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Le pouvoir de l'inceste – Chapitre 3




Mercredi.

Elisabeth cétait réveillée de bonne heure, guillerette, comme soulagée dun poids. Hier cétait clôturé à linverse de ce quelle avait ambitionné durant toute cette maudite journée et pourtant elle naurait pas pu être plus satisfaite de son résultat. Il était déjà dix heures quand Damien émergea de sa chambre en slip, les cheveux en bataille, les yeux encore engourdis par le sommeil, il se dirigea directement vers sa mère et lenlaça. « -Bonjour maman. Bonjour Damien. » Il la serra contre lui puis posa ses lèvres sur les sienne et ils sembrassèrent comme un fils et une mère ne devraient jamais le faire. Leur baiser dura longtemps, comme ceux des adolescents, passionné, leurs langues emmêlées, les lèvres sucées, la salive échangée. Enfin ils se décrochèrent, rassasiés pour le moment. Elisabeth ravie par la fougue de Damien ne put sempêcher de commenter.

« -Quelle ardeur matinale mon fils. »

« Excuse-moi, mais je voulais vérifier que tu navais pas encore changée davis. »

« -Tu nas pas à texcuser et tu as pu constater que japprécie ton enthousiasme matinal et ne ten fait pas je ne changerai plus jamais davis. »

« – Ten mieux, parce-que tu sais, jai eu du mal à mendormir à cause de ce que tu mas dit hier soir. »

« -De ce que je tai dit ? »

« -Oui, que maintenant tu ferais ce que je voudrai, que tu voulais me satisfaire, tu sais être mamaîtresse, tu te rappelles ? »

« -Oui, parfaitement. »

Damien afficha un large sourire de satisfaction, il avait grandement craint un énième revirement de situation. « – Super, je suis content, parce-que jai plein didée en tête et aujourdhui je me sens en méga forme et »

« -Je suis ravie pour toi mon chéri, mais désolée de te briser dans ton élan, je te rappelle quaujourdhui tu as un tournoi de foot. »

« Merde, on est déjà mercredi. Tans pis je nen ai rien à foutre, je préfère rester avec toi ! »

« -Allons mon chéri, tes coéquipiers compte sur toi et il est trop tard pour les prévenir de ton absence, ils ne vont dailleurs pas tarder à arriver, dici une demi-heure ils seront là. »

« -Tu auras quà sortir et leurs dire que je suis malade, comme ça on pourra passer la journée ensemble. »

« – Ne fais pas lenfant, tu dois faire face à tes responsabilités, surtout si tu veux que je te traite en adulte. »

« -Tu te servirais pas de ce prétexte pour encore te défiler maman ? »

« -Pas du tout mon chéri, jai bien lintention dassouvir tous tes fantasmes, même les plus déraisonnables. Considère que ce nest quun petit contre temps qui va te permettre daiguiser ton appétit et pour moi de te préparer une belle surprise. »

« -Cest vrai, une surprise, alors ce soir quand je vais rentrer, je serai doublement affamé. »

« Cest parfait, je serais toute à toi mon amour. »

Une fois Damien parti, Elisabeth mis au point le planning de sa journée, entièrement dédiée à lélaboration de ce cadeau. Elle était enjouée car elle avait fait son choix, ou plutôt elle lavait finalement acceptée. Depuis le début il était fait, mais elle sétait mentie, ne voulant pas accepter la vérité. Continuer de se leurrer pour sauver les apparences impliquait de perdre Damien et donc sa raison dêtre. Admettre sa nature perverse, céder à son démon, accepter de se donner à son fils malgré les risques encourus, telle était lunique solution, là résidait son salut et non sa damnation comme elle lavait crû .

