Mes chères petites patientes.
Je suis médecin de famille depuis un peu plus de 10 ans en
Haute-Savoie, ni beau, ni moche, je suis discret et sans relief. Je
passe l’essentiel de mes journées à travailler comme un fou, de 7h à
parfois plus de 22h. Je ne m’encombre pas réellement d’amis tout au
mieux quelques connaissances que j’ignore la plupart du temps.
Ces derniers temps sont plus difficiles pour moi, j’ai des envies
profondes de sexe qu’il m’arrive de dissiper en me masturbant, mais
elles reviennent toujours un peu plus fortes que la précédente. J’ai
pas mal d’argent vu que je ne dépense rien, ma voiture, une petite
Clio est tout juste l’essentiel pour me déplacer, peu de meubles, on
pourrait me décrire comme "zen" de ce coté là. Ces derniers temps j’ai
même songé à me payer une escort-girl. À Genève ce n’est pas ce qui
manque et ces putains de luxe sont largement dans mes moyens. Mais
elles font vieilles, même les filles de 25 ans ont l’air déjà usées.
Je veux des corps frais, purs et non souillés. Pas de garage à bites
pour moi. Quand je me caresse, c’est surtout en pensant aux jeunes que
je croise en sortant de mon cabinet, elles traînent en groupe près
d’une place à la sortie de mon cabinet. Elles sont toujours là à fumer
des cigarettes en petit groupe, habillées de manière indécente, des
petites jupes ou des hauts trop petits pour elles. Je dois me
confesser, j’en prends quelques fois en photo depuis mon appartement,
au premier étage de mon cabinet, avec un téléobjectif, elles me
paraissent alors tellement près que je pourrais presque les sentir,
les toucher. Je commence à avoir une belle collection que je consulte
de plus en plus souvent, le pantalon sur les chevilles et la queue
dans la main. J’imagine sans peine leur petite chatte bien
gonflée de leur jeunesse, leurs petits poils qui envahissent leurs
lèvres…
Encore une journée qui commence, 7h00, j’entends déjà les premiers
patients qui s’installent dans la salle d’attente. Encore des vieux et
des encore plus vieux qui viennent me voir… Un coup d’oeil à mes
rendez-vous m’indique que la journée sera chargée et c’est tant mieux
je ne la verrais pas passer. De toute façon cet après-midi c’est
consultation à domicile et prendre l’air me fera du bien !
La matinée se passe, les patients se succèdent, en ce moment les
crises d’asthme sont nombreuses, les allergènes du printemps sont là
et les jupes courtes aussi…
Un petit sandwich ingurgité à la hâte, je prends la route pour aller
chez Alexandra qui est alitée, fièvres semble-t-il. Sa mère m’a appelé
pour que je passe. Je me gare près de la petite maison et personne ne
semble présent, après quelques minutes sans réponse je me décide à
explorer la maison vite fait. Je suis habitué à ce genre de
rendez-vous non honorés, les gens ne respectent plus rien… Je
retrouve dans l’entrée un petit mot à mon intention "cher Docteur…"
-banalités- "ma fille Alexandra de 18 ans est pas bien depuis ce matin, elle est à l’étage" et rebanalité. Quelques billets sont attachés avec un
trombone sur la feuille, je les prendrais en partant. J’appelle donc
de vive voix Alexandra, mais pas de réponse, je me décide donc à
monter à l’étage et trouve une chambre dont la lumière est allumée. Je
m’annonce, mais cela est sans effet, et à cet instant je la vois,
allongée sur son lit, assoupi, des cheveux châtain bouclés presque
frisés recouvrent une partie de son visage. Elle dort, profondément.
