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La bouffeuse de sperme du mobile-home 36 – Chapitre 2




Je me réveillai vers midi. Au dehors les bruits confus du camping se faisaient entendre. Mais à l’intérieur, c’était le silence. Je ne m’étais pas réveillé quand ma femme était rentrée. J’eus un doute. Je me levai et m’habillai sans bruit. J’ouvris la porte avec un luxe de précautions inutiles car elle grinçait. La porte de notre chambre conjugale était ouverte, le lit n’avait pas été défait.

Je sortis du mobile -home par la fenêtre arrière pour ne pas être vu car je n’étais toujours pas sensé être arrivé. Je m’approchai du mobile-home 36. L’une des fenêtres de la salle à manger était ouverte et à travers le rideau peu épais, j’aperçus Franck, seul, entièrement nu, appuyé contre un meuble et buvant un verre. Quelque chose avait changé mais je ne vis pas immédiatement quoi.

Ma femme apparut.

"J’y vais. Marc va bientôt rentrer".

Il lui mit la main à la chatte.

"Quand reviens-tu" ?

"Jamais".

"Tu n’as pas aimé "?

"J’aime mon mari. Je n’ai jamais voulu ce qui s’est passé cette nuit. Cela ne recommencera pas".

"Tu es sûre? J’ai aimé et plus qu’aimé. Si tu ne m’avais pas vidé les couilles autant de fois cette nuit, je banderais encore".

Et elle partit sans rien dire de plus mais avec une certaine hésitation que je pris pour un regret.

Je dus attendre encore avant de rentrer dans notre mobile-home. C’est pendant ce temps que je compris ce qui avait changé sur le corps de Franck. Ses couilles étaient rasées, alors qu’hier soir elles étaient encore couvertes d’une épaisse toison noire. Elisa refuse de me lécher les couilles quand elles sont couvertes de poils. J’en conclus qu’elle avait rasé Franck pour lui bouffer les boules.

Quand le temps fut venu où je pouvais rentrer sans laisser aucun soupçon, je rentrai chez nous. Elisa était assise. Elle se reposait.

"Coucou, ma chérie".

"Tu es un gros con" !

"Ben, qu’est-ce qu’il se passe"?

"Tu m’as poussée dans le lit d’un autre avec ton pari ridicule".

"Et" ?

"Et? Tu ne devines pas ?…. Il m"a baisée toute la nuit".

Elle avait dit cela avec une sorte de haine. Pour lui ou pour moi ?

Il y eut un long silence. Elle me demanda.

"On fait quoi maintenant ?

"Tout est de ma faute. Je ne t’en veux pas. Je t’aime et je t’aimerai toujours". Comment lui avouer en effet que j’avais tout vu et que jamais bander dur comme jamais en la voyant ce faire saillir par ce magnifique étalon quinquagénaire ?

"Elle se mit dans mes bras en pleurant".

Je lui demandai: "Il ne t’a pas fait mal" ,

"Non, il a été très chouette, un très grand seigneur. Il sait y faire. Je n’ai pas pu résister"

"Alors, tu as aimé"?

Elle ne répondit pas.

"Si tu as aimé… et que tu veux recommencer… je… enfin… si tu y trouves du plaisir…".

"Non, pas d’autre homme que toi, jamais…".

Je vais aller parler à Franck.

"Que vas-tu lui dire "?

"Ne t’inquiète pas. On va faire le point et passer à autre chose".

Je frappai à la porte du mobile-homme 36. Franck m’ouvrit.

"Tiens" ! Me fit-il. "Déjà rentré" ?

"Oui. Tu as passé une bonne nuit" ?

"Et toi ? Pas trop froid Cézembre" ?

"Plus que la chatte d’Elisa que tu as bien fourrée mon salaud".

Il eut l’air très gêné, chercha quoi répondre et répliqua enfin :

"Que t’a-t-elle dit " ?

"Elle avait pas besoin de me dire quoi que ce soit ".

"Comment cela"?

En guise de réponse je me dirigeai vers sa piaule et y entrai.