La journée fût dédiée à son corps, elle se rendit chez lesthéticienne, la manucure et la coiffeuse. Elle fit des emplettes en pensant à la soirée spéciale quelle voulait offrir à Damien. Revenue chez elle, elle fit les derniers préparatifs, puis se délassa dans un bain moussant, bienfaisant et parfumé. Quand Damien arriva vers dix- neuf heures, elle était prête. Lui aussi était douché de frais et apparemment empressé de rentrer, elle le vit cavaler le long de lallée pour se ruer dans la maison. « -Maman, je suis rentré ! »

« -Bienvenu à la maison chéri. » Cest par ces mots quelle laccueillit dans le salon. Damien resta cloué sur place en la découvrant. Dordinaire il la trouvait toujours belle, mais là elle était étourdissante. Son visage était radieux, auréolé de ses cheveux de jais quelle avait fait boucler et qui rehaussaient livoire de son teint. Son anatomie parfaite, glissée dans une extraordinaire robe noire moulante, exhalait un parfum exquis et la rendait ensorcelante. Ses magnifiques pieds, dont les ongles ornés en rouge soulignaient la grâce, étaient chaussés de talons aiguilles noirs et vertigineux. Ses bras fins et délicats étaient découverts, les paumes de ses mains graciles ouvertes, suscitant linvitation.

« -Tu es sublime maman. »

« -Je te remercie, mon chéri. Ta journée cest bien passée ? »

« -Non, jai été très mauvais, je navais pas la tête à ce que je faisais. »

« -Jen suis désolé, veux tu te restaurer après tous ces vains efforts ? »

« On a eu une collation après le tournoi. »

« Dans ce cas, y a-t-il quelque chose que je puisse toffrir et qui te réconforterai ? »

« -Oui, il y a bien quelque chose, ce à quoi jai pensé toute la journée. »

« -Et, c’est-à-dire ? »

« Tu le sais bien maman, cest toi. »

« -Dans ce cas, mon amour, va dans ma chambre, mets toi à laise et attends moi, jarrive tout de suite. » Elisabeth passa à coté de lui avec un sourire aguicheur, et se dirigea vers lentrée, il constata que sa robe disposait dune échancrure dorsale vertigineuse, échouant à la naissance de ses admirables fesses. Il se précipitât là ou elle lavait dépêché, elle verrouilla la porte à double tour, rien ne devait plus les déranger, ni les interrompre.

Quand elle arriva dans la chambre il finissait denlever son slip, il se redressa entièrement nu, déjà au garde-à-vous. « – Allonge-toi sur mon lit Damien. » Il sexécuta aussitôt, fébrile à lapproche de lévénement quil avait attendu toute cette longue journée. Deux gros oreillers calés sous sa nuque il contempla sa mère, sa robe lui collait comme une seconde peau, épousant ses formes sculpturales. Elle sallongea entre ses jambes ce qui lui permit dadmirer son décolleté pigeonnant et ses tétons moulés dans le tissu. Elisabeth lécha son pénis sur toute sa longueur, plusieurs fois, puis sattarda délicatement sur son gland, enfin elle le prit en bouche et avec une ferveur sans égal, elle le suça et le pompa. Sa tige était recouverte de salive, elle se mit alors à lui lécher les testicules tout en le masturbant avec sa main si douce. Sa langue saventura vers sa raie et il replia et écarta ses jambes pour soulever son bassin afin quelle accède à son anus, quelle lécha, suça et embrassa avec adoration avant dy enfoncer sa langue. Elle continuait à le branler et soudain il hurla « -Je vais jouir maman ! » Alors elle le repris en bouche pour recueillir se semence, il éjacula abondamment et elle absorba tout sauf les derniers jets quelle garda en bouche. Elle se releva et ouvrit ses lèvres révélant sa langue qui baignait dans le sperme de son fils, elle ly fit onduler et passer sur ses dents sous les yeux écarquillés de Damien. Enfin elle avala sa crème dans un bruit guttural. Damien seffondra sur la couche émerveillé. « -Maman, cétait encore mieux que lautre fois et tout ce que tu fais est si incroyable et extraordinaire et excitant. »

« -Je suis ravie que cela te plaise mon chéri car tout ce que je fais est pour te satisfaire. »

« Dans ce cas, bien quelle soit sublime et que tu la portes divinement, retire ta robe sil te plaît, je veux te voir toute nue. » Encore cette incroyable autorité qui me fait frémir, ce dit-elle en se relevant devant le lit, même si elle est encore teinté de tact et de respect.

