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Je suis un jouet entre ses mains – Chapitre 11




Par chance, ce sont nos vacances qui commencent ; Thomas va donc pouvoir continuer à jouer avec moi, ce qui je dois bien l’admettre m’excite maintenant très fortement.

C’est incroyable comme notre vie sexuelle a basculé rapidement, entraînant le reste de notre vie avec elle : il a suffi d’un mail d’un mystérieux maître chanteur et tout a changé.

Finalement, ni Thomas ni moi n’avons réellement à nous en plaindre : si on m’avait dit, il y a quelques jours, que je serais bientôt heureuse d’avoir reçu ce mail ! Et pourtant c’est la vérité. Aujourd’hui, Thomas est aussi prévenant que la veille avec moi. Nous avons déjà passé une soirée délicieuse hier soir, et ce matin, mon petit-déjeuner est prêt quand je me lève.

Je me suis posé pas mal de questions cette nuit sur ce qu’il m’a fait faire hier. Non pas l’exhibition ça, je le comprends , mais me forcer à m’occuper de cet inconnu. Trouve-t-il du plaisir à me voir « jouer » avec d’autres hommes ? Cela m’inquiète un peu, mais cela m’excite aussi beaucoup…

À peine ai-je eu le temps d’ingurgiter mon petit-déjeuner qu’il revient déjà à la charge avec ses tenues. Pense-t-il sincèrement que je les ai oubliées ? Je sais qu’à chacune d’elle correspond une épreuve, mais malgré mon excitation, je suis inquiète. L’infirmière et la policière, passe encore, mais celle de prostituée m’inquiète. « Il ne veut quand même pas que…» Quant à celle de la joggeuse, elle me terrifie complètement ! Dans tous les cas, j’espère qu’il ne songe qu’à lui-même… Mais quoi qu’il en soit, aujourd’hui il ne me laisse pas le choix : ce sera infirmière. Soit, je m’incline. « De toute façon, ce n’est pas la pire. Enfin, je crois…»

Je suppose que je vais devoir m’occuper de lui, aussi suis-je surprise en revenant de la salle de bain de le trouver avec mon petit frère, François. J’ai un mouvement de recul en l’apercevant, je suis à deux doigts de faire marche arrière. Je m’entends très bien avec François, même si évidemment on se voit moins qu’avant. Mais ce que Thomas a en tête m’intrigue autant que cela m’inquiète. De nouveau, je me pose cette question : il ne veut tout de même pas que…

Je ne te présente pas François, me dit-il. Il se trouve qu’il a un petit souci, et il aurait besoin des services d’un médecin. Je me suis dit que tu pourrais l’aider…

Je le fusille du regard. Est-ce un test ? Veut-il vraiment faire entrer mon petit frère dans notre « jeu » ? Ce n’est pas possible !

Je ne sais pas quoi faire.

François, lui, ne perd pas le nord. Il me reluque des pieds à la tête, dévorant du regard chaque partie de mon corps qu’il peut apercevoir. Et ce qu’il ne voit pas semble l’exciter encore davantage ! J’ai honte d’être dans cette tenue devant lui, même si cela ne semble pas le déranger. Bien au contraire.

Je n’arrive pas à croire que mon frère me regarde ainsi. Je ne sais pas ce que Thomas lui a raconté, mais cela me choque bien plus que tout ce que j’ai fait jusqu’ici. Et même bien plus que tout ce que j’avais imaginé.

Hors de question que je fasse quoi que ce soit de sexuel avec mon petit frère !

J’ai mal dans le bas du dos, me dit François. C’est vrai que tu as de bonnes connaissances en médecine ? Ce serait mieux que d’aller voir un docteur.

Ce ne serait que cela, alors ? Mais alors, qu’est-ce qu’y gagne Thomas ? Quel rapport avec le reste ? Veut-il seulement m’humilier ? Je ne sais d’ailleurs même pas quoi répondre. Je ne connais absolument rien à la médecine, mais je suppose que ce n’est pas la réponse qu’attend mon amoureux.