"Qu’est-ce que tu fais" ?

"Viens voir" lui répondis-je.

Et j’ouvris la porte de la penderie où je m’étais masturbé en les regardant quelques heures avant. Les larmes de sperme séché avaient laissé des longues trainées sur la porte qui avaient glissé de mi hauteur jusqu’au sol.

"Tu n’as pas encore eu le temps de faire ton ménage".

Il me demanda ce que cela signifiait et je lui répondis que je n’étais pas resté sur l’ile mais que j’avais pu revenir et que je les avais espionné jusqu’à ce qu’ils aillent se doucher. J’ajoutais qu’ils m’avaient fait bander comme un âne avec la plus belle scène de cul que j’ai jamais vue. Au final, j’avais joui.

Franck était stupéfait.

"Maintenant", dis-je, j’ai un truc à te demander".

"Vas-y toujours".

"Je veux vous mater à nouveau".

"Ben mon vieux, si je m’attendais à çà ! Enfin, si tu veux… pas de problème pour moi… mais ça ne va pas être facile. Elle ne veut plus".

"Je suis sûr qu’on peut la décider".

"Tu veux pas plutôt un plan à trois" ?

"Si… Si… pourquoi pas, mais je ne suis pas sûr qu’elle veuille. Je lui en ai jamais parlé. On n’a jamais fait ça. Pour le moment il faut juste qu’on trouve comment la ramener chez toi".

Après réflexion, notre plan mis au point, nous attendîmes le lendemain.

Franck vint prendre l’apéro. Une certaine gène s’établit. Elisa ne savait pas que j’avais tenu Franck que j’étais au courant de tout ce qu’elle m’avait dit. J’invitai Franck à rester déjeuner, ce qu’il fit. Nous avions convenu avec lui qu’à la fin du repas je propserai à tout le monde à un concert. Je savais qu’Elisa en avait horreur et qu’elle ne viendrait pas.

Le repas terminé je me lançai.

"Je vais au concert. Tu viens Elisa" ?

"Ah, non ! Ta musique de merde ! Je reste ici".

"Tu m’accompagnes Franck"?

"Non, je reste ici. Elisa va me tenir compagnie".

Elle rougit jusqu’aux oreilles et le regarda avec une certaine rage.

"Ok" dis-je. "Amusez-vous bien".

Puis je filai. Franck devait occuper Elisa juste assez de temps pour que j’aille me planquer dans le placard de sa piaule. Par la suite il me raconta leur courte conversation.

"Tu viens" ?

"Non mais tu es malade de faire une allusion pareille" ?

"Pourquoi" ?

"Je lui ai tout dit. Alors que veux -tu qu’il s’imagine"?

"Je sais. Marc m’a tout raconté. Il m"’a dit que tu lui a tout avoué".

"Vrai" ?

Il lui raconta quelques détails avant de lui dire : "Tu vois bien que s’ils nous laissent c’est en connaissance de cause. Tu as un mari vraiment cool qui veut te laisser la liberté de t’éclater". Elle hésita mais elle fut obligé d’admettre que je l’avais laissée sciemment avec un mec qui l’avait sautée la veille et qui, selon toute vraissemblance, allait le refaire avec gourmandise si on lui en laissait l’opportunité. Elle se décida alors à cette partie de baise.

A poil, dans le placard, je les vis entrer. Pas de préliminaires. Franck enleva son T-shirt et son jean. Il n’avait rien en dessous et bandait déjà ferme. Elisa enleva son paréo et sa culotte.

"Suce-moi".

