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L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. – Chapitre 15




Elle n’avait opposé aucune résistance quand la langue d’Antoine était entrée dans sa bouche, ils s’étaient embrassés avec gourmandise.

Antoine avait peloté Charlotte, sa main s’était ensuite glissé sous sa jupe et avait même effleuré sa petite culotte, mais il s’était ensuite repris.

 Il s’était écarté d’elle.

–    Reste !

Avait-elle dit en tendant les bras vers lui.

–    Non et désolé de ce qu’il vient de se passer.

–    Ne soit pas désolé

–    Si, tu as trop bu.

–    Non, j’en avais aussi envie

Il lui fit un petit sourire

–    Je vais te laisser maintenant, je ne voudrais pas abuser de la situation.

Elle se leva, ou plutôt essaya.

–    Oh là, tu as peut-être raison, j’ai trop bu j’ai la tête qui tourne.

Elle retomba sur le canapé.

Antoine s’approcha d’elle et l’aida à se lever.

–    Tout tourne !

Dit-elle en éclatant de rire.

Il l’a porta dans ses bras.

–    Je vais te mettre dans ton lit

Elle ria.

Il monta l’escalier et lui demanda où était sa chambre.

Elle ne répondit pas elle dormait.

Il ouvrit la première chambre, non ce ne devait pas être la sienne, puis la seconde, celle-ci ressemblait plus à une chambre d’étudiante.

Il y avait un petit bureau et de feuilles posées dessus.

Il s’approcha du lit et l’allongea.

l hésita, devait-il enlever ses vêtements ? Finalement il préféra ne pas la déshabiller et mis une couverture sur elle.

Il n’avait pas l’intention d’abandonner pour ce weekend, il avait prévu que cela se passerait et cela se passera, il en était persuadé.

 

Il voulait plus qu’un petit baiser, mais il ne voulait pas la prendre alors qu’elle était saoule, qu’elle ne savait pas ce qu’elle faisait et qu’elle pourrait lui reprocher ensuite d’avoir abusé de la situation, de l’avoir fait boire pour

Non, il voulait qu’elle soit bien consciente au moment où elle se donnerait à lui.

Il descendit et s’endormit dans le canapé.

Au petit matin, il fut réveillé par des pas dans l’escalier.

Charlotte était habillée d’un long tee-shirt avec un gros nounours en pyjama avec un bonnet de nuit, elle s’était mise en chemise de nuit avant de descendre certainement parce qu’elle avait l’intention de remonter ensuite pour finir sa « nuit ».

Il fit semblant de dormir, en le voyant Charlotte fut surprise.

Elle avança sur la pointe des pieds, mais quand elle arriva à sa hauteur il ouvrit un il.

–    Hummm, déjà réveillée ?

Lui dit-il en étendant ses bras.

–    Euh, oui

Dit-elle.

–    Tu as dormi ici ?

–    Oui, j’avais certainement trop bu aussi pour prendre la voiture, je me suis dit que je pourrais dormir un peu afin de me dégriser, mais je pensais me réveiller avant toi pour ne pas t’ennuyer.

–    Tu ne m’embêtes pas, tu as bien dormi dans ce canapé ?

–    Oui pas mal et toi ?

–    Un peu mal à la tête

–    Oui nous avons peut-être un peu trop abusé de ce cognac il est bon, mais il est traite.

Dit-il en s’intégrant dans cette gueule de bois, alors qu’il n’avait aucun mal de tête.

–    Je venais chercher un verre d’eau, je ne savais pas que tu étais là.

Dit-elle comme pour s’excuser de se montrer devant lui dans une tenue si intime. En effet, il était impossible de savoir si elle avait une petite culotte, mais elle ne portait pas de soutien-gorge sous sa chemise de nuit en forme de long tee-shirt.

–    Assied-toi, je vais te le préparer, ta boite à pharmacie est où ?

–    Dans la salle de bain.

