Avec mon grand frère Yvan, on est très libre. Ou plutôt, cest lui qui est libre. Il se ballade souvent à poil à la maison, même en présence de nos parents. Cest dire que je connais vaguement son anatomie, je dis vaguement, car je nai jamais voulu jusquici faire le voyeur et surtout, parce que si je lavais observé plus en détail, la comparaison avec la mienne, maurait complexé plus que je ne le suis déjà
Yvan est aussi exhibitionniste. Enfin, je le pense, il se caresse parfois sans honte, en ma présence, car on partage la même chambre. Bien sûr, reluquer un mec, fusse-t-il mon frère, en train de se palucher, ça mexcite, mais devant moi, il ne va jamais jusquau bout de ses branlettes, il séclipse généralement aux toilettes, et je fantasme tout seul sur ma chaise ou dans mon lit en pensant au plaisir quil se donne. Je limagine alors se caresser méchamment jusquà jouir dans de fortes et abondantes éjaculations.
Un après-midi, pourtant, Yvan est allé plus loin. Il sest allongé de façon indécente sur le lit, à demi nu, les cuisses écartées. Cétait sa façon de me faire comprendre quil voulait se faire un énième petit plaisir. Javoue que japprends beaucoup en le regardant se caresser. Certes, moi aussi, je me branle, au moins une fois par jour, souvent deux ou trois fois, mais ma verge est encore enfantine et pratiquement imberbe, au contraire de certains de mes copains déjà formés, qui ne se gênent pas pour exhiber leur épaisse queue velue, lors des séances de sport, ou à la piscine. Mon frère Yvan, à dix-huit ans passés, nest plus puceau. Il ma dailleurs raconté en détail son dépucelage avec sa copine Léa, en mabreuvant de conseils pour le jour où ça marrivera. Ce que je souhaite, cest devenir aussi expert que lui et surtout avoir un sexe aussi bien foutu que le sien, surtout quand il bande… Dailleurs, je me garde bien moi, de le lui montrer, non pas par pudeur, mais à cause dune certaine insatisfaction dêtre encore doté à mon âge, dune queue aussi ridiculement fine, avec mes deux petits testicules encore stériles, pas plus gros que des olives.
Yvan sétait couché sur le dos, et il retira promptement son débardeur, laissant paraître un torse, rasé de quelques jours déjà. Il se rase Yvan, je nai jamais su pourquoi, moi qui lenvie tant dêtre poilu, juste ce quil faut… Dautant quil est roux, mon frère, et le duvet de son torse et de ses jambes est plus claire encore que ses cheveux.
— Aujourdhui, regarde bien frérot, je vais bander sans me toucher le sexe Cest tout un art, tu sais
— Comment tu peux arriver à ça? lui demandais-je, incrédule.
— Laisse moi me concentrer, maintenant, plus un mot sil te plaît et zieute!
Encore un de ses trucs qui me fait tant marrer, il mapprend plein de choses mon frère Mais là, bander sans se toucher, il est fort sil y arrive
Yvan portait un boxer, et je devinais par sa forme bombée, que son sexe était encore flasque avec le gland rentré. Quand il porte un boxer, je remarque tout de suite sil a la queue décalottée ou non.
Il écarta plus indécemment encore ses cuisses, ce qui mit en valeur ses deux couilles qui formaient un bon paquet. Il ferma les yeux et respira fort. Puis, de ses deux mains, il se mit à caresser ses tétons. Étrange!
Yvan en fait, se les triturait, il se les pinçait, puis avec un doigt il se les faisait durcir par des caresses circulaires. Jamais encore vu ça Ses petits tétons prenaient eux aussi du volume et très vite, ils pointèrent comme des seins de femme.
Et cest vrai que son sexe se gonfla peu à peu. Je le devinais à travers le boxer se réveiller, se relever doucement, puis, se frayer un passage dans le tissu, pour se redresser progressivement, inéluctablement. Yvan gémissait. Se tripoter les tétons lui faisaient autant deffet que sil se tripotait la queue. Bientôt, le gland apparut timidement. On le devinait pointer sa tête, mais à mon avis, il nétait pas complètement sorti
Yvan, alors retira son boxer. Sa verge mapparut dans toute sa force et la peau du prépuce finit par se dérouler, comme une banane quon épluche, pour laisser sa liberté au gland qui sétira alors sur son nombril. Lérection était réussie!
