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Le journal d'une salope – Chapitre 1




Comment une salope pense? Qu’est-ce qui se passe dans sa tête lorsqu’elle est en action? Comment on devient une salope, premièrement? Et jusqu’où peut-on être cochonne? Ça vous intéresse? Lisez le journal d’une salope, ouvert à vous pour votre plus grand plaisir sexuel… Je m’appelle Christina et j’espère vous faire vivre des moments de masturbations encore inégalés!

Je suis en train d’étudier pour mon examen de géographie… quelle platitude! Il n’est que 19h30, mais j’ai l’impression qu’il est déjà passé minuit tellement je m’emmerde! Bon… alors les séismes sont causés par les frottements de plaques tectoniques qui [TOC! TOC! TOC!]… quelqu’un pour me sauver d’une soirée horrible? Je l’espère! La porte s’ouvre et le visage de mon ami apparaît, mon ami depuis toujours. Il me salue et me demande ce que je fais de bon. Je lui réponds : "Rien de bien spécial… je m’emmerde à étudier ma géographie pour mon examen, ce lundi…" Il me répond : "Pas super pour un vendredi soir…" Je lui réponds : "Non! Pas du tout même! Qu’est-ce qui t’amènes?" Il me répond qu’il cherche quelque chose à faire pour ce vendredi soir parce qu’il s’emmerde terriblement lui aussi. Il me demande alors si j’aurais envie de faire quelque chose ce soir. Légèrement hésitante, je lui réponds : "Hmmm… et bien, j’ai mon examen à étudier, mais… c’est vrai que ce n’est que pour lundi et que l’on est seulement vendredi qu’est-ce que tu aurais envie de faire?" Il me répond : "N’importe quoi! Rien faire à deux, ce serait déjà mieux que de rien faire tout seul chacun de notre côté non?

Je réponds à mon ami avec un gros sourire : "Tu as raison! Et il n’y a personne d’autre ici de toute façon alors je ne vois pas exactement ce que l’on pourrait faire". Il me répond alors : "Ok, alors on ne serait toi et moi! Ça te tente?" Je réponds jovialement : "Oui! Merci infiniment! Tu es mon sauveur! Tu vas m’aider à passer une soirée agréable au lieu d’une soirée tout à fait monotone!" Il me répond, avec sa modestie habituelle : "De rien, ça me fait plaisir! Et puis moi aussi tu vas m’aider à passer une belle soirée!" Je suis contente qu’il ait pensé à moi ; ça veut dire qu’il passe du bon temps en ma compagnie… tant mieux! On jase quelques minutes, il me raconte que pour une des très rares fois, il a sa soirée libre, et je réalise que c’est d’autant plus spécial, parce que moi aussi, pour une des très rares fois, j’ai ma soirée à moi, étant donné que mon petit ami est parti en voyage avec sa famille.

Je dis à mon ami : "Veux tu qu’on écoute la télé? Ensuite, on trouvera quelque chose!" Il répond positivement et je le pousse aussitôt à la blague sur le divan en mettant ma main sur son torse et il tombe assis sur le divan, puis je lui dis : "Assieds-toi, j’arrive " Je me penche un peu par en avant et je démarre le lecteur dvd et je vais m’asseoir près de lui. Il me demande : "C’est quoi le film que tu as mis?" Je lui réponds aussitôt : "Je n’en sais rien, mon petit copain était tout seul cet après-midi et il m’a dit qu’il a écouté des films toute l’après-midi sur le DVD!" Voilà que ça commence, mais… c’est étrange comme titre, non? Drill My Ass & Cum Shot Me… Décidément ça ne semble pas être le genre de film que j’ai l’habitude de regarder. Mon ami est un peu perplexe et me dit : "Est-ce que c’est un film porno?" Je lui réponds : "… J’en ai comme l’impression… et j’ai aussi l’impression que mon petit ami a écouté des films porno tout l’après-midi…" Il tente de me rassurer en me disant : "Mais c’est peut-être quelqu’un d’autre qui a…" Je le coupe sec et je dis : "Non ce n’est pas quelqu’un d’autre, il n’y avait personne d’autre aujourd’hui, il était tout seul…" Après un court silence, il me dit : "Veux-tu que j’aille l’arrêter?" Je dis alors : "Non… pourquoi ne pas voir ce qu’il écoute comme porno, ça m’intrigue! Et qui sait, peut-être que ça va être drôle d’en regarder un avec toi! Juste pour en être certaine, "drill my ass", est-ce que ça veut dire "ramone-moi le cul" ou quelque chose comme ça?"