Dit-elle en montrant évasivement la direction.

Antoine trouva sans mal l’armoire à pharmacie et y prit une aspirine.

 En revenant dans le salon, Charlotte était assise les pieds coincés sous elle. Il avait pris un verre d’eau dans la cuisine et le tendit avec le cachet à Charlotte.

–    Tiens prend-ça !

Ce qu’elle fit sans rien dire.

Il prit place à côté d’elle dans le canapé et la regarda boire son verre d’eau.

–    Ça va mieux ?

–    Oui.

Dit-elle comme si le caché avait déjà fait effet.

–    Je suis désolé pour hier

Dit-il sans terminer sa phrase. Elle le regarda et commença à rougir.

–    Tu avais trop bu, je n’aurais pas dû.

Ajouta-t-il ensuite.

Elle ne savait pas trop ce qu’elle devait dire, elle lui fit simplement un petit sourire.

–    Tu ne m’en veux pas trop ?

Il insistait, car il voulait l’entendre minimiser l’incident.

–    Nous avions trop bu

Dit-elle timidement.

–    Oui, mais deux verres de ce cognac, cela fait beaucoup pour toi, car je pense que tu n’as pas vraiment l’habitude.

–    Non c’est vrai, surtout que j’avais aussi bu du champagne et du vin avant.

–    Oui, j’aurais dû faire attention, tu n’as pas ma constitution ni l’habitude de boire de l’alcool

Pour moi, ce n’est pas grand-chose et je n’ai donc pas vraiment d’excuse

Elle le regarda un peu étonnée.

–    Oui j’aurai dû mieux me tenir, savoir me retenir

Elle était écarlate et ne savait toujours pas ce qu’elle devait répondre.

–    Tu es belle et tu étais si gai

–    Oui je riais pour un oui ou pour un non, je m’en souviens.

Dit-elle un peu honteuse de son attitude, mais aussi pour essayer de parler d’autres choses.

–    Oui et si disponible

Elle baissa les yeux.

–    N’ai pas honte, c’est l’alcool qui désinhibait ton attitude et moi, depuis le temps que j’avais envie de t’embrasser, je n’ai pas pu résister.

Elle leva  les yeux un peu surprise de cette révélation, mais ne répondit rien.

–    Je suis désolé, j’espère que tu ne m’en veux pas ?

Antoine pris une attitude honteuse et triste.

–    Tu ne vas pu vouloir me revoir.

–    Mais si, non je ne t’en veux pas.

–    Je n’aurais pas dû, je regrette.

–    Ce n’est pas grave.

–    Je regrette, enfin pour être honnête avec toi, je regrette de l’avoir fait de cette manière, mais pas de l’avoir fait ce fut si agréable pour moi.

Elle le regarda, il avait baissé les yeux en disant cela et prenait un air honteux.

Elle posa sa main sur la sienne.

–    Ne t’inquiète pas.

il prit ses deux mains.

–    Merci, tu es trop gentil avec moi mais le pire est

Il avait baissé le ton de sa voix et n’avait finalement pas fini sa phrase.

–    Le pire ?

Dit-elle en se laissant prendre naïvement au jeu d’Antoine.

Il rapprocha les mains de Charlotte vers lui et posa un baiser sur chacune.

–    J’ai envie de recommencer.

dit-il ensuite à voix basse, à peine audible pour Charlotte.

À peine audible, mais elle l’avait quand même entendu.

Elle ne savait trop quoi faire et surtout ce qu’elle pouvait lui répondre.

Elle décida finalement qu’un simple sourire était certainement la meilleure réponse.

Il s’approcha d’elle doucement et posa un petit baiser sur son oreille.

–    Espérer l’impossible ne peut être que le rêve d’un fou.

Elle tourna la tête vers lui, il approcha ses lèvres.

–    Alors soyons fous.

Dit-elle avant qu’il ne vienne joindre ses lèvres aux siennes.

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