La belle sortit de la salle de bain une vingtaine de minutes plus tard, enveloppée dans une serviette. Ses cheveux étaient encore humides et son corps dégageait un parfum exquis. Elle se dirigea vers la chambre que je lui avais réservée, et ferma la porte derrière elle. Jaurais voulu être une mouche pour pouvoir admirer ce jeune corps si splendide. Elle ressortit de la pièce quelques minutes plus tard vêtue dun T-shirt large qui lui arrivait juste sous les fesses. Elle vint sasseoir à côté de moi et me lança : « Bon, tu le mets le film ? »

Jéteignis la lumière et lançai la lecture du DVD, puis revins masseoir à côté de ma belle. Je passai mon bras par-dessus son épaule et attirai doucement sa tête vers mon torse. Elle se blottit contre moi et prit ma main dans la sienne. De ma main libre, je lui caressai le dos et la hanche droite. Je nosai pas lui toucher la fesse de peur de la faire fuir à nouveau. Je me sentais si bien, là, contre elle. Jaurais voulu que ça ne sarrête jamais. Je sentais qu’elle était tendue, chacun de ses gestes était calculé, comme pour éviter de se retrouver dans une situation qu’elle ne contrôlerait plus.

Pourtant, petit à petit, peut-être sous leffet de mes doigts sur son corps, je la sentais se détendre. Ses muscles se décrispaient et ma main qu’elle serrait si fort sentait létreinte sadoucir. Au bout dune bonne heure de film, sa main finit par lâcher la mienne et elle alla se poser sur ma cuisse. Jétais encore habillé, en jean et chemise ; je navais pas voulu me changer afin de ne pas choquer ma douce. Elle se mit à me caresser délicatement le dessus de la jambe. Du bout des doigts, elle effleura mon entre-jambe qui était de plus en plus à létroit, et, soudain, elle se redressa. Elle membrassa à pleine bouche, cherchant ma langue, et agrippant mon cou de ses deux mains. Puis elle vint sasseoir à califourchon sur moi, positionnant son entre-jambe au niveau de mon sexe. Je ne pouvais plus me contenir. Mon souffle saccéléra, tout comme le sien, mes mains caressaient fermement son dos, passaient sous ses fesses ; je la soulevai et la reposai sur moi, plusieurs fois. Je soulevai son t-shirt et découvris une poitrine petite mais sublime. Ses mamelons pointaient et ses seins tenaient fermement. Elle finit denlever complètement son T-shirt et se retrouvait maintenant en petite culotte, la vulve écrasée contre mon entre-jambe. Je passai ma main gauche derrière son dos et linvitai à se pencher en arrière. De ma main droite, je caressai son ventre et ses seins, délicatement. Elle frottait son minou contre moi, toujours bien dur mais toujours habillé. Je navais quune envie : la prendre tout de suite, mais je ne voulais pas la brusquer. Il me semblait important quelle décide elle-même du moment où elle moffrirait la chose la plus précieuse quelle possédait.

Tout à coup, dans un gémissement timide, elle stoppa ses mouvements de bassin, déboutonna ma chemise et vint coller sa poitrine contre ma peau, passant ses bras autour de mon cou et sa tête sur mon épaule. Et me chuchota à loreille : « Je prends un plaisir fou avec ces câlins, tu es fantastique. Mais je suis consciente que tu attends plus de moi et je ne suis pas sûr dêtre prête à te donner ce que tu attends. »

Même sil est vrai que lidée de la déflorer me plaisait, je crois quelle se trompait. Chaque moment de tendresse, de caresse ou de baiser passé avec elle nétait que pur plaisir. Javais limpression de découvrir ce quétait réellement faire lamour. Prendre notre temps et faire monter ainsi la pression mexcitait au plus haut point. Je ne voulais surtout pas quelle soffre trop vite, je craignais que le charme ne soit rompu. Javais avec moi une vierge et ça me plaisait. Une fois que je laurais prise, elle ne serait plus vierge ; lui porterais-je autant dintérêt ? Je préférai la laisser venir et lui répondis « Tu sais princesse, je nattends rien de plus de toi que ce que tu voudras bien me donner »

Je pense quelle ne sattendait pas à cette réponse. Elle lâcha son étreinte et sallongea sur le canapé.