Il répond qu’il pense que oui, semblant un peu mal à l’aise, et voilà qu’à la télé, la fille se fait déjà sodomiser profondément par un mec avec une queue énorme. Il l’encule intensément une bonne quinzaine de minutes avant de juter tout son sperme dans sa bouche, qu’elle recrache sur ses seins, pendant que je suis subjuguée par le genre de film que mon petit copain regarde… Bon, il faut de tout pour faire un film porno, mais ce genre de pratiques sexuelles m’a toujours écoeuré. Toutefois, bizarrement, je suis un peu excitée par le film… Est-ce que cela pourrait être dû à la présence de mon ami près de moi? Peu importe, ce n’est même pas une possibilité de toute façon! Dans tous les cas, j’ai toujours été contre la sodomie, sans trop savoir pourquoi, je dois bien l’admettre… La seule fois où quelque chose est entré dans mes fesses, c’était un suppositoire et ça n’était pas très excitant! Je demande alors à mon ami, après la première scène : "Qu’est-ce que tu en penses toi de se mettre dans le cul?" Je suis moi-même étonnée par ma franchise! Il me répond, un peu moins franchement : "Euh… qu’est-ce que tu veux dire?" Je lui reformule aussitôt ma question : "Et bien, admettons que je te dirais de me mettre dans les fesses, est-ce que ça t’exciterait?" Il me répond : "Probablement, juste ta question m’excite quasiment, pour être tout à fait honnête…" Consternée par sa réponse, j’ai l’impression d’entendre mon petit ami me parler… comme si certains de ses désirs n’étaient pas satisfaits, et qu’il les assouvit en regardant des films où les filles se font enculer et ne demandent qu’à avaler du sperme!

Très frustrée après mon petit copain, je dis à mon ami : "Et supposons que la sodomie ça m’écoeure totalement, que je trouve ça dégoûtant, et que jamais je n’ai osé avaler du sperme, ni me faire éjaculer au visage ou même dans la bouche, comment est-ce que tu me décrirais d’un point de vue de mec?" Il me répond, un peu mal à l’aise par mon attitude agressive : "Et bien, je dirais que cela ne te concerne que toi et que tu n’as pas à faire ce dont tu n’as pas envie! Si à un moment donné, tu viens qu’à en avoir envie, par contre ne te retient surtout pas! Mais il n’y a absolument rien qui ne te force à le faire…" Je dis aussitôt : "Là, tout de suite, j’en ai envie! J’ai envie que mon petit ami, qui m’a menti, autant sur ses désirs sexuels que sur ce qu’il a fait cet après-midi et Dieu sait quoi encore, ne soit pas le premier à pouvoir m’enculer, qu’il ne soit pas le premier à jouir dans ma bouche ou sur mon visage, parce qu’il ne le mérite pas, voilà!" Mon ami ne répond pas, il me fixe du regard longuement la bouche entrouverte ; toute son attention semble fixée sur moi.

Je lui dis alors : "Regarde cette scène là! Ah ben c’est une petite blondasse comme moi ça! [dis-je d’un ton ironique]" La fille dans le film baisse le pantalon du mec et le suce sans plus attendre en entrant sa queue profondément dans sa gorge, jusqu’à en avoir des larmes! Est-ce là l’image que mon petit ami a de moi lorsqu’il me baise? Et voilà, il… il met sa bite dans le cul de la fille! Je dis à voix haute : "Elle me ressemble en plus! Tu ne trouves pas?" Mon ami me regarde et me répond que c’est vrai qu’elle me ressemble. Son regard a changé, est-ce que j’ai dit quelque chose… Je rajoute, sans même savoir pourquoi je dis cela : "Est-ce que ça t’excite, le fait qu’elle me ressemble, et que je suis là, juste à côté de toi?" Il me répond, après une longue hésitation : "Un peu, c’est certain… ce n’est pas comme… si tu étais n’importe qui non plus…" Que peut-il bien vouloir dire par là? Mon coeur palpite de plus en plus fort à mesure que je commence à comprendre que mon ami m’avoue présentement qu’il me trouve excitante sexuellement!

