Mes beaux-parents étant des ? snowbirds ? de longue date, ma femme et moi avions l?habitude de les rejoindre, conduisant leur véhicule vers le soleil et ainsi quitter notre hiver pour quelques jours. Habituellement trois jours nous suffisaient à les y rejoindre mais en cette année du 70e anniversaire de ma belle-mère, nous devions mettre les bouchées double et les y retrouver pour le souper d?anniversaire du surlendemain soir. Cela ne serait qu?une petite balade de plus de 2 000km en deux jours, un rien en soi, disait ma belle-mère.
J?étais alors marié avec une charmante et délicieuse femme de 40 ans, au corps délicat avec une petite taille et petite poitrine dont les mamelons pointaient d?un bon centimètre lorsqu?ils étaient excités. Ma douce moitié ne conduisant pas alors je demandai à ma petite belle-soeur, seule depuis belle lurette, n?ayant pas su garder un mari volage, de nous accompagner, histoire de conduire ce long trajet à deux. Après s?être fait un peu prier, elle accepta à condition que nous prenions deux chambres pour la nuit à passer en route. En farce, je lui dis de ne pas s?inquiéter, que sa soeur me satisfaisait amplement sur ce point. Elle rougît un peu et baissa les yeux.
Partis de bon matin, nous roulions depuis près de 12 heures, nous relayant à l?occasion de façon à garder le rythme et nous permettre de nous reposer un tant soit peu. Un peu au sud de Washington D.C., le sommeil se mit de la partie après seulement 30 minutes de mon quart de conduite. Mon épouse et sa jeune soeur tout aussi menue qu?elle dormait profondément. Je décidai alors de prendre la prochaine sortie pour voir ce qu?on pouvait y trouver pour passer la nuit.
À l?arrêt du moteur sous le porche d?un premier motel, les deux soeurs sursautèrent et me demandèrent d?une même voie pourquoi on était ainsi arrêté. Je leur dis qu?il se faisait tard et qu?une bonne nuit de sommeil nous assurerait de rejoindre notre destination en fin d?après-midi le lendemain. Toutes les deux acquiescèrent de la tête et ma belle-soeur ajouta qu?il ne me fallait pas oublier de louer deux chambres. Je lui dis alors de ne pas s?inquiéter que je ferais le nécessaire pour cela. À peine deux minutes plus tard, de retour à la voiture, me devant de leur communiquer le fait qu?il n?y avait qu?une chambre à deux lits de disponible, elles montrèrent toutes deux leur désappointement. Ma belle-soeur me dit qu?il n?était pas question d?y passer la nuit et qu?on trouverait bien autre chose un peu plus loin.
Après 5 ou 6 essais du même genre, nous nous retrouvions, une heure plus tard, toujours à la recherche d?un gîte pour passer la nuit. Espérant que le prochain arrêt serait le dernier, je dis alors au deux soeurs que s?il n?y avait qu?une chambre à deux lits, elles devraient en faire leur deuil et que de toute façon, après la route de la présente journée et celle qui nous attendait le lendemain, nous aurions tôt fait de s?endormir pour pouvoir repartir aux premières lueurs du jour.
Revenu de l?accueil de ce n-ième motel ainsi visité, je leur dis qu?en effet, il n?y avait plus aucune chambre autre qu?une suite comportant un très grand lit et qu?au pire, je dormirais dans un fauteuil. Les deux rouspétant, je pris les sacs de voyage préparés pour cette nuit seulement et me suis engouffré dans la chambre. Elle était très vaste, avec un immense lit en son centre, une table et quelques chaises autour. La salle de bain y était détachée par un porte-manteau et un petit comptoir bar. Faites à l?idée d?y trouver le sommeil rapidement, elles me dirent aller chercher un rafraîchissement et quelques grignotages à l?accueil, question de se relaxer un peu avant la nuit.