Elle fut aussitôt à genoux et je la vis avec expertise se dévouer au gros membre. Elle bouffait le gland qu’elle avalait à peine, léchait la collerette puis la hampe, tout en flattant les couilles avec ses mains. Puis elle prit le braquemart et le branla tout en resuçant la masse luisante qui mouillait déjà. La gâterie dura un long moment. Elle se régalait visiblement. Puis, il s’allongèrent pour un 69, lui en dessous. Je la voyais de face, prendre cette bite dans sa bouche, la lécher devant, derrière, baver jusqu’aux couilles. Je voyais son cul onduler et je devinais chaque coup de langue qui stimulait ce bassin qui roulait sous le plaisir. De temps en temps, elle s’arrêtait, se redressait, assise sur le visage de Franck. Elle se massait les seins, et il en profitait pour lui caresser la chatte, ou elle le masturbait lentement à deux mains avant de se pencher à nouveau pour gober ce gros zob autant que sa bouche le lui permettait. Je me branlais avec lenteur, bien décider à faire durer le plaisir. Tout à coup, elle se releva se pencha en arrière en appuyant ses mains de part et d’autres de la tête de Franck et se laissa jouir en lui inondant le visage, puis, vaincue, elle s’allongea sur son corps. Il ne lui laissa aucun répit, il la fit glisser, se dégagea, se mit à genoux entre ses jambes et, la saisissant par le bassin, il la fit revenir vers lui pour l’empaler en levrette. Il commença à la bourriner avec ardeur. Elle s’était appuyée sur ses bras tendus. Il la tenait par les épaules ou les hanches et donnait de grands coup de bite. Très vite, elle se remit à gémir comme pendant l’orgasme.

A ce moment la porte s’ouvrit d’un coup.

"Putain p’pa, tu peux pas baisser…" Il n’eut pas le temps de finir et resta interdit. C’était Anthony, le fils de Franck. Nous avions oublié que nous étions dimanche, jour où il ne travaillait pas mais se reposait dans sa chambre à côté. Il était torse nu, en short.

"Ah ! C’est pas la télé ! Merde, vous auriez pu me prévenir".

Elisa avait instinctivement baissé la tête qu’elle cachait dans ses mains. Franck, toujours planté dans le con de ma femme s’était arrêté. Mais pas gêné pour deux sous, il reprit son va-et-vient en disant : "Merde. Excuse, j’avais oublié que c’était ton jour. Tu veux bien fermer la porte s’il te plait" ?

Anthony s’exécuta mais en restant dans la piaule. Son short qui avait commencé à se gonfler ne disait que trop tout lintérêt qu’il portait à la scène. Il le baissa.

"Vous me faites une petite place "?

Elisa qui faisait toujours l’autruche malgré les coups de bite qui avait repris de plus belle, ne bougea pas.

"Allez Elisa… fais pas ta timide et dis-moi si elle est aussi bonne que la paternelle". Et tout en disant cela, il la tira par les cheveux pour la forcer à redresser la tête qu’il colla contre son sexe. "Ouvre" et la queue disparu en partie dans la bouche.

Anthony est un beau bébé. 1,90m pour 90 kilos, pectoraux saillants, abdos sculptés, dos et membres puissants, un cul rebondi de statue grecque. Un athlète comme son père, mais avec une grâce juvénile que lui donnent ses vingt ans et ses cheveux et poils blonds et frisés. Sa bite néanmoins n’atteint pas les dimensions du monstre, son père. Belle tige pourtant, surtout bien épaisse de sorte que le gland est moins large que la hampe et que la bite se termine en forme de cône. Entièrement épilé le sexe s’enorgueillit d’une solide paire de couilles bien pendantes. Le tout s’agitait pendant que la levrette atteignait son paroxysme.

"Laisse moi la place p’pa". Aussitôt dit aussitôt fait. Chacun prit la place de l’autre. Je dus arrêter de me branler pour ne pas jouir.

Puis Anthony quitta la chatte et se mit à faire coulisser sa verge luisante dans la raie culière de ma femme. Puis il s’immobilisa pour essayer de forcer la rondelle.

"Eh, non arrête Anthony" J’ai jamais fais ça"

"Y’a un début à tout ma belle".

"Tu vas me faire mal et c’est sale".

"Je ne vais pas te faire mal et on va te laver d’abord".

Alors il l’a pris, l’emmena vers la douche et l’y laissa.

Pendant ce temps, il revint parler avec son père. Tous les deux sans s’arrêter de bander, échangeaient sur ma femme.

