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Je me fais défoncer par mon oncle – Chapitre 14




Tonton Jacques ralentit la cadence de sa bite dans ma chatte pour permettre à M. le curé de menculer comme il se doit. Je tiens toujours mes fesses bien écartées et lénorme gland du curé commence à senfoncer doucement dans mon anus déjà un peu ouvert.

Il senfonce régulièrement, jusquà ce le gland soit complètement à lintérieur de mon cul. Je gémis pour lencourager à enfoncer complètement sa majestueuse bite. Je le supplie presque.

— Allez-y mon père, enfoncez votre queue bien au fond.

— Ton cul est bien serré mon enfant Jadore les culs serrés comme le tien.

Avec la bite de tonton Jacques dans ma chatte et celle du curé qui senfonce, je serai bien pleine. Ne manquerait plus quune bite dans la bouche, sur laquelle je pourrais me venger des coups que mes deux fouteurs vont bientôt madministrer.

— Elle est grosse votre bite, mon père

— Je vais te lenfoncer jusquà ce que mes couilles touchent ta chatte, et ensuite

— Et ensuite, mon père?

— Je vais te déchirer ton cul, petite salope Jusquà ce que tu sois purifiée.

Le salaud mexcite avec ses histoires de purification. La progression de sa bite dans mon cul se continue et il me semble quelle na pas de fin. Elle est vraiment très grosse et très longue sa queue. À mesure quil me rempli le cul, je couine doucement ce qui encourage tonton Jacques à recommencer à me ramoner la chatte dun mouvement ferme et régulier. Il me parle à loreille.

— Tu aimes te faire remplir les trous, petite salope?

— Oh oui, tonton. Cest bon. Continue de défoncer ma chatte

Finalement, je sens le bassin de M. le curé se coller contre mes fesses. Il y est! Mon cul est plein! Je lâche mes fesses et prend appui sur mes mains.

— Jy suis petite pute! Ma bite est bien au fond de ton joli cul. Tu sens mes couilles sur ta chatte?

— Oui, mon père

— Et maintenant, je vais te purifier!

Disant cela, il me prend par les fesses et ressort doucement sa bite, jusquau gland et la repousse tout dun trait jusquau fond. Il recommence le même manège, mais cette fois, il senfonce plus rapidement.

À chaque fois, il ressort sa queue jusquau gland, en le laissant à lintérieur de mon cul et senfonce de plus en plus violemment. Je lentends commencer à grogner. Les deux bites qui remplissent mes trous, senfoncent simultanément, ce qui me procure des sensations incroyables.

Ils me baisent maintenant tous les deux avec une force incroyable. Je jouis presque immédiatement. Tonton Jacques bouffe mes nichons et le curé me tient bien par les hanches pour pouvoir madministrer les coups les plus violents. Il est déchaîné. Sa peau claque contre mes fesses et je sens ses grosse couilles frapper ma chatte avec force. Je me fais véritablement défoncer, et le mot est faible.

— Je purifie ton cul Je purifie ton putain de cul!

— Ah, nom de Dieu mon père continuez!

— Je détruis ton cul petite salope et tu en redemande?

— Enfoncez votre bite encore plus fort, mon père!

— Oh la chienne

On dirait que jai éveillé sa colère. Là, il mencule grave! Jen prend pour mon rhume. Je jouis une autre fois j’entre presque en transe. Tonton Jacques prend la parole.

— Elle jouit la petite salope! Vous devriez voir son visage, mon père.

— Quand elle jouit, son cul se serre à me couper la queue! Quelle bonne petite pute!

Je jouis une autre fois. Je coule comme une fontaine. En me donnant une bonne claque sur les fesses, M. le curé se retire de mon cul.

— Retournes-toi, mon enfant. Fais-toi bouffer la chatte par ton tonton et viens sucer ma queue. Viens goûter à ton cul purifié.

Essoufflée, je me place en 69 avec tonton Jacques et immédiatement il entreprend de lécher le jus qui coule de ma chatte. Je sens mon trou du cul bien ouvert.

— Vous lui avez bien ouvert le cul à cette jeune cochonne, mon père.

Il lèche le pourtout de mon anus béant. Le curé me prend par les cheveux et me présente sa bite à sucer.

— Nettoie ma queue, lèche là bien sur toute sa longueur.

Je fais comme il me dit. Sa queue est vraiment magnifique. Jadore lécher une queue qui sort de mon cul.

— Ta langue est experte. Avec un peu dentrainement, bientôt, tu prendras ma bite au complet dans ta gorge.