Oui, finis-je par répondre. Je vais regarder.

François retire alors son tee-shirt et s’assied sur une chaise. Je ne peux m’empêcher de penser qu’il a un très joli torse, avec des muscles finement dessinés. « Non, mais, ça va pas ? » Je me reprends et pose sur son dos le stéthoscope fourni avec la tenue. Il a un mouvement de recul ; l’objet est sans doute froid. « Tant mieux, ça refroidira un peu ses ardeurs ! »

Je prends conscience en me penchant légèrement que ma jupe est particulièrement courte. Si je me penche en avant, ma culotte devient immédiatement visible. Idem avec le haut : si je tends les bras ou si je me penche, ce sont mes seins qui deviennent visibles. Surtout que je n’ai pas de soutien-gorge (consigne impérative de Thomas). Heureusement, je suis derrière mon frère qui ne me voit donc pas. Je continue de lui tâter le bas du dos avec un appareil qui ne fonctionne même pas, me demandant où cela peut bien nous mener.

Ouille ! Oui, c’est là !

« Il en rajoute ; je l’ai à peine touché ! »

Je pense qu’il me faudrait un massage, ajoute-t-il.

« Ben tiens, c’est lui qui fait les prescriptions en plus ! » Je me contiens pourtant et me contente d’acquiescer. Je lui fais donc signe d’aller s’allonger sur le lit de la chambre d’amis. Aussitôt entré dans la pièce, il retire son pantalon pour se retrouver en caleçon.

Je veux être à l’aise pour le massage, précise-t-il.

Son comportement m’inquiète de plus en plus. N’est-il pas en train de jouer à un jeu dangereux avec moi ? Que lui a dit Thomas ? Là encore, je préfère toutefois ne rien dire et je me contente de me poser à califourchon sur lui, puis de commencer à le masser délicatement. Il semble apprécier, gémissant même légèrement de plaisir.

Le bas du dos, murmure-t-il.

Je m’exécute, me concentrant plus particulièrement sur cette zone. Je ne sens aucun nud ; il ne semble pas particulièrement avoir de problèmes.

Plus bas, soupire-t-il.

Je ne peux pas, répliqué-je, je suis déjà au plus bas possible.

Il ne se dégonfle pas et descend son caleçon jusqu’en dessous de ses fesses. Moi, je suis sur le dessus de ses cuisses, et c’est tout juste si je ne peux pas voir son sexe. J’essaye de ne pas en tenir compte. Je le masse donc dans le bas du dos, jusqu’au début des fesses. Il gémit plus que jamais. J’ai peur qu’il n’invente autre chose pour aller plus loin, mais heureusement non. Il me remercie bientôt en m’assurant que ça va mieux. « Tant mieux ! »

À ton tour ! me lance-t-il alors.

« Généreuse attention… » Je m’allonge sur le lit à mon tour, attendant qu’il me rende la pareille.

Comment veux-tu que je te masse, là ? demande-t-il.

Il n’a pas tort. Je m’apprête à retirer mon chemisier d’infirmière lorsque je me rends compte… que je n’ai rien en dessous ! J’hésite une seconde, mais après tout, je me dépoitraille bien quand je vais chez une masseuse… En faisant bien attention à ce que ma poitrine ne soit pas visible, je l’enlève et me couche immédiatement.

Il s’assied sur moi, comme je l’ai fait avec lui, puis il commence à me masser. Il est doux et tendre, c’est très agréable. Ses mains épousent tout mon dos, puis il me masse un peu les bras, les mains… J’adore !

Il se replace ensuite à côté, puis commence à me masser les mollets. Là encore, j’apprécie beaucoup. Puis il remonte le long de mes cuisses, mais il est bientôt gêné par ma jupette.

