C’est la gorge un peu irritée par le sperme que je venais d’avaler, que je rejoignis Roger à la piscine.
Il était déjà dans l’eau, se baignant nu, sans se cacher, faisant la planche la bite à l’air. Celle-ci était à moitié bandée.
Moi, de mon côté, j’étais tout ramolli. Je me sentais bizarre d’avoir sucé un homme pour la première fois, mais, pour être honnête, ça m’avait plu… C’est juste socialement que je me sentais pas comme les autres. Je n’allais pas pouvoir parader pour cette première aventure sexuelle ! Pouvait-on dire que je n’étais plus puceau ? Je ne l’étais plus de la bouche, mais pour ce qui était de ma queue, elle n’avait pas encore connu d’orifice féminin et encore moins masculin, pratique qui ne m’effleurait même pas l’esprit…
Roger, qui avait l’air content de lui, sentit ma tristesse.
"Allez ! Viens te baigner va ! Tu te sentiras mieux !"
Je plongeai et le rejoignit alors qu’il était encore sur le dos, la queue déjà regonflée à bloc…
Lui : "Alors, ça t’a plu ce que nous avons fait ?"
Moi : "Ouais, c’était pas mal" "J’ai super joui d’ailleurs, je vous en ai mis dans les cheveux !"
Lui : "Oui, tu m’as surpris sur ce coup !"
Moi : "Mais bon, par contre, j’ai pas trop aimé le goût de votre sperme…"
Lui : "Tu t’y habitueras !" "D’ailleurs, pour s’habituer, il faut recommencer !"
En 3 coups de dos crawlé, il retourna sur le bord et s’y assit en laissant pendre ses jambes dans l’eau, mettant sa queue bandée bien en évidence, son torse penché vers l’arrière soutenu par ses bras.
Lui : "Viens là, viens me sucer, je sais que tu en as encore envie !"
C’est vrai, de voir sa queue dressée comme ça m’excitait terriblement et j’avais envie de la gober, par moi-même et non, de manière passive, comme tout à l’heure.
Je m’approchai en nageant, sans rien dire, mais mes yeux fixés sur son sexe turgescent. C’était totalement nouveau pour moi, j’étais attiré comme un aimant par une bite, moi qui jusqu’à 3 jours auparavant ne me masturbais que sur des images de femmes à poil, sur leurs seins, leur sexe écarté et tout ce que les revues comme Lui, Playboy ou Newlook pouvaient offrir.
Tout ça était balayé. J’allais à nouveau, de mon plein gré, sucer le gros dard de Roger…
Sûr de lui, il attendait que je m’exécute.
J’arrivai entre ses cuisses et pris sa queue en main, puis je l’embrassai, la bécotait, l’apprivoisant.
Roger me laissa faire comme je voulais, voulant que ça vienne de moi.
Il lâcha : "Hum, que c’est bon ce que tu me fais, une vraie petite femme bien serviable"
Je ne m’offusquai pas de cette remarque qu’on pourrait considérer comme dégradante, mais plongeait, bouche grande ouverte, sur son gland.
Lui : "Voilà, voilà le bon travail que j’attendais de toi ! Je ne sais pas pourquoi mais quand tu es rentrée dans ma boutique, j’ai senti que tu serais parfaite pour ma queue, et j’ai bien fait de te toucher dans le noir, je voulais tester ta réceptivité et tu ne me déçois pas !"
Encouragé par ses paroles, je le pompais comme si ma vie en dépendait. Mais il était bien plus endurant que la première fois.
Il me laissa me fatiguer sur sa queue, m’encouragea à lui lécher les couilles, jusqu’à ce qu’il prenne les choses en main.
Lui : "Tu sais, tout ce que tu me fais là, il ne faudra en parler à personne tu sais. Viens te mettre à plat ventre sur mes genoux"
Je dû lâcher sa queue, à grand regret. Il se recula et me laissa monter moi aussi sur le bord, je bandais très fort. Comme il me l’avait demandé, je m’allongeai en travers sur ses genoux, à plat-ventre, remontant un peu mes genoux pour que ma queue ne soit pas en contact direct avec le carrelage du bord de piscine.
La position n’était pas des plus confortables et je ne pouvais plus sucer cette belle queue que je sentais sur le côté de mon ventre.
Alors, Roger se mit à me caresser le dos, mes fesses et mes cuisses, dans le plus grand silence.
Soudain, clac ! Il se mit à me fesser, d’abord doucement, alternant d’une fesse à l’autre, puis, de plus en plus fort.
Moi : "Hé oh ! Vous me faites mal !"
Lui : "C’est comme ça qu’on s’occupe des vilaines filles qui font des bêtises ! Et sucer un homme de 40 ans son aîné, c’est une très grosse bêtise !"
