Histoire de feu n?4 ou des prémices avant l?estocade finale
Intenable ce jour-là je vous dis. Je me levais et la tirais vers la table du salon. Elle me suivait soumise et obéissante. Je tenais toujours la sangle dans ma main gauche et avec la droite je défis un à un les boutons de son chemisier.
Au fur et à mesure, l?échancrure de son chemisier augmentait me laissant voir deux seins ronds, fermes, mis en valeur par le soutien-gorge et un décolleté généreux.
Son chemisier était maintenant entièrement ouvert, le contraste était étonnant entre le noir de son soutient gorge et la peau blanche de ma rousse. Ma main monta et fit tomber le chemisier de son épaule gauche avant de passer à son épaule droite.
Je fis de même avec les bretelles de son soutien-gorge avant de glisser avec ma main dans son dos jusqu?à l?attache tant convoitée. Je la dégrafais, fit tomber son soutient et libérais sa poitrine. Ses seins se dressaient arrogants, ronds, fermes, tendus mais si délicats.
Je rapprochais ma main de ceux-ci, les empaumaient, les soupesaient, les caressaient, les malaxaient avec l?aide de ma main mise en coupe. Les tétons se dressèrent comme deux boutons de fleurs tendues. J?enveloppais avec ma main son nichon droit, je sentis la pointe se durcir encore plus. Virginie me regardait, yeux mi-clos.
J?embrassais ma compagne, je collais mes lèvres sur ses lèvres chaudes qui s?ouvrirent aussitôt que ma langue les caressa en un frottement mouillé et léger qui en évoquait bien d?autres à venir. Tout de suite, au mouvement de ses fesses et de ses reins je décelai la femme échauffée au maximum.
Je descendais avec ma bouche prendre possession du téton. J?aspirais la pointe durcie du sein droit, Virginie renversa la tête en arrière, son ventre tressauta et ses mains ayant encore un peu de liberté allèrent s?enfouirent tout entières dans sa toison couleur de flammes. Je laissais ses seins et l?embrassais dans son cou, elle roucoula et me tendis sa croupe. Le moment était venu !
Je la fis se mettre à quatre pattes et raccourcis la sangle. Elle était là, devant moi, offerte, croupe tendue, reins creusés, mains attachées, je me mis à genoux dans son dos et lui remontais sa jupe. Elle ne portait plus rien en dessous, j?écartais ses jambes et remontais avec ma main jusqu?à son buisson ardent. Je contemplais son cul et ses fesses, ma main arriva à sa chatte, je sentis son sexe échauffé, son clitoris tout redressé, je descendis avec mon doigt dans sa fente humide et mes doigts s?activèrent dans son intimité.
Ma rousse était humide, très humide, mon doigt rentra un peu plus et s?agita tandis que mon autre main pressait, triturait, serrait avec brutalité voulue ses fesses nerveuses.
Virginie se crispa, nerveuse, lascive, elle tourna sa tête vers moi et elle partit d?un coup, ses yeux se révulsèrent et je vis ses dents blanches mordre sa lèvre inférieure, ce qui ne l?empêcha pas d?émettre un roucoulement de chienne en chaleur. Le meilleur moment de la journée arrivait, j?allais maintenant pouvoir prendre possession de ma femme. Je me rapprochais d?elle, queue au vent, tendue, avec l?envie d?enfiler cette chatte humide et offerte. J?allais enfin pouvoir saillir ma pouliche racée, la monter et la marquer au plus profond d?elle avec mon empreinte : celle de mon dard prêt à exploser !
La suite et l’acte final dans histoire de feu n?5
John