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Ma vie d'étudiante – Chapitre 2




Le lendemain, je fais mes comptes, il me faut encore 200. A contrecur, je vais devoir prendre dautres clients. Je me connecte et prends 2 rendez-vous pour le samedi dont mon tout premier client, visiblement il avait apprécié. Mon rendez-vous de la soirée me prévient quil ne peut se déplacer mais il me dit quun taxi viendra me prendre en mamènera à lui pour 18h. Il me dit que si jaccepte, il paye le double. Jhésite, je regarde ladresse et ça me donne les bureaux dune entreprise dont le big boss ressemble à mon client. Finalement, jaccepte.

Je me suis dis quil fallait que je mhabille assez sexy et je me décidais à mettre une jupe sexy courte mais hyper classe avec un haut assorti mais terriblement décolleté. Dessus, je me mis en sous-vêtements sexy, porte-jarretelles noir avec un petit string en dentelle et un soutif pigeonnant en dentelle ainsi que évidemment des bas noirs, ensemble que mavait offert ma meilleure copine pour mes 18 ans, Emilie. A 17h30, un taxi vient effectivement me chercher devant le bar, mon lieu de rendez-vous. Il me conduit jusquà ces fameux bureaux. Arrivé devant ce lieu, jai un doute, dois-je y aller ? Jy vais ma décision est prise.

Je me dirige vers la secrétaire de laccueil et mannonce comme le rendez-vous du patron, M. R. Celle-ci mindique le chemin jusquau bureau. Jentre dans le bureau et jy trouve mon client. Cest un type denviron 45 ans, plutôt pas mal. En moi-même, je me demande pourquoi il a besoin de moi, il pourrait se faire plein de fille avec le charme quil dégage, moi-même je dois avouer que jy suis pas insensible. Il me fit asseoir sur le fauteuil en face de lui. Il me propose un verre que je refuse. Puis il me dit: « Venant en au fait, voilà je suis directeur de cette entreprise. Jai des clients importants qui viennent régulièrement et jai besoin, disons, dune hôtesse. Je ne veux pas dune fille qui couche, et je vous ai contactée pour devenir cette hôtesse. Vous êtes belle, jeune, pleine de charme, vous allez leur plaire. Bien entendu, si je vous ai contactée cest que je pense que quelques gâteries ne pourra leur faire que du bien, mais je ne veux pas que vous couchiez avec eux même sils vous le demandent, les règles seront claires pour eux et pour vous. Disons que ça leur servira de test pour voir sils sont dignes de travailler avec ma société. Je suis prêt à mettre le prix pour vous, je suis sûre que vous ferez parfaitement laffaire, si je peux mexprimer ainsi. Disons que je vous paye 50 par heure pour leur tenir compagnie, en contrepartie je veux la priorité sur vos clients, sur vos études, sur vos loisirs, sur vos week-end, sur votre amoureux, je veux vous avoir sous la main quand jai besoin de vous ! ».

Il ne ma pas fallu longtemps pour accepter cette proposition qui est plus quintéressante pour moi. Elle mapporte une certaine sécurité vis-à-vis de mes potentiels clients mais jai peur quen contrepartie on men demande toujours plus. Mais jaccepte. Bien entendu, mon nouveau patron me demanda de messayer. Je voulais pas rater cette occasion et jacceptais. Il me demanda de me déshabiller et jenlevai mon haut et ma jupe et me retrouvai en sous-vêtements, porte-jarretelles et bas. Je vis tout de suite une bosse se former au niveau du bas-ventre de mon client. Je lui déboutonnais son pantalon et sortis son sexe de son boxer. Il avait un sexe dune taille impressionnante, largement plus de 20 cm et dun diamètre important. Je commençais à le branler et ma main ne parvenait pas à en faire le tour entre mon pouce et mon index. Je lui demandais sil avait une capote parce que javais oubliée les miennes. Il me répondit que non, quil pensait que jen avais. Il me dis cétait pas grave, que je pouvais continuer à moins que ça me dérange. Je me disais que ça valait le coup de le sucer sans protection à la vue de la carotte quil y avait au bout alors je lui demandais quil néjacule pas dans ma bouche. Il me dit OK mais jaimerais le faire sur ton visage. Jacquiesçais.

Je me mis à louvrage et commençais à passer ma langue sur son gland puis je descendais doucement vers ses couilles que javalais littéralement. Au bout dun moment, javalais son sexe qui prit toute ma bouche. Jai sucé quand même quelques sexes avant, mais jamais daussi gros, le sien était long et gros, jen avais du mal à respirer. Il enfonça son sexe jusquau fond de ma bouche. Moi je me recentrais sur son gland mais jessayais de ne pas prendre son sexe totalement dans ma bouche mais finalement je me laissai guider par lui. Cest lui qui menait le jeu maintenant, je devenais simplement un objet. Cette situation finie même par me plaire, jimaginais la scène, moi à genoux en lingerie fine en dentelle noire aux pieds dun homme avec un sexe aux dimensions extraordinaires et rien que dimaginer ça, je commençais à mouiller et javais envie de me caresser, de me masturber, même de me faire prendre par cet homme, de le sentir en moi. Je continuais la fellation pendant une dizaine de minutes puis il mannonça quil allait venir. Il se retira de ma bouche et se branla au-dessus de mon visage et éjacula. Je sentis plusieurs jets de sa semence sur mon visage et qui ont finit par sécouler sur ma poitrine, tachant mon soutif et même sur mes hanches et mon string. Il prit un mouchoir dans son bureau et commença à me nettoyer son sperme sur mon corps. Je me laissais faire et rien que de le sentir messuyer, je mouillais et il arriva jusquà mon string où il saperçut de mon humidité. Il eut un sourire et fini de nettoyer.