Je reste comme ça à la regarder, elle est parfaite, ses jambes sont
fines et longues, elle ne porte qu’un t-shirt blanc et un petit shorty
assortis. Les bras le long du corps sont laiteux et délicats. Elle à
une toute petite poitrine qui se soulève et s’abaisse au rythme de sa
lente respiration. Son visage est tout simplement celui d’un ange,
fin, délicat. Mon coeur s’est presque arrêté de battre tant cette
image est sublime. Pourvu qu’elle ne se réveille pas ! Si seulement
cet instant pouvait durer éternellement ! Passé ces quelques secondes
de stupeur, je me surprends à la reconnaître. J’ai quelques photos
d’elle. Elle fait partie de ce petit groupe de jeunes qui traînent pas
loin de mon cabinet. Je la mitraille des yeux, ces tétons qui pointent
sous son petit top blanc et ce mon de vénus qui ressort de son shorty,
quelle vision délicieuse !
Les minutes s’écoulent même si pour moi le temps s’est arrêté, il faut
que je fasse quelque chose ! Maintenant ! Et la une cascade de
sentiment allant du viol pur et simple à agir en professionnel. Après
une intense réflexion, c’est le dérapage, mon inconscient franchit la
ligne blanche, plus de retour en arrière possible après ça et je me
dit que je peux légèrement la sédater pour avoir un peu de temps avec
elle… Seul à seul. Elle à un petit hématome à la cuisse, qui sera
parfaite pour dissimuler l’injection, il faut juste que je ne la
réveille pas à ce moment-là ! Enfin mes stages de formation en
anesthésie qui vont payer ! Je n’aurai jamais cru que cela prendrait
cette tournure.
Sa fine peau insensibilisée avec une petite bombe, je réalise
l’injection rapidement, avec une infinie précaution, alors qu’elle
semble s’éveiller à cause de se petits mouvements je vois sa
respiration ralentir et son corps se détendre. Voilà je ne peux plus
reculer maintenant. Comment mettre à profit ces deux heures ? Dans un
premier temps annuler mes rendez-vous puis descendre chercher mon
appareil photo ! Une fois de plus le reflex que je stocke dans mon
coffre va me servir, mais cette fois, pas d’animaux à photographier,
cette fois la bête sera de l’autre côté de l’objectif…
J’ouvre un peu plus ses volets pour faire pénétrer la lumière, allume
quelques lampes… De nouveau face à se corps sans défense je me sens
flotter, heureux et honteux, investi d’une puissance sans limites,
elle est tout simplement à moi ! Je la possède ! Je me mets alors à la
photographier dans tous les sens, arrangeant ses membres pour lui
donner des positions toujours plus suggestives, une érection puissante
naît entre mes jambes, je sens mon sexe gonfler toujours un peu plus
au point de se sentir à l’étroit dans mes vêtements… Une envie folle
d’en voir plus me pousse à relever son haut suffisamment pour libérer
ses seins, ils sont tellement petits, si jeunes… Je prends d’autres
photos et d’un geste tendre je baisse son shorty sur ses cuisses, son
sexe est là visible, une belle fleur rosée au milieu de cette belle
peau blanche. Encore d’autres photos ma carte mémoire se remplit à une
vitesse indécente… Il est temps de finir de la déshabiller… Nue
sur son lit je ne peux détacher mon regard de ce corps soumis.. De
nouveau je la tourne dans tous les sens photographiant tour à tour
chaque angle de son corps, chaque orifice détaillé en gros plan…
Alors que je vais pour photographier ses fesses je me surprends à les
embrasser, ce parfum si doux de ce jeune corps finit de me faire
perdre la raison. Je pose l’appareil et fait glisser mon visage à
quelques centimètres de son corps, humant chaque partie, détaillant
chaque odeur. Et me voilà affranchi de toute responsabilité, me voilà
à l’embrasser partout ou presque, ma langue ayant décidée de ne plus
rester dans ma bouche je me dirige vers son sexe que je touche, que je
goutte puis lape goulûment. Ce nectar est si doux, salé sucré infernal
qui anéantis tous mes autres sens… Je lui écarte brutalement les