Pendant leur visite à la machine-distributrice de croustille, j?ai jeté sur une chaise les deux sacs de voyage et me suit lancé en plein milieu du lit, tout habillé sur le couvre-lit. Trois secondes ont été trop longues pour que je sombre dans un profond sommeil duquel elles ne se résignèrent pas à me tirer, constatant que j?avais conduit un peu plus que neuf heures dans la journée.
Alors qu?il faisait encore nuit, les phares d?une voiture quittant la chambre voisine me tirèrent d?un sommeil réparateur et tant attendu. Voyant les deux soeurs, sous les couvertures, une de chaque côté de moi, j?ai alors décidé de me déshabiller lentement, ne gardant que mon slip et de m?insérer sous les couvertures, sans faire le moindre bruit.
Quelques minutes plus tard, mon épouse, probablement par habitude, vint se lover contre moi, retrouvant ainsi la chaleur habituelle de ses nuits. Ainsi au chaud, j?ai passé mon bras par-dessus son épaule et j?ai posé ma main sur son ventre comme à l?habitude. M?apercevant qu?elle ne portait qu?un t-shirt en guise de chemise de nuit et aucune culotte pour garder sa toison d?or au chaud, j?y ai alors glissé la main recouvrant ainsi la douce fourrure de son pubis de mes doigts amoureux. Sans quitter son sommeil, enfin je le crois, elle entrouvrît légèrement les cuisses me permettant ainsi de poser un doigt entre ses lèvres douces et humides. Son bouton d?amour était brûlant et pleinement gonflé de plaisir, probablement résultat d?un rêve coquin en provenance de son inconscient. J?ai alors décidé de poursuivre ce rêve et d?en faire une douce réalité qui l?amènerait sûrement aux plaisirs les plus doux.
Masser ainsi doucement son clitoris provoqua sur mon bas ventre des picotements et l?érection de mon membre précédemment au repos. Abaissant mon slip, mon pénis voulait se dresser mais rencontra les fesses brûlantes de ma douce moitié, décuplant ainsi mon excitation. Je lui fis alors lentement écarter les cuisses et trouvai le moyen de m?introduire doucement en elle. Commençant un lent va-et-vient qu?elle semblait tout aussi apprécier que moi, j?ai alors senti une chaleur dans mon dos. Sa petite soeur s?étant aperçu de ce qui se passait tout près d?elle s?était rapprochée de moi et avait fait glisser sa main vers son petit minou, histoire de partager en solitaire les ébats de sa soeur et de son époux.
Après plusieurs minutes de ce manège, sentant au creux de mon dos le souffle de la petite belle-soeur devenir de plus en plus rapide, j?étais au comble de l?excitation, glissant tout doucement entre les lèvres en feu de ma tendre épouse qui me semblait sur le point d?éclater. J?ai senti alors une main se glisser, par l?arrière, entre cuisses et commencer doucement un massage de couilles avec souplesse et, je dois vous l?avouer, beaucoup de talent. Elle s?était complètement collée sur moi et je sentais les pointes durcis de ses seins me piquer le dos. J?étais sur le point de lâcher ma semence en elle lorsque mon épouse, après avoir joui doucement, simula sortir de son sommeil. Elle m?incrusta les ongles dans le bras et me somma d?arrêter ce manège tout de suite. Je lui dis que j?étais sur le point de jouir d?une seconde à l?autre. Elle se tourna de façon à ce que ma queue quitte son fourreau tout mouillé de son plaisir et que je ne puisse plus atteindre l?antre brûlant de son corps. Je lui dis alors qu?elle n?était pas correcte de me priver de plaisirs alors qu?elle avait eu le temps de jouir.
Ne sachant apparemment pas que sa jeune soeur était devenue actrice du spectacle, elle me dit alors que cela la réveillerait et que je n?en mourrais pas si j?attendais au lendemain soir pour lâcher mon plaisir en elle.