Il vaudrait mieux que tu la retires, me dit-il en tirant légèrement dessus.

Je n’aime pas trop la tournure que prennent les évènements, mais une fois encore, je préfère m’exécuter pour ne pas passer pour une prude. Me sentir juste en petite culotte devant mon jeune frère qui me dévore du regard n’est toutefois pas très apaisant. Surtout qu’il ne quitte pas mes seins des yeux pendant que je retire ma jupe. Je ne peux plus les cacher en exécutant ce mouvement. Je me replace néanmoins très rapidement dès que c’est fait, puis il reprend son massage sur mes cuisses.

Il effleure le bas de mes fesses, et masse toujours plus vers l’intérieur. Une ou deux fois, ses doigts s’égarent à la frontière de mes lèvres intimes, presque négligemment. Ma culotte les protège encore, mais ses caresses commencent à m’exciter de plus en plus ! « Hé, c’est mon frère ! »

Il masse maintenant clairement l’intérieur de mes cuisses, ses mains osant un peu plus à chaque mouvement. Soudain, un doigt passe sur ma fente, comme par accident. Je sursaute, mais il reprend son massage comme si de rien n’était. « Peut-être ne l’a-t-il pas fait exprès ? » Ses doigts se rapprochent pourtant, lentement mais sûrement. Son index effleure de nouveau ma vulve. Comme je ne réagis pas, il recommence. Je suis tétanisée, je ne sais pas quoi faire.

Bien sûr, il en profite : il fait maintenant coulisser son doigt le long de ma fente. Il va même jusqu’à jouer avec mon clitoris à travers le tissu. « Je dois l’arrêter, il le faut ! » Mais je ne sais pas quoi dire, pas quoi faire. C’est mon frère ! La gêne me paralyse. Soudain, je sursaute : son doigt vient de passer sous ma culotte ! Il glisse de nouveau le long de ma fente, mais cette fois directement. C’est l’électrochoc qu’il me fallait : je me redresse brusquement pour mettre fin au « jeu ».

Qu’est-ce que tu fais ? m’exclamé-je, comme si je découvrais seulement son manège.

Tu es toute mouillée, répond-il en glissant son index trempé de cyprine dans sa bouche. Hmmm… ajoute-t-il, t’es trop bonne surette !

Je hurle en me levant :

Non, mais, ça va pas ?!

Je suis quasiment nue, mais sur le moment, je ne m’en rends même pas compte. Lui, par contre, n’en rate pas une miette.

Laisse-moi te lécher… supplie-t-il.

François, c’est moi ! crié-je en pleurant.

Je sais, surette, je sais… me dit-il sur un ton apaisant en se levant à son tour. Mais ne me dis pas que tu n’y as jamais pensé.

Bien sûr que non !

Ses mots me font mal, ils me détruisent. Ma vie a certes beaucoup changé, mais je n’en suis pas arrivée là ! « Si ? » Il s’approche de moi avec prudence, me prend la main.

C’est moi, Justine, me dit-il, comme si cela allait me rassurer.

« Il renverse l’argumentaire, c’est trop facile ! »

Je ne te veux pas de mal, continue-t-il.

Non, c’est mal ! lâché-je en pleurant toujours.

Bien sûr que non ; on ne fait rien de répréhensible. Je ne te demande pas de faire l’amour, seulement de me laisser te faire du bien. Quelle différence avec le massage que je te faisais avant ?

Une énorme différence.

Ma voix est redescendue d’un ton. Me rendant soudain compte que je suis presque nue, je me cache la poitrine avec mon bras.

Ne fais pas ça, surette, me dit François en repoussant délicatement mon bras. Tu es belle, ne te cache pas.

Il me ramène délicatement sur le lit, me fait asseoir.

Allonge-toi, me murmure-t-il, je vais juste reprendre mon massage pour te détendre un peu.