— Alors là, chapeau, Yvan, je sais pas si jarriverai
Yvan ne me répondit pas et il poursuivit sa masturbation. Denfer, il se branla Avec douceur et avec violence, il se cabra, se mit assis, puis de nouveau, sallongea, il gémissait de plus en plus fort.
Je commençais moi aussi à sentir des frissons bienfaisants, jétais en slip et mon sexe se cabra dun coup. Javais envie de me branler, mais je ne voulais pas montrer à mon frère comment je faisais. Pourtant, là, ça finissait vraiment par me perturber.
Yvan me fixa dans les yeux, comme sil mimplorait de venir le caresser Jamais fait ça, branler un mec, mon frère en plus Je mapprochais un peu plus de son corps et de sa verge que je navais jamais encore vue de si près. Yvan cessa de se branler et retira les mains de son sexe pour me laisser apprécier ses parties génitales en pleine folie. Je naurais jamais imaginé quil ait pu avoir des poils roux aussi longs et frisés. Ils formaient des boucles autour de son sexe et remontaient bien au delà, vers son nombril. Sa bite se redressait toute seule, en frémissant. Ses deux grosses couilles collées lune à lautre étaient également velues, mais ses poils roux étaient là plus clairsemés. Mater ainsi la nudité de mon frère livré à un plaisir total, sans tabou, mexcitait. Cest comme sil sétait complètement abandonné à moi, il semblait mappartenir désormais.
Mon frère glissa une main dans mon slip, une main froide derrière mes fesses et il me les caressa doucement, presque tendrement. Jétais perdu, tétanisé, mais ivre de désir et de plaisir. De doux frissons me parcoururent un peu partout. Yvan poursuivit ses caresses en sattardant sur la raie du cul à lentrée de mon anus, des sensations nouvelles pour moi qui accrut encore mon plaisir. Puis il mordilla ma queue raide, encore dissimulée dans le slip, avant de la lécher et den avaler le bout avec le coton blanc du slip. Je sentais ma queue désormais humidifiée par la salive de mon frère. Je frissonnais dans lespoir quil retire mon slip. Il le fit dun mouvement lent et progressif. Je ne bougeais plus et fermais les yeux. Il baissa dabord le slip pour faire apparaître mon pubis, depuis peu recouvert dune fine toison brune, sur lequel il posa un chaste bisou, puis il le baissa plus bas encore, laissant sortir ma bite qui se raidit en dessinant de légers mouvements de bascule. Je bandais fort et jen ressentais une certaine honte. Je venais doffrir pour la première fois à la vue de mon frère mes parties génitales.
— Vigoureux ton sexe frérot, tes plus un bébé, à ce que je vois Mais il est vrai que tu vas sur tes seize ans quand même…Je peux sortir ton gland?
Sans même que je puisse répondre, je sentis mon sexe désormais mis à nu, avalé dans une cavité chaude et humide. Mon frère avait gobé ma queue et il allait me sucer. Yvan happa mon gland avec sa langue. Quelle volupté Jamais connu un tel plaisir, mon petit sexe était désormais livré à sa bouche gourmande, je le sentais aspiré dans un gouffre bienfaisant, il coulissait dans des va et vient exquis, entre ses joues, sa langue et ses lèvres qui sactivaient. Cétait moi, à présent qui respirais fort, je haletais en fait, jen pouvais plus. Javais chaud et mon cur battait la chamade.
Yvan, toujours allongé, me prit alors ma main et me la posa sur son sexe. Il était dur, gonflé et aussi frémissant que le mien. Je touchais pour la première fois un vrai sexe dhomme, pas très loin de lextase et de la jouissance. Il allait sûrement éjaculer. Je jouis lorsque je me masturbe mais je néjacule pas encore, et jignore comment le sperme est fait. Mon frère allait sans doute me montrer. Je me mis à genoux près du lit et je commençais à le caresser dune main hésitante, ma tête penchée sur son sexe. Il se laissa faire et m’encouragea même dun sourire. Je reproduisis avec sa queue, ce que finalement je faisais avec la mienne. Je branlais bien sans doute, car Yvan me murmura, « oh, super, continue, frérot ». Je pris ses grosses couilles soyeuses dans mes mains et je les câlinais délicatement. Yvan gémit encore et me redemanda des caresses. Je sentis que sa jouissance nallait pas tarder. Il était tendu et mimplora de continuer, sa respiration était de plus en plus saccadée et sonore. Il ferma les yeux et haleta. Je savais que son sperme allait très vite me juter à la figure et je mécartais un peu, tout en continuant de le branler.