— Je vais tout faire pour y arriver, mon père

— Jy compte bien. Toutes les salopes qui mont sucé y sont arrivé, tôt ou tard.

— Mmmmm Jaimerais tant vous faire plaisir, mon père

Jintroduis le gland dans ma bouche et je pousse pour lenfoncer le plus loin possible. Je narrive pas à faire beaucoup mieux que précédemment.

— Patience mon enfant. Tu y arriveras. Maintenant, suce ce que tu peux. Ta bouche est chaude

Tonton Jacques bouffe toujours ma chatte comme un affamé. Je coule dans sa bouche sous ses habiles coups de langue.

Tout à coup, je sens une autre langue, mais celle-là, sur mon trou du cul! Je nai aucune idée de qui ça peut être, mais les coups de langue sont doux et les mains qui écartent mes fesses ne semblent pas bien grandes. Je jurerais que cest une femme.

Cette langue lèche ma raie de fesses sur toute sa longueur, sattardant sur mon trou du cul, qui sest quelque peu refermé, et se rend à ma chatte, dans laquelle elle fouille en même temps que celle de tonton Jacques. Il ny a quune femme pour lécher ainsi.

Je tente de me retourner, mais M. le curé me saisis par les cheveux et me force à garder ma bouche sur sa queue. Quoi quil en soit, cette langue, combinée à celle de mon oncle, me procurent des sensations indescriptibles. Je jouis une autre fois dans la bouche de tonton Jacques.

La langue de linconnue sinfiltre dans mon anus et le fouille méthodiquement. Je nen puis plus, je pousse un long râle de jouissance, qui est étouffé par la bite que le curé enfonce dans ma bouche, maintenant, avec ses deux mains sur ma tête.

— Ah, elle jouit la petite salope, il faut que je lencule à nouveau!

Il retire sa queue et pousse ma tête sur la bite de tonton Jacques.

— Tiens, suce celle-là pendant que je te lime le cul encore une fois. Tu es trop bonne!

M. le curé se place derrière moi, tout en maintenant ma tête sur la queue qui est devant moi et que je suce comme une possédée. Sans difficultés cette fois, son énorme membre senfonce tout au fond de mon cul.

— Oh putain oui, mon père, défoncez-moi encore!

Tonton Jacques lèche ma chatte, je suce sa grosse queue et le curé mencule. Je suis aux anges!

Du coin de lil, je vois arriver une paire de jambes. Sûrement l’inconnue. Cétait une femme, je le savais! Elle sagenouille devant moi, me présentant ses fesses, qui sont bien rebondies. Elle se place à quatre pattes devant moi et écarte bien les cuisses. M. le curé relâche un peu la pression sur ma tête pour que je regarde. Je vois sa chatte bien épilée et son trou du cul tout plissé qui minvite à le lécher.

Tout en branlant la queue de tonton Jacques, javance ma langue pour lécher le joli petit trou de linconnue. Elle le sent et pousse ses fesses vers moi pour me faciliter la tâche. Les coups du curé dans mon cul, redoublent de force et me propulse vers ce superbe cul. Le vieux vicieux semble excité par ce quil voit.

— Écarte bien ses fesses et enfonce ta langue dans son trou du cul. Lèche bien, salope

Je dois lâcher prise sur la bite de tonton Jacques, qui aussitôt, prend le relais, et la frotte sur mes nichons. De mes deux mains, jécarte les fesses douces de linconnue, ce qui fait souvrir légèrement son petit trou et jy enfonce ma langue après lvoir léché doucement.

Linconnue soupire et valse du cul. Je vois sa chatte luisante de mouile et je lèche les lèvres ouvertes qui me présentent un petit vagin bien huileux. Comme elle me la fait précédemment, je lèche toute la longueur de sa raie en mattardant sur le trou du cul et redescendant jusquà sa chatte. Elle gémit. Le curé me défonce plus fort que jamais. Tonton Jacques se masturbe entre mes nichons en les tenant bien fermement serrés lun sur lautre.

— Tu es bonne à enculer, petite salope. Je ne ma lasse pas

Tonton Jacques me présente sa queue à sucer, ce qui me fait cesser de lécher ce cul sublime. Linconnue se retourne doucement, je vois sa main palper la couilles de tonton Jacques, elle la remonte sur le manche pour le masturber pendant que je tète, comme une damnée, le gland gonflé, Son visage sapproche, sans doute pour quon suce à deux. Ja vais enfin voir qui cest.

— Alors, tu prends ton pied, petite salope?

Putain! Je connais cette voix!

— Maman!!!!

Suite bientôt…

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