Sans que j?aie le temps d?ajouter une seule parole, mon épouse se leva d?un bond et me dit qu?il était temps de se lever si on voulait être au rendez-vous pour le souper d?anniversaire de sa mère. Elle laissa alors glisser son t-shirt sur son corps et courut à la salle de bain nous disant qu?elle sautait dans la douche la première, étant donné son âge avancé et qu?elle avait plus de travail que sa jeune soeur pour se refaire une beauté. Cela signifiait, selon ses habitudes, entre trente et quarante minutes de durs labeurs et de préparatifs, à mon avis superflus car elle était d?une beauté naturelle, tout autant que sa jeune soeur.
Me retrouvant ainsi au porte du bonheur, porte qui m?avait été gracieusement fermée au nez, toujours la main de ma petite belle-soeur portant mes couilles demeurant immobiles depuis le réveil de sa soeur. J?ai laissé tomber lourdement ma tête sur l?oreiller, pensant à voix haute que j?en étais encore quitte pour une branlette en solitaire dès que je me retrouverais sous la douche.
Ma belle-soeur dit alors qu?il n?était pas question de laisser une queue dans un tel état sans qu?elle puisse profiter quelques instants des restes de sa soeur. Elle souleva alors les couvertures et d?un bond se retrouva agenouillée à mes côtés, prête à dévorer ce membre au garde-à-vous. Tournant sa tête vers moi, elle passa sa langue sur ses lèvres et me dit que je n?en serais pas en reste. Commençant doucement du bout de sa langue à lécher ma queue encore toute mouillée du plaisir de sa soeur, elle jouta que s?était du gaspillage que de laisser une si belle pièce de viande sans en profiter pleinement. Elle se mit alors à me sucer le gland de plus en plus voracement, succédant les entrées et sorties d?entre ses lèvres gonflées par le désir de sentir cette belle queue se répandre en elle.
M?avalant d?un trait par moment et très doucement par la suite, elle provoquait en moi une chaleur intense et un plaisir approchant rapidement. Voulant ne pas être le seul à profiter de la situation, j?ai glissé ma main entre ses cuisses et commencé à titiller son bouton de façon à lui faire partager le plaisir qu?elle me donnait. Après quelques minutes de ce manège, j?ai introduis un puis deux puis trois doigts à l?intérieur de sa chatte toute bouillonnante sous mes caresses.
Lorsqu?elle me sentit sur le point d?exploser, elle me retira prestement de sa bouche. Elle regarda alors ma queue prête à exploser et lui éjaculer mon bonheur où bon lui semblerait. Elle me regarda alors dans les yeux avec une passion que je ne lui connaissais pas, elle me dit qu?après tout, sa soeur n?avait qu?à s?occuper de son stock et que si elle ne l?avait pas fait, ce n?était pas son problème et qu?elle ne se sentait aucunement coupable de prendre avantage de la situation. Avant même avoir terminé cette phrase, elle se retrouva accroupie au-dessus de moi, les cuisses bien écartées, s?avançant rapidement vers ma bouche pour me tendre son petit minou aux lèvres toutes roses qui ne demandaient pas mieux que de se faire dévorer par le grand méchant loup. Sans même avoir le temps de la soutenir, elle me plaqua sa chatte toute juteuse sur la bouche, m?ordonnant presque de lui brouter avec passion. J?ai alors entrepris de lui grignoter le bouton déjà gonflé des plaisirs reçus plus tôt de mes doigts et de lui lécher doucement la chatte en entier. Elle avait un goût de miel et sécrétait abondamment une liqueur aigre-douce à souhait. Ainsi assise sur mon visage, elle avait passé une main vers l?arrière afin de s?assurer que ma queue resterait bien dure en attendant de se l?enfourner jusqu?au plus profond de son corps.
Après avoir joui en silence et m?avoir fait boire une abondante éjaculation, elle se redressa et d?un bond se retrouva un mètre plus bas, soulevée au-dessus de cette queue avec la ferme intention de se l?approprier pour les minutes à venir. D?un trait, elle se l?engouffra au fond du corps et laissa échappé un tendre soupir de bonheur. Les yeux fermés elle me confia alors que ça faisait près de 10 ans qu?elle n?avait pas senti un homme bien bandé en elle et qu?elle en avait peine à se souvenir comment c?était bon que de se sentir ainsi empalée sur un membre bien dressé au fond d?elle. Elle me demanda alors de ne pas bouger, qu?elle allait prendre les choses en main car elle voulait profiter de l?occasion pour goûter pleinement chaque seconde de ce moment tant attendu et que j?en aurais de quoi m?inspirer les prochaines fois que sa soeur me laisserait sur mon appétit tel qu?elle venait de la faire.