Bien, continue comme ça frérot, continue de me branler à cette cadence, narrête surtout pas, même quand jaurai joui
Il sarrêta de parler et gémissait de plus belle, alors que je maintenais les caresses dans le rythme quil me demandait. Soudain, je vis des jets puissants jaillir de son gland, du liquide lourd et blanchâtre venir sécraser sur sa peau et couler le long de sa verge. Jétais impressionné par tant de liquide déversé, javais la main poisseuse, mais je nai pas osé la porter à ma bouche pour savoir quel goût ça avait. Tant pis!
Les jets devinrent peu à peu moins puissants, mais du sperme, yen avait partout, sur son ventre, ses cuisses imberbes et dans les poils de son pubis. Yvan soupira et resta un long moment à reprendre ses esprits. Puis, il me remercia et me fit jurer de ne rien dire aux parents. Tu parles, jétais trop content davoir progressé dans ma connaissance du sexe de lhomme Mais je fis la pute et lui demanda une compensation Il comprit tout de suite.
— Salaud ! tu veux que je te branle aussi
-Ben, oui, ya pas de raison
Je navais pas débandé, et je navais plus honte désormais de mon propre sexe de gamin que mon frère venait de découvrir. Yvan me branla, mais sans grande motivation. En me pinçant le gland, il me fit presque mal.
-Non, non, pas comme ça, tu fais mal, suce moi plutôt, comme tout à lheure!
Je ne lui laissais pas le choix, je le fis sagenouiller et japprochai de ses lèvres, mon sexe dur et frémissant. Il ouvrit la bouche, et jenfonçais ma tige en feu tout au fond de son gosier. Vu sa longueur réduite, Yvan pouvait bien se lavaler toute entière
— Vas-y, suce moi bien comme il faut, et nai pas peur, je néjacule pas encore, moi…
— Ah bon, me fit-il surpris en relevant la tête, tu jutes toujours pas? Ta bite est bien dure pourtant
— Tu fais bien, mon frère, de penser que je suis plus un gamin Je saisis sa tête entre mes deux mains et lui enfonçais violemment mon sexe dans sa bouche entrouverte.
— Parle plus et suce, lui ordonnais-je.
Je pense quil a pris du plaisir, car sa queue soudain se cabra, gonflée à lidée de se faire dominer par un puceau tèl que moi. Il se masturba dune main, tout en me suçant comme un dieu. Je donnais de forts coups de reins dans sa bouche généreuse, des coups de reins virils, je me branlais dans sa bouche, et je masturbais ma bite en feu sur ses lèvres, son nez, son visage.
Lorsque je sortais de sa bouche pour ne pas jouir tout de suite et prolonger mon plaisir, Yvan en profitait pour me malaxer les couilles, il les avala, lune après lautre, puis toutes les deux en les tortillant de sa langue chaude et humide.
— Ta déjà une légère toison sur le pubis, frérot, regarde cette petite touffe de poils sombres qui tapisse ta queue, ça pousse, ça pousse, me dit-il en faisant coulisser avec délice mon gland dans sa peau protectrice, laissant mes couilles mouillées, reprendre leur place initiale. Jétais aux anges.
Je ne pus bien longtemps me retenir et je jouis comme un fou, dans sa bouche, comme jamais javais joui auparavant. Je jouis en plusieurs saccades, à chaque coup de rein viril dans sa bouche. Je râlais de plaisir, tandis que lui continuait sa branlette. Il éjacula bruyamment, une nouvelle fois de quelques jets blanchâtres qui sélevèrent haut dans le ciel avant de retomber sur le parquet en gouttes collantes, ce qui activa encore ma frustration de ne pas pouvoir juter comme lui.
Mais, bon, nous étions tous deux apaisés et nos sexes encore frémissants perdaient de leur vigueur. Le mien surtout qui pendait déjà, le nez vers le bas, tandis que la queue de Yvan restait à lhorizontal, le gland encore couvert de gouttes de sperme. Je les lui raclais avec mon index et je les portais à ma bouche, avec curiosité.
— La prochaine fois, cest toi qui me suceras, et tu boiras mon foutre jusquà la dernière gorgée, je te le promets, me dit-il en souriant.
Il ny eu jamais de prochaine fois, mais je naurais jamais pensé que se caresser le torse pouvait conduire à tant de volupté