jambes et enfouis mon visage entre ses cuisses pour ne rien perdre, en
lui écartant ses lèvres je découvre chaque partie de son anatomie et
je m’extasie devant cette pureté vierge… D’autres photos encore plus
près… Libéré de toute inhibition je sors mon sexe en fusion, je
monte sur son lit, détail amusant ses draps on des petits poneys,
c’est si naïf. Alors que je rapproche mon sexe de son visage si
fragile. Je l’approche de sa bouche et frotte mon gland sur ses lèvres
tout en me caressant et rapidement je jouis a gros jet sur sur visage,
ses yeux, dans sa bouche, de gros paquets blancs glissent sur ses
joues, ses tempes et coulent le long de son coup, que je prends un
plaisir à immortaliser encore…
reste comme ça à la regarder, elle est parfaite, ses jambes sont fines
et longues, elle ne porte
Malheureusement l’heure tourne et les sédatifs vont voir leurs effets
diminuer bientôt, histoire de me laisser une confortable marge de
manoeuvre je me décide à effacer toute ta de ma monstrueuse activité,
je nettoie son visage angélique, nettoie les draps, remet ses
vêtements en place, mais hésite pour son petit boxer que je me décide
à conserver… Je fouille sa commode pour trouver un dessous presque
identique qui fera bien l’affaire… Je lui remonte ses dessous et ne
peux m’empêcher de passer ma langue une dernière fois sur les petits
plis de son anus, il est clair que je ne suis pas prêt de revivre un
truc pareil…
Tout est en ordre, je referme tout discrètement et quitte le lieu de
mon méfait ! Heureux qu’il n’y ait pas de voisins curieux et d’avoir
une voiture plus que commune… Dernière touche je laisse un message
sur le répondeur de la maison pour indiquer que suite à des retards je
ne viendrais que demain… Mon plan est simplement parfait ! C’est en
roulant que je jette un coup d’oeil à mon reflex qui est sagement posé
sur le siège d’à côté et que je me mets à trembler violemment en
réalisant ce que je viens de vivre et surtout ce que je viens de faire
subir…
De retour chez moi, je suis comme un lion en cage, je n’ose pas ouvrir
ma mallette qui contient le sous-vêtement ni décharger le reflex. Je
me suis acheté un paquet de clopes, ce qui ne m’était pas arrivé
depuis des années pour compléter le rhum que je descends goulûment
pour calmer ma tension. Un peu de temps passe et je retrouve, bien que
très imbibé l’usage de ma raison que je mets rapidement à profit pour
copier les photos sur mon mac… Et la je suis frappé de plein fouet
devant l’horreur de mon action et en même temps naît un immense
sentiment de satisfaction et de lubricité à mesure que les photos
défilent sur mon écran, la dernière représente la petite Alexandra, ma
queue plantée dans sa bouche et son visage recouvert de sperme
frais… Immédiatement je suis pris d’une forte érection et je ne peux
m’empêcher de m’astiquer sur ces photos, encore et encore… Une pile
de mouchoirs sale s’amoncèle autour de mes pieds et une idée nait dans
ma tête, il faut que je revive cet instant, que j’aille même encore
plus loin. Après quelques recherches sur internet, je découvre que
nous sommes nombreux à fantasmer et désirer souiller ces corps.
La lecture de récits, parfois imagés de photos salaces m’excitent au
plus haut point…
Les nuits suivantes sont difficiles, car j’ai de la peine à concilier
mes quasi-nuits blanches et mon activité de docteur le jour. Je n’ai
pas revu Alexandra qui s’est remise sans mon intervention, au final un
mal pour un bien je ne vais pas bourrer inutilement une gamine de
médicaments… Mais le mal est fait, pour moi la ligne blanche est
franchie, il va me falloir recommencer tant mon envie est forte,
obsédante… Il faut que je recommence, et vite tant la pression est
forte, je sais que dans cette dérive le mal ne peut quempirer, je
crains quà chaque fois que le démon se réveille il n’en veuille plus.
C’est de cela qu’il s’agit j’ai engendré un horrible démon que je dois
nourrir, insatiable bête.
