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Marie – Ange & Démon – Chapitre 21




Marc, mon mari s’impatiente. Il est toujours en ligne. Mon mobile est sur le sol…

Je l’entends ronchonner à plusieurs reprises. J’essaye de le calmer.

Une minute, une minute, ça vient, ça vient … j’ai presque terminé.

Pendant ce temps, les deux garçons se sont approchés et me chuchotent des cochonneries. Nicolas tient une bouteille d’evian coupée en deux. Profitant du retrait de Théo qui a enfin fini de se soulager en moi, il me l’enfonce vivement dans le derrière en donnant à ce stade, quelques précisions parfaitement inutiles :

Je vais remplacer Théo et te faire un petit pipi dans le derrière pendant que tu continueras de parler avec ton mari.

Antoine, lui, est à ma droite, il se penche, il a l’air encore plus vicieux que ses petits camarades.

Et moi, ma belle petite Marie-Jo, je vais tout simplement me branler dans tes beaux cheveux.

Eh oui, moi aussi je veux laisser ma marque dans ta chevelure.

J’espérais mieux pour notre première rencontre. Depuis le début, dès que j’ai vu ton joli minois coquin de professeure, je rêve de m’asseoir sur ta figure pour que tu me lèches le trou du cul en sentant que je t’écrase bien mes couilles sur tes deux yeux, avec ton nez bien fourré dans ma touffe de poils.

Mais là, ce n’est pas possible, alors je vais attendre…

Moi aussi, impossible d’attendre plus longtemps. Toujours à quatre pattes, je réussis à prendre mon mobile d’une main.

Allo, mon chéri, excuse-moi, je suis désolée, mais je suis très occupée en ce moment. Comment vas-tu ?

Roger me fait signe de mettre le haut-parleur. Tout en abusant de moi, ces gros vicieux ne veulent rien manquer de la conversation.

Tu en fais trop ma chérie, dans ton état, tu devrais te reposer.

Oui, tu as raison. Parfois, j’en ai vraiment assez de tout ce monde autour de moi. Là, ils sont bien une dizaine et ils veulent tous être servis en même temps.

Je comprends … Tu sais dans ma boîte, c’est un peu pareil, tu n’en fais jamais assez. Vraiment, j’en ai plein le cul.

Ne t’en fais pas, essaye de le prendre cool, tu sais, moi aussi j’en ai plein le cul, mais je fais avec. Il faut voir le bon côté des choses…

Oui, le bon côté… facile à dire, mais ma chérie, qu’est-ce que tu veux dire par « j’en ai plein le cul moi aussi » ? Ce n’est pas par rapport à moi au moins ? Tu sais que je fais tout mon possible pour t’aider.

Autour de moi, les garçons n’arrivent plus à se retenir, ils pouffent de rire. Roger sourit d’un air béat et plus que satisfait par la tournure de la conversation.

Non, non, bien sûr que non. Tu sais, je me sens vraiment toute gonflée. Parfois, j’ai l’impression que mon ventre va éclater et qu’un bus vient de se garer sur ma vessie. Oooh, là, j’ai encore vraiment envie de faire pipi. J’ai tout le temps envie, tu sais…

Nicolas vient de terminer d’uriner. Il est le troisième à se soulager dans mes intestins. Je déborde littéralement. Je réalise que leurs mictions cumulées doivent bien atteindre le litre. Il y a aussi mon envie pressante et mon énorme ventre de femme enceinte de jumeaux à son neuvième mois.

Je suis prête à exploser. Je ne pourrais jamais aller jusqu’aux toilettes.

En plus de ça, Nicolas vient de me mettre son machin à peine sorti de mon cul dans la bouche tandis qu’Antoine finit d’éjaculer dans ma chevelure.

J’ai de nouveau perdu le fil de la conversation, dans un dernier effort de lucidité, j’entends encore que Marc mon mari est en train de s’excuser maladroitement sur notre absence de rapport sexuel.

Lorsqu’il en vient à déclarer que ce n’est pas par manque d’amour, mais que bien au contraire, compte tenu de mon état, il a peur de me faire mal.

