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La ligne ténue de l'équilibre des corps – Chapitre 5




La ligne ténue de l’équilibre des corps

Chapitre 5

Visiblement contrariée, maman soupire fortement en tentant de se recomposer une mine dépouse.

« Allô Chéri ! Dit-elle-en franchissant le seuil de la porte.

Allô vous deux ! Répond papa, déjà légèrement éméché par la bière.

Je, savais que Gabriel, était ici, alors, je, suis parti à midi du boulot !

Et tas bu de la bière en nous attendant ? Dit maman, sur un ton de reproche.

Ouais ! Madame ! Jen ai même une grosse caisse ! »

Holà ! Papa est déjà avancé.

Je vois bien que maman est frustrée, mais je me doute bien que ce nest pas létat de papa qui la contrarie.

« Je vais prendre une douche ! Dit-elle, en tournant les talons.

Tu veux une autre bière, papa ? Lui demande-je, par convenance, en me penchant pour en prendre une pour moi.

Ouais ! »

Nous avons soupé et puis papa est allé, ensuite, cuver le trop plein dans son lit.

La vaisselle faite, je me laisse choir dans le grand divan et maman ne tarde pas à venir me rejoindre, non sans monter voir mon père dormant dans leur chambre.

« Il dort en ronflant comme un ours ! », dit-elle, en sinstallant debout devant moi.

Maman immobile, me regarde et je sens la tension palpable entre nous.

Je la regarde dans sa jolie petite robe dété et je me dis quelle ne fait vraiment pas ses 45 ans.

Détaillant son corps sans me soustraire à son regard, je regarde les formes bien définies de son bassin de femme.

Elle retire alors doucement ses délicats souliers et avance ses genoux sur le divan, pendant que ses mains relève le bord de sa robe jusquau haut de ses cuisses, puis enfourche mes jambes, en approchant au maximum son corps du mien.

Bien assis sur mes cuisses, les jambes repliées, elle tire un peu plus le vêtement en prenant bien soin de dénuder ses cuisses jusquau début de sa petite culotte qui apparaît tout juste.

Elle observe ses jambes, comme une invitation à les admirer.

« Tu aimes regarder les cuisses de maman, Gabriel ? Me demande-t-elle.

Oui, terriblement ! »

Elle saisit doucement mes poignets en déposant mes mains sur le dessus de ses cuisses, en me faisant faire un petit mouvement de caresse sur ses jambes.

Leffet est monstre dans mon short.

La peau de ses cuisses chaudes est plus douce que la soie.

Mes mains voyagent de ses genoux jusquà laine, en de tendres va-et-vient.

Jétire les pouces dans ma caresse pour pouvoir me délecter de la chair encore plus tendre entre ses cuisses.

Écartée par sa position au-dessus de mes jambes, elle se laisse doucement découvrir pendant quelle appuie son nez au creux de mien.

Jessaie de goûter ses cuisses au maximum de mes doigts, en les palpant, puis je longe la bordure de sa petite culotte, en me dirigeant sous sa robe, vers son cul.

« Tas déjà voulu toucher aux fesses de maman ? Me demande-t-elle, à voix basse, pendant quelle sent mes mains les caresser.

Oui ! » Lui réponds-je, franchement.

Je ne peux pas croire que je suis en train de poigner le cul de ma mère.

Elle ne bouge pas, mais plaque, de temps à autre, un petit baiser sur mes lèvres.

Puis, elle me demande :

« Tu aimerais que maman te montre ses seins ? »

Sa question fait tourner mon sang.

La situation devient extrêmement érotique entre elle et moi.

Je perçois clairement lexcitation quelle a à faire ça avec moi, son fils.

« Oui jaimerais ça ! » Est ma seule réponse

Elle relève doucement son corps jusquà ce que son derrière soit en appui au-dessus de mes genoux.

Maman retire alors, lentement, les fines bretelles de ses épaules, en les descendant le long de ses bras.

Baissant le haut de sa robe jusquà sa taille, son joli soutien-gorge apparaît à ma vue pendant quelle me laisse ladmirer quelques secondes.

Ses bras se dirigent alors dans son dos et il ne lui prend quun léger mouvement pour dégrafer le tout.

Elle ramène doucement les bretelles sur le devant de ses épaules.

Maman sarrête une fraction de seconde et me regarde.

Je sens dans ses yeux, une pudeur qui ne fait quaugmenter linterdit de la situation.

Voyant mon intérêt, elle libère ses deux seins à ma vue pendant quelle laisse retomber son soutien-gorge sur le plancher du salon.

« Waouh ! » Dis-je, presque bouche bée.