Les jours s’amoncèlent tout comme les photos cochonnes sur mon disque
dur, mais je n’arrive pas à me contenter d’images, de films, j’ai
également envie d’augmenter mes trophées de chasse personnelle. Il m’a traversé l’esprit de prendre des vacances dans un pays slave ou tout
se monnaye comme le cul de jeunettes, mais l’intégration dans
des réseaux mafieux est plutôt risquée, je ne crois pas non plus que
les pays asiatiques comme la Thaïlande puissent quoique ce soit pour
moi, leurs prisons sont atroces et de toute façon seule les peaux
blanches, laiteuses me dressent le sexe. Je dois me débrouiller seul,
quitte à prendre plus de temps.
Les jours ont passé et le printemps tire sa révérence pour laisser
place à un été radieux et chaud. La forte humidité dans l’air me met
en transe, en sueur, et les jeunes filles rivalisent d’ingéniosité
pour avoir des vêtements de plus en plus courts ce qui attise ma
convoitise ma soif pour leur corps… Pendant ces jours mes
préparatifs sont faits, merci à internet de me fournir toutes les
ressources nécessaires, de la fabrication du ghb, des méthodes
d’administration rapide utilisée par les forces armées sur les champs
de bataille. Des sédatifs légers que j’ai appris à vaporiser pour
utiliser dans des sprays bricolés, quel génie pour un dessein si
pervers, mon cocktail sédatif est mélangé à un produit gluant, sprayé
sur le visage de ma conquête, elle n’a d’autre choix que de respirer
les vapeurs incapacitantes de ma préparation. Je me suis rasé le crâne
ainsi que tous les poils, peu désireux de laisser une empreinte ADN,
mes ongles sont raz, ma voiture a été dépersonnalisée, aucun sticker
n’y apparait, j’ai enduit les plaques pour les radars d’un produit
réfléchissant, lavable à l’eau et dans le pire des cas, j’ai trouvé
encore sur internet une voiture à vendre, similaire à la mienne et
avec une immatriculation proche. Un peu de bricolage pour changer un
numéro de la plaque avec un petit magnet que j’ai fabriqué, idem pour
ce stupide logo départemental. Reste un détail ma foi important, je
n’ai pas de victime… Il va me falloir un alibi, des vacances donc.
J’ai acheté un billet de train et loué un bungalow en suisse, restera
à valider le billet de train et rouler un peu pour payer cash un
bungalow "Moi monsieur l’agent !? Non j’étais en vacances, en train,
oui je dois avoir mes billets et quittances pour le camping dans ma
compta. Pourquoi je n’ai pas pris ma voiture ? Des raisons
écologiques…" La crème de la crème c’est que j’y resterai une
journée pour faire des photos, me restera à modifier les exifs pour
que leur date soit falsifiée.
Je suis prêt, mon plan est parfait, les photos sont faites et les
preuves dans ma comptabilité. J’ai choisi mon terrain de chasse, une
grande ville de Suisse ou de grosses fêtes se déroulent au bord du Lac
Léman, une foule alcoolisée et compacte, l’idéal pour le genre de
chasse que je me prépare à faire et pour rester invisible. Les jeunes
picolent tellement que c’est limite trop me mâcher le travail…
Me voilà dans ma voiture, dans une rue parallèle à celle des
festivités, j’attends, patiemment, mon coffre est débloqué, quand
après deux heures et que plusieurs groupes de jeunes m’ai dépassé -et
sans compter les moches- elle est là, elle titube, vomis près d’un
mur… Elle est à moi, elle est fine, petite blondinette aux seins
extravagants, des confettis pleins les cheveux, des tonnes de colliers
fluo autour du coup, des petites tongs rose… Mon coffre est ouvert
maintenant, la rue est déserte si ce n’est les alcoolos qui sont à
l’autre bout de la rue, de toute façon ils ont l’air roulé dans leurs
cartons, par vraiment une menace… Au moment où elle me dépasse, je
l’interpelle :
— Hey ta pas une cloppe ? Juste assez pour l’arrêter et refermer mon
piège…Le spray gicle sur son visage, elle est tellement alcoolisée
qu’elle s’effondre sur le sol et à cet instant précis une petite black
arrive en courant vers nous. D’allure sportive elle à l’air aussi
complètement ivre tant sa course est faite de zigzag
Tiffany, tu t’es fait mal !?