En entendant ces mots, les garçons autour de moi se mettent à s’agiter de façon obscène. Ils bandent comme des ânes et je n’ai aucun doute sur la suite des événements. Ils se moquent ouvertement de mon époux. Clément qui s’est montré particulièrement actif jusqu’à présent est le premier à venir me chuchoter à l’oreille qu’avec lui je n’ai pas à m’en faire côté sexe. Je peux compter sur lui pour me la mettre bien profond dans le cul dès que j’en aurais terminé.

Et de ce fait, pendant quelques minutes, je dois continuer à converser maritalement avec mon conjoint alors que les garçons se succèdent pour me susurrer les pires cochonneries. C’est on ne peut plus gênant d’autant plus que Nicolas continue de me faire sucer.

Je sens que ça vient, je n’en peux plus et je commence à uriner à l’instant même où je réussis à enfin prendre congé de Marc.

J’essaye de me retenir. Rien n’y fait. Un petit jet puis un deuxième. Roger s’approche et coulant une main par en dessous, il me retire le plug. Et d’un coup, cela coule à grands flots. Je me soulage de partout. Je ne peux m’empêcher de sourire. Je soupire et ne fais rien pour cacher le plaisir que je prends à évacuer, toute cette pisse par mes deux trous.

C’est si bon de pisser aussi du cul… Bon Dieu, je ne m’arrête plus, ces salauds m’en ont mis des litres. J’étais prête à éclater.

Faire subir des lavements pareils à une femme enceinte déjà terriblement comprimée par un ventre énorme … quelle perversion !

Nicolas s’est légèrement écarté pour échapper au déluge qui ruisselle sur le sol en béton de l’entrepôt. Suivant le mouvement, le groupe qui m’entoure depuis le début se disperse et je découvre Roger affairé derrière son ordinateur portable.

J’imagine qu’il est en marche depuis le début de la séance, orienté vers moi, webcam en fonction.

J’ai perdu le compte, mais avec Nicolas et Antoine, je pense que tous les garçons ont pris leur tour.

Je n’en finis plus de pisser. Encore quelques gouttes… Roger est déjà devant moi. Il me tend un seau et une serpillière d’un air contrarié.

Allez, dépêche-toi salope, les choses sérieuses vont commencer.

Tout en épongeant mes déjections, je me demande ce qu’a voulu dire Roger. Pour moi, la séance est terminée. Ils m’ont tous utilisée, chacun à sa façon. Mais en m’approchant de l’ordinateur de Roger, je découvre qu’une cession vidéo chat de groupe est toujours en cours sur skype.

Il y a 7 participants, sûrement le maximum pour ce type de matériel.

Je me retourne, les garçons qui sont revenus de la réserve avec un deuxième canapé finissent de s’installer. Tous les dix assis, bien alignés sur les canapés placés côte à côte, face à la caméra, jambes par-dessus tête pour bien dégager le cul et les couilles. Roger reprend :

On compte sur toi, ma belle pour nous les remettre tous en pleine forme. Tu vas leur lécher le cul et les couilles à tous les dix. Maintenant qu’ils t’ont bien lavé le cul avec leur pisse et que ma petite chérie est bien propre du cul, elle va leur rendre la pareille. OK ?

Je n’ai rien à répondre. Roger sait que j’ai horreur qu’il m’appelle ma chérie, surtout en public.

Je m’approche en faisant la moue et m’agenouille auprès des garçons… Je n’aurais jamais imaginé que je pourrais un jour, faire la salope devant autant d’hommes… je sais maintenant que je suis filmée et que l’on me mate en direct sur Internet.

La situation m’excite. C’est dingue la récupération chez les jeunes, je ne les ai pas encore touché qu’ils rebandent tous comme des ânes.

Je m’acquitte consciencieusement de ma tâche. Dès le deuxième passage, mes futurs étudiants sont aux anges. Ils en redemandent :

Moi Madame, moi, moi encore…

Je leur enfonce ma langue tant que je peux. Trente secondes et je passe au suivant.

En 5 minutes, j’ai fait le tour. Un deuxième passage et je commence à avoir les mâchoires endolories.