« Tout ce que tu veux mon chéri. Si tu souhaites me voir nue, dit-elle en faisant glisser les bretelles de ses épaules, je serai nue. » Et sa robe comme dans une évaporation obscure seffondra à ses pieds, lexposant à son fils dans sa totale nudité pour la première fois. « -Tu es vraiment la plus belle femme du monde maman. » Sextasia Damien qui contemplait son visage magnifique, ses seins fermes, ses hanches rondes, ses jambes fines et son sexe nouvellement épilé et seulement orné dune bande de poils. Il rebandait fortement, sa mère sapprocha, les lèvres de sa chatte luisante dexcitation. Elle sagenouilla à califourchon au dessus de son fils, empoigna sa queue et la colla contre sa fente. Elle la fit glisser le long de ses lèvres, lhumectant de sa cyprine. « – Dis-moi ce dont tu as envie maintenant Damien. »

Damien qui avait rêvé maintes fois de cet instant ne parvenait pas à croire quil pouvait se réaliser.

« -Maman, cest possible ? Je Je peux ? »

« Tu peux quoi mon chéri ? Dis le moi. » Quémanda Elisabeth dune voie lascive.

« Je peux, te faire lamour. »

« Me faire lamour, cest ça que tu veux hein? Tu veux faire lamour à ta mère ? »

« -Oui maman, je veux te faire lamour ! »

« Alors fais le ! Prends moi et aime-moi ! » Dit-elle en prenant ses mains et en les posant sur ses hanches. Elle reprit sa queue, la positionna devant lentrée de son vagin, écarta avec provocation les lèvres vaginales de ses doigts et lui dit dans un ton presque implorant: « -Vas y, baise moi ! »

Il lattira à lui et elle sempala sur son sexe jusqu’à la garde.

Cétait doux et chaud, ça cétait fait avec une facilité déconcertante et cétait la chose la plus agréable au monde. Sa queue était dans lendroit le plus interdit et pourtant le plus paradisiaque, dans le vagin de sa mère. Une chose quil croyait impossible même après la fabuleuse pipe quelle lui avait fait quelques minutes plus tôt. Il naurait jamais imaginé quils franchissent un tel pallier, quils aillent aussi loin.

Elisabeth avait joui rien quen se faisant pénétrer, briser cet absolu et ultime tabou après tout ce laborieux cheminement spirituel la libéra entièrement. Elle était désormais en accord avec elle-même, débarrassée des blocages moraux, prête à jouir pleinement de ses actes pervers. La bite de son fils était dure et chaude, elle la sentait pulser dans son sexe. Remise de ce premier orgasme dû tout autant à la pénétration physique quà lintellectuelle connotation incestueuse de cet acte, Elisabeth, dont les poils pubiens étaient collés à ceux de son fils, attrapa telle des poignées, les talons de ses chaussures serrés contre ses cuisses, et se mit à onduler autour de ce pieu qui lembrochait. Elle gémit, ressentant de multiples ondes de plaisirs, elle les accentua en montant et descendant le long de la hampe monstrueuse de Damien. Il lui pétrissait les seins, lui caressait le cul, elle se pencha pour frotter son clito contre son pubis et il se mit à lui lécher et téter les seins. Elle lui caressa les cheveux pour lencourager, lui signifier quelle appréciait ce quil faisait avec sa queue et sa bouche. Il lui mordilla les tétons et promena ses doigts dans sa raie du cul, elle gémit de plus belle, goûtant ses nouvelles sensations corporelles. « -Continu mon chéri, baise moi de toutes tes forces ! Ramone-moi la foune, je sais que ça faisait longtemps que tu en avais envie mon amour, alors vas y, fait toi du bien. »

« -Oh maman, cest bon, cest encore meilleur que ce que javais imaginé, je voudrai que ça ne sarrête jamais ! »