Je lui dis alors, beaucoup moins fâchée et beaucoup plus excitée : "Si j’étais une actrice porno, est-ce que tu te branlerais en me regardant?" Il me répond, sur les talons : "Hum… Qu’est-ce que c’est que cette question là? [il se met à rire nerveusement]" Ça veut dire que oui, il se branlerait en me regardant faire! J’ai eu ma réponse et je n’ai pas à le forcer à la verbaliser. J’ajoute : "Admettons que je ne serais pas là présentement et que tu étais tout seul avec toutes les idées que tu as présentement dans la tête, et que la blondasse du film c’était moi, te branlerais-tu?" Il me regarde, assez gêné, mais pas tant que ça étant donné les circonstances, et me dit : "C’est certain qu’avec tout ce que j’ai présentement à l’esprit et si en plus je te voyais te faire enculer devant moi… Oui, je crois que je me branlerais." Cette conversation m’excite décidément de plus en plus! Il me répond avec une telle franchise! J’aurais souhaité que mon petit ami puisse en faire autant et qu’il m’avoue ses désirs plutôt que de me les cacher! Je regarde alors entre les jambes de mon ami, et sans même lever les yeux pour lui adresser la parole, je lui dis, en fixant la région de son pénis : "Et là, présentement, es-tu…?" Il me dit simplement "oui…".

Je frissonne aussitôt d’excitation, prise dans un dilemme de bien et de mal, à me demander ce que je peux bien être en train de faire. Je ne peux quand même pas tromper mon petit ami pour la seule raison qu’il a regardé un film porno? Je dois trouver une façon! Je dis alors, intuitivement, sans même réfléchir, en murmurant : "Qu’est-ce que tu penserais de… te branler devant moi… en regardant le film pendant que je te parle…? Pourrais-tu faire ça?" Dans l’incertitude totale, complètement dépourvu, il semble ne pas être capable de prendre une décision. Je m’approche alors de lui et je m’assieds tout près, ma cuisse accotée sur la sienne, et je baisse la fermeture éclair de son pantalon et le supplie : "S’il te plaît… J’en ai besoin…" Il dit aussitôt un "Ok" en expirant nerveusement, ce qui semble à la fois être une libération parce qu’il n’a plus à prendre une décision et en même temps un fardeau puisqu’il ne sait pas du tout à quoi s’attendre… moi non plus d’ailleurs!

Il baisse ses sous-vêtements et sort sa queue, que je n’aurais jamais imaginé si grosse! Il la regarde comme s’il ne savait pas quoi faire avec. Je lui dis donc : "Vas-y, ce n’est pas comme si tu n’avais jamais fait ça auparavant! Fais comme si je n’étais pas là! Imagine moi en train de me faire défoncer les fesses à la télé et astique toi le gland… je vais te parler mais ne cherche pas à me répondre à moins que je te le dise… ne fait que m’écouter, d’accord? Maintenant, tu peux commencer…[il commence lentement à se branler timidement] Est-ce que tu aimerais ça si j’étais une actrice porno? Tu pourrais te branler en me regardant, en t’imaginant que je sucerais ta grosse queue… et je lécherais tes couilles… et pour me punir tu me baiserais les fesses si fort que je hurlerais que je suis ta salope [il accélère soudainement son mouvement] Est-ce que ça t’excite de savoir que mon film à moi présentement, c’est toi et que je te regarde te branler en mourant d’envie de te voir éjaculer? [son mouvement s’intensifie encore davantage] Quand tu seras sur le point de jouir, je veux que tu me le dises, d’accord? Je ne voudrais surtout pas rater ça! Branle-toi en prenant la base de ta queue pour que je puisse toujours voir ton gland, je veux voir le sperme jaillir de ton pénis… [il obéit]"