Toujours aussi naïve, je m’exécute. Et effectivement, il recommence à me masser le dos, assis à califourchon sur moi. Sauf que cette fois, je sens son sexe dressé contre mes fesses.

Je ne dis rien, mais je le sens bientôt onduler légèrement. « Il se masturbe avec mes fesses ! » Il fait comme si de rien n’était, continuant à me masser. Ce qui est très bon, d’ailleurs. Il descend de plus en plus bas, glisse parfois légèrement sous ma culotte… mais à chaque fois, il remonte, très pro.

Jusqu’au moment où il glisse plus largement dessous, me palpe légèrement les fesses, puis il commence à baisser ma culotte sur mes cuisses.

Il faut que je puisse te masser le bas du dos, se justifie-t-il.

Encore une fois, je le laisse faire, ne sachant comment réagir. Il est maintenant assis sur mes cuisses, et j’imagine qu’il a une belle vue sur mon sexe… Il prend son temps, sachant bien que s’il me brusque, je l’arrêterai. Mais comme il va doucement, étape après étape, je ne parviens pas à trouver le bon moment. « Il est malin…»

Soudain, il tire de nouveau sur ma culotte pour continuer à la faire descendre.

Elle me gêne. De toute façon, elle ne te sert plus à rien, là.

François… objecté-je.

Ne t’inquiète pas, je ne vais rien faire de mal. C’est juste qu’elle me gêne, promis.

Comme je ne trouve toujours rien à dire, il la retire. Ceci fait, il met quelques secondes avant de revenir au-dessus de moi, si bien que je me demande ce qu’il a fait. « A-t-il profité un peu de la vue ? », Mais il revient vite et reprend son massage. Le dos d’abord, puis de plus en plus largement les fesses, qu’il malaxe. J’aime bien, d’ailleurs.

Au bout de quelques minutes, ses mains descendent sur mes cuisses. Il me les écarte légèrement. Je sais qu’il voit tout de moi, mais je ne trouve toujours pas la force de le repousser. Ses doigts se rapprochent alors de nouveau de ma vulve. Par petites touches, il vient buter contre elle, puis il la caresse légèrement. Bientôt, son index coulisse le long de la fente qui est trempée. Il est venu progressivement, et je n’ai pas su l’arrêter. Il joue avec mon clitoris, l’agace légèrement. Je ne peux retenir des gémissements.

Soudain, son autre index se présente à l’entrée de mon vagin, puis il pousse légèrement pour le pénétrer. Je suis au bord de la jouissance. J’oublie totalement que c’est mon frère qui me prodigue ce fabuleux traitement.

Mais brusquement, il arrête tout.

Qu’est-ce que tu fais ? demandé-je.

Je prends conscience une seconde trop tard que ma phrase vient de sceller mon abandon.

Tu as raison ; ce n’est peut-être pas bien… me dit-il perfidement.

On ne fait rien de mal, réponds-je, reprenant son argumentaire.

Il est allé trop loin : je veux qu’il continue !

Tu es sûre qu’on peut ? insiste-t-il en reprenant ses caresses sur mon clitoris.

Oh oui ! lâché-je, rendue folle par ses caresses. Oui, on peut !

Mais tu es ma sur…

Tout en disant cela, il m’insère un doigt dans le vagin en titillant mon bouton de plaisir.

On ne peut quand même pas aller trop loin…

On ne fait rien de mal, je répète.

Mais je devrais peut-être arrêter ?

Ses caresses se font plus intenses que jamais. Il me cherche, le salaud !

Qu’est-ce que tu veux entendre ? lui demandé-je.

Tu le sais bien, lâche-t-il.

Oui, je le sais. Mais pourrai-je le dire ? Rien n’est moins sûr.

Soudain, sa langue se pose sur mon clitoris, électrisant tout mon corps. Il me lèche avec douceur, mais aussi avec une lenteur excessive. Il le fait exprès pour me rendre folle de désir, alors je cède :

Baise-moi !