"Putain, elle est trop bonne ! Y’a longtemps que tu la baises " ?

"La première fois, avant-hier".

"Et tu n’as pas peur de Marc" ?

"Il est au courant".

"Vrai ? Ah la vache, c’est chaud".

Mais Franck ne lui dit pas que j’étais encore dans le placard.

Elisa revint et Anthony prit la direction des opérations.

Franck s’allongea. Elisa vint s’étendre dessus en chevauchant la bite qui s’inséra lentement dans le vagin pourtant très dilaté, et Anthony vint se mettre derrière. Il lubrifia le trou avec sa langue, à quelques centimètres de la bite paternelle qui apparaissait et disparaissait partiellement selon les mouvements d’Elisa. Puis il mit sa tige sur le fion et se mit à forcer. Mais c’était trop douloureux.

"Pourtant, ton cul est détendu. Ça devrait rentrer".

Mais ça ne rentrait pas ou peu.

"T’as encore du gel p’pa ? Toujours dans le placard ?"

Et avant que Franck ait eu le temps de répondre Anthony ouvrit le placard.

Voir un mec à poil en train de se polir la gaule alors qu’on s’attend à autre chose a de quoi surprendre, aussi Anthony fit-il un pas en arrière en criant. Par réflexe, Elisa avait redressé la tête et elle me vit dans le miroir. Alors qu’Anthony s’exclamait "putain, y’a le cocu dans le placard"! Elisa, les yeux écarquillés me dit "Qu’est-ce que tu fous là" ? Je répliquai que l’on verrai ça plus tard et, sans attendre, la pine toujours bien ferme dans mon poignet, je montai sur le lit, m’intercalai entre ma femme et le miroir et lui fourrai la bite dans la bouche. Anthony, tout en continuant de parler et de raconter la frayeur que je lui avait faite, s’était mis à chercher le gel tout en se masturbant car la peur lui avait fait perdre un peu de sa superbe. Seul, Franck n’avait pas commenté l’incident trop occupé à jouer des hanches pour faire sauter ma femme sur sa trique.

Debout, la tête touchant le plafond, je pus voir Anthony badigeonner le troufignon de gel et y appliquer son pénis. Elisa dut arrêter de me sucer pour exprimer sa douleur. Mais peu à peu je vis le chibre disparaître dans le trou. Quand il y fut tout à fait, Anthony se mit à aller et venir, lentement d’abord puis de plus en plus vite. S’accrochant aux épaules, il se mit à la bourrer carrément tout en commentant ses coups de bites de propos orduriers: "Tu aimes ça salope. Putain, elle est trop bonne ta meuf. Tu la sens ma teub…". Les secousses violentes qu’il imprimait au cul de ma femme dispensaient son père de faire le moindre effort, la chatte bougeant autour du chibre. Il titillait les nichons de ses mains ou sa bouche. Je n’y tins plus. Je lâchai une grande giclée de sperme dans le fond de la gorge où ma bite butait sans relâche depuis cinq minutes. Forcément, cela provoqua un haut le cur et Elisa se recula, libérant immédiatement ma queue qui giclait toujours, éclaboussant son visage. Les rafales puissantes avaient libéré tout le jus accumulé dans mes patates depuis l’avant veille. La garce en était couverte et, n’ayant pas totalement avalé ce que je lui avait mis dans le fond de la bouche, les lèvres laissaient dégouliner deux filets crémeux. "Oh putain, elle bouffe le sperme la pétasse. Tu vas te régaler, je suis bientôt chaud". Anthony n’avait en effet rien perdu de la scène. Franck, lui, était resté impassible malgré la jute qui lui était tombé, depuis mon gland ou le visage de ma femme, sur son torse ou dans son cou.