S?assurant que l?eau de la douche coulait encore, elle entreprît un lent et tendre va-et-vient sur ce pieux enfoncé en elle, s?arrêtant à tout moment afin d?en savourer chaque frottement et chaque contact avec chacune des parties de ce membre prêt à exploser en elle, me retenant ainsi pour prolonger son plaisir. Puis doucement, elle se laissa glisser vers l?arrière en poussant bien son bassin vers l?avant afin que ma tige, à chaque entrée et sortie de mon gland se frotte contre son clitoris devenu énorme sous les caresses. Elle faisait un lent va-et-vient de l?avant à l?arrière, dégustant les entrées et sorties de mon gland frottant sur ses lèvres qui ne demandaient pas mieux.
Tout à coup, sentant l?explosion approcher, elle ferma les yeux et accéléra ses mouvements, me faisant entrer et sortir d?elle de plus en plus rapidement. Je me suis mis alors à lui pincer doucement les mamelons tendus tout en harmonisant mes mouvements de hanches au sien. Entrant alors dans un état second, elle se mit alors à hurler doucement, jouissant par toutes les parties de son corps. La bouche grande ouverte, la pointe des seins d?une longueur disproportionnée pointant à l?horizon, elle était empreinte d?un orgasme qui ne semblait pas vouloir se terminer, orgasme qu?elle s?était procurer elle-même, bougeant et agissant de façon à profiter pleinement de cette queue bien en elle. Lorsqu?elle éjacula son plaisir, je sentis couler des lèvres de sa chatte la même liqueur brûlante qu?il m?avait été donné de boire quelques instants auparavant. Ne pouvant plus résister au plaisir, je me suis laissé aller en lui giclant 5 ou 6 puissants jets de tous les liquides que j?avais en moi. Cette sensation peut-être oubliée de sa part sembla l?entraîner dans un deuxième orgasme successif et sans pose.
Suite à cette fin des plus réjouissante, elle se laissa lentement fondre et tomber sur moi. Nos lèvres se rencontrèrent et ce baiser fût un grand remerciement réciproque du plaisir reçu de la part de l?autre.
Revenant à la vie nous nous sommes aperçu que la douche ne coulait plus et que nous étions mieux de remettre un peu d?ordre dans nos tenues respectives. La porte de la salle de bain s?ouvrit alors et ma charmante petite-belle-soeur sauta du lit en criant que c?était à elle à aller à la douche en deuxième parce qu?elle était une femme et qu?elle avait immédiatement besoin d?une douche pour se rafraîchir.
Le drap remonté sur moi laissait quand même voir la forme de mon sexe encore bien dressé. Ma douce moitié s?en aperçu et me regarda d?un oeil inquisiteur. Elle s?approcha, souleva le drap un sourire au coin des lèvres, elle entreprît de me bien sucer afin de boire mon plaisir qu?elle croyait toujours refoulé au fonds de mes couilles et ainsi se faire un peu pardonner de m’avoir ainsi laissé en plan. Elle était celle qui à mon avis possédait un don pour faire ainsi jouir un homme. Il ne lui fallut pas plus que deux à trois minutes pour recevoir, sans en laisser échapper, les quelques gouttes de plaisirs qui pouvait me rester dans le corps.
Ouvrant les yeux j?ai entrevu ma petite belle-soeur ayant été témoin de cette scène, refermer la porte de la salle de bain et se mettre à chanter joyeusement.
Quelques minutes plus tard, ma toilette faite, nous avons repris la route, emportant en chacun de nous une forme différente de bonheur…
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