Je m’approche alors le visage du sien, et je lui chuchote à l’oreille : "T’es tu déjà branlé en pensant à moi? Répond-moi…" Il me répond, après une brève hésitation : "oui…" Petit pervers! Je n’aurais jamais cru qu’il aurait fait ça! Alors je l’excite vraiment! Ça devient encore plus difficile pour moi de ne pas mettre sa grosse queue dans ma bouche! Je vais devenir folle! J’ajoute, en chuchotant très fort, presque agressivement tellement je deviens hors de moi : "Et il y a beaucoup de sperme qui a jailli de ta queue pour moi?" Sans même que je lui demande de répondre, il me dit un "oui" très "hors-de-contrôle"! De plus en plus excitée de jouer la salope avec lui pour l’exciter encore plus, je lui mets ma main sur sa cuisse en le caressant doucement pendant qu’il se branle et je lui chuchote à l’oreille, en le frôlant avec mes lèvres : "Branle-toi plus vite, je veux du sperme, je veux que ça explose partout…" Alors que l’intensité semble à son maximum autant pour mon ami que pour moi, il me crie, les deux yeux fermés, qu’il va bientôt éjaculer. Je lui dis, en lui effleurant doucement la main avec laquelle il se branle : "Continue de te branler jusqu’à ce qu’il n’y ait plus une goutte de sperme dans ta queue, compris?"

Il me demande aussitôt, ralentissant son mouvement : "Mais il n’y a pas de mouchoirs, je vais jouir partout!". Je répond instantanément : "Viens partout, ce n’est pas grave! Je nettoierai ensuite! Ferme les yeux et concentre-toi sur le moment!" Je le vois alors obéir et garder les yeux fermés, probablement trop gêné pour les ouvrir et confronter mon regard. De façon plutôt bizarre, je penche alors ma tête près de sa queue et recule aussitôt, confuse, alors qu’il ne me voit pas, puis je me rapproche un peu plus et je recule à nouveau, en fixant à la fois son gland et ses yeux qui demeurent toujours fermés… Qu’est-ce que je suis en train de faire?? Mon coeur s’emballe à un tel point que ça fait presque mal et une foule de sentiments contradictoires surgissent en moi alors que d’une part, je suis extrêmement excitée à l’idée qu’il s’apprête à éjaculer et que je pourrais placer ma bouche ouverte près de sa queue, sans pouvoir prédire dans quelle direction le sperme irait, sans compter qu’il ne s’en rendrait même pas compte puisqu’il a les yeux fermés! Bref, j’ai une envie irrésistible d’être la plus salope possible! En même temps, j’ai vraiment peur du goût que le sperme pourrait avoir et d’être dégoûtée… Mais j’ai aussi peur de rater cette chance de vivre un moment si intense! Et cette chance ne se représentera peut-être pas!

Effrayée de passer à côté de la chance de ma vie, qui se branle intensément juste à côté de moi, je me penche alors d’un seul coup,la bouche ouverte, alors qu’une grosse giclée de sperme blanc est propulsée avec force dans ma bouche avant même que je sois complètement placée. Il en résulte une grosse coulée salée sur ma langue et du sperme presque dans la gorge. Le goût est très peu ragoûtant, c’est même dégoûtant! Voilà qu’une deuxième giclée jaillit dans ma bouche moins d’une demie-seconde après! L’envie de vomir arrive instantanément, je dois me retirer de là! À peine quelques centièmes de seconde sépare la deuxième giclée de la troisième, qui rejoint les deux autres en virevoltant jusqu’au fond de ma bouche avant que je n’aie le temps de réagir. Je ferme aussitôt la bouche et mets une main dessus, sur le point de vomir, et j’essaye d’éloigner vite ma tête de là, alors que je reçois un autre foutu jet de sperme au visage.