« Oui, cest bon et on le ferra autant de fois que tu le voudras. Continu, tu me fais jouir, baise moi, baise moi. » Haleta Elisabeth entre deux orgasmes consécutifs. Il la retourna dans un élan bestial et la pilonna vaillamment, ses seins se mirent à rebondir sous ses coups de boutoir. Il baisait sa mère, cétait extraordinaire, magique, elle était à lui, rien quà lui. Comme elle était belle ainsi offerte, haletante, sa peau rosie et en sueur, les tétons pointant dexcitation. Il lécha lécume suintant entre ses seins puis pour la posséder pleinement il enfonça sa langue dans sa bouche. Ils sembrassèrent avec frénésie, Elisabeth appliqua une main dans les cheveux de son fils et posa lautre sur ses fesses pour intensifier encore lunion charnelle de leurs organes. Leurs bassins étaient imbibés tant elle mouillait, manifestation évidente de son bonheur à saccoupler avec son fils. Il la baisa rapidement puis lentement jusqu’à sortir son gland pour le réintroduire légèrement et ce, plusieurs fois de suite. Elisabeth se délectait de sa façon de la baiser, le trouvant extrêmement doué pour un débutant. Damien changea de nouveau de rythme et la lima de nouveau furieusement jusqu’à ce quil rompe soudain leur baiser : « -Je vais jouir maman, haaaaa, ça vient ! »

« -Oui vas y, jouit, jouit en moi ! »

« -haaaaaaaaaaaaaaaaa ! »

« -Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, hannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn ! »

La jouissance de Damien se répandant en elle, elle déclencha son propre orgasme qui fût grandiose, de loin le meilleur quelle nait jamais connu. Il fût si intense quelle en perdit momentanément conscience. Quand elle revint à elle, Damien était avachi sur elle, son sexe toujours enfoncé dans lorifice par lequel il était né quatorze années plus tôt. Elle remua un peu et il émergea de sa torpeur, le visage et le torse trempé, il lembrassa de nouveau, ils échangèrent longuement ce baiser pervers rempli damour incestueux. Ils reprirent leurs souffle, il sentit leurs sexes mêlés baignant dans le mélange de leurs sucs. Il se retira dans un plop quelle trouva plaisant et il sallongea à son côté.

« -Cétait merveilleux chéri, personne ne mavais jamais autant procuré de plaisir. »

« -Pour moi aussi cétait je ne sais pas comment dire, cétait le meilleur moment de toute ma vie maman. » Après un bref instant il reprit. « On pourra recommencer nest ce pas ? »

  Elisabeth inspira profondément, le temps était venu de franchir la dernière étape de sa conversion.

«Il ne serait en être autrement Damien, et justement maintenant que tu es détendu veux tu que je toffre ta surprise ? »

« -La surprise, oui bien sûr, après tout ça je lavais un peu oubliée, dailleurs avec tout ce que tu mas déjà offert je suis curieux de voir ce que cest ! » Sexclama Damien de nouveau tout animé.

Elisabeth nue et en talon aiguille, du sperme de son fils suintant de sa chatte, attrapa dans sa commode un petit paquet quelle lui tendit. Il sempressa de déchirer le papier. A lintérieur ce quil y découvrit le laissa interdit. Il le sortit pour être bien sur de ce quil avait sous les yeux, quand il eut bien examiné et quil neut plus aucun doute il se tourna vers sa mère.