Il me claquait à m’en rougir presqu’au sang ! Puis il s’arrêta net. Bizarrement encore, je bandais. Il se mit à me caresser les fesses, ultra-sensibles, puis la colonne vertébrale, pour revenir ensuite à mes fesses mais plus "partie culière" ment ma raie, se contentant de frôler mon anus qui n’avait jamais été approché. Puis il pris la racine de ma queue, faisant rouler mes couilles dans sa main, me branla un peu, pour enfin revenir dans ma raie et tourner autour de mon petit anneau imberbe. Il m’écarta alors les lobes et me cracha sur la rondelle, y posant son pouce.
L’atmosphère était devenue pesante, le silence s’était imposé et je sentais la respiration de Roger s’amplifier. Il était passé dans un état où plus rien ne pouvait l’arrêter. Son pouce humide força mon illet et s’enfila jusqu’à la garde. Il semblait satisfait d’avoir franchi cette barrière. Le pouce fit plusieurs allers-retours. Roger recracha encore et écarta mes fesses à 2 mains, se pencha et à mon plus grand étonnement, donna des coups de langue, la faisant ensuite pointer pour rentrer dans mon cul.
Je n’avais jamais imaginé qu’on puisse faire ce genre de choses ! Mais c’était très agréable !
Roger détendait mon anus, patiemment et je ne savais pas ce qui m’attendait mais n’allais pas tarder à le découvrir…
Roger fit pénétrer 1 doigt, puis 2, et enfin un 3ème, faisant des vas-et-viens qui faisaient tressauter ma queue….
Lui : "Mets-toi à 4 pattes !"
Moi : "Hein ?!"
Lui : "Allez ! À 4 pattes !"
Je me soulevai de ses genoux où j’étais encore à plat ventre, l’enjambai puis me mis à 4 pattes, face à lui.
Lui : "Dans l’autre sens, idiot !"
Je me retournai, comprenant qu’il voulait encore s’occuper de mes fesses. Il se mit à genoux derrière moi, appuya sur mes reins pour me faire cambrer, écarta à nouveau mes fesses, et repris le léchage d’anus. J’entrepris de me branler en même temps car la sensation était très agréable et excitante.
En moins de deux, Roger se releva, cracha sur sa queue, la pointa sur mon illet, me pris les hanches à 2 mains et inexorablement, poussa en avant, faisant pénétrer son gland puis tout le reste de sa colonne de chair dans mon cul.
La sensation fût d’abord épouvantable, comme un déchirement. Mais il ne tînt pas compte de mes cris, se contentant de me dire dans le creux de l’oreille : "Tu ne t’y attendais pas à celle-là, hein ?!"
D’abord lentement, avec de nombreuses poses pour habituer mon sphincter à la présence de sa queue, puis plus rapidement, Roger me défonça littéralement le cul, m’arrachant des cris mélangés à des soupirs parce qu’il fallait bien l’admettre, au-delà de la douleur due à cette toute première fois, et à la grosseur du sexe de Roger, la sensation était jouissive, je me branlais frénétiquement, je vivais ce dépucelage comme une révélation : j’aimais me faire posséder et traiter comme une femme et sans ménagement.
J’avais un orifice dont j’ignorais jusqu’à présent l’usage qu’on pouvait en faire, et celui-ci était en train de me faire jouir en étant distendu et maltraité par le burinage de cet homme mur. J’avais mal et je jouissais par flots de sperme régulièrement lâchés.
Roger ne se préoccupait plus que de son plaisir, il me possédait, sans ménagement.
Sentant sa jouissance venir, plus rien ne le retenait :
"Oui ! Oui ! Oui ! C’est trop bon un cul comme ça !
T’as bien fait d’venir !
Je vais te remplir ton petit cul bien serré !
J’suis sûr que t’imaginais pas que tu allais te faire défoncer l’anus, hein !?
Tu en redemanderas, tu verras !
AAAAAHHHHHHHH !"
Roger venait de me remplir le rectum et moi j’avais déjà déversé des litres de jus qui formaient une flaque sur le carrelage du bord de la piscine.
Soulagé, Roger se retira et s’allongea tout à côté de moi, semblant satisfait de ce qu’il venait d’accomplir.
Lui : "Alors ? Tu ne regrettes pas d’être venu ?
Moi : "…"
La marre de foutre que j’avais déversée parlait pour moi.
Lui : "Soit tu as des fuites par le nombril, soit tu as sacrément apprécié ! Ah ah ah ah !"
Il avait raison, j’avais vraiment apprécié, même si j’avais le cul irrité avec un sentiment de vide intérieur….
Ce qui m’étonna, c’est l’absence totale de tendresse de la part de Roger à mon encontre. De toute évidence, je n’avais été qu’un objet de plaisir dont il avait joui. Mais je ne lui en voulais même pas, fier de l’importance du rôle que je venais de jouer dans son plaisir et bouleversé par la jouissance que j’en avais retirée.
Je savais que désormais, plus rien ne serait comme avant…
Lui : "Tu viens ? On va prendre une douche !"