Elle se tient droite devant moi, se laissant regarder.

« Ça me fait drôle de te les montrer ! »

Je sens visiblement sa gêne de sexposer à moi.

Je fixe ses magnifiques obus, en insistant sur ses mamelons qui semblent déjà gorgés par son excitation.

Elle prend timidement mes doigts des siens, en les dirigeant sur ses seins nus.

Maman ferme les yeux quand jempoigne ses deux seins et les malaxe, je vois les lèvres de sa bouche sentrouvrir et sa mâchoire se relâcher sa bouche formant un joli "o", me laissant savoir clairement quelle aime ça.

Lincroyable sensation de mes doigts sur la peau de ses généreux seins, la texture chaude et molle, contrastant avec la relative rigidité de ses mamelons, maintenant vraiment allongés, sur la paume de mes mains.

« AAaaahhh, Gabriel ! » Me dit-elle, à moitié en gémissant, les yeux toujours fermés.

Elle tend alors les bras, en saisissant le cuir du haut du divan au-dessus de ma tête puis approche ses seins de mon visage, jusqu’à ce quelle les colle délicatement.

Je plonge alors entre ses deux seins que je pétris toujours en les embrassant, humant lodeur de son corps qui me grise le sang.

En voulant plus, jempoigne un sein, en le relevant haut et glisse ma bouche et mon nez sous celui-ci.

Maman comprenant mon geste, se positionne au-dessus de moi pour faciliter lexploration de ce lieu intime.

Je sens le dessous de son sein reposant sur ma joue et dans un geste irréfléchi et odieux, je sors grand la langue et glisse dun bord à lautre de ce repli, en me délectant du goût légèrement salé et des arômes corporels de maman.

« AAAaaa ! » Gémit-elle, longuement, en sentant ce que je lui fais.

Voyant quelle apprécie la caresse buccale, je me mets à laper tout le dessous de son sein, avant de relever complètement lautre, en me régalant de sa sueur.

Je lentends me dire, sans se soustraire à mon traitement :

« Je naurais jamais cru, que, jte laisserais mfaire çaaa ! » Dit-elle, en haletant.

Elle se soustrait alors de sa position, en mettant de nouveau son nez presque dans mon il.

« Cest bon, non ? » Lui demande-je, en faisant linnocent.

Parlant, en me soufflant au visage :

« Tu vas me rendre folle à faire ça ! »

Je sens son bassin valser, bien contre son gré, contre mes cuisses.

Lidée me vient dexplorer le temple sacré de maman.

Déposant une main sur sa cuisse tandis que lautre palpe un sein, je glisse doucement mes doigts entre ses cuisses, ne cachant pas mon intention.

La seule pensée doù se dirigent mes doigts fait pulser mon pénis dans mon short.

Toujours agrippée au cuir du dossier derrière moi, le nez contre mon visage, je sens le souffle de maman raccourcir, si bien que lorsque mes doigts caressent la peau douce de son entrecuisse, tout juste à la limite de laine, la gorge de maman semble se nouer alors que je lentends respirer à petits coups, comme quelquun sanglotant.

« Gghh, ahh ! Suivi dune pause.

.. Gghh, ahh ! De nouveau, en tentant de faire entrer lair.

.. Gghh, ahh ! »

Maman se laisse faire, mais elle sait très bien, à lintérieur delle, quelle est à la veille de commettre un geste dune rare perversité.

Se laisser aller, me laisser lui caresser son jardin secret, intime, de son corps que jai foulé il y a 22 ans, laisser son propre enfant lui donner des plaisirs interdits.

Ne pouvant résister plus longtemps, jétire délicatement les doigts et les dépose, lentement, en goûtant linstant et la sensation de toucher les lèvres de sa vulve par dessus le mince tissu de sa petite culotte.

Timidement, je les glisse plus loin en suivant le centre de la pointe de mes doigts vers son derrière, sachant que je toucherai, inévitablement, son anus dans la caresse.

Puis, suivant le même chemin, je reviens lentement vers moi, en pressant mes doigts sur son corps, entrainant sa petite culotte bien profondément entre ses petites lèvres.

« Gghh, ahh ! Gghh, ahh ! Gghh, ahh ! » Respirant nerveusement, par à coups, lair arrivant difficilement à ses poumons.

Elle délaisse le divan de ses mains en les agrippant sur mes épaules, plantant ses ongles profondément dans mes trapèzes, provoquant une douleur que je ne peux cacher.

Le nez bien écrasé contre mon visage, elle tend consciemment les lèvres et dépose un petit baiser sur ma bouche en signe dexcuses, sans même relâcher ses ongles plantés dans ma chair.