Je n’ai pas vraiment le temps de tergiverser et je me dis qu’elles
seront serrées dans le coffre… Et je la spraye à son tour. Elle
semble opposer plus de résistance, mais non elle tombe aussi
rapidement. Me voilà à entasser mon butin dans mon coffre, un peu à la
hâte, heureusement que je ne suis pas fétichiste des obèses… De
retour derrière mon volant, j’enlève ma perruque et mon faux nez et
démarre ma voiture, je sais que les effets du sédatif sestompent en
deux heures sur moi, sur leurs petits corps ça devrait bien mieux
fonctionner et me laisser une avance confortable… Je prends les
petites routes que je connais par coeur et coupent mes phares dans mon
allée, la porte du garage német presque pas de bruit en s’ouvrant et
se refermant sur moi, les pièces de celui-ci ayant été aussi
soigneusement huilées que mon plan.
Je sors de ma voiture, aucun bruit dans le coffre, une petite aération
amenant un air frais permanent pour le transport des médicaments
fragiles. Il s’ouvre et je découvre mes victimes, elles ont l’air si
paisible, leur corps emmêlé, inconscient de leur futur proche. De mon
côté mon sexe se manifeste à la vue de son futur repas… Je le
transporte dans ma cave ou j ai aménagé une pièce aveugle que je peux
facilement maquiller en rangeant ma cave à vin amovible, le sol est
couvert de tapis que j’utilisais pour certaines rééducations de mes
patients. Ils sont inutilisables s’ils étaient analysés par la police
tant ils sont couverts d’ADN différents. Je dépose sur le sol mes
patientes à qui j’injecte un petit cocktail décontractant et le fameux
ghb… Elles devraient être conscientes, enfin presque, par contre
totalement dociles et surtout elles ne se rappelleront de rien.
Lidéal tout simplement à défaut de trouver une consentante
Je dépose à priori «Tiffany» sur le sol, je linstalle
confortablement, puis la petite black dont je ne connais pas le nom.
Tiffany est vraiment très belle, son accoutrement de fête lui donne
encore un air plus juvénile, je décide de la laisser habillée. Reste
la petite black, élément de surprise imprévu. Je vais commencer par
elle. Je la déshabille et la prend en photo, je me suis payé un
nouveau réflex avec un objectif exceptionnel pour ne rien perdre, une
caméra HD dans le coin va tout filmer, le must geek, jai fixé une
petite gopro sur une casquette pour revivre ça de lintérieur. Après
avoir fait un joli stock de photo, je vais installer un tas de
coussins pour que la petite black soit un peu à quatre pattes, le
visage sur le sol, les fesses en lair. Un coup doeil et elle nest
plus vierge, quelle petite cochonne, si jeune et déjà dépucelée
Jenfile un préservatif, lui met un peu de lubrifiant sur la chatte et
la pénètre, faut que je me vide les couilles, que je passe mon envie
pressante histoire de profiter au maximum de Tiffany, je viole cette
petite black sauvagement, elle semble se réveiller un peu, mais mon
cocktail chimique la tiens sans réelle conscience. Même quand je la
sodomise dun coup elle ne réagit pas, je lui défonce le trou de balle
littéralement, je macharne sur cette pauvre gamine, je passe dun
trou à lautre, puis dans sa bouche. Jai déjà joui deux fois dans des
capotes, et la viole à nouveau, ses trous qui était petits et roses
sont maintenant béants tant jen ai abusé, je décide de lui laisser un
arrière-gout de son expérience en trempant un doigt dans une des
capotes usagées et de lui frotter sur la langue. Une dernière
injection pour la faire dormir complètement, et je linstalle sur un
vieux divan de ma cave. De retour dans la petite pièce, et tout comme
