Résumé : Julie est une jeune espoir du tennis français qui vient de fêter lors de cet été caniculaire ses 15 ans . Après avoir découvert le plaisir , initiée par son coach , elle vient de faire intimement la connaissance de Valentine jeune noire canadienne en stage sur la Côte d’Azur…
Ce lundi matin fut un peu difficile pour Julie, qui eut bien du mal à relancer les balles de Séverine.
Sa concentration était au plus bas, perdue quelque part au creux d’un bas ventre aux reflets couleur café.
— Mais, bon sang!!! A quoi tu penses aujourd’hui???? s’exclama Séverine, un brin dépitée par l’absence de son élève;
— excuse moi, je suis ailleurs, lui répondit la jeune fille;
— moui bon, je crois qu’on va arrêter pour ce matin, va prendre ta douche!!! lui intima l’ancienne prof.
Julie obtempéra et fila vers les vestiaires, espérant apercevoir Valentine. Désappointée et à peine apaisée, elle sortit de la douche.
Elle s’était attardée à regarder 2 filles, encore plus jeunes qu’elle, qui s’aidaient (innocemment?) à se laver après leur effort.
Julie avait détaillé leurs formes naissantes: leurs petites poitrines qui s’arrondissaient, les seins qui bourgeonnaient tandis que le petit abricot des jeunes filles se couvrait d’un léger duvet sur le pourtour des grandes lèvres, dessinant délicatement la ligne de leur orifice vaginal , tout cela ne la laissait pas indifférente.
Mais surtout la jeunesse des 2 benjamines, qui n’étaient même pas rentrées dans l’adolescence, lui donnait un tout nouveau sentiment de supériorité, renforcé par ses nouvelles expériences: par rapport à ces gamines, elle se sentait femme, enfin presque…
Julie s’allongea pour son massage.
Au beau milieu de la journée, le gymnase et les vestiaires étaient remplis de stagiaires et de leurs coachs respectifs: le massage fut donc au final assez chaste.
Séverine ne pouvant librement laisser cours à son envie d’embrasser chaque pore de son élève, elle se contenta de lui pétrir les muscles 1 à 1 , commençant par la nuque, puis par les épaules.
Après avoir plus caressé que massé toutes les fibres du dos de Julie, elle s’attarda plus que de raison sur les ravissants petits globes charnus qui entouraient le sillon anal de la jeune fille. Elle se pencha à l’oreille de celle-ci et lui murmura: «
— tu veux qu’on finisse le massage dans un endroit plus tranquille?
— Oui, répondit dans un chuchotement la blonde jeune fille , allons dans l’appartement…
Après s’être rhabillée, Julie rejoignit Séverine à la sortie des vestiaires et elle se dirigèrent vers le bungalow que la jeune joueuse partageait avec sa coach: elles entrèrent dans le petit salon commun, orné d’une petite table, 2 fauteuils et d’un immense canapé qui faisait face à la télévision.
Pendant que Julie déposait son sac dans sa chambre, Séverine alla chercher dans la sienne tout son matériel de massage .
Elle n’eût pas besoin de l’utiliser: à peine ressortie de sa chambre, elle vit apparaître Julie, qui entrait dans le salon complètement nue, habillée seulement par sa forêt pubienne, rayonnant éclat de soleil sur sa peau légèrement hâlée.
Estomaquée par l’apparition de cette toute jeune femme qui ruisselait de santé et de fraîcheur, elle déposa prestement ses huiles essentielles sur la table et entreprit d’ôter doucement ses vêtements.
Son haut de survêtement fut somme toute rapidement dézippé mais elle eût l’impression que ce fut un supplice de lenteur: son short suivit au sol.
Julie se rapprocha de sa pygmalion et tout en déposant quelques baisers autour des lèvres de l’ancienne professeur elle lui déboutonna la chemisette, libérant des seins gourmands de désir.
Séverine se retrouva en soutien gorge et culotte .
Julie recula d’un petit mètre et laissa Séverine parachever sa mise à nue . Elle l’arrêta au moment où elle allait enlever sa culotte.
Julie prolongeant le mystère se rapprocha de la flamboyante rousse et plaqua sa main sur le pubis de celle ci dessinant du doigt les contours de sa vulve à travers le tissu: Séverine eut un petit soupir de plaisir. Elle arrêta sa respiration quand les doigts de Julie, remontant en douceur s’insérèrent dans l’élastique du slip puis redescendirent au contact de sa soie pubienne.
La jeune fille s’électrisa quelques minutes, la pulpe de ses doigts ressentant toutes les aspérités de la forêt privée de Séverine.
Enfin, saisissant le tissu recouvrant les fesses de son entraîneuse elle descendit la dernière barrière de de pudeur, exposant à sa vue toute sa beauté, sa broussaillante toison de feu cachant ses parties intimes.
Julie ne lui laissa pas le temps de penser, et se jeta sur elle, bécotant frénétiquement tout le corps de la jeune femme. Complètement submergée par cet assaut passionné, elle n’offrit plus aucune résistance et s’abandonna égoïstement à son plaisir.
Julie allongea son amante sur la moquette du salon: elle admira les seins lourds de Séverine qui s’épanouissaient sur sa poitrine, et débordaient légèrement de part et d’autre de son buste, son ventre plat contrastant avec les deux collines de chair qui le surplombaient.
Le délicat nombril fut un irrésistible appel et elle se pencha pour faire tournoyer sa langue dans le petit cratère. Séverine n’était pas encore au bord de l’éruption mais la lave montait doucement dans ses veines: elle écarta légèrement les cuisses, montrant à Julie le chemin vers des endroits bien plus incandescents.
Complètement à l’écoute de sa partenaire, la jeune blonde rapprocha ses lèvres de celles de Séverine, humant les parfums intimes de celle ci dans sa progression vers l’ardente savane de l’ancienne professeur: sortant du ventre vierge, non nez entra en contact avec les premiers poils roux qui lui chatouillèrent les narines.
De son appendice nasal, elle titilla le capuchon clitoridien, faisant ériger de suite cet autre appendice qui ne lui appartenait pas: bientôt le clitoris de Séverine darda hors du replis de peau protecteur; complètement à nu, plus rien ne s’opposait au contact entre ce dernier et la langue de julie.
Les vagues de chaleur montaient dans le corps de Séverine et de son puits en lave exhudaient au même rythme les manifestations de son plaisir .
Cette petite est faite pour l’amour sous toutes ses formes réussit elle à se dire entre deux halètements.
Son esprit divaguait maintenant quelque part entre l’Etna et le Piton de la fournaise, ses cuisses maintenant complètement ouvertes découvraient son sexe béant et l’émotion qui en ruisselait: elle hurla quand l’orgasme arriva.
La jeune femme restant hors du temps quelques minutes oubliant tout et surtout sa bienfaitrice..
Alors que Séverine redescendait de son Olympe, Julie éclata en sanglots…