-père qui ne la considère pas plus. Non, elle na personne à qui le dire et surtout, elle na personne qui pourrait venir à son aide. Anne sait maintenant que la soumission vient tout juste de commencer. « Oui, jai compris ». Thierry la regarde un moment puis il ajoute. « Tu mappelleras Maître, et tu le diras à chaque fin de phrases. Redis-le maintenant ! » « Jai compris maître ». Le sexe de Thierry reprend de la vigueur à lécoute de ses mots et aux idées à venir. « Passe sous le bureau, tu défais mon jean et tu prends mon sexe en bouche. Cette fois, tu vas me sucer sans que je te dise quoi que ce soit. Lorsque je jouis, tu avales tout et tu ne laisses aucune trace. Ensuite, tu pourras partir ». Thierry venait de jouir. Il était plus endurant. En travaillant, il avait des difficultés à se concentrer sur sa tâche. Il ne savait pas si cela venait de la fellation dAnne ou de toutes les idées qui lui venaient quant à léducation de celle-ci dans un monde nouveau, la soumission. Il limaginait dans bien des situations dont certaines étaient des fantasmes inavouables.

Fin du chapitre 1

Si le début de ce récit vous plait, je continuerai.

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