De retour en position assise, je le regarde finir de se vider les couilles, alors qu’une giclée atterrit sur le plancher et que le reste du sperme sort doucement en coulant le long de sa queue. En ayant plus qu’assez de cette saloperie d’éjaculation qui me donne encore la nausée, je me demande sérieusement quoi faire avec tout ce sperme dans ma bouche et sur mon visage. Je ne peux pas vraiment me lever pour aller recracher, car il comprendrait ce qui vient de se passer et surtout que j’ai été dégoûtée, et ce n’est pas du tout l’image que j’ai envie qu’il se fasse de moi… Je dois tout avaler… Après quelques instants d’hésitation, j’avale d’un trait tout ce sperme et je passe tellement près de vomir que j’en ai les larmes aux yeux. Je passe mon doigt au visage et recueille le sperme qui dégouline sur le côté de mon oeil jusqu’à mes lèvre en passant par mes joues. Je mets aussitôt le tout dans ma bouche, et j’avale très rapidement cette sauce acide et salée sans trop broncher cette fois.

À peine une seconde après, il ouvre les yeux en ma direction et me dis, exténué et un peu gêné: "Je vais aller chercher quelque chose pour essuyer ça…" Je lui dis aussitôt, ne voulant pas avoir l’air d’une fille coincée et ne voulant surtout pas qu’il remarque que le sperme a disparu comme par magie : "Non, reste assis là et laisse-moi faire, d’accord?" Il me fait signe que c’est d’accord, alors que je surmonte mon dégoût et je me glisse entre ses jambes, à genoux au sol en lui caressant les cuisses sensuellement de mes deux mains. Je contemple son gland, toujours aussi gonflé, gluant de sperme, qui malgré ce qui vient d’arriver, tente ma bouche incroyablement. Je crois qu’il ne sait pas que j’ai tout avalé, il n’en a pas la moindre idée! Je me sens encore plus salope de l’avoir fait à son insu! Bref, je prends une serviette qui traîne sur le sofa et j’essuie doucement sa queue en la tenant par la base, en m’approchant le visage de son gland pour minutieusement faire mon travail. Je presse délicatement sur la base de sa queue en remontant vers le gland pour faire sortir ce qui pourrait rester de sperme, ce qui fait sortir une grosse goutte blanche qui reste bien en place sur le bout de son pénis. Je souris à la vue de son sperme et je sors la langue en le regardant dans les yeux, puis, sans être capable de m’en empêcher, je lèche sa goutte de sperme du bout de ma langue. Je l’avale sans aucune difficulté après lui avoir montré que j’avais bien son sperme dans la bouche.

Après tout, le pire était déjà avalé, il n’en restait presque plus, et je n’avais certainement pas fait tout ça pour que je sois la seule à le savoir! Une petite goutte comme ça, ce n’est pas mauvais, par contre! Je lui dis : "Je pensais t’avoir dit de tout faire sortir le sperme de ta queue… J’espère que tu as eu ta leçon!" Il me regarde, désemparé, avec un petit sourire. J’en ai des frissons! Le sperme, c’est dégueulassement bon! Le goût est affreux et la sensation du sperme dans la bouche l’est encore plus. L’avaler est encore pire! Par contre, la sensation d’être une véritable salope qui avale du sperme juste parce qu’elle est une vilaine petite cochonne, ça n’a pas de prix! C’est un déplaisir pour un plaisir, et le déplaisir, à sa façon, augmente mon plaisir! C’est comme si je devais travailler pour avoir ce que je veux. La récompense a alors bien meilleur goût, même si dans ce cas-ci, le goût se résume à avoir du liquide visqueux, collant, blanchâtre, salé et même amer dans la bouche. Pourquoi donc le fait d’avaler le sperme de mon ami me fait me sentir aussi bien? Comment est-ce que je pourrai le regarder en face en sachant très bien que j’ai avalé tout son sperme..? J’y arriverai! Après tout, pour lui, je n’ai avalé qu’une toute petite goutte, et non pas 4 grosses giclées de sperme plus cette succulente goutte finale! J’essuie donc le plancher, maintenant convaincue que j’ai pris la bonne décision en plaçant ma bouche devant cette tige à sperme!

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