C’est un samedi soir d’hiver par une nuit noire. Un jeune couple rentre de soirée, main dans la main, serrés pour éviter le froid mordant. Ils ont un pas pressé : à cette heure-ci le dernier bus ne va pas tarder à démarrer et l’arrêt, qui se trouve aussi être le terminus est encore à quelques rues… Enfin si tant est que l’on puisse qualifier de « rue » la route en travaux qui longe la foret d’un côté et les immeubles endormis de l’autre
Le bus est bien là ! Seule source de lumière à cette heure tardive, tellement tardive que lhabitacle est désert hormis bien sur le chauffeur et les 3 policiers en uniforme chargés de la protection des conducteurs dans ces quartiers dits "à risque".
Les deux jeunes gens les saluent poliment, rassurés mine de rien par leur présence et leur gabarit imposant. Un salut rendu par les trois hommes qui jettent mine de rien un regard lubrique sur la femme montée à bord : une jolie blonde pulpeuse et souriante, trop maquillée, trop éméchée et vêtue d’une robe noire caché par une grosse parka.
Ils s’installent sur les fauteuils défoncés mais malgré tout confortable après leur marche dans le vent de novembre. Le bus ne démarre pas. Les 3 agents se rapprochent :
"Mademoiselle, monsieur vous êtes les derniers de la soirée et il nous manque un contrôle alors je vais vous demander vos cartes d’identités"
Pas même un sil vous plaît pour accompagner leur foutue politique du chiffre marmonne le jeune homme en tendant sa carte alors que sa compagne fait de même…
"Pierre D et Marie E, tu vérifies stp" lance l’un des trois hommes a son collègue ; puis à l’attention des deux jeunes "levez-vous. Pas d’armes ni de substances illicites? "
-"non rien …"
Celui qui parlait colle Pierre à la vitre et le fouille succinctement puis positionne Marie de la même manière. Il lui enlève sa veste et commence à la palper : les mollets, puis les fesses où il semble insister lourdement avec ses deux larges mains puis il remonte son ventre et saisis ses seins au travers de l’étoffe…
Pierre proteste et essaie de s’interposer alors que sa copine est impitoyablement pelotée. Pour toute réponse un des hommes lui saisis les poignets et le menotte à une barre tandis que l’autre écrase à présent Marie de tout son poids contre la vitre.
"Elle doit cacher de la drogue dans son soutien-gorge" Ses mains reprennent de plus belles alors que la jeune femme malgré ses plaintes ne peut absolument pas se défendre
-"Enlève lui écoute on ne va pas y passer la nuit"
Le cri de protestation de Pierre est étouffé d’une magistrale mandale en pleine face. Marie est retournée face aux trois agents, les larmes commencent à couler sur ses joues. On lui arrache sans ménagement sa robe, elle crie. Elle crie encore lorsque son soutien-gorge tombe sur le sol dévoilant sa poitrine généreuse. Elle est giflée alors qu’on lui malaxe les seins puis les trois brutes la mettent à genoux…
Un cliquetis de métal, les ceinturons tombent au sol… Ils la prennent par les cheveux et l’amènent contre leurs sexes tendus. Elle refuse. Un coup de botte s’abat sur Pierre qui horrifié et impuissant voit son amour aux mains de trois violeurs en position de force
"Suce ! Suce ou c’est lui qui déguste"
Il enfourne sa hampe dans la bouche de Marie, la maintiens fermement alors qu’elle est à deux doigts de vomir et commence de solides va et vient, se branlant violemment alors que les larmes noires dévalent les joues de la jeune femme.
Elle les suce tous tour à tour, soumise et maltraitée par les "mastards" des agents. Alors il la relèvent et lui arrachent ses derniers vêtement. Ils la cambrent et la pénètrent sans ménagement l’humiliant un peu plus à chaque intrusion dans son intimité. Des animaux heureux de voir couler les larmes qui poussent des soupirs rauques tout le long de leur besogne. Marie est à demi consciente, simple objet et dévolue à être forcée encore et encore sous le regard de son homme saignant de la lèvre qui n’espère même plus la possible intervention du conducteur complice.
"Elle aime ça ta petite salope mon gars" souffle l’un des hommes alors quil se tient aux seins de Marie pour la prendre encore plus profondément et qu’un autre lui enfonce à nouveau son sexe dans la bouche.
Ils lui écartent les fesses, et lun des hommes se saisit de sa matraque qui tombe lourdement sur la chair avant selon ses dires de « préparer le terrain » dans la rondelle de celle qui sanglote sa douleurSeulement ensuite ils la sodomisent, finissant leur terrible besogne, transpirant à en embuer les vitres du véhicule.
Le calvaire semble durer une éternité mais l’un deux se retire soudain jouissant dans un cri sur les fesses rouges de la jeune femme la souillant définitivement. Ils la remettent à genou et la forcent une nouvelle fois à aspirer leurs sexes, la contraignant à avaler leur sperme giclant au fond de sa gorge, et sur son visage, et sur ses seins…
Ils la font nettoyer de sa langue leur verges et se rhabillent, hilares… Lun tient marie par les cheveux comme un chasseur tiendrait une proie enfin capturée, ils lui remettent son manteau et la menottent à son tour
Pierre est expulsé du bus à coup de pieds, minable et plein d’ecchymoses
« On garde ta salope de femme ! Garde à vue pour exhibitionnisme ! On aura peut-être encore besoin delle cette nuit »
Ils éclatent de rire alors que la porte se referme. Le Bus se met en marche et séloigne dans lobscurité Le pauvre homme levant la tête na plus devant lui que sa solitude, la haine, le désespoir et la vengeance