Elle ferma les yeux et dit : « Je veux que tu me fasses découvrir lamour, le plaisir »

Je magenouillai devant le canapé, à côté de ma douce, et commençai à lembrasser, dabord sur le coin des lèvres, puis dans le cou. Ma main droite caressait son visage, ma main gauche son ventre. Je descendis mon visage au niveau de sa petite poitrine, pour lui embrasser les seins et lui lécher les mamelons. Elle était tétanisée. Je pense quelle avait peur que je lui fasse mal ou que je sois brutal. Tout en douceur, je continuai mes baisers, tendrement, simplement. Je descendis sur son ventre, jouai un peu avec son nombril. Continuant ma descente, jarrivai sur sa petite culotte blanche. Je la fis rouler jusquà apercevoir le commencement de sa fente. Son Mont de Vénus était complètement lisse. Je me régalai embrasser ce bout de corps qui est pour moi la partie la plus érotique chez une femme. Le sien était bien bombé, bien prononcé. Mais je sentais que la peur montait. Je soulevai alors sa jambe droite, lui écartant ainsi légèrement les cuisses, et commençai à embrasser lintérieur de sa cuisse, en remontant doucement vers laine. De ma main droite, je caressai maintenant son ventre et son pubis dégagé. Je positionnai le pouce sur sa culotte pour lui exciter le clitoris. Ses muscles étaient crispés, mais une fois la friction débutée, elle se relâcha. Je sentais ses jambes trembler. Au bout de quelques minutes, sentant quelle ne semblait plus avoir peur, je retirai complètement sa culotte. Sa vulve était parfaite, un petit abricot tout rose, tout lisse. Je continuai mes caresses directement sur son petit clitoris. Je descendais de temps en temps mes doigts à lentrée de son vagin afin de les humidifier pour ne pas lui faire mal. Puis je plaçai ma bouche devant son minou et commençai à lui lécher les grandes lèvres. Elle semblait de plus en plus à laise. De timides gémissements se faisaient entendre. Puis ma langue sattarda sur son petit bouton. Cest à ce moment quelle sabandonna, complètement. Elle gémit, se tortilla et appuya sa vulve contre mon visage. Javenturai un doigt dans son anatomie. Son vagin était tout serré, son hymen encore intact. Elle sembla apprécier cette intrusion mais je nosai pas mettre plus dun doigt de peur de lui faire mal. Je fis donc des allers-retours avec le majeur en prenant soin de caresser les parois de son intérieur. Je me régalai de son jus. Après de longues minutes de caresses, je sentis son corps frémir, puis durcir à nouveau. Elle lâcha un gémissement plus fort que les autres puis se relâche complètement avant de me dire : « Je crois que tu mas fait jouir »

Je nétais pas peu fier de moi, faire jouir une pucelle simplement avec les doigts et la langue

Ma belle se releva, membrassa et me fit remarquer que le film était terminé. Elle me dit quelle était fatiguée et quelle voulait aller se coucher.

Je laccompagnai jusque dans sa chambre, lui posai un dernier baiser sur le front et fis demi-tour en direction de la porte. Elle minterpella :

— Merci pour tout ça et pardon de te laisser là-dessus, il ny en a eu que pour moi ce soir. Mais jai adoré et je ne regretterai jamais ce quon a fait. Bonne nuit mon prince.

— Il ny a pas de quoi, bonne nuit à toi princesse, fais de beaux rêves.

— Merci, toi aussi.

Je craignis que Lucie ne réfléchisse et regrette ce quon avait fait. Après tout, nous nétions pas vraiment ensemble. Javais peur quelle me considère comme un profiteur, un pervers. Cest avec toutes ces interrogations que jallai me coucher. Ne pensant quà elle, jeus beaucoup de mal à trouver le sommeil, mais je finis par mendormir.

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