Quoi ? demande-t-il en faisant mine de ne pas comprendre.

Je veux que tu me fasses l’amour.

Il me lèche encore un peu.

Tu sais qui je suis ?

Oui.

Nouveau coup de langue. Je n’en peux plus, je veux son sexe en moi.

Dis-le.

Tu es mon frère. Mon petit frère François. Et je veux que tu me baises, là maintenant. Pitié, petit frère, baise-moi !

Je ne me rends pas compte de ce que je suis en train de dire, je deviens complètement folle. Mais les mots sortent sans que je ne puisse les retenir.

Avec plaisir, surette.

Il fait alors mine de me retourner pour me prendre de face, mais je ne peux pas : j’ai besoin de croire que ce n’est pas lui.

Non, par-derrière, s’il te plaît. Ce serait trop dur autrement.

OK, ça me va, cède-t-il sans faire d’histoires.

Il s’engouffre alors en moi sans perdre de temps. C’est donc ça qu’il avait fait tout à l’heure : retiré son caleçon ! Le fourbe…

Il me pénètre d’un coup sec, puis il me pilonne à toute vitesse, sans prendre de gants. Il me relève légèrement pour m’attraper les seins, puis il les presse pendant qu’il s’active en moi. Ses doigts jouent un peu avec mes tétons, puis ils reprennent un malaxage en règle. Il insère alors un doigt dans ma bouche et me baise comme une chienne. « François, je suis ta sur ! » ai-je envie de lui crier, mais je n’en fais rien parce que j’aime ça… « Mais qu’est-ce que je suis devenue ? »

Soudain, il se retire et me retourne de force.

Non ! lancé-je en me débattant.

Mais il est trop fort pour moi, et il se réinsère en me regardant bien droit dans les yeux.

Regarde-moi bien, dit-il en me pilonnant. Je suis ton frère. C’est ton petit frère qui te baise.

Je ferme les yeux, mais je ne peux éviter d’entendre :

T’es trop bonne, surette ! Si tu savais depuis combien de temps j’ai envie de toi…

Ces mots me blessent. Notre relation ne sera plus jamais la même, ce qui m’attriste. Comment peut-il dire de telles choses ? Les pense-t-il vraiment ?

Soudain, l’orgasme commence à le gagner, ce qui n’adoucit pas les mots qui sortent de sa bouche :

T’aimes sentir la grosse queue de ton petit frère ? T’en fais pas, c’est pas la dernière fois ! Je reviendrai te baiser tous les jours, c’est vraiment trop bon ! J’ai jamais vu une salope comme toi !

François, c’est moi ! ai-je encore envie de hurler. Mais il le sait bien. C’est d’ailleurs ce qui l’excite autant.

Enfin, il éjacule en moi, de longs jets bien chauds.

Ah… putain, c’est trop bon ! T’es une salope surette, un vrai sac à foutre ! Vide bien ton petit frère, n’en laisse pas une goutte !

Je décide de jouer le jeu jusqu’au bout.

Oh oui, remplis-moi bien, engrosse-moi ! J’aime quand tu me défonces la chatte, petit frère. Je suis une salope, j’adore ça ! J’ai toujours voulu que tu me prennes…

Il me presse les seins à me faire mal. Le plaisir le submerge à tel point qu’il semble à deux doigts de s’évanouir. Je ne pensais pas que l’inceste l’excitait à ce point ! Des larmes apparaissent même aux commissures de ses yeux lorsqu’il livre ces derniers mots, empreints de poésie :

T’es trop bonne, salope… Salope… Salope…

Il s’effondre sur moi, vidé dans tous les sens du terme.

Je l’embrasse sur le front, puis je prends le temps de me demander jusqu’où je vais descendre. Y a-t-il une limite à la déchéance ?

Thomas, qui n’en a pas raté une miette, me lance un clin d’il.

« Manifestement non. »

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