la petite black, je prends mon temps pour photographier Tiffany sous
toutes les coutures tout en la déshabillant chaque fois un peu plus,
découvrant chaque parcelle de son corps. Après avoir libéré ses seins
ronds et lourds pour son si jeune âge de son petit haut fluo je
commence à perdre la raison, je me mets à accélérer le rythme,
j’arrache presque son petit short en jean et déclenche immédiatement
une érection. Elle ne met pas de culotte cette petite cochonne… Elle
ne sait vraiment pas sur qui elle peut tomber. Je sens ses petites
fesses de gamines, le parfum est doux, léger, cette fille est presque
un bonbon… Encore d’autres photos. J’enfile ma casquette «point de
vue» et déclenche l’enregistrement. C’est le moment qu’elle choisit
pour reprendre un peu ses esprits…
— j’suis ouuu ? P’tain j’ai mal partout…
— Ne t’inquiètes pas Tiff, tout va bien, tu es chez Franck
— cool merci Franck, j’suis pas bien ça tourne…
Elle n’a même pas vu que je suis nu pour lui parler. Quels beaux
produits chimiques. Je l’allonge sur le dos, elle est totalement
docile à mes exigences, elle est la nue, prête à subir mes désirs,
sans ce douter que la nuit va être encore longue pour elle. Mes
pulsions explosent pour ce jeune corps surtout qu’après examen elle
est pure. Encore de belles photos souvenirs… Je me jette sur sa
chatte peu poilue, la dévore, mange son petit miel qui s’écoule
doucement de son vagin, fais glisser ma langue sur son anus, me
délectant de tous ses recoins, elle gémit, mais elle n’a pas l’air de
réaliser. La vidéo va être fantastique ! Je me redresse et approche
mon sexe de son visage, il est prêt à exploser, je veux la souiller,
lui enduire le visage de foutre. Allongée sur le dos je lui maintiens
la tête redressée en lui tenant une touffe de cheveux, elle ne perçoit
même pas la douleur, et moi de me masturber, comme un forcené avec mon
gland qui vient se frotter sur ses lèvres, ses dents. Je suis sur le
point de jouir quand elle entre ouvre les yeux.
— Qu’est-ce qui…
Sa phrase est interrompue par des gros jets de sperme qui viennent
s’étaler sur sa bouche, son nez. Elle a un hoquet de surprise, mais ne
détourne pas le visage. Le souffle court je ramasse le sperme que je
fais glisser dans sa bouche. Elle avale sans réaliser… Il est temps
de passer à la vitesse supérieure, le temps tourne et je dois encore
les laver avant de les larguer… Je retourne chercher la petite black
que j’allonge sur le dos, elle est profondément endormie, j’allonge
Tiffany sur le ventre, sur elle, leurs eux visages se font face et je
fais glisser ma queue entre les deux bouches, dommage qu’elles soient
si passives ! Mais cela fera à coup sûr un beau film et des images
sensationnelles. Je retourne vers leurs jambes, et insère mon sexe
dans le cul de la petite black qui à bien du mal à se refermer depuis
tout à l’heure, elle va boiter un moment. Après quelques minutes je
change de trou passe à sa chatte, si sombre, avec un petit trait rosé
entre se lèvres. Après m’être bien chauffé avec la black je passe aux
choses sérieuses, je ne veux pas trop abimer Tiffany, elle est trop
candide pour ça. Avec douceur je lui enduis l’anus de lubrifiant et
pose mon gland énorme contre ce si petit trou. Et je commence
à pousser, il cède sans trop de peine et, malgré les produits
injectés, je lui arrache un petit cri, qui m’excite encore plus. Je
commence à la limer, bien au fond, et me rapproche à fin de filmer des
gros plans de ces petits poils blonds, qui collent sur mon sexe à
chaque fois que je sors de son anus. L’explosion ne tarde pas et je