« -Cest une sorte de collier ? »

« -Tout à fait, un collier, mais un collier très spécial, cest un collier de chien ou plutôt de chienne. »

« -Et pourquoi tu moffres ça ? Cest bizarre ! »

« -Tu dois le voir comme un symbole mon chéri. »

« -Un symbole ? »

« -Oui, le symbole de mon asservissement. Je suis ta mère et maintenant ta maîtresse, mais je veux être plus que ça, je veux être ton esclave. »

« -Mon esclave ? »

« -Oui, je suis à toi, totalement. Mon ventre est remplis de ton sperme et cela me rend infiniment heureuse et je veux que tu saches que dorénavant tu pourras le faire où, quand et autant de fois que tu le voudras ! Je suis ta chose, ta propriété, je suis prête à tout faire pour toi. Soit mon maître, ordonne et jobéirais, quoi que tu dises je le ferai. »

« -Tu es sure maman ? Je ne pensai pas que tu voulais être traitée comme ça. »

« Cest ce que je désire le plus au monde mon chéri et je sais que cette idée te plaît, nest-ce pas ? »

« Oui, cest très excitant maman, mais tu es certaine de vouloir ça »

« Absolument certaine, je veux que tu me traites comme ta pute, ton esclave soumise et dévouée, ta chienne. »

« -Ma chienne ? » songea Damien en frottant entre ses doigts le collier noir parsemé de clous chromés.

« -Oui ta chienne, cest ce que je souhaite être au plus profond de mon âme. Tu devrais me mettre ce collier, il sera le signe de mon allégeance pour toi, lemblème de ton pouvoir sur moi. » Damien sapprocha delle, perché sur ses haut talons elle le dépassait dune bonne tête. Avec délicatesse il lui fixa autour du cou, elle lavait fait faire juste à sa taille pour quil lui permette de respirer facilement mais aussi pour quelle sente sa présence en permanence, elle se retourna vers lui et plongea son regard dans le sien. Uniquement parée de ce collier et de ses tallons aiguilles noirs, elle était dune fabuleuse splendeur. Sa chevelure noire luisait, sa peau laiteuse irradiait, elle tendit insensiblement ses bras en arrière vers le sol ce qui propulsa sa poitrine avec provocation vers lui, les mains en angle droit également vers larrière, les doigts courbés, Elisabeth saccroupit avec lenteur en écartant les cuisses en signe de soumission. Leurs yeux toujours rivés lun à lautre, elle déclara :

« Maintenant je suis ta chienne, je suis à tes ordres pour assouvir tous tes fantasmes, dis moi de faire des choses sales et perverses et je les ferais sans aucune hésitation. »

Damien impressionné par la théâtralité de cet acte mais aussi tout excité par cette nouvelle perspective sempressa dimproviser un ordre pour tester cet incroyable pouvoir que lui conférait sa mère.

« Bien dans ce cas, heu, lèche mon sperme sur le sol, nettoie tout, il ne doit rien rester chienne. »

Elisabeth regarda le plancher ou du sperme sécoulant de son entrecuisse cétait rependu.

« Oui, mon chéri, tout ce que tu veux. » Et aussitôt Elisabeth se mit à lécher le sol de sa langue rose et charnue, récoltant la semence éparpillée. A quatre pattes, ses tétons frôlant les planches rugueuses, elle obéissait servilement à son fils, y trouvant un plaisir trouble et puissant.

Voyant cela Damien se remit à bander, il se demanda combien de fois il pouvait le faire de suite, accomplir toute ces choses avec sa mère, lobjet de tout ses désirs devait lui donner une énergie surnaturelle pansa til. Il se positionna derrière elle et lenfila en levrette comme il lavait vu dans des pornos sur internet. Elisabeth apprécia linitiative de son fils et lencouragea. « -Oui, vas y baise moi encore, baise moi autant que tu veux. Je suis à toi, je suis ta putain, baise ta putain de mère. »

« -jaime quand tu parles vulgairement maman, ça rend le truc encore plus excitant. »

« -Nhésite pas à en faire autan mon amour, si ça te plait tu peux minsulter, me traiter de tout. Noublie pas je suis ton esclave maintenant et tu peux tout me faire et tout me dire. »

Damien qui apprenait vite nhésita pas un instant.