Encore un dernier petit tour. Un quart d’heure vient de s’écouler sous les commentaires les plus grivois qu’il m’ait été donné d’entendre. La plupart concernent mes photos avec les chiens. Mon adresse circule de bouche en bouche. Ils se promettent d’échanger leurs clichés respectifs.

Les jeunes recommencent à s’agiter et à me peloter les nichons. Je les encourage.

Je me mets légèrement de côté et enfonce tant que je peux le bout de mes tétons dans le cul de Thomas. Il réussit à presser mes nichons et du lait en sort.

J’essaye de lui propulser mes giclées dans le trou de son cul. Et je ne fais pas qu’essayer ! Bien entendu, il commente crûment la scène pour que tous en profitent.

Putain, les gars, cette salope me fait téter par le derrière. Je la tète avec mon cul ! Ah c’est bon, c’est bon.

Je me saisis de sa queue, la tire vers moi. Je suis comme hypnotisée. Son gland me paraît plus gros et plus rouge que jamais.

Le suivant est Antoine. Lui aussi veut sentir mon lait entrer par saccades. Je m’apprête à prendre position lorsque je me souviens de sa proposition et de sa paire de couilles. Je me soulève légèrement et colle mes deux yeux sur ses boules. C’est vrai qu’elles sont velues et grosses à souhait. Une fois bien en place, les couilles du garçon me recouvrent la moitié du visage. Le nez calé dans sa raie poilue, je lui bisouille le trou du cul et lui mets la langue. Une fois bien humide, je le chatouille un peu avec le bout du nez et commence à souffler. La sensation de froid l’électrise. Je recommence à plusieurs reprises : petits coups de langue, petits bisous et air froid. Je lui mets un doigt puis deux pour l’assouplir, il est prêt. Je me place sur le côté et lui demande s’il veut que je lui donne la tétée. Pendant ce temps, Thomas qui s’est placé derrière moi me donne des tapes sur les fesses et cherche mon cul. Visiblement, il veut maintenant m’enfiler par-derrière.

Ils m’ont attrapée par les nichons et les pressent convulsivement.

Mon lait gicle en cadence entre les fesses et sur les couilles d’Antoine. Les pauvres garçons n’en peuvent plus, ils sont prêts à tout lâcher lorsque Roger intervient.

Mais Bon Dieu, arrête ça, salope, je t’ai simplement demandé de les exciter. C’est tout sauf le moment de leur vider les couilles à ces deux-là. On a des records à établir et à homologuer. Pour commencer, tu vas nous faire un double anal en direct. Eh oui, Marie-Jo, on peut dire que tu es devenue une vedette, tes performances chez Abdou ont fait le tour du NET. Tu sais, la toile ne manque pas d’amateurs qui aiment mater les turpitudes de belles salopes bien vicieuses comme toi.

Je me croyais prête à tout entendre de sa part, mais ce genre de révélation me prend complètement au dépourvu. Je n’arrive pas à en imaginer les conséquences. Pas encore. Roger reprend à l’adresse des garçons.

Allez les gars, tous en rang face à la caméra. Marie-Jo va vous mesurer la queue. Les deux plus longues seront pour elle. Sachez, pour votre information, que pour bien les lui mettre dans le cul en double anal, 20 centimètres sont un minimum.

Ils sont quatre sur dix à respecter ces normes. Après une courte délibération, Thomas et Antoine sont élus. Ces deux-là affichent respectivement 24 et 22 centimètres.

Je vais me prendre de sacrés morceaux dans le cul.

Aussitôt choisis, ces deux cochons excités se sont plaqués tout contre moi. Ils essayent déjà de me pénétrer. Ils vont m’enculer debout.

Roger rassure les autres garçons en leur expliquant qu’ils vont eux aussi participer.

Il s’agit de déterminer combien une femme grosse de neuf mois et enceinte de jumeaux peut satisfaire de garçons en même temps.

Aussitôt, deux autres jeunes se sont approchés. Je les attrape par la queue. Tous m’entourent et m’entraînent vers le canapé…

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