suis dévasté tant mon orgasme est fort, je sens les gros paquets de
sperme qui sortent avec peine de mon sexe, j’ai l’impression de jouir
des grumeaux. Je tombe en arrière sur les fesses encore secoué par
l’orgasme violent. Avant l’acte final, je prends des photos ou je mets
les deux filles en scène, leur enfouissant tour à tour le visage dans
la chatte, puis dans les fesses de l’autre. Un tour dans leurs
affaires je trouve un iPhone qui n’est pas protégé, je dérègle
l’heure, coupe le réseau et désactive la localisation et leur laisse
quelques souvenirs de leurs ébats lesbiens forcés. Et maintenant le
dessert. Je fais un petit tas de coussins recouvert de housses en
papier que je brulerai plus tard, l’allonge dessus. Ses fesses sont
la, en l’air, sa chatte brille de sécrétions, elle attend mon sexe qui
va lui prendre sa virginité. Je me nettoie soigneusement, m’approche
de son petit sexe ourlé de velours, et la pénètre, une petite
résistance est là, son hymen qui cède sous la poussée de mes reins, et
me voilà, entièrement dans la chaleur de son ventre. Je voulais
prendre sa virginité naturellement, sentir la perfection des son corps
autour de ma bite. Mais le naturel de bête veut reprendre le dessus et
je mets un préservatif. En me retirant, j’ai une grande satisfaction à
voir ce petit filet de sang couler. Encore des photos. Me voilà à la
prendre sauvagement, je lui agrippe et écarte en grand ses fesses pour
voir anus ou je me suis satisfait plus tôt. Rapidement, stimulé par la
situation et par l’acte j’ai mon dernier orgasme de la nuit. Encore
d’une puissance folle. Cette fois je suis vidé, épuisé.
Un peu de temps s’écoule et je m’accorde une petite cigarette pour
retrouver mes esprits, les deux filles sont la, gisante sur le sol. Il
est temps pour moi des les ramener. Un petit sédatif devrait les
maintenir en sommeil quelques heures de plus, autant jouer la
sécurité. Les voilà de nouveau dans mon coffre et en route pour le
point de départ, un petit parc calme et isolé avec plusieurs routes de
fuite différentes. J’ai pris la liberté de cacher quelques extasy dans
leurs poches, sacs pour expliquer leurs symptômes. Encore des jeunes
qui se droguent et finissent mal… Comme je m’y attendais, le parc
est désert, je dépose mes victimes près d’un banc, une bouteille de
vodka vide près de leurs pieds et je leur spraye un peu de vodka sur
le visage et les vêtements. Tout est parfait. Je quitte le lieu du
crime heureux et rassasié.
De retour chez moi je brule les preuves restantes, vieux préservatifs,
taies de protections, je remets mes tapis en vrac et remet l’étagère à
vin. Reste deux jours de vacances à vivre dans ma cave…
Le sur lendemain, un bref article mentionne deux Suissesses qui sont à
l’hôpital du coin, elles auraiet beaucoup bu et prit nombre de
drogues, elles auraient subi des violences sexuelles. La Police n’a
aucune piste et appel aux témoignages. Dernier acte de mon plan. Se
dénoncer… Grâce à internet j’ai trouvé comment devenir invisible en
relayant sa connexion par différent point du globe. Je tape un mail
anonyme ou je m’excuse de mon geste, je donne force de détails pour
être pris au sérieux et signe Franck. Prénom que Tiffany pourra
surement confirmer.
Il me reste à retourner à mes petites vieilles, mon démon s’est
endormi et je le nourris des films et photos que j’ai emmagasinés. Je
sais qu’il finira par se réveiller et qu’il faudra reprendre la
chasse, mais pour l’instant, je suis devenu de nouveau ce voisin et
citoyen modèle.
— fin de la première partie –