Il maida à mhabiller puis il revient à des choses plus sérieuses et contractuelles. Il me dit que javais passé avec succès lexamen dentrée de sa société et il me fit signer un contrat dhôtesse daccueil, ma fonction officielle pour expliquer les sorties dargent pour mes activités, précisa-t-il. Il pris mon numéro de téléphone et je pris son numéro de téléphone de travail puis il me paya, le double habituel comme prévu puis il rajouta une enveloppe comme avance pour mes futurs frais, en précisant que je devais toujours être bien habillée. Sur ce, il me raccompagna jusquà la porte de son bureau après avoir demandé un taxi et me laissa partir en me disant que jaurai bientôt de ses nouvelles.

Arrivée chez moi, je décidais de ne plus prendre de rendez-vous jusquau prochain problème monétaire, après tout javais de quoi finir le mois maintenant. Malgré tout, javais encore 2 rendez-vous le lendemain, un à 15h et un autre en soirée avec un client connu ce qui ne me stressait guère.

Le lendemain, après avoir fait la flemmarde au lit, je me levais et mangea. Puis, jallais me préparer, jean, conserve et petit dos nu sans soutif pour mon premier rendez-vous.

A 15h, jétais au bar en attendant mon client. Et quelle ne fut pas ma surprise en voyant débarquer mon prof de civilisation anglaise que javais eu en TD la veille même. Pas forcément beau mec, dans les 35 ans, un mec tout ce quil y a de plus banal. Lui aussi me reconnu. Et là jhésitais à y aller mais lui, finalement me demanda où on allait. Visiblement, lui ça le gène pas de se faire sucer par une de ses étudiantes. Finalement, je me levais et me décidais à lemmener chez moi. Et là, comme les autres, je le fis sasseoir sur le clic-clac, le prépara, lui mit la capote et commença le boulot. Javais du mal à menlever de la tête que jétais en train de sucer un de mes profs. Mais je my mettais de bon cur et mon prof appréciait. Il me caressait ma tête et finit par faire glisser sa main dans mon haut et me caressait la poitrine. Je ne sais pas si cétait le fait que cétait mon prof, quil détenait un certain pouvoir sur moi, mais je me laissais faire. Lui me caressait les seins, me pinçait les tétons, me les tortillaient Il finit par jouir dans ma bouche puis il se retira, enleva sa capote, la ferma et la mit de côté. Mais il restait assis et commença par me questionner pourquoi je faisais ça ? etc Je lui donnais des réponses vagues qui avaient lair de le contenter. Puis finit par poser cette question : « est ce que tu vas plus loin avec tes clients ? » Je lui demandais « comment ça plus loin » et me répondit « est que tu passes à lacte sexuel en lui-même, pénétration, sodomie » Je lui répondis par la négative sans mépancher sur le sujet et lui me répondit « dommage, si tu baises aussi bien que tu suces, tu aurais du succès ! ». Je dois avouer que jétais étonnée quun prof, quoique client, me dise ça ! Il se leva et partit de chez moi sans oublier de payer et en partant me dit, « à une prochaine fois comme client, à vendredi comme prof ».

Après mêtre remise de mes émotions, je décidais daller faire un tour en ville pour maérer et me changer les idées avant mon prochain rendez-vous. Après avoir fait les magasins pendant 1 heure, je rentrais chez moi. Je décidais de rester comme jétais habillée. Arrive lheure de mon rendez-vous. Je descendais au bar et me mit à attendre mon client tout en sirotant une menthe à leau sur la terrasse ensoleillée en cette fin septembre. Mon client arrive, toujours aussi charmant, habillé assez décontracte avec une chemisette blanche en coton style baroudeur revenant dAfrique. Je le fis monter chez moi et sasseoir sur le clic-clac. Je lui déboutonna son pantalon et lui mit la fameuse capote, goût fraise pour changer un peu. Lui me demanda denlever mon haut comme la dernière fois, mais là problème je suis sans soutif mais lenlève après tout le précédent ma tellement caressé la poitrine que je vois plus lintérêt de la cacher pour aujourdhui. Je me déshabillais et me retrouva les seins à lair sous lil plutôt ravi de mon client. Je commençai à lui faire une pipe mais jarrêtais rapidement le goût fraise étant vraiment dégueu. Je lui demandais si je pouvais continuer sans la capote et me répondit positivement avec un grand sourire ravi. Je lui enlève donc et repris la fellation. Je sais, je ne devrais pas, mais la capote pour sucer, vraiment je ne peux pas.

Je me mis vraiment à le sucer dune manière terrible. Il appréciait, ses caresses se faisaient sentir et lui aussi me caressa les seins mais de manière beaucoup plus douces mais beaucoup plus excitantes et là je mouillais carrément et je finis par déboutonner mon jean et je commençais à me caresser. Je navais plus le sentiment davoir affaire à un client mais à un mec avec qui je pourrai menvoyer en lair. En m’activant sur sa queue et dans ma chatte la situation devenait ambiguë. Mon client finit par mannoncer quil allait jouir mais je le gardais en bouche, javais envie quil vienne dans ma bouche. Et effectivement, il se mit à jouir dans ma bouche, plusieurs jets assez importants, javais la bouche bien remplie et le sperme se mit à séchapper de ma bouche pour couler sur mes seins et mon ventre. Javalais sa liqueur de sexe avec joie. Mon plaisir finit par exploser lui aussi. Après quelques minutes où je laissais ma tête posée sur un de ses hanches, je me mis à lui nettoyer sa verge avec ma langue puis me leva pour essuyer le sperme qui avait coulé sur moi. Il se rhabilla puis me paya en laissant un pourboire. Il quittait mon studio et me disant quil espérait bien me revoir, le plus rapidement possible.

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