«- Daccord grosse salope, tu aimes ma bite hein, tu aimes la bite de ton fils dans ta chatte, dis le ! »

« -Oui, jadore ça, jadore ta grosse bite dans mon vagin, défonce moi avec ta sublime queue. »

« -Ouai, je vais te défoncer la chatte maman, tu la sens bien ma grosse queue, ça faisait longtemps que tu la voulais hein, avoue que tu te branlais toi aussi en pensant à moi. »

« -Oui cest vrai, je me branlais en imaginant que tu me baisais et maintenant tu le fais en vrai et cest bon, si bon. »

« -Cest meilleur que de se branler pas vrai maman ? »

« – Oui cest bien meilleur que quand je me branlais comme une pauvre conne. Continue mon chéri baise maman, je ne mérite que ça, de me faire dominer par toi pour avoir osé te refuser mon corps. Tu es mon maitre et je suis ta soumise. » Elisabeth le cul en lair, percuté par le bassin de son fils qui la bombardait de puissant coups de son gourdin, jouissait à nen plus finir. Elle sentit tout à coup un doigt lui chatouiller la rondelle anale. Elle navait jamais expérimenté la chose par crainte den souffrir, mais elle avait tout permis à son fils et elle était ravie quil ne refreine pas ses envies, quil ose la traiter comme son objet. Damien dont la vision abaissée de sa mère avec son cul ondulant à chacun de ses assauts et ses propos de femme avilie, était surexcité. Aussi quand il distingua son anus lors dun battement de ses fesses, il senhardit à lui toucher, puis à lui titiller, après tout elle lui avait bien dit quelle était sa chienne et quil pouvait faire tout ce quil voulait. Comme elle ne broncha pas, exalté par son emprise, il lui enfonça son index dans le rectum.

« -Oui, cest bon ! Continu, plus profond, enfonce le moi plus profond ! » Hurla sa mère en jouissant de nouveau, sous cette offensive anale. Damien sentit le trou du cul de sa mère se serrer à plusieurs reprises sur son doigt et quand elle vociféra son plaisir, il éjacula enivré par cette débauche, lui remplissant les entrailles pour la deuxième fois. Il se retira en continuant de jouir sur sa chatte et ses cuisses, impressionné par la quantité de sperme quil pouvait produire. Ils se relevèrent et elle lui désigna sa couche. « -Tu es mon homme et mon maitre maintenant, alors mon lit est à toi, à partir de maintenant tu peux dormir avec moi si tel est ton désir. »

Il se glissa dans les draps et elle ly rejoignit, la fente suintant son foutre. Ils baisèrent encore plusieurs fois durant la nuit.

Jeudi.

Elisabeth se réveilla vers neuf heures trente, Damien dormait encore, elle prit sa douche matinale qui après les événements de la veille nétait pas superflue. Une fois séchée, elle enfila sa nuisette et se rendit à la cuisine pour prendre son petit déjeuner. Elle était affamée, il faut dire quils sétaient sacrément dépensé depuis quelques heures se rappela telle en souriant. Elle sétait servie un café bien chaud et tentait maintenant dattraper un paquet de biscottes située dans le fond dun placard haut placé, si bien quelle dut su mettre sur la pointe des pieds pour latteindre. C’est à ce moment que son fils lattrapa par la taille et lui embrassa le cou, les biscottes en main elle se reposa sur ses talons. « -Tu es réveillé chéri. » il ne lui répondit pas et continua à lembrasser et à lui lécher le cou puis le lobe de loreille, tout en caressant ses seins au travers du tissu. Quand il passa sa main entre ses cuisses pour lui caresser la fente, elle lâcha le paquet sentant que son maitre la voulait dès le lever du lit. Il était nu, pas douché, dégageant de fortes effluves dues à leurs ébats récents, cette odeur fauve lexcita. Damien lui frottait le clitoris de son index alors que son majeur senfonçait dans sa chatte. De lautre main, quil avait également glissée sous sa chemise de nuit, il lui pinçait les tétons lui procurant un plaisir intense qui la faisait mouiller abondamment. Il la retourna et la bascula soudainement sur la table, rejeta sa nuisette sur ses hanches et la pénétra violement. Son fils la baisa en levrette, la tête maintenue sur la table de la cuisine, les nichons écrasés sous son poids. La furie de cet accouplement bestial faisait vibrer la table, faisant tanguer le café dans sa tasse et il sen répandit un peu. « -Hum, cest bon, continu, encore mon chéri, baise maman, oui, oui fais toi du bien, encore, encore. »