Vidé, je m’assis au bord du lit puis en fit le tour pour voir la scène sous différents angles. Vu d’arrière, les jambes de Franck écartées, celles de son fils debout entre les siennes et celles de ma femme repliées, formaient un scène très hard. Le cul d’Anthony se démenait avec ardeur sous ses élans. Les muscles se contractaient et se relâchaient en cadence. Puis il se retira et vint se placer dans la bouche mais, plus prudent que moi, sans enfoncer son chibre à fond. Il lui recommanda bien de ne pas avaler pour tout recracher. Puis, à grand renforts de cris, il éjacula. L’abondant flot de foutre remplit vite la bouche et Elisa dut l’ouvrir pour laisser s’échapper le trop plein. Le menton ruisselait d’un liquide plus ou moins épais.

Ça sentait très fort le sexe dans la piaule mais Franck n’avait pas encore donné. Il souleva ma femme, la mit sur le dos et la pénétra en missionnaire, position qu’il semblait affectionner. Il y allait franchement. Le lit craquait sous le rythme. Anthony, le sexe dégoulinant s’était assis en tailleur et pelotait les nichons. Puis Franck, après un long moment, éjacula dans le con. Je m’étais remis à bander et dès qu’il retira sa bite, j’y plongeai la mienne. Lui, pendant se temps se faisait décrasser par Elisa.

Mais, malgré ma bandaison, j’étais à sec et je ne pus pas jouir une nouvelle fois. Je retirai mon dard tout raide et poisseux du foutre de Franck pour me le faire décrasser à mon tour.

Epuisés tous les quatre, nous nous félicitâmes. Anthony regagna sa piaule pour terminer sa sieste.

Nous étions allongés tous les trois depuis un long moment sur le lit, dans la chaleur de l’été qui envahissait la pièce. Il y flottait une odeur de rut, faite de sueur et de foutre. Tout cela sentait bon la baise.

C’est Franck qui a dit : "Ce serait sympa si vous restiez là… tous les soirs… on pourrait tirer des coups tant qu’on voudrait, à deux, à trois, à quatre si Anthony revient…".

Il y a eu un blanc. Elisa m’a regardé et m’a demandé : "ça te plairait" ? J’ai dit : "Et à toi" ? "Si tu aimes, alors ça me va" a-t-elle dit.

Alors on est resté. On n’a plus quitté le mobile-home 36. On a vite compris le rythme que cela allait prendre. Le soir, avant d’aller reprendre son service, alors que nous étions assis tous les trois, Anthony est sorti de sa chambre, tout habillé. Il a dit : "Je vais bientôt y aller… Putain qu’est-ce que vous aller vous marrer". Puis il s’est approché d’Elisa, a baissé son Froc et a dit : "Suce-moi pour me donner du courage. Alors sans hésiter, elle a pris le dard. Franck et moi on n’a rien fait, on a juste regardé. Ça a bien duré un quart d’heure avant qu’il éjacule en se cramponnant à sa tête. Il a remis son boxer et son futal, il a fait "A plus" ! Et il s’est cassé. On approchait de 19 H 00. Elisa laissait le sperme s’échapper de sa bouche en un mélange que la salive avait rendu très liquide et qui séchappait sur son menton et tombait en pluie épaisse dans son corsage. Franck s’est levé: "Putain, c’est vrai, c’est l’heure de l’apéro. Tu vas bien reprendre un verre… ". Il a sorti son zob et elle l’a repris. Alors je me suis levé, je bandais à nouveau et elle a pompé nos deux sexes alternativement. On a mis du temps à cause de ce qu’on avait déjà répandu dans l’après-midi. En s’aidant un peu de nos poignets, on a quasiment réussi à juter ensemble. Elle s’était mise sous nos queues, la bouche ouverte. On était presque à plat, elle n’a pas eu grand chose. On a pris l’apéro, on a bouffé, on a passé la soirée à rigoler puis on est aller au pieu. On a pris un lit dans notre mobile-home pour faire un vrai trois place qui occupait toute la chambre. On s’est couché à poil. J’étais à vide. Je n’ai pas pu bander quand Franck s’est mis à bouffer la chatte. Même lui avait les couilles à sec. Il bandait mou. Cela ne l’a pas empêché de profiter. Je me suis endormi pendant qu’il lui mangeait le cul… Ainsi a commencé la dernière et plus belle semaine de nos vacances.

A suivre….

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