À lintérieur delle, je sais très bien quelle accompagne mes doigts, tout le focus de son être centré sur mon exploration terriblement déplacée.

Je remonte mes doigts en glissant seulement le bout de la pointe de mes ongles sur ce que je crois être la région de son clitoris.

Elle confirme ma découverte lorsquelle plante de nouveau ses ongles en serrant les trapèzes entre ses mains.

En quelque part, je souffre et je sais quelle a perforé ma peau, mais je suis trop excité pour briser linstant, aussi je me concentre sur mes doigts et sur son plaisir qui prime pour moi.

Sa simple respiration saccadée mexcite et me rend fou.

Mes doigts, retournés vers la région de son anus, fouille désormais, pour passer sous la bordure de sa culotte, traversant lunique et ténue frontière me séparant du contact direct de sa peau,

Mon bras et ma main, dans cette position, ne permet quau dos de mes doigts de glisser à lintérieur de sa petite culotte, caressant son anus que je sens maintenant sous mes phalanges.

Jentreprends de remonter et je sens la commissure de ses lèvres naître sous le dos de mes doigts, à mesure que je remonte vers le devant.

Je suis étonné par la grosseur de ses lèvres et je fais le lien avec les lèvres pulpeuses de sa merveilleuse bouche.

Ne pouvant tenir sous la caresse trop intense, maman se relève brusquement sur les genoux et plaque ses seins sur mon visage en tirant sur ma nuque.

Bien positionné entre ses deux gros seins, je manque presque dair, tellement elle tire ma tête contre elle.

Seins nus, la robe repliée à sa taille, relevée sur ses genoux son corps contre le mien, ma main sous sa culotte, je dois chasser cette image de maman avec moi ici dans le divan, sinon je vais éjaculer dans mon short.

Les gémissements dorgasmes ne tardent pas à venir, quand jinsère le dos de mon index sous la chair protégeant son clitoris, en le pressant délicatement.

« AAAaaaa ! Gabriellll ! AAaaahhhhhh ! » Crie-t-elle en jouissant.

Je la laisse vivre son plaisir pendant que je ne quitte plus son clitoris en le titillant.

« AAAAaaaaHHHH ! » Crie-t-elle fortement, son corps frappé de spasmes incontrôlables, ses ongles pénétrant dans le derrière de mon cou, en sagrippant de plaisir.

Je me fous totalement de papa en la sentant prendre son pied sous mes caresses et je sais bien que les cris de maman peuvent le réveiller.

« AAAAaaahhhhhhhhhhhh ! » Finit-elle, en apogée,

Je me mord les lèvres de douleur quand la tête, lancée en arrière, elle tient son équilibre de ses ongles puis elle saisit nerveusement mon poignet en léloignant de son entrecuisse, tentant de reprendre son souffle.

« Gghh ahh ! Gghh ahh ! Gghh ahh ! Gghh ahh ! Je vais mourir ! » Halète-t-elle.

Elle tient bien loin ma main de son corps pendant que des spasmes la traversent toujours.

Libérant ma main, je glisse mes bras autour de ses fesses, en létreignant sur moi, sentant les petits coups de bassin que son corps lui oblige, la laissant traverser cette tempête interne.

Peu à peu, elle revient doucement sur terre, gardant la position dans mes bras serré, mais caressant désormais les meurtrissures quelle a infligées à mon cou.

Au bout dun moment, je sens bien quelle mesure, de la pointe de ses doigts, lampleur des dégâts.

Elle repousse les fesses pour se défaire de mon étreinte et pose son visage contre le mien, en déposant un baiser de remerciement aux creux de mon nez.

« Tu fais toujours ça ? » Lui demande-je, en chuchotant.

Un sourire nait sur ses lèvres lorsquelle me répond :

« Mm Mm ! Avec son ton coquin et en hochant son visage contre le mien.

.. Mais là ! Javoue ! Tu mas fait voir des étoiles Je pensais mourir ! » Dit-elle, en déposant ses lèvres sur les miennes et en glissant sa langue sans vergogne dans ma bouche.

Il est clair, que bien que nayant exploré partiellement son corps dans ma caresse, nous venions de franchir un seuil, un nouveau lien nous unissant dorénavant.

Maman navait pas attendu mon assentiment et profitais visiblement de ma bouche.

« Mmmm ! Jte croquerais ! » Finit-elle par dire à haute voix, en se relevant dun coup du divan.

Elle remonta sa robe en enfilant les bretelles sur ses bras, replaçant ses seins dans la robe.

« Viens ! » Dit-elle, en me tendant la main.

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