« -Oui maman, je te baise, dès le petit-déj, parce que je taime, que je suis ton maitre et que je fais ce que je veux de toi. Ton cul mappartient, tes nichons sont à moi. Tu es ma pute, mon trou à bite, ma salope, ma chienne, mon esclave. »

« -Oui mon chéri, je suis tout ça, je suis à toi, je suis ta putain, baise moi, viole moi, fais de moi ce que tu veux, ou tu veux, quand tu veux. Oh cest bon, cest bon, continu, baise ta chienne, baise ton esclave, baise ta mère soumise. »

« -Ah, ah, ah, je taime maman. »

« -Je taime aussi mon chéri, mon amour, je taime je taime Damien, je taime tellement. Continu, oui je jouis, oui cest bon, haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa.. »

Elisabeth reçut un long et formidable orgasme alors que son fils continuait à la tringler sauvagement. Il se retira brusquement, attrapa sa tasse de café et sous ses yeux incrédules déversa son foutre dedans. Quand les jets abondants de sperme sarrêtèrent, il la lui tendit. « -Tiens, tu peux boire ton café maman, je ty ai rajouté de la bonne crème. »

« -Merci mon chéri. » Dit Elisabeth qui cétait mise à genoux face à lui en signe de subordination. Elle porta la tasse à ses lèvres et but son café crème avec gourmandise en se disant que décidément son fils apprenait vite et faisait preuve dune grande imagination. Dans son délire le plus débridé elle naurait pu imaginer mieux.

En milieu de matinée, Elisabeth vaquait à ses occupations, elle passa dans le salon ou Damien jouait à la console. Elle sassit à coté de lui, sur laccoudoir du divan et passa négligemment ses doigts dans les cheveux de son fils. « -Tu sais, je voulais te dire, jai beaucoup apprécié ce matin, cétait vraiment très bon. »

« -Dans ce cas je te préparerai ton café tous les matins maman. »

«- Idiot, je voulais parler de lensemble de ta prestation, même si jai vraiment aimé la spécialité de ton cappuccino. »

«-Hé bien, je voulais être à la hauteur de mon nouveau rôle, je ne voulais pas te décevoir tout en essayant dêtre original. »

« -Cétait très bien, jai vraiment aimé. Tu agis comme un véritable dominateur, ça me plais vraiment, cest grisant. »

Damien mis son jeu en pause et se retourna vers elle. « -Tu sais je suis plus quheureux, comblé par ce qui nous arrive et je ressens un vrai plaisir à te donner des ordres et tout. Jaime que tu sois ma chienne et mon esclave, mais je taime aussi. Je taime plus que tout, je suis amoureux de toi et je ne pourrais pas tinfliger des choses cruelles, tu comprends ? »

« -Bien sûr mon chéri, rassure toi ce nest pas ce que je souhaite non plus. Je ne veux pas être torturée. Bon si tu as envie de me frapper les fesses ou de me pincer les tétons comme ce matin, ça ne me dérange absolument pas, bien au contraire, mais rassure toi mon plaisir ne réside absolument pas dans la souffrance physique. »

« -Tan-mieux parce que cest vraiment pas mon truc. Jai eu vraiment peur que tu sois une sorte de masochiste qui aime souffrir, tu vois. Ca me faisait flipper de faire des trucs qui me répugnent pour satisfaire tes envies, mais je laurai fait quand même tu sais ! »

« -Tu es un amour, mais tu dois savoir que je ne te forcerai jamais à faire des choses contre ton cur mon chéri. »

« -Mais et moi, si je suis ton maitre et que tu dois obéir à tout ce que je te dis, alors forcément je tobligerais à faire des choses qui te dégoûteront. »

«- Cest possible, il se peut que je trouve quelques demandes répugnantes, mais ce qui me plait dans le fait dêtre ton esclave, cest justement dêtre obligée de faire ces choses. Ce qui mexcite, cest que tu me forces à faire des actes contre mon grés, que tu mhumilies par tes paroles et tes agissements. Tu comprends, me contraindre à assouvir tous tes fantasmes, mêmes, non surtout les plus pervers et les plus ignobles, me conduira au plaisir et certainement à les apprécier au final. Rabaisse moi, offense moi, avilis moi, demande moi de me prosterner devant toi, fais de moi ton esclave complète, ta chienne servile et je serai la plus heureuse des femmes et des mères. Moi aussi je taime Damien, comme une mère et comme une femme. Je suis follement amoureuse de toi et cest pour cela que je veux que tu sois mon amant et mon maitre. »

« -Ca, ça me va. Approche et embrasse-moi. » Aussitôt elle lembrassa sur les lèvres et ils échangèrent un baiser passionné, puis il lui ordonna : « -Dorénavant je tinterdis de porter une culotte à la maison, tu lenlèveras dès que tu rentres. Maintenant va me chercher un coca bien frais servis avec une paille et quand tu reviendras tu me suceras la queue pendant que je joue, allez dépêche toi chienne, ne me fait pas attendre. »

« -Oui maitre, tout de suite. » Trois minutes plus tard Damien sirotait son coca glacé, les yeux rivés à lécran de télévision ou il enchainait les courses de voitures par lintermédiaire de sa manette, quand son véhicule virtuel passait dans un tunnel, il distinguait sur lécran, le reflet du cul et de la chatte de sa mère, qui avait sa bite enfoncée dans la bouche.

Laprès midi ils firent des courses en ville, Damien en profita pour lui faire acheter de nouveaux jeux vidéos. Quand ils rentrèrent ils prirent une douche ensemble, ils se savonnèrent mutuellement en se caressant sensuellement et en sembrassant. Quand la mousse disparut sous leffet de la cascade deau chaude, Damien lécha et téta les seins de sa mère puis il descendit entre ses jambes et lui dévora la moule. Le jus dElisabeth se diluait avec leau mais il labsorba goulument, elle jouit sous sa langue avide et inquisitrice. Il se releva, lembrassa avec la langue et elle expérimenta la saveur de son propre sexe dans la bouche de son fils. A son tour elle saccroupit pour le sucer, elle lui prodigua avec sa bouche torride et sa langue adroite des sensations merveilleuses. Elle enfonçait sa bite jusquau fond du gosier la ressortait et recommençait puis lui tétait démentiellement le gland tout en lui caressant les fesses. Elisabeth lui enfonça alors un doigt dans le cul ce qui le fit éjaculer instantanément, elle avala tout.

Après le film du soir, Damien lui prit la main et ensemble ils gagnèrent la chambre dElisabeth, ils se déshabillèrent mutuellement et se mirent au lit, nu. Elisabeth allongée sur le dos restait immobile, son fils se positionna au dessus delle, elle écarta instinctivement les jambes. Il sintroduisit en elle rapidement et Ils firent lamour dans la position classique du missionnaire de bout en bout, les mains jointes au dessus de leurs têtes. Ils saccouplèrent comme deux amants éperdus damour, sans pouvoir décoller leurs lèvres, leurs langues emmêlées dansant un tango endiablé. Elisabeth avait croisé ses jambes autour de sa taille comme pour lemprisonner en elle. Il la prenait avec tendresse et douceur dans le clapotis de lunion de leurs sexes, sa pine récoltant la mouille copieuse de sa mère à chaque pénétration. Cétait fort et intense tout en étant suave et sensuel. Il éjacula en se mouvant au plus profond de son vagin, propulsant son sperme au fond de ses entrailles. Ils gémirent ensembles de leurs jouissances communes, elle lembrassa de nouveau puis lui lécha le cou et les lèvres alors quil finissait de lensemencer. « -Je taime Damien, Je taime mon fils, mon maitre. »

« -Je taime maman. »

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